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  • Augmentation des taxes sur l’essence : une mesure de bobos parisiens

    Augmentation des taxes sur l’essence : une mesure de bobos parisiens

    Lu dans Minute :

    […] En un an, le prix du diesel a bondi de 24 % ! Dans certaines stations, il dépasse le prix de l’essence sans plomb. Et ce n’est pas fini puisque, au 1er janvier prochain, les taxes sur le diesel augmenteront encore de 6,5 centimes par litre contre une hausse de 2,9 centimes par litre pour l’essence. Or ce sont bien les taxes qui sont la cause de cette flambée, et de la baisse de pouvoir d’achat que celle-ci entraîne pour l’immense majorité des Français qui ne vivent pas à Paris.

    Selon les plus récentes données de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), sur un litre de diesel à 1,44 euro, ce qui est déjà difficile à trouver, 85 centimes, soit 59 %, est dû aux taxes ! Sur un litre de SP 95, les taxes se montent à 62 % ! La part la plus importante est constituée par la TICPE, la taxe intérieur de consommation sur les produits énergétiques : 59 centimes par litre de diesel, qui seront 65 centimes en 2019 et 78 centimes en 2022 ! Qui plus est, cette taxe… est taxée ! La TICPE est soumise à la TVA ! Soit 20 % en plus d’impôt sur l’impôt ! Avec une TICPE de 59 centimes, cela fait 12 centimes de TVA. Sans compter la TVA qui est déjà appliquée au départ du calcul sur la matière brute qu’est le pétrole.

    Avec le litre de carburant qui va dépasser 1,50 euros le litre – 10 francs ! –, on vous laisse calculer le surcoût mensuel pour celui qui parcourt 80 kilomètres par jour juste pour aller à son travail et en revenir. Même s’il déclare des impôts aux frais réels, puisque la grille tarifaire n’a pas été réévaluée. Le sera-t-elle pour la déclaration 2019 ? Rien n’est moins sûr, puisque le but est de forcer les Français à réaliser la « transition énergétique ». Quelle belle formule !

    Or la « transition énergétique », c’est quoi ? Officiellement, cela consiste à passer des énergies fossiles, non renouvelables – et émettrices de gaz à effet de serre, tenues, selon la doxa officielle, pour responsables du réchauffement climatique –, à des énergies « propres » et renouvelables à l’infini. En réalité, c’est la dernière invention et, il faut le dire, l’une des plus géniales du capitalisme. Le problème principal du système capitaliste est que, quand le consommateur dispose de tout, il n’achète plus. D’où l’obsolescence programmée, qui a longtemps assuré un taux de renouvellement des objets anormal mais tout à fait profitable à leurs producteurs. Le procédé ayant été éventé, la nécessité de la « transition énergétique » est venue s’y substituer. En tirant les leçons des méthodes devenues inefficaces.

    Primo : puisqu’elle est « écologique », comprendre « morale » et « citoyenne », la « transition énergétique » bénéficie cette fois du soutien de toutes les associations et autorités morales qui, jusque-là, combattaient le capitalisme. Secundo : les Etats ayant été convaincus que tel était le seul moyen de « sauver la planète », ils prennent désormais toutes les mesures coercitives possibles et imaginables pour forcer les citoyens à acquérir de nouveaux matériels, en l’occurrence, ici, des « véhicules propres ».

    Nous n’en sommes pas encore à la situation du Danemark, où le premier ministre a annoncé vouloir « interdire la vente de nouvelles voitures essence et diesel » d’ici à 2030 mais nous y venons, puisque, déjà, les maires des principales capitales européennes, dont Paris, n’en voudront plus d’ici à 2025, et que la France songe à les bannir totalement à échéance de 2040 ! Le 17 novembre, ce n’est pas seulement contre l’exorbitant racket étatique qu’il faudra manifester, mais contre le rouleau compresseur capitalistique, qui n’a pas résolu un tout petit problème : pour qu’il puisse nous vendre des voitures électriques, encore faudrait-il qu’il nous laisse les moyens de les lui acheter.

    https://www.lesalonbeige.fr/augmentation-des-taxes-sur-lessence-une-mesure-de-bobos-parisiens/

  • Blocages du 17 novembre 2018 : les pages facebook

    ICI : https://www.facebook.com/search/str/blocages+17+novembre/keywords_pages

  • 17 novembre : à Angers aussi, un appel au blocage

    Crédit : M.B. partagé sur le groupe « Blocages 49 ».

