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social - Page 507

  • Travailler le Dimanche : l’étape avant la prostitution des enfants ?

    Les esprits chagrins crieront à l’exagération. Les esprits avertis rétorqueraient qu’en réalité l’étape est déjà franchie par les grâces d’une mondialisation cache-sexe. Pourquoi poser la question du travail du Dimanche en des termes violents ? 

    Il s’agit en réalité de peser les ressorts mais également les conséquences du retour de ce débat. Débat qui n’en est pas un comme à l’habitude puisque les partisans du tout travail agitent leurs étendards habituels, primat de la liberté individuelle et nécessité de crise. Toute personne osant rappeler que ce sont les mêmes qui conduisirent la France et le monde dans cette crise deviendra automatiquement un passéiste ou pire un communiste, preuve s’il le fallait que le néolibéralisme admet la liberté pour ses actions, mais ne s’oblige certes pas à nuancer le débat. Le travail du Dimanche qu’on présente à grands cris comme la conclusion logique de l’évolution du monde n’est rien d’autre qu’une nouvelle atteinte à notre civilisation et à ses valeurs. Reste à savoir si vous préférez l’ouverture d’un magasin de bricolage ou la sauvegarde des sources de cette civilisation.

    La violence de la fausse liberté.

    L’un des arguments les plus fallacieux utilisés par les tenants du retour est la mise en exergue de la liberté des grandes enseignes et notamment de leurs employés. L’étudiante faisant les Week end dans les magasins de bricolage ou le retraité tenant la caisse auraient finalement le droit à ce gagne pain salvateur. Un gagne-pain dont il serait entendu que la mise en perspective avec les vertus salvifiques du Dimanche sanctifié reviendrait à un ébranlement dramatique de la laïcité. On trouvera bien quelques cathos branchés pour servir de faire valoir à cette position. Ils développeront à l’envie leur vieille rengaine, la balance entre responsabilité et liberté, vieille usurpation du débat qui possède l’avantage d’exclure de la réflexion toute inquiétude quant au système, à la dictature de l’argent et finalement au sens véritable de la Liberté. [...]

    Charles de Meyer - La suite sur Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Travailler-le-Dimanche-l-etape

  • La Bretagne commence à gronder

    RENNES (NOVOpress) – L’incendie couve en Bretagne face à la crise que connaît le secteur agroalimentaire avec la suppression de 900 emplois chez Gad, 500 autres prochainement chez Harvest Marine auxquels s’ajoutent les 1000 emplois supprimés l’année dernière chez Doux. L’agroalimentaire emploie plus de 80 000 personnes en Bretagne qui subit de plein fouet la concurrence des autres pays européens Certains ne sont pas sans comparer la situation de l’agroalimentaire en Bretagne à la crise qu’a connu la sidérurgie en Lorraine, avec la casse que l’on connaît : des régions entières sinistrées économiquement, en proie au désespoir social.

    Dans l’agriculture aussi, directement dépendante des industries agoalimentaires, les temps sont rudes : En 10 ans sur une surface agricole comparable, le nombre d’exploitations et de leurs patrons (chefs ou coexploitants) a chuté d’un tiers, tandis que les salariés permanents non-familiaux progressait, symptôme d’une montée en puissance des grands groupes, au détriment des petits producteurs…

    Autre motif de colère : la mise en place au 1er janvier 2014 de l’écotaxe, perçue par les Bretons comme une nouvelle gabelle. Ce dispositif fiscal à vocation écologique va s’appliquer à tous les camions français et étrangers de plus de 3,5 tonnes qui circulent sur le réseau national non payant et qui seront contrôlés automatiquement par des portiques bardés d’électronique. La Bretagne paiera le prix fort pour cette nouvelle taxe puisqu’elle ne dispose d’aucune autoroute payante et qu’elle constitue une péninsule à l’extrême ouest. Les transporteurs bretons ont d’ores et déjà calculé que cette écotaxe coûtera 70 à 80 millions d’euros aux seules entreprises agricoles et agroalimentaires et dissuaderait d’éventuels investisseurs de s’installer en Bretagne.

     

    Depuis le début de la semaine, les actions coups de poing se multiplient : occupation du tarmac de l’aéroport de Brest, opération escargot sur la RN 12 à Morlaix. Mercredi, l’ensemble des sirènes d’alarme et d’incendie ont sonné dans les entreprises membres de la marque « Produit en Bretagne » tandis que certaines communes faisaient sonner le tocsin au clocher des églises.

