
Autant dire qu’il n’y a pas d’inflation au sens des banques centrales.
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Autant dire qu’il n’y a pas d’inflation au sens des banques centrales.
135 euros par gilet !
La 43e manifestation des gilets jaunes, samedi dernier, ne s’est pas trop bien passée. Dans les grandes villes, et à Paris notamment, les policiers n’y sont pas allés de main morte pour maîtriser une foule assez peu dense pourtant, mais très pacifique. Volée de grenades, encerclement, matraquage en bonne et due forme, arrestation d’un jeune homme qui mangeait une pizza et qui fut projeté sans ménagement dans le bus des gardes à vue.
Tout cela se voit sur les réseaux sociaux qui, décidément, s’avèrent être une vraie source d’information. J’ai ainsi pu voir et écouter un jeune journaliste belge prénommé Nicolas, porteur d’une vraie carte de presse, interviewé par une chaîne privée alors qu’il était encerclé par une dizaine de gendarmes sur les Champs-Élysées. Très calmement, il expliquait qu’il venait de se prendre une amende de 135 euros pour manifestation illégale ! Il concluait, devant l’air embarrassé des gendarmes, que le pays des droits de l’homme et celui de la liberté n’était décidément plus qu’une image vieillotte.
Question violence, une scène hallucinante qui donne raison à Vladimir Poutine lorsqu’il interpelle Emmanuel Macron sur la virulence des arrestations en France. À Bordeaux, en effet, une vidéo montre un paraplégique recevant une volée de gaz lacrymogène pendant qu’un membre des forces de l’ordre envoie un violent coup de botte à son fauteuil roulant ! Un observateur des droits de l’homme, à Toulouse, a été violemment jeté à terre et exfiltré par les street medics.
Un film de 90 minutes de Jamel Bouabane nous fait vivre ce qui s’est passé autour des Champs-Élysées, ce 7 septembre. « Vous avez le droit d’être sur l’avenue, mais seul. Si vous êtes plusieurs, c’est une manif non déclarée, donc vous êtes passible d’une amende de 135 euros ! » Voilà la réponse des gendarmes aux personnes interpellées pendant que le cinéaste filmait avec son téléphone. Merci à MM. Macron et Philippe, signataires de ce sinistre décret n° 2019-208 du 20 mars 2019 instituant une contravention pour participation à une manifestation interdite sur la voie publique. Sont visés les gilets jaunes ! Car les Black Blocs sont hors jeu puisque rarement interpellés, comme ceux qui ont incendié, à Montpellier, une voiture de la police municipale, samedi dernier, occasionnant le début d’incendie d’un immeuble.
À Paris, Éric Drouet a été verbalisé deux fois dans la journée pour avoir été présent dans « un périmètre interdit ». Amende : 270 euros. Il a expliqué à RT France que sa première interpellation était au motif de manifestation alors qu’il était tout seul dans la rue. « Que je sache, on ne m’a pas interdit de venir à Paris… C’est du harcèlement politico-policier. »
Intéressante, aussi, cette vidéo en accéléré qui, sur le site Facebook Gilets jaunes le mouvement, montre plusieurs milliers de manifestants défilant dans une rue commerçante de Montpellier, là où la police n’en a dénombré que 2.000, dont 500 Black Blocs. Édifiant, ce tour de France des défilés jaunes sur cette même page Facebook et qui remplace le silence de nos chaînes, pour ceux qui veulent savoir et qui ne se sont pas contentés des quinze secondes offertes par France 2 sur ce sujet. Le journal Libération, lui, a estimé que cela avait été « une journée sans grande ampleur ». Alors…
Attendons la grande manifestation jaune nationale prévue à Paris le 21 septembre.
Le patron de General Electric France est sous le coup d’une enquête. Hugh Bailey appartenait au cabinet d’Emmanuel Macron entre 2014 et 2016.
Selon une information de l’Obs que confirme BFM TV, le patron de General Electric France, Hugh Bailey, est visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêt ».
(Vu sur la page fb de Jean-Philippe Chauvin)
Cette vidéo évoque l'un des précurseurs du combat pour de meilleures conditions de vie et de travail des ouvriers au XIXe siècle en France : écoutez et lisez les textes incrustés dans le film, et vous serez sans doute surpris de constater que, dès les années 1820-1840, un préfet de la Restauration, grand catholique et royaliste militant, prônait des idées et avançait des propositions sociales que les libéraux mettront, souvent contraints et forcés, bien des années à accepter...
La mondialisation leur permettra, d'ailleurs, de "délocaliser le travail" pour éviter d'avoir à appliquer ce que Villeneuve-Bargemont fut l'un des premiers à défendre : la justice sociale !
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/09/chauvin-alban-6174773.html#more
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Claude Rochet, professeur émérite et ancien haut fonctionnaire à Bercy.