    Lancé il y a quelques jours sur les réseaux sociaux, l’appel au blocage du 17 novembre se décline à Angers et dans le Maine-et-Loire. Sur Facebook, le groupe « Blocages 49 » compte près de 2500 membres.

    C’est la hausse des prix du carburant qui a mis le feu aux poudres. A l’heure où le litre de gazole égale voire dépasse le prix du litre de sans-plomb, les taxes prélevées par l’Etat sont considérées comme injuste par beaucoup de Français. En réaction, un appel à « bloquer l’économie » du pays a été lancé sur les réseaux sociaux pour le samedi 17 novembre. Sur Facebook, un groupe public pour le Maine-et-Loire a été lancé le 24 octobre, « Blocages 49 » compte près de 2500 membres.

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  • Blocage des routes du 17 novembre : le mouvement fait-il tache d’huile ?

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    78 % des Français soutiennent l’appel au blocage des routes le 17 novembre prochain pour protester contre l’augmentation du prix des carburants, selon un sondage réalisé pour Le Figaro et franceinfo. Difficile, d’ores et déjà, de qualifier cette colère qui monte dans le pays de « petite jacquerie d’extrême droite« , pour reprendre les mots du site macroniste TEAM MACRON.

    78 %, cela veut dire que 22 % des Français désapprouvent le mouvement, dirait M. de La Palice. 22 % : à deux petits pourcents près, c’est le score d’Emmanuel Macron au premier tour de l’élection présidentielle. De là à en tirer une conclusion électorale, c’est peut-être aller vite en besogne. Mais bon. Il est cependant très rare qu’un mouvement social ait un soutien aussi massif de la population. À titre de comparaison, le mouvement des cheminots, au printemps dernier, n’était soutenu que par 39 % des Français.

    Des chiffres à mettre en parallèle, d’ailleurs, avec le soutien des grandes centrales syndicales. La CGT, par exemple, était à fond les manettes dans le mouvement de grève à répétition qui emmerda les Français durant de longues semaines. En revanche, elle est debout sur le frein de parc face à ce mouvement du 17 novembre. « La colère peut s’entendre car le prix des produits pétroliers devient exorbitant et intenable. » Mais voilà : « Plusieurs partis d’extrême droite semblent être à la manœuvre. Ils se font le relais d’une action qui, au final, encouragera à mettre taxes, impôts et peut-être demain cotisations sociales dans une même logique… Nous sommes clairement dans une instrumentalisation de l’exaspération. » Comme le cholestérol, c’est bien connu, il y a les bons et les mauvais mouvements sociaux. À FO, on est plus subtil : « Si des membres de FO y participent, ils le feront à titre purement individuel. »

    Quoi qu’il en soit, le mouvement semble faire tache d’huile, si l’on en croit une rapide revue de la presse régionale. Ouest-France relate que 2.400 internautes se sont inscrits sur le groupe Facebook « Blocage contre la hausse du carburant et taxes Pontivy 17 novembre 2018 ». Selon France Bleu, rien qu’à Mont-de-Marsan, dans les Landes, près de 300 personnes se disent prêtes à participer au blocage. La Dépêche titre : « Hausse du prix des carburants : le 17 novembre, ils veulent bloquer l’Ariège. » 1.400 personnes ont dit qu’elles participeraient au mouvement dans ce petit département. Tout cela se passe par Internet, reste virtuel, se rassureront certains. Voire. Car des réunions se tiennent avec de vraies gens, dans de vraies salles. Ainsi, lundi dernier, dans le Vaucluse, c’est plus de 300 personnes qui étaient rassemblées pour une réunion, au Pontet, près d’Avignon, selon Le Dauphiné. À Dole, dans le Jura, ils étaient 70, jeudi 25 octobre, selon Le progrès, qui rapporte les propos du Jacquou le Croquant du Net local : « Si nous sommes 300 à 400 à participer, ça suffira pour bloquer une ville comme Dole. »

