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social - Page 391

  • Nuit Debout ratonne les Veilleurs et le journaliste de TV Libertés

    Nuit-Debout-violences

    La place de la République à nouveau théâtre de violences. Mercredi soir, une soixantaine de Veilleurs a tenté de s’installer place de la la République. Ils ont été rapidement agressés par l’extrême gauche à l’instar du journaliste de TV Libertés qui promet un journal spécial ce soir qui fera le point sur cette agression odieuse, une de plus émanant de ces anarcho-communistes qui agissent en toute impunité.

    http://www.medias-presse.info/nuit-debout-ratonne-les-veilleurs-et-le-journaliste-de-tv-libertes/56010

  • Les limites de la culture du dialogue

    Dans le projet de loi El Khomri, dit loi « Travail » par le gouvernement, un des aspects essentiels est l’article 2, à savoir la priorité des accords d’entreprise sur les accords de branche.
    L’éditorialiste de La Croix (31 mai 2016) y voit un esprit de subsidiarité qu’il salue. Il n’en est rien. C’est même le contraire puisque c’est l’inversion « de la hiérarchie des normes ». Celle-ci consiste dans le fait que la national prime le sectoriel, et que le sectoriel prime le particulier c’est-à-dire les accords d’entreprise. En d’autres termes, aucun accord de niveau inférieur ne peut être plus défavorable aux salariés que l’accord situé au niveau supérieur.
    Si les syndicats CGT et Force Ouvrière s’opposent à cette inversion de la hiérarchie des normes, c’est, au-delà que toutes les raisons tactiques qui ne sont que l’écume des choses (prochaines élections prud’homales, enjeux internes pour Philippe Martinez de la CGT, etc.), que l’inversion de la hiérarchie des normes signifie le démantèlement de la protection des salariés et la destruction du code du travail. Dans les entreprises, les salariés sont en effet beaucoup moins forts qu’au niveau des branches. Si l’accord d’entreprise prime sur l’accord de branche, c’est un recul assuré pour la salariés aussi bien en matière de durée du travail (on va vers les 39 h payés 35) que sur les autres plans.
    Quand les journalistes des médias dominants (Libé, Le Monde, etc.) se satisfont de l’évolution de la France vers une culture proche de celle des pays anciennement sociaux-démocrates du nord de l’Europe en matière de négociation dans les entreprises, avec de plus en plus d’accords signés, ils n’évoquent pas l’essentiel : nombre d’accords sont des accords défensifs pour les salariés, ils entérinent des reculs sociaux en « limitant les dégâts ».
    Dans telle entreprise où un salarié avec 20 ans de maison recevait, s’il était licencié, 6 mois de salaire, il en touchera seulement 2 ou 1. Voilà ce qu’il en est de la culture du « dialogue social » et des « accords d’entreprise ».
    L’accord n’est pas un but en soi. La culture du « dialogue » ne peut remplacer pour les salariés la nécessité d’établir un rapport de force favorable à leurs intérêts et à leur dignité.

    Pierre Le Vigan : Emprise : Façonner le réel :: lien 

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuyVEkuuEEthewbruz.shtml

  • Blocage et grèves : Et si la foule des manifestants convergeait enfin vers l’Élysée ?

    En observant le paysage, certes éclaté, de la mouvance nationaliste ou identitaire, on constate une tendance à tirer à boulets rouges sur la CGT accusée de “nuire” à leurs concitoyens. Certaines prises de position m’ont étonné. Je crains hélas que ce ne soit un excès de dogmatisme faisant dévier le débat sur des questions presque “théologiques”.

    Je crains que certains ne se focalisent sur l’identité du vecteur de la tempête plutôt que de se féliciter de la survenue de cette dernière. Un sondage paru chez Odoxa (source) indique pourtant que 77% des sympathisants FN estiment le gouvernement responsable de la situation de blocage et non pas les syndicats. Même au centre-droit, seulement 51% des personnes interrogées accablent les syndicats prioritairement.

    Nous sommes peut-être à un tournant. La chute du gouvernement socialiste autour de cette “Loi Travail” me paraît une priorité de par le potentiel d’explosivité qu’elle contient. Nous pouvons voir se profiler une motion de censure contre le gouvernement, venue des rangs mêmes de la gauche socialiste. Alimenter cette guerre civile au sein des rangs socialo-communistes est salutaire et accélère la transition politique et idéologique générale. Ce qui passe, concrètement, par une crise gouvernementale.

