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social - Page 387

  • En France, aujourd’hui, l’abandon et la solitude tuent

    Source : Boulevard Voltaire

    Aujourd’hui, la pauvreté tue. En France, aujourd’hui, l’abandon et la solitude tuent.

    Rien de nouveau depuis l’époque où saint Martin partageait son manteau, saint Vincent de Paul soignait les pauvres, voire celle où notre Seigneur soignait les lépreux, me dira-t-on. Mais quand on s’habitue tellement aux annonces de clochards ou SDF décédés de la froidure ou de la vieillesse, il en est qui frappent. Plus que d’autres !

    Dimanche dernier, 3 juillet, une jeune femme s’est donné la mort. Oh ! Des suicides, il en est, là aussi, des milliers par an. Mais là, on peut garder comme un goût d’amertume qui monte et coupe la déglutition. C’est que cette dame était jeune : 31 ans. Cette dame en sa jeunesse, pauvresse et jeune mère, se pourrait-il que la France de la République irréprochable et qui s’enorgueillit de financer – dans le désordre – une salle de sport et les frais d’avocat pour Abdeslam, des emplois de jardiniers qui touchent primes de nuit au Sénat tout en disposant de quatre mois de vacances, 400 millions pour Bernard Tapie (on attend toujours qu’il les restitue, une défiscalisation des fortunes en œuvres d’art), une détaxation de l’impôt sur l’héritage immobilier en Corse, des soins de santé à hauteur de milliards d’euros pour des étrangers résidant outre-Méditerranée, oublie les siens, dans l’Hexagone même ? Hélas, la République n’est pas la France ! Elle oubliait là-bas ceux d’Oran et préfère financer, ici, les allocations retraite supérieures au minimum vieillesse pour tout étranger arrivant sans travail en France, les taxis d’Agnès Saal, j’en passe et des pires. Cahuzac, Balkany, etc.

    À l’heure où l’on finance tout cela, une mère meurt. Une maman de deux petits enfants de 6 et 8 ans. L’un est trisomique, l’autre est abandonné par le père commun, divorcé de la République, vivant en Belgique. Il est vrai que cette Europe-là, qui donne six milliards au nouveau grand vizir d’Ankara, Erdoğan Ier, pour qu’il freine la nouvelle marche verte des réfugiés qu’il fit venir de Syrie et envoie envahir l’Occident, cette Europe-là est, bien sûr, incapable de la subsidiarité qui serait due à ces pauvres gens à qui l’on apprit que la vie est belle, surtout séparés ! Le divorce est un détail joyeux de la « novlife » extra-territorialisée et hors-sol.

    En ces mêmes terres du Nord, on retrouva il y a trois mois une autre dame, Sylvie Velghe, 33 ans, morte de faim chez elle. Les voisins regardaient ailleurs, les services sociaux et la justice tutélaire ne s’inquiétaient pas quand une dame ne donnait pas signe de vie. Pauvre cadavre momifié, bientôt inhumé dans quelque fosse commune et sans croix d’un cimetière républicain : « Les cimetières catholiques, ça n’existe pas », disait l’ancien ministre Michèle Delaunay. Misère et malheur s’abattent sur nous ! Il vaudrait mieux que nous n’ayons pas vécu que d’avoir laissé cela. Mais comment faire, aussi, quand l’État prend tout, vole tout et prétend s’occuper de tout. Si mal !

    Abattre cet État deviendra-t-il, sous peu, impératif ? Point de réseau de proximité. Émilie et Sylvie n’avaient pas la chance de vivre derrière les ultimes points de solidarité des Resto du Cœur ou d’une Église moribonde. Point d’accueil pour ses enfants dans une école catholique ayant pour souci premier celui des pauvres dans un enseignement gratuit. Point d’orphelinat non plus.

    Non, Émilie Loridan et Sylvie Velghe n’avaient pour malchance que celle d’être nées françaises, d’une patrie qui n’aime pas les siens, refusait RSA et APL, en demandant de reverser des trop-perçus qu’ils savaient décompter sans erreur – l’ex-mari d’Émilie avait un travail et un revenu, mais en Belgique…

    Nous sommes en 2016. L’Église est aux abonnés absents. Nul nouvel abbé Pierre à l’horizon. Les services sociaux se renvoient la balle d’une rive du Quiévrain à l’autre.