    Certes, de « petites jacqueries » ici et là ne font pas une révolution. Mais empruntons quelques instants la jolie machine à remonter le temps d’Emmanuel Macron, bloquée en double file dans les années 30, et allons plus loin dans l’Histoire. Arrêtons-nous en 1775, au début du règne de Louis XVI. La France connut alors des révoltes frumentaires qu’on appela la « guerre des farines », après que le prix de la farine, et donc du pain, avait fortement augmenté. Rien que dans le bassin parisien, plus de 120 émeutes ! Certains historiens virent même dans ce mouvement les prémices de la Révolution. Quatorze ans plus tard, vous me direz. Mais, aujourd’hui, tout va tellement plus vite avec les réseaux sociaux et tout ça… Bien évidemment, toute ressemblance, etc.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/blocage-des-routes-du-17-novembre-le-mouvement-fait-il-tache-dhuile/

  • Pierre Vial soutient le mouvement du 17 novembre

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple

    Le 17 novembre beaucoup de Français vont manifester leur ras le bol contre l’exploitation éhontée qu’ils subissent en tant qu’automobilistes, dont pour beaucoup l’automobile n’est pas un objet de luxe, de loisir mais bel et bien un outil de travail ou un moyen de liaison indispensable dans la vie quotidienne, en particulier dans les zones rurales, pour lesquelles les technocrates parisiens ont un souverain mépris. C’est pourquoi Terre et Peuple appelle ses membres et ses amis à participer activement aux manifestations du 17 novembre. Le peuple doit se faire entendre et respecter. Seule paie la rébellion.

    Le mouvement est aussi soutenu par Carl Lang cliquez là et par la Ligue du Midi cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Retraite par points : la misère en perspective

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    La réforme la plus radicale de Macron

    C’est peut-être la réforme la plus radicale d’Emmanuel Macron : l’institution d’un régime universel de retraites par points. Et, curieusement, dans un pays réputé conservateur et adepte des polémiques, cette réforme semble faire son bonhomme de chemin tranquillement, poussée par le tout aussi bonhomme Jean-Paul Delevoye. L’emballage égalité-universalité-simplicité et le slogan bébête « pour qu’un euro cotisé rapporte la même chose à tous » semblent avoir tué tout esprit critique. Est-ce justement sa radicalité qui lui vaut un attentisme plutôt positif des Français ? Ou le fait qu’ils aient la tête ailleurs, dans le budget carburant par exemple ? Or, cette retraite par points pourrait leur coûter bien plus cher que les pleins de cet hiver et faire de leur retraite un grand soir très froid…

    Heureusement, un économiste vient de tirer la sonnette d’alarme pour arracher les Français à cette indifférence dans laquelle MM. Macron et Philippe aimeraient les maintenir. Car cette réforme sera redoutable pour les futurs retraités en les condamnant à la paupérisation.

    Dans Les Échos, Christian Saint-Étienne, professeur d’économie au CNAM, démasque l’objectif véritable de cette réforme :

    « Le but réel du régime de retraite par points est de baisser les retraites sans le dire et en faisant sauter tous les systèmes de solidarité inclus dans le système actuel. »

    Et il précise le rôle du fameux « point » dans cette stratégie de laminage des retraites :

    « La valeur du point peut baisser aussi bien que monter : compte tenu de l’état de l’économie française, il aura tendance à baisser, y compris une fois que vous êtes déjà parti à la retraite, car il sera calculé chaque année. »

    La réforme sera aussi un moyen de rayer les avantages pour enfants qui, pour les parents de famille nombreuse, constituaient une compensation pour les années d’arrêt et, désormais, pour les années de décote.

