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social - Page 447

  • Zenit rencontre le M.A.S: Entrevue avec Arnaud de Robert

    Interview réalisée par Matteo Caponetti de l'Association Culturelle Zenit avec Arnaud de Robert, responsable du Mouvement Action Sociale.

    1.Bonjour Arnaud peux tu nous parler du MAS ,de son année de fondation ainsi que son engagement politique sur le territoire français?

    Le Mouvement d’Action Sociale a été créé en 2008 par des militants provenant de différents groupes et ayant eu des engagements variés: politiques, métapolitiques, associatifs, syndicaux. L’objectif que nous nous sommes assignés est de générer des communautés de combat, des totalités dynamiques engagées réellement auprès de nos concitoyens. Trop longtemps, la mouvance militante s’est contentée de se parler à elle-même. Le lien avec le peuple s’est distendu voire rompu. D’autres ont parlé à notre place, ont parlé pour nous. Nous voulons reconquérir le peuple, nous voulons que nos principes et notre Idéal puissent devenir une réalité ancrée dans le quotidien des Français. Pour cela, nous avons développé des outils, des vecteurs de projection en direction de publics variés : Sport, Culture, radio, conférences, actions de terrain, agitation, entraide sociale, écologie, art… Nous ne nous interdisons aucun domaine, aucune lutte. Nous fondons notre volonté d’agir sur le principe souverain que tout est nôtre.

    2.Quelles sont vos références politiques et culturelles?

    La France est le creuset, le berceau de ce que l’on a appelé plus tard le fascisme. Notre histoire politique a été témoin de cette union entre la justice sociale et la défense de la Patrie. Nous sommes clairement issus de ce creuset, de cette fusion. En conséquence, nos référents culturels se trouvent autant dans les aspirations anarcho-syndicalistes, socialistes que dans l’expression des mouvements nationaux. Se croisent ici Sorel, Proudhon, Lafargue, Nietzsche, Junger, Evola, Venner… mais aussi tout ce que la dissidence a produit de novateur à gauche comme à droite. Nous aimons à réduire les contraires, à fusionner les pensées, à fluidifier les doctrines. De nombreux sites web, mais particulièrement Zentropanous ont ouvert sur un monde d’avant-garde, de radicalité joyeuse et conquérante. Ce site (nous saluons son fondateur Sébastien que beaucoup connaissent et estiment) a été pour nous un levier autant esthétique que militant. Sur le plan structurel, Casapound et son aventure ont été et restent pour nous des références. L’image, le sens, l’élan des camarades italiens est un éperon qui aiguillonne l’ensemble de notre démarche. Nous sommes également très attentifs et curieux des initiatives de la gauche radicale et alternative. Nous parlons ici des avant-gardes et non des valets antifascistes.

    3.Quels sont vos rapports avec les autres mouvements européens?

    Nous avons, comme nous venons de le dire, d’excellents rapports, avec les camarades de Casapound, avec ceux de la communauté Zenit en Belgique, avec les Espagnols, les Allemands, les Polonais, les Russes et les Ukrainiens. Nos échanges nourrissent notre volonté de créer une Europe-puissance, ils nous aident aussi à penser qu’en Europe se lève une nouvelle génération, pleine de maturité et de radicalité. Une génération qui fait face à son destin, sans ciller, prête à relever les défis démesurés qui nous attendent.
     
    Associazione Culturale Zenit – Filtra la verità!

    4.Que pensez-vous de la crise ukrainienne?

    Nous pensons qu’il y a en Ukraine des camarades qui luttent pour leur souveraineté et pour le droit légitime à voir un ethnos s’incarner dans un Etat. Nous saluons leur combat même si nous regrettons que des guerres opposent des frères. Nous avons un ennemi commun avec les camarades ukrainiens: les oligarchies qu’elles soient à Kiev, Paris, Washington ou Moscou. Une Ukraine libre sans l’OTAN ni la Russie, voilà leur volonté. Nous respectons cela comme nous respectons tous ceux qui dans le monde se battent pour la préservation de leur identité. Nous regrettons l’attitude emprunte de nostalgie de monsieur Poutine. Nous pensons que sur l’affaire ukrainienne, le gouvernement russe a manqué une occasion historique d’incarner la 3eme voie que nous sollicitons. Nous nous sommes exprimé sur le sujet, aujourd’hui nous observons attentivement la suite des évènements. Cela nous préoccupe, mais l’essentiel de notre combat est ici et maintenant, sur nos terres, dans nos villages, dans nos villes. C’est là que les nôtres ont besoin de nous!
  • Nouvelle hausse du chômage, et ça continue, encore et encore… (Présent 8282)