    En 2016, une jeune maman d’enfants, abandonnée par son mari et par la société, est partie. L’autre est morte de faim. Que Dieu nous pardonne d’ignorer ces solidarités de proximité. Qu’Il les accueille en Son Ciel. Et nous aide à chasser les puissants qui se foutent de cette histoire comme de notre feuille d’impôt.

    Bertrand du Boullay

    http://fr.novopress.info/202400/france-aujourdhui-labandon-solitude-tuent/#more-202400

  • Société • Les pieds nickelés de la lutte sociale et politique Brexiters, syndicalistes, nuit-deboutistes…

    Un excellent billet, tout à fait dans notre ligne politique et sociétale, qu'Amaury Grandgil a publié sur son blog mesterressaintes et surCauseur [08.07]. Nous avons aimé.  LFAR  

    Les oligarques nous mènent où ils veulent presque aussi facilement qu’un troupeau à l’abattoir, croyant nous faire prendre des vessies pour des lanternes le plus longtemps possible. Les peuples cependant expriment de plus en plus leur colère face à tant de mépris, de dédain à peine caché. Ils pensent parfois se trouver des leaders pour mener la révolte mais ceux-ci sont autant de pieds nickelés sans grande envergure qui se contentent de jouer leur « emploi » de comédie afin de continuer à bénéficier du système et que l’on continue de voir leur binette partout dans la presse. C’est à désespérer de se dresser contre les pseudo-élites de plus en plus déconnectées des peuples…

    En Grande-Bretagne les promoteurs passionnés du Brexit se dégonflent les uns après les autres. Ce sont autant de pieds nickelés, de Nigel Farage à Boris Johnson, le maire de Londres ayant la même tignasse que Ribouldingue. Ils ressemblent un peu à ces mauvais élèves qui n’en croient pas leurs yeux et leurs oreilles d’avoir réussi à convaincre le pion rassis de service de ne pas retourner en classe et de faire cours dehors. Et finalement ils ont l’air de songer que leur blague est allé un peu trop loin et abandonnent toute responsabilité laissant leur peuple aux mains de responsables dont le rêve humide récurrent est de faire de la Grande-Bretagne le « paradis fiscal » du monde entier. Ils reviennent sagement dans les rails.

    Personne n’est d’ailleurs plus vraiment certain maintenant que le Brexit sera réellement finalisé. Donald Tusk et Jean-Claude Juncker, le responsable européen qui parle aux ovnis, trouveront bien un moyen de ne pas tenir compte de ce vote, de le renvoyer aux oubliettes de l’histoire. Ils feront une petite leçon de morale aux mauvais élèves et tout rentrera dans l’ordre à coup de chantage économique, ainsi qu’en Grèce. Et Farage et Johnson font finalement partie du spectacle tout autant que les Le Pen en France, épouvantails utiles de la droite dire républicaine et de la gauche sociétale, tout autant que les autres politiques.

    En France, les opposants à la « loi travail », soit disant de Myriam El Khomri, alors que ses véritables auteurs sont quelques technocrates européens, ont décidé donc que la lutte sociale s’arrête pendant les vacances d’été. On me rétorquera que les utopistes de Nuit debout ont aussi décidé de remettre la révolution après leur séjour au camping des Flots bleus ou à Ibiza, ou chez Tata Geneviève à Nice. Quant aux « casseurs » anarchistes jusqu’au-boutistes, attention, s’ils ne se retenaient pas, on verrait ce qu’on verrait, ils font appel à la justice bourgeoise.

    Pour ne cependant pas totalement se ridiculiser des responsables syndicaux comme Jean-Claude Mailly prédisent des « surprises » pendant l’été, des actions ponctuelles qui marqueront les esprits… Des flash-mobs ? Une vente de tongs écrivant FO ou CGT sur le sable de la plage ? Une quête à la sortie des agences Pôle emploi ?

