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  • Emmanuel Macron en Corse ? Bonne chance !

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    Ce devait être un grand débat national et ça devient du stand-up ; un peu comme Jamel Debbouze – les rires en moins. Ainsi Emmanuel Macron a-t-il décidé de clore sa tournée dans l’île de beauté, ce jeudi 4 avril. Le Stade de France et l’Olympia n’étaient pas libres, on imagine. « Je viens en Corse disponible et volontaire », assure-t-il, ce qui vaut toujours mieux que le contraire. « Disponible pour toutes celles et ceux qui seront présents » : c’est vrai que pour ceux et celles qui seront absents, ça risque d’être déjà plus compliqué…

    C’est d’ailleurs là tout le problème, sachant que le petit monde insulaire ne se bouscule pas pour lui faire un triomphe. Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, respectivement président du Conseil exécutif corse et président de l’Assemblée corse, ont d’ores et déjà prévenu qu’ils bouderont le spectacle, tandis qu’une demi-journée « île morte » devrait être organisée en guise de comité d’accueil.

    En effet, si l’Élysée persiste à tenir les élus corses pour de simples élus locaux, eux se considèrent comme des élus nationaux, conformément à la Constitution dite de Corte, promulguée le 18 novembre 1755. D’un côté, une république jacobine ; de l’autre, des girondins finalement plus proches de l’Ancien Régime. Ici, on chante « La Marseillais » ; là-bas, ce serait plutôt le “Salve Regina”. La Corse, c’est compliqué.

    Sans surprise, le journaliste Jean-Michel Aphatie n’entre guère dans ces considérations politico-historiques, préférant affirmer, sur Europe 1, avec le sens de la nuance qu’on lui connaît : « Les deux dirigeants de la collectivité territoriale corse créent sur l’île un climat de tension qui échauffe les têtes qui sont déjà chaudes. » « Échauffer les têtes » ? Ce n’est certes pas à Emmanuel Macron que cela arriverait ; à croire que le mouvement des gilets jaunes a débarqué tout seul de nulle part… Comme si, à leur tour, ces derniers en étaient venus à penser que le centralisme parisien, non content de gouverner sans eux, gouvernait désormais contre eux.

    Quoi qu’on puisse penser des velléités autonomistes, voire indépendantistes, du peuple corse, il convient de reconnaître qu’eux, au moins, font de la politique, alors qu’Emmanuel Macron se contente de simple communication. Pis : comment exiger de cette île turbulente qu’elle se soumette à la tutelle continentale quand l’Élysée est la première à brader sa propre souveraineté à la technocratie européenne ?

    De même, comment respecter une autorité qui veut en même temps interdire les crèches de Noël dans les mairies tout en essayant d’imposer une Gay Pride à Ajaccio ? Sans oublier ces régulières injonctions de morale, quand les Corses paraissent manquer d’enthousiasme en matière d’ouverture à « l’Autre »…

    En attendant, souhaitons bonne chance à Emmanuel Macron pour ce tour de piste final devant un public pas forcément conquis d’avance. La Corse, c’est compliqué, tel qu’écrit plus haut. C’est surtout un pays merveilleux. À tous points de vue.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-en-corse-bonne-chance/

  • Sécurité routière : d'abord faire payer les Français

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    Jean-François Touzé

    Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

    Emmanuel Macron et pour son Premier ministre Édouard Philippe, l’orientation à la hausse de la mortalité routière constatée ces dernières semaines (+17,1 % en février avec 253 personnes tuées après une augmentation de 3,9 % en janvier) a été provoquée par les nombreuses destructions de radars, enregistrées depuis l'été dernier.

    En réalité, ne voulant pas reconnaître l'inutilité punitive et l'inefficacité totale de la mesure des 80 km/heure sur le nombre d'accidents de la route, le pouvoir cherche donc un bouc émissaire commode. Il est jaune et porte un gilet. Il doit être désigné comme responsable et coupable.

    La réalité des causes des accidents et surtout de la mortalité routière est pourtant connue : la fatigue et la somnolence, la prise d’alcool ou de drogue (25 % des cas), l'inattention et les manœuvres dangereuses (26 %), le non-respect des distances de sécurité, l'implication de poids lourds (14 % des cas) et le mauvais état des routes. La fable des radars brisés sert donc bien trois buts : culpabiliser les automobilistes, designer les Gilets jaunes à la vindicte populaire et tenter une diversion face à l'incapacité gouvernementale à prendre de vraies mesures pour réduire l’insécurité routière et enrayer la spirale de la hausse des accidents.

    Mais, ce qui préoccupe au premier chef le gouvernement, bien au-delà de l’impact humain, dans cette très hasardeuse et totalement hypothétique mise en avant de la responsabilité de la destruction des radars, ce sont les conséquences budgétaires de ces supposés actes de vandalisme.