    « Il ne faut pas s’attendre à des miracles », confiait mardi matin Manuel Valls. Et c’est bien ce que nous faisions. Mais avec quelque 8.100 demandeurs d’emplois supplémentaires en décembre dernier et 193.200 sur l’année écoulée, 2014 aura été l’année la plus catastrophique depuis l’arrivée au pouvoir de François Hollande. Un fiasco monumental pour celui qui nous promettait « l’inversion de la courbe » avant la fin 2013, qui n’empêche pas cependant François Rebsamen de se dire « optimiste ».

    Nouvelle hausse du chômage, et ça continue, encore et encore… (Présent 8282)« Cause nationale »

    Ainsi, selon les chiffres rendus publics par le ministère du Travail mardi soir, le nombre de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues s’établissait fin décembre à 5 218 200 en métropole (5 521 200 Dom compris). Un chiffre en hausse de 0,8 % le mois dernier et de 6,4 % sur l’année. Premières victimes de cette énième augmentation : les inscrits âgés de 50 ans ou plus, dont le nombre a cru de 0,6 % en décembre (+5 200 inscrits) et de 10,4 % (+77 700) sur l’année. Mais aussi les chômeurs de longue durée, inscrits à Pôle Emploi depuis un an ou plus, dont le nombre a atteint 2 254 600 inscrits en décembre 2014. Sur un an, il a progressé de 9,7 %, soit 199 700 personnes supplémentaires. Un chômage de longue durée contre lequel François Hollande était là encore parti en croisade, l’érigeant même en « cause nationale » lors de la Conférence sociale de juillet dernier…

     

    Méthode Coué

    Quant au nombre des demandeurs d’emploi de catégorie A, catégorie de référence, il a augmenté de 0,2 % en décembre (+8 100 inscrits) et de 5,7 % sur l’année.

    Bref, des chiffres catastrophiques, mais qui n’ont pas empêché François Rebsamen de se dire « plus optimiste qu’au début de l’année dernière ». En raison notamment de l’entrée en application au 1er janvier du miraculeux « pacte de responsabilité ». Un optimisme qu’est pourtant loin de partager l’UNEDIC, qui prévoyait il y a quelques jours une augmentation de quelque 104 000 chômeurs au cours de l’année 2015 et renvoyait à 2016 au plus tôt une éventuelle inversion de la courbe.

    Franck Delétraz

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  • Réformes socialistes ou réformes de liberté ?

    Ce 26 janvier à l'Assemblée nationale était enfin donné le coup d'envoi officiel du débat sur la loi Macron. Après des semaines d'incertitude et de négociations en commissions, voilà qui venait au bon moment pour nous rappeler quel est en vérité l'homme malade le plus problématique pour l'Europe actuelle. Car, jusqu'ici, les gouvernements de M. Hollande n'ont su mener à bien aucune vraie réforme de liberté.

    À cet égard il faut souligner pourtant que les principes de la "Réforme Macron" semblent convenir, selon tous les sondages, à une très grande majorité des Français, environ 60 %.

    Les avis divergent certes selon les divers types de mesures, et, disons-le, toutes ne nous paraissent relever ni de la même urgence, ni de la même pertinence. L'épineuse question des professions réglementées ne saurait être alignée, par exemple, sur celle de la libération de l'offre de transports, essentielle pour la vie quotidienne de millions de Français captifs du monopole ferroviaire.

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    Remarquons, en gros, que cette initiative, – dont le défaut principal tient à sa timidité, – rencontre d'abord l'opposition de la gauche la plus sectaire et la plus racornie du monde. S'y ajoute aussi celle d'une certaine droite. Ainsi, sur le site du "Figaro" le projet de loi est présenté pour "controversé". Ce mot est supposé éliminatoire. Il ne veut rien dire en vérité. Et cependant il permet aux vaseux communicants d'excommunier à bon compte ce qui leur déplaît. Voilà qui en dit long sur la difficulté de certains milieux d'entrer dans le monde de la liberté.