    Plus radical encore, les entrepreneurs et routiers bretons sont bien décidés à refuser les portiques écotaxes. Déjà au début d’août, environ 450 manifestants avaient abattu en pleine journée à Guiclan (Finistère) un portique écotaxe enjambant la N12. Au début de la semaine, un portique similaire situé sur un axe routier majeur près de Quimper a été saboté et un autre, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le Morbihan, sur la commune de Saint-Allouestre. Le 11 octobre dernier à Pont-de-Buis, environ 450 opposants, éleveurs, industriels, salariés de coopératives ont défilé sur la RN 165, mais ils ont été stoppés par un cordon de gendarmes mobiles au pied du portique. Mais ce n’est visiblement que partie remise : « Ce portique ne restera pas. J’encourage à le démonter, on n’en restera pas là », a déclaré Thierry Merret, président de la FDSEA du Finistère, lui-même producteur de légumes. « Nous avons demandé aux préfets de dégager les portiques, ils n’ont rien a faire en Bretagne », a affirmé de son côté François Palut, président de l’Association pour le maintien de l’élevage en Bretagne.

    Les mesures annoncés par Jean-Marc Ayrault sont considérés comme une provocation par les Bretons, les 15 millions d’euros promis représentent une goutte d’eau par rapport aux fermetures d’usine. Pire encore, malgré quelques assouplissements, les portiques écotaxes resteront en Bretagne.

    Par la faiblesse des mesures annoncées dans son « Pacte d’Avenir », le gouvernement ne semble pas avoir pris conscience de la menace. Le gouvernement semble avoir oublié les terribles colères bretonnes, lorsque des sous-préfectures étaient prises d’assaut par les agriculteurs, ou bien lors des dévastatrices émeutes des marins pêcheurs. Pour lui rafarichir la mémoire, une représentante du personnel de Doux tenait le 16 octobre des propos lourds de menace : « Si rien ne se passe, il y aura le feu. Aujourd’hui, il y a une alliance paysans-ouvriers. On a les moyens, s’il faut qu’on entre en lutte, on le fera. Octobre 2013, ce sera peut être mai 68, la révolution. Alors les moyens pour éteindre le feu devront être à la hauteur. »

    http://fr.novopress.info/142276/la-bretagne-commence-a-gronder/#more-142276

  • Madame Bertinotti est devenue le "ministre de la non-famille"

    Charles-Henri Jamin, Président du PCD, réagit à l'entretien que le ministre chargé de la famille, Dominique Bertinotti, a accordé au Figaro :

    “Dominique Bertinotti l’a déclaré dans son interview du 16 novembre au Figaro : elle n’est pas là pour défendre LA famille, mais pour promouvoir LES familles. Par sa voix, le gouvernement écolo-socialiste persiste et signe : il n’y a plus de famille. Il y a des additions d’individus qui s’agrègent selon leurs envies ou qui voient toute relation affective suffisant à définir une famille ! L’altérité sexuelle et la filiation sont exclues de toute définition de la famille…

    D‘ailleurs, il n’y a plus de définition du tout. Madame Bertinotti est clairement devenue la "ministre de la non-famille", avec les boîtes de Pandore qui sont ouvertes et d'où s'échapperont toutes les dérives imaginables ! Madame Bertinotti nous dit que ce qui prime pour juger un modèle, c’est l’intérêt supérieur de l’enfant. Mais quand on considère que le fait pour un enfant d’être privé de l’un de ses parents ou d’être traité comme un objet de marchandisation ne nuit pas à son intérêt supérieur, qu’entend-on par « intérêt supérieur ?

    Ce gouvernement, sur ce sujet comme sur bien d'autres, se laisse aller à des dérives idéologiques et libertaires. À l'instar de la formule bien connue, nous vous alertons Madame Bertinotti : les ambitions que l'on vous fait porter sont celles de feuilles mortes, ballotées par le vent des modes et des postures. Avec vos déclarations, il n’y a plus de garde-fou. Et si des couples de femmes parviennent à avoir recours à la PMA , faut-il pour autant constater béatement ce que vous considérez comme une évolution de la société et aussitôt l’encadrer juridiquement ? Parce que des personnes détournent la loi, faut-il donc changer la loi ? Quel terrible et inquiétant message vous envoyez aux Français ! Madame le Ministre, prenez votre courage à deux mains et redevenez, si c'est encore possible, chargée dans ce gouvernement de la Famille ! J'en appelle à la hauteur de vue qui doit être la vôtre et à la fidélité à votre portefeuille ministériel qui devrait faire de vous une protectrice de la famille, socle de la France. »