    Selon les derniers chiffres de Bercy, relayés par Les Échos, les dégradations de radars qui se seraient amplifiées à la faveur de la crise des gilets jaunes, laisseraient sur les seules années 2018 et 2019 un trou de plus de 660 millions d'euros dans les comptes publics.

    Ces chiffres restent à démontrer. Mais leur publication et leur mise en avant par les pouvoirs publics montrent, s'il en était besoin, où sont les vraies priorités du pouvoir en matière de « prévention » routière : emm… r les Français, comme le notait déjà Georges Pompidou, alors Premier ministre, et surtout faire des automobilistes les vaches à lait de la République.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • macron, la stratégie de mensonge

    La stratégie de mensonge du Gouvernement se met en place!
    On commence à entendre sur les médias TV la suppression de la taxe audiovisuel, allègement de l'impôt sur le revenu, le reste à charge 0% pour les prothèses dentaires, pas d'augmentation de tarif de gaz avant Juin, etc...
     Ne vous laissez pas manipuler à nouveau par ces mensonges qui ne sont que d'ordre électoral!

    Gilets Jaunes, mettez vous en campagne contre la liste Macron! 
    Je ne le répéterai jamais assez, la première bataille à gagner c'est les Européennes 2019. 
     Il faut pulvériser la liste Macron, et faire de cette élection un vote anti-Macron!
     Organisez vous, faites des tracts et investissez les marchés, les lieux commerciaux, etc....
    Je me répète mais c'est très important! 
    C'est ce que préconise aussi François Boulo, qui est une très bonne référence pour les GJ.
     Allez courage mes amis, si nous nous bougeons, nous gagnerons!

  • USA, Nation la plus riche du monde ? Plus d’eau courante… ni potable ! [Vidéo]

    San-abri - Drapeau
    Photo : pour illustration
    Faire la guerre à l’ensemble du reste du monde c’est très bien.
    Pourtant, sur le terrain, certains Américains, de plus en plus nombreux commencent à avoir une autre vision de la grandeur américaine qui s’apparente plutôt à une vision de déclin…
    Nous sommes là dans le pays le « plus riche » de la planète.
    Nous parlons ici de la première puissance du monde…
    Nous parlons ici d’un pays qui a réussi tout de même à accumuler plus de 20 000 milliards de dollars de dettes !!!
    Alors, où part le « pognon » se demandent les « Gilets Jaunes » américains, qui ont évidemment voté Trump comme le rappelle ce reportage de France 24 car si Trump a été élu, ce n’est pas le fruit du hasard.
    C’est parce que là-bas comme ici, les choses ne tournent pas franchement très rond.
    Nous avons exactement les mêmes problèmes en France et en Europe.
    Partout en réalité dans l’ancien monde dit développé c’est un effondrement lent avec une terrible détérioration progressive des infrastructures, qu’elles soient médicales et de santé ou encore d’adduction en eau potable ou même des réseaux d’électricité.
    Je vous laisse donc visionner ce reportage édifiant.
    Les Américains font les mêmes sur nous…

    Pensez votre résilience et votre autonomie, c’est le meilleur conseil à garder en tête pour affronter ce qui va se passer dans les 30 prochaines années.
    La bulle de tout est en train de prendre fin, et ce ne sera pas un moment agréable.
    Charles Sannat 
    aphadolie

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/03/usa-nation-la-plus-riche-du-monde-plus.html#more

  • Emmanuel Macron tiendra-t-il encore 3 ans ?

    Emmanuel Macron tiendra-t-il encore 3 ans ?

    Rien n’est moins sûr… Il est épuisé physiquement, nerveusement et moralement :

    Retranchés sous le sceau de l’anonymat, de nombreux proches s’inquiètent. Ils dévoilent la fatigue d’un homme épuisé par un exercice très solitaire du pouvoir. Alors qu’il aborde une étape cruciale de son quinquennat, au moment où il s’apprête à annoncer les conclusions qu’il tire du grand débat national, le président serait harassé.

    « Il est dans un état… Il est sous l’eau », s’alarme un familier. « Rincé », « essoré », s’affolent d’autres. « Il a perdu la queue du Mickey, il n’arrive plus à l’accrocher », constate un ami. Un de ses « textoteurs du soir » va plus loin. « On n’est pas loin du burn-out », lâche-t-il très sérieusement. Une « petite main » abonde : « Heureusement qu’il est maquillé, sinon on verrait à quel point il est crevé… » […]

    Seul, très seul. Trop seul ? Cette semaine, le président a même reçu sur son portable des textos de candidats postulant au gouvernement en vue du mini-remaniement. « C’est lunaire que des gens s’autorisent à faire ça », s’étrangle un ministre. Mais à qui d’autre les envoyer ? « Tout le monde le sursollicite. Pour tout et n’importe quoi, s’étrangle ce poids lourd du gouvernement en hochant la tête. Et en plus, il répond… »

    Depuis le début du quinquennat, le cabinet élyséen s’est réduit comme peau de chagrin. Le Château s’est vidé, la petite bande conquérante des conseillers qui l’avaient accompagné vers la victoire s’est dégarnie. Au fil du temps, leur énergie s’est tarie, l’usure s’est installée.

