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  • DERNIERS FABRICANTS FRANCAIS : LA FOLIE DE MACRON ET DES ENARQUES !

    un petit rappel :
     Le dernier fabricant d'armes.
    En France VERNEY-CARON à ST-Étienne depuis 1820 en faillite. 9 millions de Chiffre d'affaires, 8 millions de dettes... 
    Repris in extremis par une PME région parisienne en 2019 VERNEY-CARON s'était positionné pour un marché de fusils d'assaut à l'armée française. C'est l'allemand HECKLER & KOCH qui a été retenu. VERNEY-CARON n'avait pas la taille critique. Bravo ! La France ne fait plus d'armes... (pistolets, fusils, etc...) depuis la disparition de la manufacture  de Saint-Étienne crée sous... Louis XV.
    Pas même les munitions...

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  • Les ouvriers, ces "invisibles" dans la mondialisation...

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    Pendant les élections législatives et après celles-ci, la question ouvrière est passée presque inaperçue, alors même que nombre d’entreprises annonçaient fermetures d’usines en France et délocalisations, y compris de marques emblématiques…

    Poulain et Saupiquet, deux noms de marques qui résonnent encore dans les mémoires françaises des générations des Trente Glorieuses, et qui sont éminemment symboliques d’une France traditionnelle alors en voie de modernisation : et pourtant ! Aujourd’hui, ces deux marques emblématiques sont en voie de disparition, condamnées à la fermeture par des directions de groupe qui pensent « international » avant « social », et espèrent dégager plus de profit immédiat pour leurs actionnaires, au détriment, donc, des salariés considérés, en définitive, comme une simple variable d’ajustement : la profitabilité (1) prévaut sur toute autre considération et, il faut le répéter, ce n’est ni bon ni juste.

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  • L’ampleur de la désindustrialisation de l’UE

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    Une série de crises (géopolitique, énergétique, inflationniste, pandémique) a mis en évidence des problèmes de longue date dans le paysage industriel de l'Union européenne. Ceux-ci ont commencé bien avant l'aggravation du conflit ukrainien en 2022. Les difficultés actuelles ne sont que partiellement liées directement à la perte des investissements étrangers directs au profit de l'économie américaine, à l'importation croissante de véhicules électriques en provenance de Chine et à la hausse des prix de l'énergie après l'arrêt quasi total des importations de gaz naturel par pipeline en provenance directe de Russie. 

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  • Retenez cela. La Grèce instaure la semaine de travail… de 6 jours adieu RTT !

    C’est un article de BFM (source ici) qui vous prouvera que je ne vous raconte pas de carabistouilles.

    Alors que notre vedette du droit à la paresse veut faire croire aux Français que l’on peut redresser le pays en en faisant encore moins et que la gauche dans son ensemble à qui l’on pourrait attribuer le prix Nobel non pas d’économie mais de démagogie explique qu’il faudrait passer à la semaine de 4 jours ou aux 32 heures, ou aux 32 heures en 4 jours avec 6 mois de congés payés financé par une caisse de péréquation internationale assise sur la production de crevettes crues en Patagonie, en Grèce… c’est le chemin inverse qui est pris.

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  • La France pression fiscale maximale et 1ère place de l’OCDE, le Front Populaire veut presser encore plus.

    N’oublions pas que la France a la plus forte pression fiscale de tous les pays de l’OCDE et que nous sommes loin d’avoir les meilleurs services publics au monde. Cela a été le cas, mais nous vivons sur un souvenir. Et ce souvenir n’est plus la réalité.

    La réalité c’est l’effondrement de nos services publics malgré des niveaux de prélèvements jamais vus en France et qui n’ont pas d’équivalent dans le reste du monde.

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  • Retraites : ce que l’audit de Jordan Bardella va révéler…

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    Jordan Bardella a annoncé qu’il demanderait un grand « audit des comptes de la nation », s’il entre à Matignon. Une initiative qui suppose que le Rassemblement national obtienne la majorité absolue aux élections législatives et que le président de la République le nomme Premier ministre. Un grand audit ? Ce sera, en effet, nécessaire pour le nouveau gouvernement, à la fois pour se donner les moyens de gouverner et pour informer les Français de l’état des finances après sept années de macronisme. Les électeurs pourraient alors découvrir des réalités soigneusement cachées, comme le véritable déficit du système de retraite français.

