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social - Page 393

  • Le réquisitoire d’Eric Zemmour contre Nuit Debout

    Ce matin sur RTL, Eric Zemmour a prononcé un véritable réquisitoire contre Nuit Debout, dont « le rêve est passé, le rêve des médiacrates de gauche qui voulaient tellement rejouer le Mai 68 de leur jeunesse, le rêve des enfants de profs, des diplômés prolétarisés, des intermittents du spectacle précarisés ».

    « Qui sème le vent récolte la tempête. Qui sème le sectarisme récolte la violence.Qui crache sur les philosophes finit par sortir les barres de fer. A force d’insulter les flics, on finit par leur taper dessus. A force de mimer l’insurrection révolutionnaire, on légitime ceux qui la pratiquent. […] A force de vouloir intégrer tout le monde, on intègre n’importe qui. À force de parler pour ne rien dire, on finit par frapper sans raison. »

    « La faiblesse de l’État sous Hollande s’est révélé un redoutable piège, explique Zemmour, pour qui c’est « le laxisme des autorités socialistes [qui] les a poussées à la faute, a révélé leur vraie nature : derrière les masques de Bisounours, il y avait des cagoules et des casques. »

    « Pour ce genre de mouvement protestataires, il est deux manières de mourir, ajoute l’éditorialiste : perdre sa spontanéité ou perdre son innocence. Perdre sa spontanéité comme Podemos en Espagne […] Et puis, il y a cette seconde manière de mourir, celle de Nuit Debout : on perd son innocence, sa fraicheur ; on n’est plus les gentils, on devient les méchants.

    Eric Zemmour conclut ainsi : « Nuit Debout va poursuivre sa route chaotique, mais comme un canard sans tête. Nuit Debout est coulé. Nuit Debout est couché. Étendu raide. Il bouge encore, mais c’est le spasme des cadavres. »

    http://fr.novopress.info/

     
  • Non, les migrants ne payeront pas vos retraites !

    « En rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ». Analyse d’un mythe.

    Récemment encore, l’économiste de la Banque Mondiale Hernan Winkel justifiait l’immigration en Europe par l’argument fréquemment répété : « en rajeunissant la population (par l’immigration), on contribue nécessairement à payer les retraites ».

    Or, cette affirmation est inexacte : l’État ne peut payer les coûts croissants d’une population vieillissante qu’avec des ressources supplémentaires ; et quel que soit leur âge, les inactifs sans ressources n’en apportent pas.

    Pour assurer les retraites futures, ce sont les ressources de l’État qu’il faut augmenter, notamment en augmentant le nombre d’emplois productifs.

    L’immigration pourrait y contribuer de deux façons : soit, si les immigrés comblaient un manque de main-d’œuvre dans des secteurs productifs; soit, si des immigrés créaient de nouvelles entreprises génératrices d’emplois productifs.

    Mais globalement en Europe, l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde n’est pas choisie en fonction du marché du travail et est peu qualifiée. Les demandeurs d’emplois peu qualifiés étant déjà en surnombre, cette immigration non sélective ne fait que gonfler le nombre global des chômeurs et allocataires sociaux. Et ces immigrés n’ont généralement pas les compétences nécessaires pour créer de nouvelles entreprises.

    En réalité, cette immigration européenne non sélective ne fait qu’empirer le problème des pensions. En effet, les chômeurs et allocataires sociaux qu’elle génère requièrent des ressources supplémentaires.

    L’État les trouve habituellement en augmentant la pression fiscale, ce qui a pour conséquence inévitable de diminuer la compétitivité des entreprises. Et pour maintenir leur compétitivité, celles-ci doivent faire des économies, par exemple en réduisant leur personnel ou en se délocalisant dans des pays à main-d’œuvre bon marché… ou alors risquer la faillite. Tout cela diminue l’emploi et aggrave le problème des pensions.

    Et si l’on se refusait à augmenter la pression fiscale en maintenant fermée l’enveloppe de la sécurité sociale, les montants alloués à ces chômeurs et allocataires sociaux supplémentaires grèveraient d’autres postes de la sécurité sociale, comme par exemple l’assurance maladie-invalidité… ou les pensions elles-mêmes !

    Dès lors, indépendamment de toute autre considération sur les éventuels avantages ou inconvénients que l’immigration actuelle en provenance des pays du tiers-monde apporterait à l’Europe, celle-ci ne résout en rien le problème des pensions. On pourrait, par contre, résorber ce problème en augmentant l’emploi productif.

    Pour cela, il faudrait, d’une part, améliorer la compétitivité de nos entreprises, en diminuant le poids de l’État et ainsi la pression fiscale. Et d’autre part, faciliter la création d’entreprises, notamment par un allègement significatif de leurs charges administratives et sociales. Mais sûrement pas en encourageant l’immigration extra-européenne.

    Ainsi, l’affirmation « rajeunir la population par l’immigration contribue à payer les retraites » a beau être répétée à l’envi, elle ne repose actuellement en Europe sur aucune réalité. C’est donc encore un de ces mythes idéologiques dont il faut se défaire pour résoudre les problèmes.