    Pourtant cette « loi travail » empêchera par ses conséquences sur de nombreux salariés, leur paupérisation, leur précarisation, de partir en vacances justement. Un peu moins de la moitié des Français n’en ont justement plus les moyens. C’est finalement à se demander si Philippe Martinez et Jean-Claude Mailly ne jouent pas aussi leur rôle, leurs « emplois » de « repoussoirs » pour les élites, au sein du grand « Barnum consumériste » rentrant ensuite bien sagement à l’étable comme le reste du troupeau.

    Il faut dire que pour eux le pion rassis en chef, Manuel Valls, a décidé de siffler une bonne fois pour toutes la fin de la récréation en faisant jouer encore une fois le 49.3…

    Et les oligarques seront ainsi à peine inquiétés. Encore une fois…

    Amaury Grandgil
    anime le blog mesterressaintes.hautetfort.com

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Mort d’une maman française abandonnée par la CAF

    Une maman française est morte. Morte après que la CAF l’a abandonnée. Le 3 juillet, à cinq jours de son 32e anniversaire, Emilie a mis fin à ses jours. Elle sera inhumée demain à Armentières, dans le Nord, sa ville natale. Le mois dernier, sur un réseau social, elle avait posté ce message : « Je veux juste être tranquille ». Emile avait deux enfants en bas âge, dont une petite fille de six ans, atteinte de trisomie.

    Début mai, elle avait contacté La Voix du Nord qui lui avait consacré un article : « Privée de RSA parce qu’elle touche une allocation belge pour sa fille handicapée. » A la naissance de sa fille, Emilie avait dû arrêter de travailler et avait pu percevoir le RSA. « Je suis disponible entre 9 h et 16 h, pas plus. Elle est scolarisée en Belgique. Elle va bien mais il faut constamment la booster. C’est difficile avec la prise en charge qu’elle demande d’avoir une activité. »

    Un jour, la CAF, la Caisse d’allocation familiale, l’a contactée. Pour lui dire que c’est la Belgique qui devait lui verser l’allocation d’enfant handicapé. Ça a été fait. Mais ce que la CAF ne lui avait pas dit, c’est que le versement de cette prestation entraînerait l’arrêt de toutes les aides versées par la France. Début mai, elle a raconté à La Voix du Nord ce qui lui est arrivé : « On m’a coupé le RSA. Je suis passée de 1 125 euros d’allocations à 690. Je ne m’en sors plus du tout. En plus, ils me demandent de rembourser ce que j’ai perçu au RSA depuis deux ans. C’est dingue. »

    « On examine ce qui peut lui être proposé », avait juste indiqué la CAF au quotidien régional, s’appuyant sur la législation et ajoutant, dans la mesure où Emilie était séparée du père de ses enfants et que celui-ci était installé en Belgique : « Nous lui avons conseillé de faire valoir ses droits à une pension alimentaire. »

    En juin, les revenus d’Emilie avaient encore baissé. A La Voix du Nord, qui l’avait rappelée, elle avait confiée, très lasse : « À part me dire que je dois demander une pension alimentaire au papa de mes enfants, je n’ai rien de plus. La CAF m’a même supprimé mon APL. » Elle n’avait plus vivre et élever ses deux enfants que le montant de l’allocation belge, soit 398 euros par mois…

    Après la mort d’Emilie, La Voix du Nord a rappelé la CAF : « Nous avons contacté ce matin le service communication de la CAF pour les avertir du décès d’Émilie, dont ils n’avaient pas connaissance, et leur proposer de réagir dans cette affaire délicate.Nous aurions souhaité connaître les actions qui avaient été menées par leurs services, au-delà de l’arrêt des allocations, pour l’aider. Étant bien entendu qu’un acte désespéré résulte rarement d’un seul problème. Nous n’avons pas eu de retour. »

    La CAF n’a plus qu’à chercher dans la législation : il doit bien exister une prestation orphelins. 