    Nous ne sommes pas dans un scénario banal digne du départ de Juppé en 1995 ou de Villepin en 2006. Nous sommes à un moment où la France, comme l’UE, se trouvent dans une crise systémique majeure qui touche tous les pays du continent. Une crise gouvernementale sévère sur fond de paralysie économique – en plein milieu de l’Euro de football – renverrait une image exacte de la réalité française. C’est-à-dire désastreuse. Ce qui accroîtrait la crise de confiance générale.

    La CGT et la gauche radicale ont tort quant aux solutions, mais raison sur le refus de l’austérité imposée par le FMI et son relais bruxellois. La dette de l’état français ne peut être remboursée et la fuite en avant fiscale ne fait que précipiter l’économie française – et européenne – vers la dépression. Exiger des classes moyennes et des travailleurs en général qu’ils soient toujours plus pressurés pour que la caste politique hexagonale honore des dettes qu’elle a décidé par clientélisme et incompétence, est criminel. D’autant que 70% de cette dette n’est que la somme des intérêts des emprunts.

    La peur du défaut, avec l’inévitable révolution qu’il induirait, est la raison pour laquelle le gouvernement s’obstine.

    Au risque d’en froisser certains, je ne vois pas l’intérêt de laisser le pouvoir faire usage “du pain et des jeux” pour qu’il continue d’opérer tranquillement ses ravages. Les vacances à la plage de Laura et Enzo, certes prévues de longue date, me laissent tout aussi froids. Parce que déjà près de 40% des gens n’ont plus les moyens d’un tel plaisir. Et parce que la survie de l’Occident est en jeu. L’excitation d’un patriotisme sportif au profit d’un pouvoir illégitime – surtout après l’ignominie de Verdun – ne me paraît pas plus digne d’être maintenue à tout prix.

    La CGT peut avoir la direction qu’elle a, être soutenue par Mélenchon, voire défendre de sombres intérêts corporatistes, peu importe : ils peuvent faire tomber le gouvernement Valls.

    Et après ?

    Après, ou pendant. Nul ne sait ce qui peut advenir. Le gouvernement est tétanisé à la pensée d’un manifestant tué. Je ne souhaite la mort de personne, mais l’imprévu dans l’histoire est la règle. Un piquet de grève trop brutalement dispersé par des CRS ou gendarmes mobiles harassés peut déclencher une réaction en chaîne dont nous ignorons tout des effets. Un gréviste peut être tué accidentellement, suscitant des violences cathartiques insoupçonnées.

    Politiquement, quel est l’intérêt de voler au secours d’un gouvernement socialiste en appuyant son recours à la force contre les grévistes ? Marine Le Pen a plus habilement appelé à retirer la loi.

    La paralysie du pays qui se profile est le vecteur propice de la colère populaire contre un gouvernement et une présidence qui incarnent parfaitement la fin d’un système et d’un régime. Je ne vois pas l’intérêt d’œuvrer au maintien de leur ordre.

    Je ne sais pas ce qui va advenir. Peut-être rien dans l’immédiat. Ou peut-être que la foule commencera à s’agglutiner aux abords de l’Élysée pour tenter d’y pénétrer. Comme à l’assemblée nationale.

    Si, plus sobrement, Valls tombe, Hollande sera sans premier ministre de rechange. Macron étant plus libéral, il se mettrait encore plus à dos sa gauche s’il le désignait. Un scénario impossible dans la mesure où il gonflerait le vote mélenchoniste en 2017. Alors quoi ? Plus rien. Plus de ligne, plus de semblant d’autorité, la porte étant ouverte à l’imprévu et d’abord à l’anarchie parlementaire.

    Le système politique est verrouillé et 2017 ne sera qu’une énième redite de la part de l’oligarchie du cirque que nous ne connaissons que trop bien. Il est préférable de cultiver les ruptures et les coups de force révolutionnaires ou même d’aspect révolutionnaire.