    Un ministre s’exaspère de l’organisation hasardeuse du Palais depuis des mois : « C’est le bordel ! » Il n’y a toujours pas de directeur de la communication, et le nouveau conseiller spécial Philippe Grangeon se retrouve bien seul. « Macron est tout en haut, avec Kohler (NDLR : Alexis, le secrétaire général) qui a deux balles dans le ventre, au figuré. Tous ceux en qui il avait confiance sont partis. » […]

    « C’est le plus mauvais manageur que la terre ait porté », ose un conseiller de l’exécutif, surpris qu’il ne promeuve pas davantage les talents et rechigne à « tuer » les moins performants. […]

    Pour éteindre la révolte qui secoue son mandat, il rêve d’une « mesure à effet waouh », selon l’expression d’un ami. À force de faire durer le suspense et d’étirer sans fin le grand débat, il finit par inquiéter ses plus proches. « S’il déçoit, il est mort. Et il va décevoir… » frémit l’un. « Je ne vois pas comment on sort de ça, angoisse un autre. Avec les beaux jours, les Gilets jaunes vont revenir et installer des barbecues sur les ronds-points… »

    Mais la secte n’est pas morte :

    Parlementaires et ministres sont nombreux à s’en remettre à ses supposés supers pouvoirs. « Je l’ai toujours vu avoir un coup d’avance et sortir un lapin de son chapeau », prie l’un. « J’ai une confiance absolue dans le Christ », professe François Patriat, le patron des sénateurs LREM. Un député macroniste file la métaphore religieuse en soupirant, lui aussi : « Le Très-Haut a de la ressource ». Amen.

    Et Mediapart a retrouvé la trace du coffre fort de Benalla :

  • En Macronie, voilà comment un commissaire envoie les street medics en garde à vue !

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    Emmanuel Macron, roi des “fake news” qu’il voulait combattre par une loi ? Hélas, oui, enfin roi, peut-être pas, mais auteur régulier de ces fausses nouvelles, il nous le prouve souvent. Son dernier mensonge, peu pieux il faut le dire, tourne autour de cette dame Legay, grièvement blessée à Nice pendant une manifestation interdite lors du dix-neuvième samedi gilets jaunes.

    Dans une déclaration qui a été jugée par de nombreux commentateurs comme étant hautaine, méprisante et arrogante, des adjectifs souvent utilisés pour décrire les commentaires présidentiels, Emmanuel Macron a affirmé, avec beaucoup de conviction, que la blessée n’avait jamais été en contact avec la police. “Quand on est fragile, qu’on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci”, et de souligner que “cette dame n’a pas été en contact avec les forces de l’ordre”.

    Il se peut qu’Emmanuel Macron n’ait pas regardé la séquence visible sur le Web où l’on voit clairement “cette dame” bousculée par un CRS. C’est un accident regrettable dans lequel, désormais, la responsabilité du policier semble engagée, contrairement à ce qui avait été annoncé en début de semaine, tant par les autorités politiques que judiciaires. Mais ce que l’on voit dans un document diffusé par France 3, et dans une autre vidéo filmée par un téléphone, est peut-être autrement plus grave que cette malheureuse charge de la brigade lourde des forces de l’ordre.

    Sur la place Garibaldi, interdite aux gilets jaunes par M. Castaner sur demande de M. Estrosi, il y avait, à l’ombre d’une pharmacie, une dizaine de street medics qui sont là non pour manifester mais pour donner les premiers soins aux éventuels blessés, qu’ils soient gilets jaunes ou policiers, comme ce fut le cas ce même samedi sur la place de la République à Paris pour soigner un policier en arrêt cardiaque. Le personnel médical bénévole présent a voulu se précipiter auprès de la septuagénaire qui gisait, la tête ensanglantée sur son drapeau. Je n’ai aucune compatibilité politique avec Geneviève Legay, son drapeau arc-en-ciel et son appartenance à Attac, mais la scène à laquelle cette vidéo m’a permis d’assister est parfaitement scandaleuse. On voit que les secouristes hospitaliers sont tenus à l’écart pendant la charge des policiers. Une infirmière street medics explique, dès samedi, au micro de France 3, que “le commissaire divisionnaire, fort de son écharpe tricolore, nous a non seulement empêchés de porter secours, mais il a procédé à notre arrestation. Les policiers étaient écœurés.”