    Loin d’ignorer les contraintes financières et de prôner le statu quo, Christian Saint-Etienne propose une certaine convergence des régimes existants en continuant à jouer sur les durées de cotisation et l’âge de départ, tout en maintenant trois systèmes différents : « le premier pour la totalité du secteur privé hors indépendants, le deuxième pour les indépendants et le troisième pour le secteur public ». On ne voit pas pourquoi, en effet, à situations différentes, on ne devrait pas maintenir des systèmes différents, et les arguments qu’il avance sont convaincants.

    Par ailleurs, Christian Saint-Étienne a perçu tout ce que peut avoir d’anxiogène cette incertitude sur l’avenir des retraites et de leur montant :

    « La vérité au sein d’un régime paramétré rénové est infiniment préférable à la variabilité d’un régime à points qui prépare un appauvrissement spectaculaire des classes populaires à terme. »

    Son titre affichait aussi l’enjeu : « La retraite par points : un désastre annoncé. »

    Désormais, la question est de savoir si le désastre annoncé, ce sera pour les Français condamnés à une retraite calculée dans cette nouvelle monnaie de singe que sera le « point » ou pour Emmanuel Macron, le liquidateur historique de leurs retraites. Il paraît que le gouvernement a décidé de repousser la présentation de cette réforme après les élections européennes. Une raison de plus pour voter en mai prochain.

    Frédéric Sirgant

    http://www.bvoltaire.fr/retraite-par-points-la-misere-en-perspective/

  • Contre la politique de la clique mondialiste, en attendant la grève générale : à partir du 17 novembre la France sera bloquée

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    La colère gronde, les automobilistes appellent à se mobiliser le 17/18/19/20 novembre, contre l'augmentation du prix du gasoil/essence. Des dizaines d'opérations escargots sur les autoroutes de France partout sont prévues. Un seul responsable : le pouvoir mondialiste !

    La Ligue du Midi appelle au blocage :

    Savez-vous que depuis le mois de janvier 2018, à la pompe, le gazole a augmenté de près de 50 centimes, soit une hausse de l’ordre de 50 % en 10 mois ?

    Ça ne peut plus durer… Pour un automobiliste lambda de la France périphérique qui prend son véhicule pour aller travailler chaque jour, la dépense supplémentaire est de 120 euros par mois, soit près de 250 euros pour un couple. Dans ces conditions, nombreux sont ceux qui se demandent si ça vaut « vraiment le coup » d’aller travailler en ville, surtout si l’on rajoute l’usure du véhicule, le parking, les radars, la garde des enfants, la cantine etc…etc.

    Selon un sondage IFOP publié par le JDD, 77 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Aussi, le gouvernement qui sent la colère populaire gronder, tente de se défausser en accusant l’augmentation des cours du pétrole, et prétend « Taxer la pollution plutôt que les travailleurs ». Foutaises… En fait, ils ne font rien contre la pollution – exemple du glyphosate ou du nucléaire –, mais ils sont en train de ruiner les travailleurs et plus généralement les couches populaires qui représentent la grande majorité de la population.

    Ce gouvernement est en train de ruiner la FranceLe « système » à la solde de Bruxelles et des multinationales a un besoin impératif de croissance qu’il tente de trouver en finissant de livrer aux marchés les derniers pans du patrimoine commun : services publics, participations publiques, fonctions régaliennes, tout va y passer… MACRON n’est là que pour finaliser la « grande braderie », car les marchés n’ont pas besoin de travailleurs mais de consommateurs même insolvables. Leur consommation sera financée par la suppression de notre protection sociale et par la dette qui sera ponctionnée sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche. Un immense transfert social est en train de se produire, les classes populaires doivent être ruinées pour que les nouveaux venus puissent consommer et produire de la croissance.