    La CAF, qui aide le monde entier, est incapable d'aider une mère et son enfant trisomique. Elle s'est suicidé. http://m.lavoixdunord.fr/region/emilie-maman-privee-d-allocations-et-desemparee-a-ia11b49726n3619290#.V37qXc0QR-0.twitter 

    Photo published for Émilie, maman privée d’allocations et désemparée, a mis fin à ses jours

    Émilie, maman privée d’allocations et désemparée, a mis fin à ses jours

    Début mai, Émilie Loridan avait sollicité «La Voix du Nord» d’Armentières pour parler de ses problèmes financiers. - Armentières (59280, Nord) - La Voix du Nord

    m.lavoixdunord.fr

    http://fr.novopress.info/

     
  • Loi Travail : un fiasco démocratique

    Sans majorité, Manuel Valls décide de passer en force la Loi Travail en utilisant l’article 49-3, arme atomique constitutionnelle.

    Quitte à choquer les lecteurs, je crois qu’on attend d’un pouvoir élu par le peuple qu’il ne soit pas gouverné par le peuple, mais qu’il le gouverne. Pour autant, si ce pouvoir élu reste insensible à la colère du peuple qui lui a confié son exercice, il se fourvoie et court à sa perte. Cet équilibre complexe a été détruit par les différents exécutifs qui se sont succédé à la tête des affaires de l’État au cours des dernières années, plus particulièrement sous les présidences de Nicolas Sarkozy et de François Hollande.

    La rupture entre le peuple et la classe politique censée le représenter est consommée. Trop de trahisons, trop de promesses non tenues, trop de mépris ont eu raison de la confiance pourtant nécessaire qui doit lier les Français à leurs dirigeants. Le vol du référendum de 2005 en étant la plus parfaite illustration.

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  • Coût du logement social : et si on parlait de l’immigration ?

    30/06/2016 – FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : Dans une étude récente de la fondation Ifrap consacrée au logement social à la française et intitulée Stopper la création de logements sociaux, le think tank libéral dénonce une politique trop coûteuse et peu efficace au détriment du secteur privé locatif, mais sans parler de l’immigration. « Les locataires les plus pauvres (premier décile de revenus) sont majoritairement logés dans le parc privé », s’indigne l’Ifrap, qui constate que si les logements sociaux sont de plus en plus nombreux en France (« Entre 1985 et 2011, on observe une augmentation de 53% du parc social »), ils ne permettent pas de subvenir à une demande qui a augmenté de 80 % en 13 ans. Cherchez l’erreur, et vous aurez une chance de la trouver dans les flux migratoires, non ?

    IFRAP-Logements-sociaux-248x350.jpgCombien coûtent les logements sociaux en France ? 40 milliards d’euros par an sont dépensés chaque année pour le logement social en France, soit 2,3 % du PIB, deux fois plus que dans les autres pays européens. Les logements sociaux représentent 17 % du parc de logements, soit deux fois plus que la moyenne européenne qui s’élève à 8,6 %. Ils représentent exactement 5,3 % en Italie et 4,6 % en Allemagne.

    Pourquoi se trouve‑t‑on dans une telle galère ? Selon l’Ifrap, cette situation est due en partie à l’article 55 de la loi SRU qui impose la création de 20 % puis de 25 % de logements sociaux dans les communes de plus de 3 500 habitants. « Se donner des objectifs de construction généraux sur tout le territoire n’a plus de sens », peut‑on lire dans l’étude qui dévoile un taux de vacance des habitations à loyer modéré alarmant. S’il s’élève en moyenne à 1,6 %, ce taux peut quasiment atteindre les 10 % dans certaines villes.

    Comment pourrait‑on régler le problème aujourd’hui ? Selon l’Ifrap, il faudrait favoriser l’accession à la propriété, par exemple en facilitant la vente des logements à leur occupant. Ce serait en effet d’excellente politique mais une autre mesure s’impose : réduire la demande de logements sociaux en réduisant… l’immigration.

    En Suisse, quand l’UDC calcule le coût de l’immigration, elle y intègre le coût de construction des logements, des écoles, des hôpitaux ou des routes pour subvenir aux besoins de cette population nouvelle. En France, jamais. Cherchez (encore) l’erreur.