    Ah certes, les 106 articles [initiaux] du projet en faisaient dès le départ une sorte de loi fourre-tout. Donc, effectivement, légitimement,"controverses", débats… Celui-ci durera jusqu'au 10 février. Il a commencé par 82 heures de travail en commission.

    On peut dire aussi, de façon symétrique, que toute loi nouvelle peut être présentée pour une "réforme".

    La république a déjà, sous Hollande, "réformé" de la sorte l'institution du mariage, et elle l'a même sérieusement "révolutionnée". Sans commentaire.

    On peut soutenir aussi qu'a été "réformée", dans un sens plus étatiste et plus collectiviste encore, la réglementation déjà fort lourde de l'urbanisme et du logement par la baguette magique de l'inepte Mme Duflot. Même les décrets d'applications ont été publiés. Effet désastreux garanti.

    Les horaires scolaires des établissements publics, eux aussi, ont subi des évolutions : ces charcutages du temps de travail des éducateurs pourraient "créer des emplois"…  si les employés correspondants existaient, disposés à travailler quelques heures saupoudrées et dispersées. Réforme dites-vous ? Anarchie totale.

    Le gouvernement a également mis en route dès 2012 une évolution plus significative encore : celle du transport ferroviaire.

    On l'a baptisée "réforme Cuvillier" du nom du sous-ministre dont fort heureusement le pouvoir s'est débarrassé. Entre-temps sa "loi" a été votée.

    On aurait sans doute gagné à l'appeler loi Pépy.

    "Le Monde" du 18 décembre remarquait en effet que "le patron de la SNCF applique la réforme ferroviaire en sa faveur". En fait l'embryon existant a subi une interruption volontaire de libéralisation qui ressemble de plus en plus à un avortement socialiste étatiste.

    Une sorte de "holding" d'État coiffera les deux entités, elles-mêmes étatiques, que l'on avait prétendu séparer et que, pour tromper l'ennemi bruxellois, on feint de maintenir distinctes. Et il n'est maintenant un secret pour personne que la SNCF est en train d'avaler son ancienne partenaire RFF rebaptisée significativement "SNCF-Réseau", totalement satellisée désormais par l'astre Pépy, roi de la communication creuse et des comptes à dormir debout.

    L'échec commercial patent de cette structure subventionnaire ne dérange pas ses défenseurs. Attachés de façon quasi théologiques au monopole, ils refusent de voir la réalité en face, et s'opposent à toute préparation à la concurrence, ce qu'avait, trop timidement esquissé la séparation mise en place en 1997.

    Les avis de la cour des comptes, le mécontentement des régions, la tromperie vis-à-vis des engagements européens, les besoins des usagers des transports, les "réformateurs" à la sauce du socialisme hollandais n'en ont cure. On communique, sans agir vraiment. On alourdit la barque de l'étatisme au lieu de l'alléger.

    Seul compte pour eux le maintien bec et ongles du prétendu "modèle social". Ils en sont les plus gros bénéficiaires, faut-il le rappeler ?

    Que vienne par conséquent le temps des réformes de liberté : cette aspiration est devenue majoritaire dans l'opinion réelle.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

  • Le chômage augmente encore : l’échec cuisant du gouvernement !

    Le nombre de chômeurs est désormais de 5,17 millions de personnes.

    Le ministre des Finances, Michel Sapin, la main sur le cœur, annonçait l’an dernier que la courbe du chômage s’inverserait. Encore raté. Nous assistons tout au contraire à une augmentation substantielle du nombre de chômeurs, ; ils sont proportionnellement plus nombreux à s’être inscrits sur les listes de Pôle emploi en 2014 qu’en 2013.