    Les dix secouristes, dont quatre du service hospitalier, sont alors envoyés en garde à vue. L’infirmière explique, toujours au micro de France 3 : « Dix heures de garde à vue en chaussettes, dans une cellule insalubre avec du sang par terre, des cheveux collés au sol, des excréments sur les murs. On a été photographié, menotté en blouse blanche, on a pris nos empreintes. Pendant dix heures, sans boire, sans manger, sans rien. » Effectivement, voilà un traitement proprement scandaleux. Envoyés en garde à vue par un commissaire aux ordres qui a empêché ce personnel médical d’intervenir pour porter secours à une blessée. Comment appelleriez-vous cette action ?

    En Macronie, voilà où mène le bénévolat ! En garde à vue ! Et Christophe Castaner continue de pavaner…

    Floris de Bonneville

    https://www.bvoltaire.fr/en-macronie-voila-comment-un-commissaire-envoie-les-street-medics-en-garde-a-vue/

  • 27 interdictions de manifester ? Les gilets jaunes ont répondu : même pas peur !

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    Des chiffres d’abord, encore et toujours : à Paris, le pouvoir annonce 5600 manifestants, mais la préfecture de police affirme, en même temps, avoir procédé à 8053 contrôle préventifs ! On dirait que M. Castaner s’ingénie chaque samedi à se ridiculiser un peu plus. Champion du fake. Et, cela, le jour où l’on apprend que l’Elysée, pour défendre Alexandre Benalla, aurait fabriqué de faux montages vidéos.

    Et puis il y avait ces 27 arrêtés d’interdiction de manifester. Les gilets jaunes les ont allègrement bravés. A Bordeaux, ils étaient encore plusieurs milliers, selon Le Monde.

    Mais tous les Français savent que la bataille du nombre, Emmanuel Macron l’a perdue, d’abord par ses mensonges, ensuite par le soutien toujours impressionnant de l’opinion. Et comment en irait-il autrement quand les raisons de la colère de novembre sont toujours là, à commencer par le prix des carburants qui dépasse parfois ce qu’il était alors !

    Des atmosphères, ensuite : tout le monde s’accorde à dire, comme l’a constaté Didier Maïsto lui-même sur twitter en rentrant de la manifestation parisienne, qu’elle est restée bon enfant. À Bordeaux, des vidéos montraient l’arrivée, dans le cortège, de groupes de Blacks blocs, en toute impunité.

    Atmosphère encore, inquiétante pour le pouvoir celle-ci, que ces slogans très ciblés contre Emmanuel Macron, et la police. L’AFP rapportait les propos d’un certain Sébastien, 46 ans, préparateur automobile au chômage, venu d’Orléans pour manifester à Paris. « On sera là tant [qu’Emmanuel Macron] n’écoutera pas. »  Plus de quatre mois après le début du mouvement, le président de la République n’a pas réussi à perdre son statut de cible. Au contraire, en refusant une solution politique (dissolution, changement de Premier ministre ou démission), en se faisant le seul grand ordonnateur de son grand débat, il n’a fait qu’accroître cette personnalisation de la crise, et de la colère.

    Plus grave, par son incapacité à rétablir l’ordre, par ses erreurs dans l’usage des forces de police, il dresse une partie du pays – et pas seulement les gilets jaunes « actifs » – contre ces institutions qui recueillaient pourtant la sympathie d’une très forte majorité de la population. C’est potentiellement dangereux pour l’avenir de la cohésion nationale, déjà bien atteinte.

    Pour cet Acte XX, tout le monde peut pousser un « ouf » de soulagement, le temps d’un samedi printanier. Mais comment ne pas voir que la France est entrée durablement dans une période instable et que rien n’est réglé ?

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/27-interdictions-de-manifester-les-gilets-jaunes-ont-repondu-meme-pas-peur/

  • 20e samedi de mobilisation des Gilets jaunes (EN CONTINU)

    20e samedi de mobilisation des Gilets jaunes (EN CONTINU)
    ©CHARLES PLATIAU Source: Reuters
    Des Gilets jaunes avant le début de leur marche à Paris, le 30 mars.

    Le Nombre jaune a délivré sa première estimation. Il y aurait eu «102 713 manifestants minimum» en France pour l'acte 20. 

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    Jonathan Moadab@Moadab_RTfr

    Signe d'un apaisement de la situation, les gendarmes mobiles retirent leur casque  

    Les Gilets jaunes ont appelé à rester mobilisés ce 30 mars, pour le vingtième samedi d'affilée, tandis que les autorités ont à nouveau interdit toute manifestation sur les Champs-Elysées. Bordeaux pourrait être l'épicentre de cet acte 20.

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    • D'après notre reporter à Paris, à proximité du Trocadéro, des gendarmes mobiles retirent leur casque alors que des manifestants sont encore présents, «signe d'un apaisement de la situation».

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