1) Genèse d’un scandale : l’Amérique prédatrice
– Une longue histoire industrielle, une technologie unique, les turbines « Arabelle »
– Un savoir faire stratégique
– Le rôle des investissements publics, utilité stratégique contre rentabilité
– Ces hauts fonctionnaires qui ont peur des mots, stratégie, patriotisme, couardise et idéologie
– L’affaire Pierucci, le piège américain
– Arrestation à New York (JFK) par le FBI, proposition de servir les intérêts US
2) Un véritable roman policier, la réalité dépasse ici la fiction
– Où l’on découvre l’arme juridique du FCPA
– La clause de rattachement au territoire américain, le dollar certes mais aussi le simple usage d’un site internet
– FCPA, un business : 15 milliards de $ de CA
– Soumission française
– Jurisprudence Al Capone
– Soft Power et soft skill
– Un enjeu économique mais aussi culturel !
– Alstom abandonne Pierucci
– Le terrifiant témoignage sur la justice(DOJ) et de la prison américaine
3) Les responsabilités françaises
– Montebourg fait, seul, preuve de courage, Macron mis en cause
– Hollande égal à lui même, indolent il ne s’intéresse pas à l’affaire
– L’enquête parlementaire est en marche : O. Marleix, J. Myard et d’autres
– Les mensonges de Kron, PDG d’Alstom
– Les Américains font ce qu’ils veulent !
– Le licenciement de Pierucci en procès
– Le livre de Pierucci publié avec M. Aron, cambriolage de l’ordinateur du journaliste
– A qui profite le crime ?
– Le parquet national financier plus prompt sur les costumes de Fillon que sur l’affaire Alstom
– Une oligarchie de mèche
– Hugh Bailey, conseiller d’Emmanuel Macron, nommé directeur de GE France : conflit d’intérêt caractérisé !
– Les suppressions d’emplois !
– La France vendue à la découpe !
– Pierucci veut faire racheter Alstom
– Haute trahison de Macron au titre des articles 67 & 68 de la Constitution (abolis par Sarkozy)
Quand la France avait ouvert les vannes migratoires aux Nord-Africains dans les années 60, elle avait surtout le souci de répondre aux besoins en main d’oeuvre de ses capitaines de l’industrie, du bâtiment et des travaux publics, mais sans jamais se poser la question : « et si cette migration du travail censée être limitée dans le temps allait se transformer en migration durable ? »
Une véritable politique migratoire est d’anticiper les problèmes que des populations qui sont le produit d’une culture à l’antithèse de la sienne, comme si l’on cherchait à marier la carpe et le lapin, allaient forcément induire alors qu’elle ne pouvait dire qu’elle n’en savait rien au regard de son passé colonial dans leurs pays d’origine.
Elle avait ouvert la porte de sa bergerie, imprudente, insouciante et inconsciente du danger auquel elle exposait les siens.
Les accueillant comme si c’était les Espagnols fuyant la guerre civile ou les Polonais et les Yougoslaves pour travailler dans les mines.
Elle croyait que les musulmans allaient se faire leur place dans sa société sans imaginer un seul instant que partout où ils s’installent ils veulent islamiser leur nouveau milieu d’accueil. Tous les pays conquis par les musulmans ne ressemblent plus à rien et sont des cimetières pour des morts-vivants.
Elle feignait de le savoir, elle était toute heureuse d’approvisionner ses entreprises grosses consommatrices de main d’ouvre non-qualifiée, alors qu’elle aurait dû inciter ses industriels à les robotiser.
Après avoir concédé à leurs pays leur droit à l’indépendance elle avait le souci de les soulager de leur surplus démographique, devenue « la poubelle de l’Algérie » selon l’expression consacrée dans les années 70.
La France prise dans la frénésie des trente glorieuses avait failli au principe de précaution dont elle paye le prix fort présentement et comme elle n’était pas à une bavure près elle s’était mise à galvauder sa nationalité en en fabriquant des Français de papier. Il ne suffit pas d’être né sur son sol pour devenir français. De même qu’elle aurait dû en finir avec cette schizophrénie juridique de bi-nationalité. Français ou rien. Elle n’a mis en place aucun garde-fou pour se prémunir contre le danger migrationniste musulman et son corollaire le terrorisme devenu le lot quotidien de ses concitoyens depuis la marche des Beurs sous le premier quinquennat de François Mitterrand.
Elle s’est tirée elle-même une balle dans la tête au grand dam de ses enfants.
Un pays qui n’est pas dans le respect de ses propres lois ne peut pas attendre à ce que ces populations qu’il veut greffer sur la sienne le fasse
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
En pleine rentrée politique dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), la présidente du Rassemblement national a vivement critiqué la gestion gouvernementale de la crise des "gilets jaunes".
"Les mutilations des manifestants de l'année dernière, tragiques faits d'armes de l'indigne Chritophe Castaner, restent une marque indélébile du quinquennat Macron", a-t-elle lancé.