    Jacques Stelliez

    http://www.polemia.com/non-les-migrants-ne-payeront-pas-vos-retraites/

  • Thierry Meyssan - Panama Papers / Russie / Arabie Saoudite / Nuit Debout /Dollar.... - Meta TV 1/2

  • Pourquoi tant de complaisance pour les casseurs de flics ?

    Il y a les penseurs qui se font applaudir, les petits marquis qui passent des amphis de l’université aux nuits pouilleuses de la République, les Lordon qui appellent à la grève générale, au renversement du système par le harcèlement et, s’il le faut, la violence. Ceux-là sont les nantis, les planqués de la haute fonction publique, les invités à la table du pouvoir qu’ils conspuent. Ni responsables ni coupables, ils ne seront jamais inquiétés.

    Et puis il y a leurs troupes : quelques centaines de jeunes exécutants de la basse besogne. Ceux qui dépavent les rues, saccagent, incendient, cassent du flic. Ceux-là finissent la nuit au poste, demain au tribunal.

    Quand une certaine jeunesse défile – mais est-ce vraiment la jeunesse ? – aux cris de « À mort l’État, les flics et les patrons », on sait ce qui va suivre. Quand un Lordon clame dans la nuit parisienne qu’on a bien fait de virer Finkielkraut car « nous ne sommes pas amis avec tout le monde, et nous n’apportons pas la paix », il sait ce qu’il enclenche : l’appel à la guérilla urbaine. Oh, bien sûr, porteur d’une « utopie généreuse » comme Staline autrefois ou le camarade Pol Pot, ...

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  • Renouveler le syndicalisme

    Jean-Frédéric Poisson écrit dans Valeurs Actuelles à propos des syndicats :

    "[...] L’Homme qui travaille, opère chaque geste, chaque décision non seulement pour lui, pour son entreprise mais apporte sa contribution à la société toute entière. Dans la pensée libérale, l’homme est une variable d’ajustement, un simple outil quasi exclusivement mécanique à la faveur du profit qui ne profite actuellement qu’à quelques-uns. A contrario, le « social », c’est-à-dire celui qui s’attache à l’ordonnancement de la société afin que tous et chacun y trouve sa juste place, pose le principe de la dignité humaine comme fondement de son action. L’Homme enraciné dans sa terre, son entreprise, demeure debout.

    C’est bien dans cette seconde hypothèse que je vois le syndicat être dans sa mission. En rééquilibrant la relation au travail entre l’employeur et le travailleur, le syndicat devient garant de la dignité de tous et de chacun. Il participe ainsi au rôle social de l’entreprise comme acteur de la vie économique et sociale.

    En prenant toute ma part aux débats de 2008 sur la représentativité syndicale, j’avais appelé de mes vœux un syndicalisme renouvelé. Si l’intégration du critère de l’audience dans la loi du 20 août 2008 fut une première étape, force est de constater que cela ne peut suffire.

    Je propose que les représentants des salariés aient voix délibérative à l’occasion des plans de sauvegarde de l’emploi. Les travailleurs de notre pays doivent être responsabilisés. Ce n’est qu’ainsi qu’on légitimera le rôle de représentation des syndicats. Il y a là une démocratie directe proche des travailleurs, en négociant au niveau le plus pertinent. C’est ainsi que nous ferons entrer le syndicalisme dans le XXIe siècle.

    Ancien DRH de l’industrie, en contact direct avec les responsables syndicaux et patronaux de notre pays, je connais l’importance et la richesse d’un dialogue social accomplit. Il démine les problèmes et les inquiétudes, vient en aide aux travailleurs en difficulté, accompagne le changement, anticipe les conflits. Il traduit une volonté sociale au sens noble.

    «  Le syndicalisme, c'est un idéal auquel il faut penser tous les jours, sur lequel il faut toujours avoir les yeux fixés » nous enseigne Simone Weil (in La Condition ouvrière). Ce n’est qu’en étant force de propositions, aux côtés des travailleurs au quotidien, qu’ils pourront redorer leur blason et reprendre la place qu’ils n’auraient jamais dû quitter dans le cœur des Français."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Renouveler le syndicalisme

    Jean-Frédéric Poisson écrit dans Valeurs Actuelles à propos des syndicats :

    "[...] L’Homme qui travaille, opère chaque geste, chaque décision non seulement pour lui, pour son entreprise mais apporte sa contribution à la société toute entière. Dans la pensée libérale, l’homme est une variable d’ajustement, un simple outil quasi exclusivement mécanique à la faveur du profit qui ne profite actuellement qu’à quelques-uns. A contrario, le « social », c’est-à-dire celui qui s’attache à l’ordonnancement de la société afin que tous et chacun y trouve sa juste place, pose le principe de la dignité humaine comme fondement de son action. L’Homme enraciné dans sa terre, son entreprise, demeure debout.

