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social - Page 14

  • La profitabilité contre les travailleurs ?

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    Durant les périodes électorales, jadis, les licenciements secs et les fermetures d’usines se faisaient plus rares, sans doute parce que les gouvernements de ce moment anté-électoral y voyaient le risque d’une agitation sociale et d’un ressentiment dont les urnes auraient été, à leur dépens, le réceptacle, et que les entreprises elles-mêmes craignaient que ce moment ne les force à quelques concessions, voire renoncements : c’était un temps où les forces syndicales semblaient encore puissantes et leur écho encore retentissant dans l’opinion publique, un temps aussi où les questions sociales n’avaient pas été remplacées par les questions sociétales, du moins à gauche de l’échiquier politique.

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  • « Pour sauver le climat le gouvernement doit interdire les divorces et les séparations ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    Avant d’hurler lisez jusqu’au bout !!

    Cela suffit.

    Il y a urgence climatique. La planète brûle et nous regardons ailleurs. L’heure est très grave.

    Et sur quoi je tombe aujourd’hui ? Sur cette information terrible. Effroyable. Pas inquiétante, non dramatique pour le climat et la planète. Et du côté du gouvernement ?

    Rien.

    C’est l’inaction climatique !

    Tout d’abord tout part de cet article source ici

    En raison du vieillissement de la population ou encore des séparations, « le parc immobilier est mobilisé par des personnes seules », pointe une étude réalisée par l’Union nationale des aménageurs (Unam) 

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  • L’économie allemande restera atone en 2024… sans blague !

    Les prévisions de croissance économique pour nos amis Allemands ne sont pas fameuses avec un petit 0.2 % de croissance annuelle pour l’année 2024.

    Autant dire que nous sommes dans la marge d’erreur.

    Un petit krach boursier, une poussée trop forte du pétrole, ou une petite panique sur les grosses autos germaniques et c’est la récession qui revient.

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  • Scandale aux Européennes : un candidat macroniste profite de son chômage à 2500€ par mois pour faire campagne !

     Le 18/05/2024

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    Dans une vidéo TikTok, le responsable des Jeunes avec Macron et candidat sur la liste de Valérie Hayer pour les élections européennes, Ambroise Méjean, a créé la polémique en se présentant comme étant au chômage et en révélant le montant de son allocation, soit 2 500 euros par mois. 

    Une provocation qui passe mal, alors que le gouvernement durcit le ton à l'égard des chômeurs.

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  • Décret tertiaire : la fin programmée des PME ?

    Après des reports le décret tertiaire se met en place. C’est quoi ? Un moyen de réduire les consommations d’énergie et de devenir vertueux vous diront les officiels. Une arnaque écologique en réalité, comme prétexte pour dépouiller les petits propriétaires, vous expliqueront les plus méfiants. Comment faire accepter une mesure néfaste en la présentant comme une avancée nécessaire ?

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  • Sécurité sociale : la Cour des comptes pointe 5,5 milliards d’euros d’erreurs dans la branche famille et se déclare donc « dans l’impossibilité de certifier » les comptes de la CNAF pour 2023

    La Cour des comptes a épinglé de nouveau les comptes de la branche famille de la Sécurité sociale, vendredi, évaluant à 5,5 milliards d’euros “le montant des erreurs non corrigées par les actions de contrôle interne“. Elle se déclare donc “dans l’impossibilité de certifier” les comptes de la Caisse nationale d’allocations familiales (Cnaf) pour 2023.

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  • La mascarade du chômage

    Juste avant les élections, revoici les « bons chiffres » du chômage, qui se serait stabilisé à 7,5 %, mais avec un creux sur les 15-24 ans qui peinent à entrer dans la vie active. En fait, à l’issue du début de l’année 2024, il accuse une légère hausse de 0,4 % de chômeurs en plus, particulièrement chez les jeunes. Mais nous avons à faire aux conditions du Bureau International du Travail, donc aux gens de plus de 15 ans, sans emploi durant une semaine de référence, disponible dans les deux semaines à venir et en démarche active de recherche d’emploi. Cependant, toutes les personnes inscrites à France-Travail ne remplissent pas forcément les critères du BIT et tous les chômeurs ne sont pas inscrits à France-Travail. Selon les calculs, on passe de 2,3/2,4, millions de chômeurs à plus de 5 millions et même plus de 6 millions, si on compte l’ensemble des catégories. Ce à quoi il faut ajouter des temps partiels, des emplois aidés, des emplois temporaires et des jeunes qui sont chez leurs parents et sortent des radars.

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  • 2 scandales en 1 ! En arrêt maladie à la RATP mais au volant de leur VTC.

    Comme vous le savez j’aime la liberté.

    Lorsque vous travaillez à la RATP ou ailleurs, il est d’usage que l’on vous empêche de travailler « ailleurs » justement !

    Vous ne devez « appartenir » qu’à votre employeur !

    D’ailleurs le droit du travail interdit de travailler plus de 42 heures même si vous avez envie de travailler plus (pour gagner plus).

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  • Les ménages américains Croulent sous un endettement JAMAIS VU ! Leur dette vient d’atteindre un nouveau sommet historique à 17 690 milliards $ au 1er Trimestre 2024

    Selon les dernières données publiées par la Réserve Fédérale de New York, la dette des ménages américains vient d’atteindre un nouveau record absolu à 17 690 milliards de dollars au 31 Mars 2024.

     C’est 5 010 milliards de plus que le record qui avait été enregistré au troisième trimestre 2008 à 12 680 milliards $, au plus fort de la crise des subprimes. 

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  • Santé : une politique de liquidation générale ?

    La dépense hospitalière globale en France, c’est environ 100 milliards d’euros par an, avec 80 milliards pour le public et 18 milliards pour les cliniques. Si ces établissements privés venaient à disparaître, pour passer à un système 100 % public, il faudrait, selon des estimations, dépenser 4 à 5 milliards d’euros de plus par an. Ces les cliniques privées, comme les hôpitaux publics, sont dans le rouge, mais ne bénéficient pas de la garantie de leurs dettes par l’Etat. La proportion des établissements privés en déficit augmente, pour atteindre 40 % aujourd’hui, soit une augmentation de plus de 50 % par rapport à 2021. En cause, une forte inflation n’a pas été compensée par des augmentations de tarifs. Ces cliniques devraient bénéficier de seulement 0,4 % de leur grille tarifaire en 2024, contre 4,4 % pour les hôpitaux publics. Et l’hôpital public a récupéré, à lui seul, les 470 millions d’euros de la sous-exécution de la Sécurité sociale en 2023

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