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Hommens à La Roche sur Yon

     

    H2
    Cette action n’est a priori qu’un préambule, car le ministre Bertinotti sera de passage à la Roche-sur-Yon vendredi à 16h30. Sur la banderole déployée, nous pouvons lire : "Bertinotti, on t'attend".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La taxe du jour concerne votre épargne

    Extrait de l'exposé des motifs de l'article 8 du projet de loi de finance de la Sécurité sociale :

    "Aussi, dans un objectif d’équité fiscale, il est proposé de mettre fin à l’application des « taux historiques » et d’harmoniser les règles de prélèvement applicables aux produits de placement. Ainsi, pour les produits de placement actuellement régis par cette règle, les différents prélèvements s’appliqueront au taux en vigueur au moment du fait générateur, et à une assiette unique, définie par celle de la contribution sociale généralisée, à savoir les gains acquis depuis 1997."

    Commentaire de Ma vie mon argent :

    "Pendant des années, y compris il y a quelques mois, les gouvernements vous ont tenu un discours  sur l’épargne longue, vous assurant qu’il était nécessaire que vous investissiez à long terme sur l’économie et pour cela vous promettaient un avantage fiscal. C’était pour mieux vous manger, mes enfants!!!!

    Pea, Pel, assurance vie… toute votre épargne verra ses plus values imposée au taux de 15,5% quel que le soit le taux en vigueur l’année où vous les avez réalisées. 

    C’est ni plus ni moins du vol, de la spoliation. Dire que cela est étonnant, que le non respect des dispositions du code civil qui stipule que les lois ne peuvent être rétroactives que dans le cadre d’un bénéfice pour le citoyen et jamais à son détriment serait mentir. Nous sommes dans la longue tradition politique de la famille socialiste de déni du droit et du mépris des citoyens."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Préférence nationale pour sauver la France de la faillite ?

    « Celui qui n'aime pas sa mère plus que les autres mères et sa patrie plus que les autres patries n'aime ni sa mère ni sa patrie. »
    Paul Déroulède

    Ce texte est pour nous une occasion de faire notre coming-out anticolonialiste.

    Afin de bien faire comprendre notre point de vue et pour ne pas passer tout de suite pour un méchant « fasciiiiste » auprès des âmes sensibles lobotomisées par la bobocratie, nous nous sentons obligés raconter une anecdote personnelle.

    Avant d'avoir l'infini honneur de prêter serment devant la Cour d'appel de Paris, préalablement à notre intégration au barreau de la dite-ville, nous souhaitions savoir quelle était précisément notre situation vis-à-vis de la sécurité sociale.

    La Providence nous amena alors à la CAF de notre quartier de l'époque, en toute innocence, avouons-le. A l'entrée, nous prîmes un ticket, avant de nous rendre à l' « open-space » de l'agence. En son centre, des bancs étaient disposés pour les visiteurs du jour. Sur les côtés, se trouvaient les divers bureaux des agents de la CAF.

    Surprise, parmi les nombreuses personnes en attente, nous étions le seul visiteur à ne pas être austro-hongrois. Soit. Ce n'était ni la première ni la dernière fois que nous nous trouvions en minorité ethnique dans cette région qu'on appelait autrefois l'Ile-de-France.

    Ainsi donc, nous nous assîmes et attendîmes, livre de Huysmans à la main. Du fait de notre placement, nous pouvions entendre les conversations qui émanaient de différents bureaux. Nous percevions même distinctement, précisément, ce qui se disait au bureau placé juste en face de nous.

    Arriva alors le tour d'une mama austro-hongroise, munie, pour l'occasion, de deux très jeunes enfants. Notre mama parlait extrêmement mal le français. Malgré tout, nous réussîmes à comprendre la phrase suivante : « qu'est-ce que vous pouvez faire pour m'aider madame ? ». Conscient que du fait de notre condition de travailleur libéral l'URSS(AF) et les impôts nous pomperons chaque mois la moitié de notre argent durement gagné, nous nous dîmes spontanément : « je ne veux pas lui lâcher mon pognon ». Eh oui, monstre d'égoïsme que nous sommes, nous confessons ne ressentir aucune solidarité et aucun sentiment de devoir envers l'Autriche-Hongrie. Est-ce normal docteur ?