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  • Nouvelle dégradation de l’accès aux soins médicaux pour les Français

    FRANCE (NOVOpress avecle Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Alors que fin 2010, un sondage montrait qu’un tiers des Français avaient durablement renoncé à se soigner, la dernière étude de l’UFC‑Que choisir, intitulée La fracture sanitaire s’aggrave, montre une nouvelle dégradation, « spectaculaire » note l’association, des conditions sanitaires de nos compatriotes.Jusqu’à 20 millions d’entre eux vivent actuellement dans des territoires où l’offre libérale de soins est insuffisante, principalement dans les zones rurales.

    Préoccupante pour les généralistes, la situation est carrément critique en ce qui concerne les spécialistes. Aux problèmes liés à l’éloignement géographique, s’ajoutent en effet pour ces derniers celui des dépassements d’honoraires. L’offre au tarif de la Sécurité sociale est actuellement très insuffisante pour couvrir les besoins, souligne UFC‑Que Choisir.

    « Entre 2012 et 2016, l’accès géographique aux médecins généralistes (à moins de 30 minutes du domicile) s’est dégradé pour plus du quart de la population. Pire, l’accès aux médecins spécialistes a diminué pour 38 % des Français en ce qui concerne les ophtalmologistes, 40 % pour les pédiatres et même 59 % de la population pour l’accès aux gynécologues. La situation est encore plus alarmante pour les spécialistes au tarif de la sécurité sociale, dont l’offre a reculé pour plus de la moitié des usagers, quelle que soit la spécialité étudiée. »

    L’UFC-Que Choisir ajoute :

    « Selon les spécialités, ce sont entre 14,6 millions (pour les généralistes) et 21,1 millions (pour les pédiatres) d’usagers qui vivent dans un territoire où l’offre de soins libérale est notoirement insuffisante, principalement dans les zones rurales et montagneuses. Mais à ces déserts médicaux des champs, il faut ajouter les déserts médicaux des villes, qui eux sont financiers. Car lorsque l’on cherche à se soigner sans dépassement d’honoraires, c’est plus de 8 Français sur 10 qui n’ont pas suffisamment d’ophtalmologistes ou de gynécologues autour de chez eux ! »

    Le gouvernement socialiste préfère dépenser un milliard d’euros pour l’Aide Médicale d’Etat, réservée aux clandestins, plutôt que de venir en aide à la France périphérique.

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  • La France, lanterne rouge de la production industrielle - Programme économique du FN #12

  • Logements sociaux trop nombreux et mal utilisés : une politique inefficace !

    Quarante milliards d’euros annuels sont dépensés, soit 2,3 % du PIB, c’est-à-dire deux fois plus que chez nos voisins européens.
    La fondation iFRAP s’est lancée dans un audit de ce que l’on pourrait appeler, selon l’angle choisi, le tonneau des Danaïdes, le rocher de Sisyphe, les écuries d’Augias : les logements sociaux !

    Le résultat, bien que poliment énoncé, est sans ambiguïté : la politique dans le domaine est trop coûteuse, inefficace et nuisible pour le secteur privé locatif.

    Quarante milliards d’euros annuels sont dépensés, soit 2,3 % du PIB, c’est-à-dire deux fois plus que chez nos voisins européens. Les logements sociaux représentent 17 % du parc total, contre 5,3 % en Italie et 4,6 % en Allemagne.

    Et entre blocage des loyers, réquisition des logements vacants, préemption d’immeubles et injonction faite aux communes d’en augmenter le nombre, la tendance n’est pas franchement à la baisse… le dernier chantier emblématique étant, bien sûr, la « cession » à un bailleur social – annoncée il y a quinze jours par Manuel Valls et Anne Hidalgo – de 14.000 m2 dans l’îlot Saint-Germain, ancien siège de l’armée de terre, afin d’y créer 400 logements au cœur d’un arrondissement (le VIIe) jusque-là récalcitrant.

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  • Les éleveurs français indignés par les vidéos chocs des abattoirs

    Après la publication de nouvelles vidéos tournées dans des abattoirs par l’association L214, les éleveurs craignent une nouvelle baisse de la consommation de viande, déjà en berne. S’ils sont choqués par les pratiques dévoilées par ces vidéos, eux expliquent élever leurs bêtes avec respect et attention.

    Ils déplorent totalement les mauvais traitements réservés aux animaux.

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