    Le nombre de chômeurs est désormais de 5,17 millions de personnes, et a crû de 181.000 en catégorie A sur les onze premiers mois de l’année 2014. Il devrait atteindre le triste record de 200.000 avec les données du mois de décembre. Le chômage n’a baissé qu’une fois lors de l’année écoulée : c’était au mois d’octobre, et d’à peine 11.100. Une fois n’est pas coutume : le gouvernement n’a pas tenu sa promesse. Ils n’ont eu pourtant de cesse de répéter, dès qu’un micro se présentait à eux, que les « objectifs de baisse seraient atteints ». Hors du coup, le gouvernement peut constater que sa politique produit l’effet inverse de celui attendu ; en 2013, Pôle emploi n’avait en effet enregistré « qu’un » solde positif de 174.800 chômeurs supplémentaires. Les résultats ne sont pas mauvais, ils sont catastrophiques, et le chômage devient endémique en France à la manière de ce qu’on peut observer dans un pays comme l’Espagne.

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  • Leboncoin.fr, premier site d’offres d’emplois devant Pôle emploi

    Alors que les chiffres du chômage pour le mois de décembre seront publiés ce mardi, nous vous proposons un focus sur un phénomène qui en dit long sur la situation actuelle du marché du travail.

    Le site internet Leboncoin.fr, sur lequel les particuliers postent des annonces afin de vendre des meubles ou des voitures par exemple, est devenu le premier site d’offres d’emplois en France, surpassant ainsi le Pôle emploi. Comment expliquer un tel succès ? Éléments de réponse.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • “Mixité sociale” obligatoire : le gouvernement menace de réquisitionner (Présent 8280)

    Durcissement de la loi SRU, réquisition de terrains constructibles, augmentation des pénalités financières… Invité vendredi dernier sur RMC, le ministre de la Ville Patrick Kanner (photo), revenant sur le projet de lutte contre la « ghettoïsation » de Manuel Valls, a promis de se pencher sur le cas des communes réfractaires.

    « Mixité sociale » ou…

     

    Une du numéro 8280 de "Présent"

    Une du numéro 8280 de “Présent”

    Expliquant qu’« il n’y a pas de critères ethniques dans les commissions d’attribution » des logements sociaux, mais que « de fait, on retrouve dans les banlieues les mêmes pauvres, les mêmes gens issus de l’immigration », Patrick Kanner a alors promis que le gouvernement allait remédier à ce problème. Comment ? Par la force. En effet, a-t-il ajouté, « il faut déjà que les lois soient appliquées partout sur le territoire, ce qui n’est par exemple pas le cas de la loi SRU. (…) Il y a encore des villes qui préfèrent payer des amendes plutôt que de construire des logements sociaux ». C’est pourquoi le ministre estime qu’« il faut reprendre cette loi, la durcir, pour que la République s’applique sur tout le territoire ». Et « l’on peut par exemple imaginer que l’Etat puisse se saisir de terrains disponibles dans ces quartiers et construise à la place des collectivités territoriales ».

     

    Multiplication des zones de non droit ?

    On rappellera d’abord que la loi de 2013 sur la mobilisation du foncier public permet déjà de quintupler les pénalités financières des communes n’atteignant pas leur quota de HLM. Certes, en plafonnant la pénalité à 7,5 % du budget de la commune. Au grand désespoir d’ailleurs des associations comme la Fondation Abbé Pierre, dont le délégué général adjoint Christophe Robert regrettait vendredi que certaines pénalités n’aient « pas été quintuplées mais seulement doublées ».

    Mais surtout, le gouvernement devrait commencer par se demander pourquoi certains maires préfèrent depuis des années payer des amendes plutôt que de construire des HLM sur leur commune. Même s’il est plus facile de faire payer à d’autres les pots cassés de la politique d’immigration délirante et du laxisme judiciaire observés depuis trop longtemps dans notre pays.

    Frank Deletraz  http://fr.novopress.info/

  • [Lu sur Le Net] De retour du djihad, il vit des allocations handicapé

     PARIS (via l’Observatoire des gaspillages)
    Dans l’édition du « Point » du 16 janvier, un article intitulé « L’histoire funeste des trois tueurs » brossait le portrait du « réseau des Buttes-Chaumont » dont faisaient partie les frères Kouachi et Amedy Coulibaly, les auteurs des récents attentats de « Charlie Hebdo », de Montrouge et du supermarché casher de la Porte de Vincennes à Paris. L’article mentionne le cas d’un comparse, Mohamed el-Ayouni, qui s’était rendu en Irak en juillet 2004. Dans les combats de Falloujah, il avait perdu son bras et son œil gauches. De retour en France, il avait demandé une allocation handicapé… et l’avait obtenue des services sociaux.

