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social - Page 12

  • Le 1er mai et la valeur « travail »

    Ce premier mai déchire, entre ceux qui voudraient le maintenir férié et les autres, qui voudraient en faire un jour comme un autre, revendiquant le droit de travailler. Au RPF, le travail est l’une de nos valeurs fondamentales et profitons de ce jour pour dresser quelques constats. La valeur travail justement disparaît, travail au sens de « production de richesses ». Car c’est bien cette considération qu’il faut prendre en compte si nous voulons que la France retrouve à la fois du rayonnement et des finances. Il faut bien différencier ces emplois de ceux qui sont créés en masse actuellement : des gestionnaires et des contrôleurs. Nous pondons des normes, avec des gens pour les appliquer, des gens pour les contrôler, d’autres gens qui supervisent les contrôleurs, des conseilleurs pour que tout le monde se retrouve dans le fatras. Mais encore, des surveillants, puisque désormais tout est soumis à la délinquance galopante et qu’il est désormais impensable d’envisager le moindre travail sans système de contrôle des locaux, des employés, sans avoir de vigile… La charge sur le travail a augmenté sans limite, d’impôts, de normes, de taxes, de surveillance, de contrôle, fruits d’une politique qui a conduit à la perte de la conscience professionnelle et de la rigueur.

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  • Du premier mai, du travail, et de la liberté

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    Depuis 1941 en France, la fête du Premier mai est supposée rendre hommage au Travail. Les disciples de Nathalie Arthaud et autres nostalgiques d'Arlette Laguiller contestent fortement cette interprétation légale, car elle remonte au gouvernement de l'État français. Elle leur paraît trahir la tradition des luttes syndicales ouvrières. C'est en 1856, en Australie, qu’est née, en effet, la revendication d’une journée ouvrière de repos, comme un moyen d’obtenir la journée de 8 heures. La date était alors fixée alors au 21 avril. Ce n'est qu'en 1889, que les socialistes de la IIe Internationale décidèrent de fixer leur mobilisation au 1er mai, en référence aux violences répressives lors des manifestations de 1886.

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  • 1er mai : l’immigration n’enrichit que les patrons… et l’extrême gauche les sert à genoux

    Camarades ? Non : complices. Ce 1er mai 2025, les drapeaux rouges sont en réalité recouverts de la même graisse que les mains du patronat mondialisé. À force de trahir leurs fondements, les héritiers d’une gauche ouvrière, sociale, enracinée dans les luttes du peuple, sont devenus les larbins de ceux qu’ils prétendaient autrefois combattre. Uber Eats, Deliveroo, restauration low-cost, exploitation agricole industrielle : les esclavagistes modernes peuvent remercier LFI, la CGT et leurs petits nervis anarcho-autonomes. Grâce à leur agitation cosmopolite permanente, ils tiennent la jeunesse européenne en joue, étranglent les classes populaires, et surtout, assurent le renouvellement illimité d’une main-d’œuvre corvéable, sans conscience politique, sans racines, sans défense.

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  • 2000 euros par mois : le seuil de l’indécence

    Dans le désastre permanent qui n’en finit pas de se banaliser, nous apprenons terrifiés, du moins devrions nous l’être, que la France fait face à une situation qualifiée pudiquement d’alarmante, car des seniors se retrouvent à fouiller les poubelles pour vivre. Le terme a quelque chose déjà d’indécent, comme une insulte feutrée à l’humanité, à ce qui nous y rattachait : ce lien que l’on croyait éternel et imprescriptible avec nos anciens et leurs conditions de vie. Ceci alors que nombre de faux migrants sont logés dans des hôtels avec piscine réquisitionnés. Mais c’était sans compter avec ces nouvelles générations rompues à la haine et la hargne, au renversement des valeurs, l’oubli et l’aversion et de l’empathie érigés en progressisme, qui déversent leur acrimonie en conclusion d’un dogme qui se veut politique et économique. On se souvient des propos de madame Astride Panosyan Bouvet, fustigeant les retraités qui gagnent plus de 2000 euros comme d’infâmes profiteurs, et leur devoir de contribution pour combler un déficit construit et accumulé par l’impéritie des politiques eux-mêmes. Mais c’est désormais un fait avéré, ils creusent le déficit et nous devons le boucher.