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  • La classe ouvrière dissoute ?

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    (suite de l'article "La profitabilité contre les travailleurs ?", publié en mai 2024)

    Pourquoi cette impuissance ouvrière aujourd’hui, alors que la France compte, selon l’INSEE (2021), environ 5,3 millions d’ouvriers (qualifiés et spécialisés), ce qui représente tout de même pas loin de 20 % de la population active française ? Une réponse qui n’évoquerait qu’une unique cause serait réductrice et, partant, fausse : mais s’il y a une conjonction de causes, certaines pèsent plus lourd dans la balance que d’autres. L’une des plus importantes est plus encore civilisationnelle que simplement sociale : c’est la transformation du producteur conscient et fier en consommateur désirant et servile, passant ainsi de l’exploitation à l’aliénation ou à l’asservissement consenti. Dans les années 1930, alors que la société de consommation n’avait pas totalement envahi l’espace social et l’imaginaire des Français, le maurrassien Thierry Maulnier (5) avait bien perçu et décrit cette nouvelle « civilisation » (n’est-ce pas plutôt la décivilisation ?) qui commençait à s’affirmer et sera vraiment hégémonique dès les années 1970-80 en France : « L’individu humain, considéré comme un instrument à produire, puis, de plus en plus, comme un instrument à consommer, a vu ses nuits et ses jours, son corps et son âme utilisés pour assurer la vie d’organismes géants, qui demandent à consommer de façon ininterrompue leur ration humaine. (…) Pour lui faire accepter son sacrifice, on a pu lui promettre, comme compensation à sa déchéance, un bonheur matériel d’ailleurs illusoire (…). Dans les calculs des économistes et des politiques, l’homme n’est plus considéré comme existence concrète, comme valeur spirituelle irréductible, mais (…) comme agent de la vie collective, comme outil ».

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  • Oui, l’État français est obèse

    La question de l’État obèse revient en permanence dans la campagne électorale et au RPF, nous dénonçons également ce gouffre financier du fonctionnement de l’État, guichet social impensable qui dispense des aides sans plus de contrôle que cela, avec une fraude massive et de l’argent qui part même à l’étranger. Nous avons déjà, entre autres, souligné le scandale des retraités centenaires algériens, qui continuent, une fois morts à toucher des pensions au Maghreb, alors que plus des deux tiers d’entre eux sont introuvables, l’expérience avait été menée sur un échantillon représentatif. En France métropolitaine, le train de vie de l’État est également ahurissant, avec les régions, créées voici quelques décennies, remaniées plus récemment à grands frais avec au final, un coût global plus élevé que celui des anciennes régions. Avec des systèmes informatiques de gestion qui n’étaient pas forcément les mêmes, des postes politiques qui sont renouvelés à chaque alternance et un total de 1781 élus, tous défrayés, avec logements, voitures de fonction et chauffeurs. Cette fonction publique territoriale représente 1,94 million d’agents, soit 34 % de l’emploi public, dont 71 % dans les régions, départements et communes. On peut ajouter un préfet de région, qui lui, est un fonctionnaire d’État, toutes ses équipes et tous les locaux attenants, chauffés, entretenus. Sans parler du train du vie et de l’utilité des sénateurs et de tout leur cortège d’avantages. Au final, la France est l’un des états les plus imposés du monde, pour des services publics de plus en plus restreints.

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  • Sanctions occidentales : La majorité des entreprises internationales sont restées en Russie

    par RT France

    Moins de la moitié des multinationales établies en Russie ont quitté le pays ou réduit leurs activités depuis le renforcement des sanctions occidentales suite à l’éclatement du conflit ukrainien début 2022. Certaines, comme la banque autrichienne Raiffeisen, diffusent même des offres d’emploi.

    Une banque autrichienne qui cherche à recruter, un géant américain de l’agroalimentaire qui maintient 20 000 emplois directs : plus de deux ans après le renforcement drastique des sanctions occidentales contre Moscou, la majorité des entreprises internationales sont malgré tout restées en Russie, a constaté ce 28 mai le Financial Times (FT).

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