Le chef de l’État devrait annoncer la construction de six nouveaux EPR. On a pourtant arrêté de force les deux réacteurs nucléaires de Fessenheim, qui produisaient deux gigawatts électriques. Cette décision d’Emmanuel Macron montre l’ignorance inquiétante de ce gouvernement dans le domaine des sciences et de la technologie.
Science et techniques - Page 17
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Nucléaire : la politique de Gribouille
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Projet « métavers » de Mark Zuckerberg – Un nouveau bouleversement sociétal made in Facebook
Un monde toujours plus virtuel avec Facebook ! La société américaine a en effet annoncé qu’elle allait recruter 10 000 personnes en Europe afin de développer son projet de « métavers » qui était dans les cartons depuis longtemps mais que le président-directeur général de l’entreprise Mark Zuckerberg a officiellement annoncé en juillet dernier. Ce projet pourrait bien provoquer un bouleversement majeur au sein de la société…
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Philippe Guillemant : Les Pièges de l'identité numérique
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Fin du moteur thermique : la Tchéquie dit non à l’Europe
Par Jacques Chevalier
Le plan climat ou « green deal » de la Commission européenne fait grincer des dents, mais pas seulement les constructeurs poussés à une mutation vers l'électrique à marche forcée. Cette fois, c'est tout un pays qui se dresse contre la fin annoncée du moteur thermique en 2035, la trouvant sans objet. La Commission européenne entend en effet, dès cette date et au travers du plan « Fit for 55 » (Prêts pour 55) présenté le 14 juillet dernier, interdire la vente de voitures à carburants fossiles. Pour cela, elle impose une réduction de 55 % des gaz à effet de serre en 2030 comparé à 1990 (contre 37,5 % initialement prévus) et de... 100 % en 2035. Ce qui interdit, de fait, la vente de voitures thermiques.
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Jacques Perget la destruction de la recherche française
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La voiture électrique, une nouveauté ?
Dans le cadre de la préparation d’un sujet de khôlle sur « l’automobile », j’ai trouvé il y a quelques jours un article extrait de la grande revue « L’Illustration », daté du 25 juin… 1898 !, ce qui ne nous rajeunit pas…
S’il est intéressant et utile, sans doute, à reproduire, c’est qu’il montre à l’envi que, dans le domaine automobile comme dans beaucoup d’autres, ce sont des choix qui déterminent la suite des événements (constatation qui n’a rien de particulièrement exceptionnel en soi…) et qui expliquent parfois aussi les inquiétudes, les difficultés actuelles ou les malentendus, les erreurs, parfois même les fautes.
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Divine technologie ou l’enfer selon Apple
La chronique de Philippe Randa
Le géant américain de la technologie Apple annonce avoir développé une nouvelle fonctionnalité grâce à laquelle il numérisera les photos des appareils iPhone et iPad afin de traquer « des images sexuellement explicites impliquant des enfants. »
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La nécessaire humilité des scientifiques
De Pierre-Antoine Pontoizeau, pour le Salon beige:
Les thérapies géniques (vaccin) seraient la panacée. Il faudrait croire les médecins, les laboratoires et nos Etats en toute naïveté. Mais une autre actualité mérite toute notre attention. En effet, nos apprentis-sorciers découvrent toutes les limites des antibiotiques. C’est le scandale de l’antibiorésistance. C’est, là encore, l’arrogance et la prétention à court terme, sans oublier l’enrichissement des laboratoires, qui mettent toute la médecine occidentale face à une difficulté majeure : la résistance des agents biologiques aux antibiotiques.
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Sur Marianne, comment l’Allemagne tond la France : la conquête spatiale.
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« Espèce d’animal ! » La réponse d’Alain de Benoist aux folies antispécistes
Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossible, La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Le philosophe Alain de Benoist a publié en fin d’année dernière, aux éditions de La Nouvelle Librairie, un court essai, La Place de l’homme dans la nature [1], qui mérite que l’on revienne dessus.
L’essai se voulait d’abord en effet une réponse critique, aimable mais argumentée, au livre publié par le biologiste Yves Christen en 2009 sous le titre L’Animal est-il une personne ? [2].
Mais, comme l’écrit Alain de Benoist lui-même, « je me suis vite aperçu que le sujet s’inscrivait dans une problématique beaucoup plus vaste [3] » : la place de l’homme dans la nature, la relation entre nature et culture, l’anthropologie, justement.
C’est donc un parcours philosophique qu’Alain de Benoist nous invite, en réalité, à emprunter.