    Les automobilistes et motards sont d’autant plus en colère que l’État tente de les culpabiliser afin de les tondre un peu plus chaque jour : de nouveaux radars haute performance, capables de flasher 32 véhicules à la fois, des retraits de points en folie, des contrôles techniques angoissants…

    Face à un État centralisateur aux mains des mondialistes qui stérilise tout contrepouvoir et digère toutes les oppositions conventionnelles au parlement, seule la mobilisation de terrain peut être efficace. Rares sont les hommes politiques venus au renfort des aspirations du peuple. Le vide s’est fait entre le pouvoir et le peuple. Les partis électoralistes conventionnels sont aux abonnés absents. Des opportunités historiques vont se faire jour, il n’y a plus rien entre le peuple et ce pouvoir en phase de décomposition finale.

    Car ce pouvoir malgré son arrogance est extrêmement fragile, son socle de légitimité est trop faible pour qu’il puisse contenir la poussée qui monte inexorablement… Qui dans l’administration ou dans la société civile le protégera contre un mouvement populaire de vaste ampleur ?

    Souvenons-nous de la « révolution de jasmin » en Tunisie et le départ de BENALI, parce qu’un marchand à la sauvette s’était fait brutaliser par un policier à Sidi Bouzid. Des conditions analogues se présentent à nous. Un premier ballon d’essai nous est proposé : celui des actions à travers tout le territoire le 17 novembre qui pourraient tout emporter.

    Qui peut savoir qui ou quel évènement fera reculer ce régime ? Quelle sera la goutte qui fera déborder la coupe « trop pleine » ? Cette goutte sera peut-être celle du prix du gazole et des carburants qui prend à la gorge les familles d’ouvriers, de cadres, d’artisans, d’entrepreneurs…

    Les identitaires et patriotes doivent venir en soutien et contribuer à la réussite de la mobilisation du 17 novembre. Nous devons tout faire pour développer ce mouvement et pour le faire déboucher sur ces questions vitales pour notre peuple qui sont celles du déclassement et de la paupérisation.

    Richard Roudier

    Consignes

    La 17 novembre : ne faire « aucun achat », n’aller dans « aucune banque », ne « pas se servir aux pompes » à essence, « aucun cinéma », « aucune dépense » de quelque sorte, pas « un seul centime », « aucune caisse en marche dans tout le pays », « ne pas prendre de transports en commun », pas de péages, parkings, autoroutes, là oui on bloque ce qui emmerde le plus le gouvernement c’est à dire « LE FRIC »

    En voiture, moto, scooter… amenez vos gilets jaunes !!!

    * comme partout en France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/contre-la-politique-de-la-clique-mondialiste-en-attendant-la-6101707.html

  • Un lopin de terre agricole offert pour la naissance du troisième enfant

    Un lopin de terre agricole offert pour la naissance du troisième enfant

    Le gouvernement italien n’aura pas tardé à prendre de bonnes initiatives en faveur de la Famille :

    “Le gouvernement populiste italien veut encourager la natalité en offrant un terrain agricole aux parents qui auront un troisième enfant dans les prochaines années, ont rapporté aujourd’hui les médias italiens. La mesure, élaborée par la Ligue (extrême droite) et insérée dans le projet de budget 2019, prévoit d’offrir une concession pour 20 ans sur un terrain agricole public aux familles qui s’élargiront entre 2019 et 2021. “On dit que les Italiens font peu d’enfant et qu’il faut renverser la tendance”, a expliqué à la presse le ministre de l’Agriculture Gian Marco Centinaio, issu de la Ligue. “Le ministère veut contribuer, en favorisant les zones rurales, où les gens ont encore des enfants”.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-lopin-de-terre-agricole-offert-pour-la-naissance-du-troisieme-enfant/

  • Qui sont les internautes à l'origine de l'appel aux blocages contre la hausse du prix du carburant ?

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    Dans tout le pays, des mouvements de contestation s'organisent pour bloquer les routes le 17 novembre. Des automobilistes racontent leur colère a franceinfo.