    Ce n’est que grâce à une allusion au détour de la deuxième page de l’article (p.44) que l’on découvre que Mohamed el-Ayouni a bénéficié d’une allocation handicapé à son retour d’Irak alors que les services sociaux ne pouvaient ignorer dans quelles circonstances il avait perdu son œil et son bras gauches :

    Mohamed-el-Ayouni-p44

    Une lectrice, membre de Contribuables Associés, s’est émue de cette information et en a saisi le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Marisol Touraine. Cette dernière ne détenait certes pas ce portefeuille en juillet 2004 (à l’époque, c’était l’UMP Philippe Douste-Blazy), mais ce sont ses services qui ont attribué cette allocation handicapé. Vous pouvez lire ci-dessous la lettre de notre membre, ou la télécharger en cliquant ici (nous avons occulté son identité et son adresse pour des raisons évidentes).

    Lettre-Marisol-Touraine-Mohamed-el-Ayouni

    Si, comme cette lectrice, et comme nous-mêmes, vous trouvez choquant que les services sociaux aient pu attribuer une allocation handicapé à un terroriste qui revenait d’Irak avec des mutilations liées à la guerre qui y sévissait, merci de partager cet article par courriel, sur Facebook et sur Twitter. Vous pouvez également écrire au ministre de la Santé afin qu’il fasse toute la lumière sur ce véritable scandale.

    http://fr.novopress.info/181436/lu-net-retour-du-djihad-il-vit-allocations-handicape/

  • Plus de 25 milliards d’euros de dette pour l’assurance chômage

    Les gens compétents qui nous gouvernent voient se traduire dans les chiffres les résultats calamiteux et catastrophiques de l’économie française.

    Selon l’Unedic, l’organisme paritaire gestionnaire de l’assurance chômage, la dette cumulée sera de 25,9 milliards d’euros, après avoir augmenté encore de 4,4 milliards d’euros en 2015. Car 2015 sera une année catastrophique pour l’emploi, avec une prévision d’environ 200.000 chômeurs de plus sur la base des « inscrits » !

    Ces chiffres réjouissant ont été calculés sur la base de 0,8% de croissance pour 2015, prévision de croissance très optimiste, comme d’habitude.

    Hollande a inversé la courbe du chômage : elle est exponentielle.

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/plus-de-25-milliards-deuros-de-dette-pour-lassurance-chomage/23195

  • Le FN en tête chez les salariés syndiqués à Force ouvrière et Sud

    Un sondage Ifop pour l'Humanité note que les consignes syndicales pèsent moins dans le choix du vote. 
    L'engagement syndical amène-t-il au vote FN? Malgré les consignes des centrales syndicales, un sondage Ifop publié mercredi dans l'Humanité va à l'encontre des idées reçues. 
    L'enquête révèle que 33% des sympathisants de Force ouvrière ont opté pour le vote frontiste lors des dernières élections européennes. Chez Sud-Solidaires,même choix pour 27% des personnes interrogées. Dans ces deux organisations, c'est le parti de Marine Le Pen qui a été le plus plébiscité. Il y récolte des scores supérieurs à la moyenne nationale (25%). 
    À la CGT, le FN arrive deuxième mais rassemble tout de même 22% des sondés, derrière le Front de gauche (30%). 
    Plus de 40% des ouvriers ont voté FN 
    Interrogé par le journal communiste, Pascal Debay, conseiller confédéral CGT en charge de la lutte contre l'extrême droite assure «que ce n'est pas une surprise». «Mais on ne peut se satisfaire du score du vote FN», dit-il. La centrale de Montreuil, avec la FSU et Solidaires, a lancé début janvier une action commune pour lutter contre les idées du Front national. «Il faut travailler ces questions sur la durée avec nos syndiqués, sans les culpabiliser», confirme le cadre cégétiste, cité par le quotidien. 
    Pourtant, plusieurs syndiqués qui ont fait le choix de se présenter sous les couleurs du FN lors de précédents scrutins ont été exclu ou menacé d'une telle procédure. 
    Au lendemain des dernières élections européennes, deux sondages ont confirmé que plus de 40% des ouvriers (46% selon l'Ifop, 43% selon Ipsos) ont voté pour les listes présentées par le parti d'extrême-droite.