    Il y a une nuance de taille entre un allié et un ami. Soutenir la CGT, comme le fait visiblement l’opinion publique par volonté de rupture, ne signifie pas se convertir aux théories économiques de l’archéo-gauche. C’est simplement utiliser la corde de la gauche radicale pour pendre les socialistes. Une maison divisée contre elle-même ne peut tenir debout.

    Ce qui ne rend pas la droite étatiste, proche des oligarques du système, plus séduisante. Mais chaque chose en son temps.

     

     

    http://borislelay.com/

  • Fin des quotas laitiers : Philippe Loiseau dénonce cette politique criminelle (26/05/16)

  • Ne jamais capituler face aux bolcheviks

    En 1920 un vieux médecin russe réfugié en France, aujourd'hui oublié, le disait déjà : "la Révolution, c'est une psychose à répétition".

    Depuis bientôt un siècle les psychotiques répètent, parfois dans le vide, parfois dans le sang, les mêmes actes, les mêmes grimaces ou les mêmes crimes, tout en prétendant toujours faire du neuf avec les mêmes vieux matériaux. La violence vient d'eux, mais ils prétendent exercer le monopole du droit de la dénoncer. Ne sont-ils pas supposés incarner le "camp de la paix"?

    À noter que plus de 350 blessés chez les forces de l'ordre, cela ne semble émouvoir ni les politiciens ni les journalistes et cela laisse impunie la prétention de dénoncer une violence… "policière"

    Le conflit actuellement en cours a démarré le 9 mars.

    Pendant quelque trois mois la CGT aura professé pour doctrine qu'elle exigeait le retrait pur et simple d'un texte qui, entre-temps, a été discuté et copieusement amendé au parlement, au point de le rendre méconnaissable et probablement contre-productif par rapport à la nécessaire réforme du marché du travail.

    À Marseille, du 18 au 22 avril, le 51e congrès de la CGT n'a pas seulement confirmé à la tête de la centrale le secrétaire confédéral Martinez : elle a également avalisé une ligne nettement plus à gauche, plus violente, nettement plus bolchevique pour tout dire, que celle vaguement ondoyante d'un Thibault ou de la direction du PCF.

    Le 28 avril le Martinez se rend place de la République pour dialoguer avec les Nuit-debout. Il y reçoit un accueil mitigé. Reprenons ici le compte rendu du "Monde" : "La foule ricane, l’adhésion n’est pas immédiate. « Je me réjouis de participer à l’assemblée générale », lance-t-il." (1) Les staliniens et léninistes d'appareil ont toujours eu du mal avec les électrons gauchistes. Ils ont même inventé le concept pour stigmatiser leurs tendances à désobéir.

    Le 29 mai Martinez déclare avoir reçu la veille un coup de fil du Premier ministre : "C'est quand même mieux quand on se parle, c'est ce qu'on dit depuis plusieurs mois. " Non, assure-t-il désormais, "il n'y a pas de bras de fer" entre lui et Manuel Valls.

    Le 30 mai confronté à Laurent Berger son homologue à la tête de la CGT, Martinez affirme souhaiter "rouvrir des négociations avec le gouvernement sur l'article 2 de la Loi."

    Le 1er juin il déclare : "Si le gouvernement, demain, dit 'on discute', il n'y a plus de grève. Que chacun prenne ses responsabilités."

    Que s'est-il donc passé dans la dernière semaine de mai ?

    Il serait bien hasardeux d'attribuer au gros ramollo Hollande une tenue de route un peu ferme : en réalité c'est la société française, ce sont les travailleurs eux-mêmes qui ont commencé à dire non aux mots d'ordre d'enfumage lancés par la CGT.

    En fait, discrètement, le pouvoir a cédé sur une affaire essentielle pour la CGT : ce qu'on appelle le "statut" du cheminot, en cours de renégociation dans le cadre d'un nouvel accord d'entreprise et d'une convention de branches. Le ministre des Transports est allé si loin dans les concessions que le patron de SNCF-Mobilité – l'entreprise de transport – Guillaume Pépy, habituellement fort "consensuel" a menacé de démissionner, sans, toutefois, donner suite à sa colère.