    Ce que cache le débat sur la préférence nationale

    Il ne viendrait pas à l'idée d'une mère de favoriser un autre enfant à la place du sien. Il faut vraiment que l'esprit des Français ait été déréglé pour qu'aujourd'hui la préférence nationale soit perçue comme la quintessence du fascisme et du racisme.

    Un auteur dont nous tairons le nom, pour à nouveau ne pas effrayer les âmes sensibles, disait que la nation est la famille des familles. Ceci signifie simplement qu'un lien de solidarité particulier existe entre compatriotes. Ce lien peut se traduire notamment par le fait que la solidarité des Français soit réservée aux Français. En d'autres termes, la préférence nationale revient à tirer les conséquences logiques de l'existence de la France en tant que nation. Voilà donc l'idée qui terrifie tant les Français qui ont subi un lavage de cerveau libéral-libertaire : la France serait une nation singulière et non un magma multiculturel.

    Certains se demanderont pourquoi nous opposons la solidarité entre Français avec la solidarité envers les immigrés. Pour une raison fort simple. A partir du moment où le critère principal d'attribution des aides est la condition sociale, les immigrés fraichement arrivés devanceront toujours les Français. La kafkaïenne distribution de logement HLM est à ce titre extrêmement significative : il est aujourd'hui presque impossible à un français de bénéficier d'un logement social. Cet état de fait n'a ni fondement moral, ni fondement logique.

    Une mesure anticolonialiste

    Nombre de zones du territoire français sont des zones défrancisées. De facto, les codes sociaux de ses habitants ne sont pas les codes sociaux de la société française. En outre, on ne compte plus le nombre de cités devenues pour les dealers de véritables fiefs où la loi française ne s'applique plus.

    La question de la défrancisation de la France est une question vitale que seule une folie collective retire du cœur du débat public. Pour résumer ce qui ce passe, nous dirons simplement que la France finance sa propre contrecolonisation. Par les extraordinaires avantages qu'elle accorde aux immigrés légaux et illégaux en matière de logement et d'allocation en tout genre, la France attire et maintient sur son territoire des populations qui n'ont pas l'intention de franciser leur mode de vie et leur culture.

    Un pays normal, c'est-à-dire non abrutie par des années de politiquement correct, n'accepterait pas cette situation suicidaire. Une droite non émasculée doit avoir le courage de dire que ce délire n'a que trop duré. Il est temps de cesser de financer la présence de populations qui n'apportent rien au pays, qui lui coûtent des dizaines de milliards et qui vide certains territoires de toute trace de présence française.

    France ou Autriche-Hongrie, il faut choisir

    Asphyxiée par la dette, la France ne peut plus se payer le luxe de distribuer son argent aux premiers venus. Pour relancer son économie, la France doit massivement baisser sa fiscalité afin de laisser respirer ses PME. Les économies engendrées par la préférence nationale permettraient de financer une baisse, voire une suppression des charges qui pèsent sur nos entreprises.

    Pour des motifs culturels, souverainistes, économiques et sociaux, la préférence nationale est une condition sine qua non du redressement français. A cela, les grotesques et désormais stériles accusations de fascisme ne changeront rien.

    Adrien Abauzit

    Retrouvez né en 1984 sur notre boutique

    http://www.scriptoblog.com/index.php/blog/actu-site-et-amis-du-site/1148-preference-nationale-pour-sauver-la-france-de-la-faillite

  • Les Français sacrifient leur santé

    PARIS (NOVOpress) –  Les Français qui renoncent à se faire soigner pour des raisons économiques sont de plus en plus nombreux. Ils sont 33 % à renoncé à des soins en 2013, contre 27 % en 2012, selon le 7e Baromètre de la santé en Europe réalisé par l’institut CSA pour Europ Assistance. Ils étaient seulement 11 % en 2009 à sacrifier leur santé en raison de difficultés financières. Pour 25 % des sondés, les coupes budgétaires portent sur les soins dentaires. Pour 17 %, il s’agit des soins d’optique et pour 12 % les soins dits courants, comme la consultation d’un généraliste. Les soins lourds (opérations chirurgicales, examens…) représentent 7 % de ces renoncements.