    C’est bien dans cette seconde hypothèse que je vois le syndicat être dans sa mission. En rééquilibrant la relation au travail entre l’employeur et le travailleur, le syndicat devient garant de la dignité de tous et de chacun. Il participe ainsi au rôle social de l’entreprise comme acteur de la vie économique et sociale.

    En prenant toute ma part aux débats de 2008 sur la représentativité syndicale, j’avais appelé de mes vœux un syndicalisme renouvelé. Si l’intégration du critère de l’audience dans la loi du 20 août 2008 fut une première étape, force est de constater que cela ne peut suffire.

    Je propose que les représentants des salariés aient voix délibérative à l’occasion des plans de sauvegarde de l’emploi. Les travailleurs de notre pays doivent être responsabilisés. Ce n’est qu’ainsi qu’on légitimera le rôle de représentation des syndicats. Il y a là une démocratie directe proche des travailleurs, en négociant au niveau le plus pertinent. C’est ainsi que nous ferons entrer le syndicalisme dans le XXIe siècle.

    Ancien DRH de l’industrie, en contact direct avec les responsables syndicaux et patronaux de notre pays, je connais l’importance et la richesse d’un dialogue social accomplit. Il démine les problèmes et les inquiétudes, vient en aide aux travailleurs en difficulté, accompagne le changement, anticipe les conflits. Il traduit une volonté sociale au sens noble.

    «  Le syndicalisme, c'est un idéal auquel il faut penser tous les jours, sur lequel il faut toujours avoir les yeux fixés » nous enseigne Simone Weil (in La Condition ouvrière). Ce n’est qu’en étant force de propositions, aux côtés des travailleurs au quotidien, qu’ils pourront redorer leur blason et reprendre la place qu’ils n’auraient jamais dû quitter dans le cœur des Français."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Loi travail : de violents affrontements, un policier grièvement blessé

    A Paris et dans plusieurs villes de province, les manifestations contre la loi travail ont encore tourné à l’affrontement entre les militants et les forces de l’ordre. Un policier a été grièvement blessé et se trouve en état "d’urgence absolue".

    Les manifestations contre la loi travail ont tourné à l’affrontement avec les policiers. © AFP

    Des violents heurts ont opposé ce jeudi les militants opposés à la loi travail et les forces de l’ordre. A Paris, Nantes, Rennes ou Lyon, les défiles ont tourné à l’affrontement avec la police. Près du pont d’Austerlitz, dans la capitale, des dizaines de manifestants ont lancé des pavés et des extincteurs contre les forces de l’ordre, qui ont riposté à coups de gaz lacrymogènes. Un policier a été grièvement blessé, a annoncé la préfecture de Paris. Il se trouve actuellement en "urgence absolue". A Nantes, des cailloux, de la peinture et des fumigènes ont également été projetés vers les gardiens de la paix, qui bloquaient l’accès au centre-ville avec un camion lanceur d’eau. Des abribus ont été brisés.

    Selon la CGT, cette manifestation a rassemblé 60 000 personnes à Paris, alors que la police en a compté 14 000. C’est moins que lors de la précédente manifestation où les organisateurs avaient annoncé 110 000 manifestants. Par ailleurs, les préfectures ont recensé la fermeture d’une quinzaine de lycées dans le pays. [....]

    Vu sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Loi-travail-de-violents

  • Journal du Vendredi 29 Avril 2016 : Entreprise / Quand l’Etat tue les petits patrons

  • 78% des Français redoutent une explosion sociale, selon un sondage

    Seuls 17% des Français sont d'accord avec l'affirmation de François Hollande selon laquelle la France "va mieux" et une large majorité d'entre eux (78%) redoutent au contraire une "explosion sociale", selon un sondage Elabe diffusé jeudi.
    "Oui, ça va mieux", avait lancé le chef de l?État lors de son intervention télévisé du 15 avril.
    Mais 83% des personnes interrogées ne sont pas d'accord avec cette affirmation.
    Si 40% des sympathisants de gauche approuvent les propos de François Hollande, 8% seulement des proches de la droite sont de cet avis, selon cette enquête sur le climat social pour BFMTV.
    Près de huit Français sur dix (78%) estiment en revanche qu'il existe aujourd'hui en France "un risque élevé" d'"explosion sociale", contre 22% pour lesquels ce risque est "faible".
    Ce risque de crise sociale "avec une multiplication des conflits sociaux voire un blocage du pays" est réel pour 64% des proches de la gauche et 84% de ceux de la droite.
    Enfin, seules 28% des personnes interrogées font confiance aux syndicats de salariés pour défendre leurs intérêts, contre 72% d'un avis contraire. Chez les seuls salariés, la confiance dans les syndicats grimpe à 34%, mais 66% d'entre eux ne leur font pas confiance.

    Notes :

    Enquête réalisée en ligne les 26 et 27 avril, auprès d'un échantillon de 1.000 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuyElkuVEVHylFAJWV.shtml

  • Pierre Jovanovic : « Les jeunes devraient manifester devant Goldman Sachs » !

    Dédicaces du livre « 666 » de Pierre Jovanovic, à Reims

    Source: E&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/