    Car les manifestations n'ont jamais fait le plein. On a cherché à faire peur aux Français avec la pénurie d'essence : les queues interminables aux pompes ont été occasionnées cette semaine-là, dans certains départements, précisément par la panique et non par le blocage des raffineries ; les pompistes en effet ont vendu entre 3 et 5 fois plus d'essence qu'à l'accoutumée. La grève des centrales nucléaires fut agitée 24 heures comme un faire-peur, etc. Et comme toujours les médias ont répété ce que disait l'AFP… Mais au bout du compte, rien n'a vraiment suivi. Les Français ne semblent pas encore mûrs pour le type de révolution genre "socialisme bolivarien" auquel aspirent tous les petits Martinez.

    Ceux-ci demeurent dangereux et il convient toujours de s'en prémunir mais plus dangereux encore sont ceux qui leur ouvrent les portes, ceux qui les ménagent dans les médias, ceux qui guignent leurs suffrages en vue des élections de 2017.

    N'oublions pas non plus le jeu très trouble de FO, dont on discerne mal aujourd'hui les objectifs spécifiques par rapport à ceux des staliniens de la CGT.

    Le peuple français doit leur dire non mais il n'a pas besoin pour cela des mauvais négociateurs capitulards de la classe politique.

    (1) cf. "A Nuit debout, les syndicats reçoivent un accueil mitigé".

    http://www.insolent.fr/

  • Boris Le Lay face au précipice économique: « préparez-vous ça va secouer, les confrontations seront identitaires »

    Boris Le Lay estime que la loi travail est insignifiante dans l’effondrement monétaire qui se prépare et qui va entrainé la fin de tout ce que nous avons connu dans un gigantesque chaos. Dés début juin, l’État emprunte pour régler les salaires des fonctionnaires et poursuit ses dépenses non budgétées… L’achat de la paix sociale des « enclaves ethniques et religieuses », par l’État ne pourra plus être assuré qui va entrainer des explosions sociales et des conflits en cascades selon des lignes de fractures identitaires. Pourquoi les européens ne font plus d’enfants? Parce qu’ils n’en ont plus besoin pour assurer leur vieillesse, voilà la rançon des retraites… Au niveau international des États, notamment en Europe, seront happés… Ce sera le prix à payer pour une renaissance.

    http://www.medias-presse.info/boris-le-lay-face-au-precipice-economique-preparez-vous-ca-va-secouer-les-confrontations-seront-identitaires/55724

  • Agitation sociale, hypocrisie

    L'agitation des dernières semaines n'a pas l'heur de plaire aux bons républicains, qu'ils soient socialistes ou « de droite », en tout cas « tous libéraux » de coloration plus ou moins marquée, et les partisans du gouvernement actuel en rajoutent parfois dans l'indécence et, même, l'ignominie : ne sont-ce pas ces derniers qui, jadis, osaient revendiquer des positions « ouvriéristes » et se réclament encore du Front Populaire de 1936, en oubliant les conditions et les situations du moment, les grèves dures et le blocage entier d'un pays (au moment même où Hitler, de l'autre côté du Rhin, réarmait à vitesse grand V) pour obtenir des avancées sociales que Léon Blum n'avait pas promis à la veille des élections ? Sur le plan social, 1936 fut une tentative d'en finir avec 1791, avec rudesse, avec maladresse et sans doute en des temps qui ne s'y prêtaient pas vraiment (trop tard, sans doute, au regard du moment économique et de l'instant géopolitique... 1920 aurait été préférable !). Mais, si le Front Populaire fut un échec économique et prépara, sans doute, à la défaite militaire de 1940, il fut un immense espoir social et il serait dommage de le négliger : comment les royalistes qui, justement, parlent de « social » (pour ceux qui en parlent, pas forcément très nombreux...) pourraient-ils méconnaître cet aspect-là des choses ?