     

    Selon le Baromètre, 41 % des Françaises se sont passé de certains soins en 2013, contre 23 % des hommes. La proportion est également plus importante chez les actifs (36 %) que chez les inactifs (27 %). La tranche d’âge la plus touchée par cette régression se situe entre 18 et 39 ans. Autre indicateur fort : la progression en France est la plus forte dans l’Union européenne, avec 6 points en une année. Avec 33 % des personnes interrogées qui disent avoir fait une croix sur des soins en 2013, la France est bien au-dessus de la moyenne européenne, située à 18 %. Les Français économisent sur leur santé, mais parallèlement il y a une pression fiscale de plus en plus lourde , l’avortement est remboursé à 100 % et l’Etat, qu’il soit dirigé par la gauche ou la droite, engloutit une fortune pour favoriser l’immigration de masse en France.
    http://fr.novopress.info/142204/les-francais-sacrifient-leur-sante/#more-142204

  • Les socialistes taxent les pauvres… et l’or !

    Nous avons officiellement dépassé les 44 nouvelles taxes de créées depuis la prise de pouvoir de François Hollande à bord du Titanic France, et la fiesta continue allègrement! tant que personne ne les arrête…

    La commission des finances de l’Assemblée nationale a porté le 10 octobre la taxe sur la vente ou l’exportation de métaux précieux de 8 à 12%. Voici des informations à ce sujet car, en ces temps de disette fiscale pour notre gouvernement, chaque jour nous avons droit à la création d’un nouvel impôt et autre nouveauté sortie de notre classe politique dépassée par un endettement hors de contrôle.

    La nouvelle taxation sur l’or… une stupidité gouvernementale de plus, contre-productive !

    Le nouveau projet de taxation de l’État sur les métaux précieux. Accrochez-vous car il faut se pincer pour y croire de la part d’un gouvernement « socialiste » dont je vais me charger personnellement de montrer une fois de plus qu’ils sont des abrutis finis. Vous pouvez faire passer cet édito à votre dépité, heu pardon, député ou directement au Premier sinistre ou encore à notre président de la République.

    Soyons clairs et sans ambiguïté. J’aime l’or et je suis un vendeur d’or. Je vends de l’or parce que je crois à l’or comme solution en tout cas partielle (avec les terres et les boîtes de conserves) pour nous aider à passer au mieux cette période de crise en tout cas en terme patrimonial.

    Même avec cette augmentation, puisque la taxe forfaitaire passe de 8 à 12%, la fiscalité sur l’or reste avantageuse. Il n’y a aucune raison pour que les détenteurs d’or soient exemptés de toute participation à l’effort fiscal national, je l’ai déjà dit, tout comme j’ai déjà écrit qu’il était évident que les taxes sur l’or allaient augmenter… Ce n’était pas dur à prévoir car toutes les taxes augmentent toujours… 100% de chance de réussir mon pronostic.

    Non, ce qui me gêne, c’est que cette « surtaxe » sur l’or vient officiellement compenser une « détaxe » sur les importations en France d’œuvres d’art en provenance de l’étranger… Et c’est cela qui me met en fureur, mais une saine colère comme le dit l’ex du mamamouchi en chef.

    Voilà une taxe juste et bien sôôôcialiste !

    Que dit le texte ? La chose suivante : « Le rendement attendu de cette mesure permettra, pour partie, de gager une baisse du taux de TVA sur les importations d’œuvres d’art de 10% à 5,5% ».

    Le gouvernement socialiste détaxe donc en partie les achats d’œuvres d’art effectués à l’étranger et compense cette perte fiscale par une augmentation des taxes sur l’or.

    Alors je vais vous dire le fond de ma pensée. Des centaines de milliers de Français revendent leur or, harcelés de publicités et de propositions de rachat pas toujours très honnêtes par des officines plus que douteuses, domiciliées en général dans des paradis fiscaux. Ceux qui revendent leur or sont des gens qui ne connaissent pas grand-chose à l’économie. Ce sont des gens qui ont des difficultés financières et qui ont besoin de ces quelques dizaines ou centaines d’euros supplémentaires. Ce sont des pauvres au sens socialiste du terme.

    De l’autre côté, j’ai rarement vu un smicard (le cœur de cible de l’électorat socialiste) faire importer une œuvre d’art du musée Guggenheim aux USA…

    Cette mesure est donc utile pour les très, très riches, sous couvert bien-pensant de l’exception « Kulturelle » française, elle favorise les immenses, les très grands bourgeois, les très riches et défavorise évidemment les pauvres qui ont besoin de revendre leur or.