    Le compteur augmente de seconde en seconde. Ces derniers jours, la pétition en ligne appelant le gouvernement à baisser les prix du carburant a rencontré un succès fulgurant, jusqu'à atteindre les 225 000 signatures, jeudi 25 octobre. Le texte pointe du doigt une "forte hausse du prix du carburant" depuis le 1er janvier, imputée à une augmentation de la fiscalité. Avant d'embrayer : "Nous sommes déjà dépendants des cours du pétrole, il n'est pas question qu'en plus nous subissions une augmentation des taxes." 

    Priscillia Ludosky, la femme de 32 ans à l'initiative de cette pétition, ne s'attendait pas à un tel écho. "Ce n'est pas que les gens soient si mécontents qui m'étonne. Toutes les personnes qui vivent en banlieue ou dans des zones rurales et qui prennent leur voiture tous les jours n'en peuvent plus de ces augmentations, explique cette habitante de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne). Par contre, ce qui me surprend, c'est que tous ces gens décident de se mobiliser en signant ma pétition."

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  • Le gouvernement veut supprimer une partie de la fonction publique

    Le Premier ministre Édouard Philippe a réuni lundi le 2ème comité interministériel de transformation de l’action publique. A cette occasion, il a défini plusieurs axes pour, entre autres, modifier en profondeur la fonction publique.

    L’objectif semble être de respecter l’engagement du candidat Macron de supprimer 50 000 postes dans la fonction publique d’Etat, sans parler des 70 000 postes à supprimer dans la fonction publique territoriale.

    Pour arriver à des diminutions d’effectifs, les départs d’agents non-remplacés vont nécessairement devoir s’accélérer. Le gouvernement visera prioritairement les missions qu’il n’estimera pas prioritaires. Mais il est resté flou sur les missions qui seront supprimées : on sait par exemple que le fisc refusera les paiements d’impôts en espèces ou encore que la taxe d’habitation sera supprimée, mais cela ne suffira pas à supprimer 50 000 fonctionnaires.

    Les départs de fonctionnaires pourront être consécutifs à des départs en retraite ou – et c’est ce qui est nouveau – découler d’un plan de départ volontaire.

    Des mesures incitatives financières et en termes de formation et de reconversion devraient être mises en place. Les fonctionnaires en question bénéficieront ainsi d’une prime de départ de pas moins de 24 mois de traitement et des allocations chômage. Autrement dit, les meilleurs éléments risquent de partir pour le privé, tandis que les moins bons resteront bien au chaud dans leur administration. Ce sera aussi un moyen de mettre les fonctionnaires âgés en pré-retraite – pratique que les gouvernants ne manquent pourtant jamais de critiquer dans le secteur privé !

    Il y aurait aussi la possibilité étendue de recruter des fonctionnaires hors statut ?

    Oui, le gouvernement veut permettre aux administrations de gérer leurs effectifs avec souplesse en généralisant la possibilité de recruter des contractuels sans passer par le système du concours et donc du statut.

    A cette fin, l’exécutif veut étendre les exceptions autorisant l’emploi de contractuels sur des postes permanents, notamment pour les tâches administratives par exemple.

    La dernière piste serait la rémunération au mérite pour tous avec « indicateurs d’efficacité »

    Mais rien ne démontre que ces mesures permettront de réduire les coûts salariaux de l’Etat ou de gagner en qualité de la main d’œuvre.

    Il est en effet fort à craindre que ces recettes à forte connotation idéologique et libérale n’auront pas d’effet significatif sur la performance de l’action publique. Il risque surtout d’y avoir davantage de clientélisme dans la fonction publique. Quant au service rendu aux usagers, il risque de se dégrader compte tenu des missions supprimées et de la diminution des moyens humains et matériels consacrés à l’action de l’Etat.

    https://www.radiocourtoisie.fr/2018/10/31/bulletin-de-reinformation-du-31-octobre-2018/