    L'hypocrisie des soutiens du gouvernement me navre et me fâche : les entendre parler de « prise d'otages » pour signifier des grèves et des blocages de raffinerie (aussi ennuyeux soient-ils pour l'usager que je suis), ou encore évoquer « la chienlit » pour définir manifestations et syndicats m'énerve au plus haut point, pas forcément pour les raisons que l'on croit : ce que je déteste, c'est aussi cette criminalisation de toute contestation, déjà opérée au moment du débat sur la loi Taubira, et j'observe, par la même occasion, l'amnésie de certains manifestants de cette époque qui en appelle aujourd'hui à ce qu'ils dénonçaient bruyamment il y a trois ans... M. Valls emploie les méthodes qui lui ont si bien réussi en 2013, avec le consentement à peine dissimulé des partis de droite : passer en force, marginaliser les opposants et les pousser à la radicalisation (même si certains n'avaient pas besoin de cela pour être, déjà, des « radicaux »...), « rétablir l'ordre par tous les moyens », en l'occurrence « légaux », au risque d'épuiser des forces de police et de gendarmerie déjà très exposées et parfois épuisées à la veille même de grands événements sportifs pour lesquels elles seront fortement sollicitées dans la cadre de la lutte contre la délinquance et le terrorisme...

    La mémoire aujourd'hui, c'est la toile qui la conserve le mieux, et les archives audiovisuelles des années passées nous rappellent les propos de M. Hollande contre l'usage du 49.3 ou ceux de M. Valls sur la contestation quand ils étaient encore dans l'opposition. Mais ces messieurs n'en ont cure, et le rouleau compresseur de « la Loi » continue inexorablement son écrasement des « acquis sociaux » au moment même où les plus riches accélèrent la course à la démesure des revenus (les leurs, en fait !) et soignent leurs actionnaires plutôt que leurs salariés, allant jusqu'à remplacer ces derniers par des robots qui, eux, ne revendiquent pas : l'entreprise Foxconn spécialisée dans la production des téléphones d'Apple va ainsi « économiser » (sic) 60.000 emplois !

    Étrangement si l'on croit encore à leurs propos électoraux (ce qui n'est pas mon cas, sans étrangeté), les socialistes sont plus sévères avec les salariés, qu'ils soient de Goodyear ou d'Air France, qu'avec les grands patrons ou les représentants des multinationales qui n'hésitent plus à « se servir », entre salaires exorbitants et retraites chapeaux, et autres joyeusetés financières... Bien sûr, le gouvernement en appelle, à chaque affaire de démesure patronale ou actionnariale, à la raison mais sans y croire et sans trop presser les choses, et rien ne change en ce domaine, tandis que nombre de petits entrepreneurs, eux, ne savent pas comment finir le mois et garder à flots leur entreprise : « Selon que vous serez puissant ou misérable », dit le poète...

    Tristes sires, ces socialistes ; triste République, cette oligarchie...

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1317:agitation-sociale-hypocrisie-socialiste&catid=50:2016&Itemid=61

     

  • Grèves SNCF, RATP, Air France… La France est au fond du trou et elle se noie !

    On ne voit guère quel sera le pompier capable de la ranimer.

    Vue de l’étranger, la France n’est plus seulement « le pays des grèves » mais carrément le pays des fous.

    Le gouvernement a cédé sur tout ou presque : les taxis, les camionneurs, les intermittents du spectacle et Notre-Dame-des-Landes. Il a promis des augmentations aux fonctionnaires, rassuré les enseignants, offert un revenu minimum aux étudiants. Il a ridiculisé le patron de la SNCF et celui d’EDF lui a claqué la porte au nez. Il a vidé sa loi Travail de ce qui pouvait encore la rendre utile à l’économie et au retour de l’emploi et, mesure ultime, François Hollande a fait hier la danse du ventre devant les maires de France et diminué de moitié la baisse prévue des dotations de l’État…

    Bref, pas un jour ne passe sans que le Président le plus vilipendé de la Ve République ne distribue ses sucettes préélectorales à qui en réclame. Jovial comme une fleur de pissenlit, Hollande sème à tout vent… et récolte néanmoins la tempête !

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  • Politique magazine, numéro de juin : « De mieux en mieux »

    Découvrez le numéro de juin ! 

    Alors que la France s’embrase socialement ...

    Politique magazine dresse un état des lieux de la politique française. La situation se dégrade de façon dramatique malgré les inlassables « ça va mieux » de Hollande. Une question : jusqu’où le pays peut-il descendre ?

    Dossier  

    Vingt après l’assassinat des moines de Tibhirine et 100 ans après la disparition de Charles de Foucauld se pose la question de leur héritage.  Un héritage qui n’est pas sans soulever des questions qui résonnent avec force dans l’actualité qui est la nôtre.

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

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