    Ce que je trouve inadmissible, ce n’est pas d’augmenter cette taxe sur l’or. Ce que je trouve honteux et scandaleux c’est que, dans la situation économique actuelle de notre pays, nous baissions les taxes sur les importations d’œuvres d’art.

    Voilà le scandale de cette affaire et il ne faut pas s’y tromper.

    La conséquence la plus évidente de cette mesure est que, malheureusement, les personnes voulant vendre leur or iront le faire hors de France, notamment en Belgique, pour éviter de subir une taxe confiscatoire. En fin de compte, un passage de 8% à 12% de la taxation sur les métaux précieux risque de se traduire par une forte baisse de collecte.

    Si la taxe, même de 8% était appliquée sur tous les produits (y compris ceux traités par les bijoutiers qui en sont exemptés), et sur des prix fixés de manière « juste » avec une cotation officielle, il serait possible de multiplier par deux ou trois la taxe collectée, sans pour autant pénaliser les professionnels ou les consommateurs. En 2012, l’Etat a collecté moins de 100 millions d’euros de taxe sur les métaux précieux. Combien a-t-il perdu en raison de ceux qui ont vendu en Belgique ? De ceux qui n’ont pas vendu au bon prix ? De ceux qui ont revendu à des bijoutiers ?

    Autre chose que nos amis socialistes devraient méditer…

    À compter du premier octobre, les taxes de vente sur l’or, l’argent, le platine et les pièces numismatiques n’auront plus lieu d’être. C’est la première fois qu’un État élargit une exemption de taxe à l’or et à l’argent.

    Jusqu’alors, les Texans avaient à payer une taxe de 6,25 % sur leurs achats de métaux précieux de moins de 1 000 dollars, une taxe qui étaient considérée comme particulièrement onéreuse pour les petits investisseurs. Le gouverneur Rick Perry a ratifié la loi H. B. 78 le 14 juin dernier.

    Voilà, nos dirigeants en général et socialistes en particulier sont toujours en retard d’une guerre. En France, nous augmentons les taxes sur l’or au moment où, aux USA, ils les suppriment… Il faut dire qu’eux se préparent à la faillite et laissent aux gens la possibilité de s’y préparer. Au moins, il y aura quelques survivants.

    Chez nous, nous coulerons tous ensemble. Le président Hollande n’est pas un capitaine de pédalo comme cela avait été dit méchamment à son égard. Il est le commandant du Titanic. C’est plus gros certes… mais cela n’empêchera nullement une fin collective dramatique.

  • La caisse noire de l’UIMM servait à financer des syndicats “par tradition”

    Certains des retraits en liquide inexpliqués de la caisse noire de l’UIMM ont bien servi à financer des syndicats. Denis Gautier-Sauvagnac, l’ancien patron de l’organisation, l’a confirmé à la justice ce 14 octobre.

    Denis Gautier-Sauvagnac va-t-il enfin parler? A l’ouverture de cette deuxième semaine de procès des caisses noires de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM), son ex-patron a commencé à dévoiler des informations, ce 14 octobre.

    Le prédécesseur de Frédéric Saint-Geours à la tête de la plus puissante fédération du Medef a confirmé devant le tribunal correctionnel de Paris que les syndicats étaient bien les bénéficiaires des enveloppes d’argent liquide.

    Le nom des bénéficiaires reste un mystère
    La justice s’intéresse à des retraits en liquide entre 2000 et 2007, de plus de 16 millions de la caisse de l’UIMM, dotée de centaines de milliers d’euros grâce aux cotisations des entreprises adhérentes et censée servir à leur apporter “un appui moral et matériel” en cas de conflit du travail.

    Le juge d’instruction chargé de l’enquête présume que des enveloppes ont été distribuées à certains syndicats. Denis Gauthier-Sauvagnac a bien évoqué une “tradition de l’UIMM depuis des décennies d’apporter son concours financier à des organismes qui participent à notre vie sociale“. Mais il refuse toujours de dévoiler les noms des bénéficiaires de ces dons.

    BFM

     http://fortune.fdesouche.com/328151-la-caisse-noire-de-luimm-servait-a-financer-des-syndicats-par-tradition#more-328151