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  • La Hongrie offre une exemption d’impôts à vie à toute mère d’au moins deux enfants

    La Hongrie offre une exemption d’impôts à vie à toute mère d’au moins deux enfants

    Viktor Orbán a adopté mardi 29 avril une mesure visant à renforcer la natalité en Hongrie. Le gouvernement hongrois souhaite exempter d’impôts les mères d’au moins deux enfants.

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  • Attal veut fermer les réseaux sociaux à partir de 22 heures et les taxer… pour votre santé !

    J’adore ce pays et ses politiciens. C’est exquis.

    Il n’y a pas un problème qu’un nouvel impôt ne puisse résoudre.

    C’est incroyable !

    Ils sont affligeants de prévisibilité.

    Si demain on confiait le Sahara à des politiciens français, ils taxeraient les grains de sable pour faire reculer le désert… ce qui évidemment n’arriverait pas.

    Voici le raisonnement du mamamouchi Attal qui se croit malin le lynx.

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  • Les ruptures de contrats d’apprentissage explosent et c’est logique et normal !

    C’est un article du Parisien (source ici) qui revient sur l’explosion des licenciements des… apprentis !

    « En post-bac, les ruptures de contrats ont augmenté passant de 10 % en 2017 à 18 % en 2022. Si certaines sont à l’initiative des étudiants, d’autres sont bien souvent subies et marquent durablement les parcours. »

    Ce phénomène est assez logique et assez facile à comprendre également.

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  • ECORAMA. La « contribution modeste » censée remplacer la taxe d’habitation… pour financer les travaux délirants et inutiles des mairies !

    David Jacquot sur Ecorama voulait que l’on parle de la taxe d’habitation le retour !

    « Si un retour de la taxe d’habitation a été exclu par le ministre de l’Aménagement du territoire, François Rebsamen, ce dimanche il a ouvert la porte à une « contribution modeste » pour le « financement des services publics de la commune ». Est-ce le retour d’une taxe d’habitation déguisée ? »

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  • Le cycle infernal : taxer, subventionner…

    La France doit sortir du piège dans lequel elle a sombré depuis des années et qui consiste à régler un problème selon deux axes : l’impôt et la subvention. Ce qui ne semblait qu’anodin au tout début est devenu pesant et insupportable, à présent que le taux d’imposition est l’un des plus élevés du monde avec en échange, des services rendus aux abonnés absents, ou à minima, très en deçà de ce que les prélèvements devraient pouvoir offrir. Avec en arrière plan, la seule question qui vaille ces dernières années : Où passe l’argent ? Cette forme de collectivisation de l’économie a touché toutes les sphères d’influence, du moins celles qui sont par nature stériles, c’est-à-dire nos décideurs politiques et ceux qui diffusent la pensée, les journalistes, subventionnés justement ! Souvenez-vous en 1976. La grande sécheresse de l’époque avait accouché d’un impôt de solidarité pour venir en aide aux agriculteurs qui avaient souffert de l’événement climatique. Ce qui devait être une exception est devenu une règle, et pour tout problème on considère que la taxe est la meilleure solution pour réguler ou modérer une consommation, une pratique.

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  • [TRIBUNE] À ceux qui veulent travailler, l’État dit : « Restez chez vous ! »

    @DDP-Unsplash
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    En France, il ne suffit plus d’aimer son métier. Faut-il encore obtenir la bénédiction de l’État pour avoir le droit de l’exercer. Chaque 1er mai, fête du travail, la liberté de travailler se heurte à un mur de restrictions (un de plus !) : seuls quelques métiers triés sur le volet peuvent encore exercer, sous condition. Voilà le paradoxe d’une République qui se proclame sociale, mais qui se crispe sur un formalisme déconnecté du réel.

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