Il y a une France qui souffre en silence. Non point celle de ces tours, choyée par le microcosme médiatico-politique, mais celle des bourgs, abandonnée par la France d’en haut. Le Secours populaire français, pourtant traditionnel porte-voix d’un gauchisme de moins en moins progressiste, a fini par l’admettre. Dans son rapport de la rentrée 2024, on constate que la paupérisation ambiante gagne en priorité les zones déshéritées, celles de cette campagne éloignée de tout, des services sociaux les plus élémentaires et de l’argent des contribuables se déversant à fonds perdus en une « politique de la ville », façon tonneau des Danaïdes.
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La France rurale, toujours plus touchée par la misère
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Supprimer les allocations aux étrangers ?
A la faveur des difficultés financières de la France, savamment orchestrées par l’équipe Macron qui mélange incompétences et soumission à des diktats extérieurs, ceux de Davos puisque tout en monde en parle et que ses promoteurs ne se cachent même plus, Zemmour, Bardella et quelques autres reviennent sur la nécessité de réguler l’immigration à destination de la France, notre pays se posant en terre d’asile aux largesses impensables, qui fait que tous les migrants de la zone arabo-afro-musulmane viennent en terre chrétienne, avec non seulement la certitude d’obtenir des aides financières n’existant pas ailleurs, mais en plus, l’autre certitude de pouvoir ne pas lâcher le moindre lest quant à la culture musulmane et même celle de pouvoir l’imposer au pays d’accueil qui à force de « respect », passe dans la soumission pure et simple. Une dernière enquête montre qu’environ la moitié de ces migrants travaille : trop peu pour justifier l’accueil débridé de tout le monde.
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Immigration : Eric Coquerel (LFI) et le patron du Medef, même combat !
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Grandiose : la Rousseau ne votera pas l’abrogation de la retraite à 64 ans… proposée par le RN
Pousser le dogmatisme à ce point devrait ouvrir les yeux des électeurs de Mélenchon, non ?
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Le RN vient de déposer un projet de loi pour abroger la réforme des retraites.
Le RN a déposé sa proposition de loi visant à abroger la réforme des retraites et ce texte doit être examiné dans l’hémicycle le 31 octobre prochain lors de la niche parlementaire” du Rassemblement national.
Vous savez ce que je pense depuis le début de cette énième réforme des retraites.
Il faut mettre au travail tous ceux qui n’ont jamais commencé ou ceux qui ne se sont pas beaucoup fatigués et laisser en paix ceux qui ont travaillé et cotisé déjà pendant 40 ans !
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L’Etat ne comprend rien ! Contrôle des arrêts de travail, l’Assurance maladie annonce des grandes manoeuvres
Préoccupée par la croissance des dépenses liée aux arrêts de travail en 2024, l’Assurance maladie va déployer un plan d’action renforcé, et appelle politiques et partenaires sociaux à rénover le système pour le rendre “plus soutenable” et “plus équitable”.
Hahahahaha.
Déjà cela commence bien, cela fleure bon le “on va contrôler sans faire de vague”… ce qui revient toujours à ne rien faire à l’arrivée !
Mais rassurez-vous, vous allez voir ce que vous allez voir, l’Assurance Maladie sort la grosse Bertha.
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LE 31 OCTOBRE, NOUS PROPOSERONS L'ABROGATION DE LA RÉFORME DES RETRAITES - L. JACOBELLI
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France : où va ton industrie ?
La France bat décidément beaucoup de mauvais records sous les quinquennats Macron, avec, depuis janvier, son plus fort recul de la production manufacturière, en août dernier. Une révélation de l’indice PMI, publié début septembre, relayé par l’agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB).
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Volkswagen n’exclut pas de fermer des usines en Allemagne et met fin à son programme de sécurité de l’emploi !
“Volkswagen n’exclut pas de fermer des usines en Allemagne alors que le groupe cherche à économiser plusieurs milliards supplémentaires dans le cadre d’un programme de réduction des coûts au sein de sa marque éponyme, ont déclaré lundi le constructeur automobile et son comité d’entreprise.
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Prendre en compte la pénibilité du travail selon les métiers. (3)
« La critique est facile, l’art est difficile », dit le proverbe, et cela s’applique aussi à la politique et à l’art de gouverner qui est, aussi et surtout, l’art de décider. Or, la question des retraites n’est pas seulement économique ou sociale, elle est d’abord éminemment politique et, aujourd’hui, étatique : ce ne sont pas les acteurs socio-économiques, les entreprises ou les corps intermédiaires qui ont rédigé les articles de loi de la réforme de 2023 (1), et ce jacobinisme de la République empêche sans doute d’envisager une approche raisonnée et raisonnable, la passion (et les intérêts partisans…) prenant le pas sur l’étude et la recherche de solutions appropriées et satisfaisantes (autant pour le monde du travail que pour la société dans son ensemble, et pour les finances des uns et des autres, et de l’État, toujours « providence » à défaut d’être « constance »).