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social - Page 503

  • Immigration : le MEDEF parle la même langue que l’extrême gauche

    Entretien de Boulevard Voltaire avec Alain de Benoist

    De tout temps, les peuples se sont déplacés, les uns envahissant les autres, certains s’assimilant aux terres conquises, d’autres s’en faisant chasser. Les actuelles immigrations massives paraissent obéir à une autre logique…

    AdeB : Ces migrations relèvent en effet d’une logique purement économique : intériorisation des seules valeurs marchandes et mise en place d’un système globalisé. Elles sont en outre parfaitement conformes à l’esprit du capitalisme. Au XIXe siècle, Adam Smith expliquait déjà qu’un marchand n’a d’autre patrie que l’endroit où il peut faire son plus gros bénéfice. Son principe relevant de l’illimitation, c’est-à-dire du « toujours plus », le capitalisme porte en lui l’impossibilité de demeurer dans l’en-deçà d’une frontière. Il aspire à supprimer les frontières. C’est le principe même du libre-échange : « laisser faire, laisser passer ». La libre circulation des marchandises et des capitaux implique évidemment aussi celle des hommes.

    La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Immigration-le-MEDEF-parle-la-meme

  • Nicolas Perruchot sur le financement des syndicats (+ chronique de Nicolas Doze)

  • La crise grecque et ce qui nous attend

    131021"Pour un Européen qui réfléchit, il n'est plus possible de se réjouir avec une malice machiavélique de l'infortune du voisin ; tous sont unis pour le meilleur et pour le pire." Robert Schuman.  (1)⇓

    Depuis maintenant plusieurs années je m'efforce de suivre, de comprendre, d'archiver les évolutions de cette crise. J'épargne à mes lecteurs les détails des incertitudes et les affres qu'elle recèle depuis 2009. Je préfère leur communiquer ce qui me semble les leçons valables pour chacun de nos pays, sans références aux spécificités locales, ouzo, rebetiko, folklore, etc.

    En effet, si, d'emblée certains médiats en France comme dans d'autres pays, se sont employés, pour des raisons parfois différentes, à noircir le tableau, il ne faut y voir un effet ni du hasard, ni de la méchanceté, ni de quelque estrangement remontant au Moyen âge européen et à l'apogée byzantine.

    On a fait croire aux Français, par exemple, que les Grecs ne payaient pas d'impôts afin de nous persuader qu'il fallait accepter sans broncher encore plus de fiscalisme, d'étatisme et de redistribution, alors que l'économie française travaille déjà à 57 % pour financer la gabegie publique.

    On a révélé aux Français que les armateurs résidant à Londres n'acquittaient pas d'impôts à Athènes. Il s'agissait à usage interne de justifier la gesticulation absurde contre l'émigration fiscale et sociale. Envieuse et contre-productive, cette campagne confond les causes et les conséquences. Les Français fortunés ne quittent pas leur pays de gaîté de cœur, ils ne se précipitent pas vers des paradis bancaires, ils fuient l'enfer administratif et collectiviste jacobin.

    Autrement dit, toute observation objective de la crise des États de l'Europe du sud membres de l'euro tend à nous ramener à la situation de la France.

    Or, ni l'Italie, ni la Grèce, ni le Portugal, ni même l'Espagne – dont les dirigeants s'emploient cependant par tempérament national à parler un peu "comme si" la loi de la pesanteur fonctionnait différemment sous le noble ciel de Castille – aucun de ces pays ne feint d'ignorer les faits. Le gouvernement de Paris, au contraire, s'est installé dans le déni. Le petit cochon rose s'ébroue dans sa boue. On a beaucoup reproché à The Economist de l'avoir souligné par sa couverture, le "Déjeuner sur l'herbe", à la veille des élections présidentielles de 2012. Or l'Angleterre et l'Irlande qui ont pris, leurs problèmes à bras le corps commencent à voir le bout du tunnel. L'Hexagone est au contraire en train d'y pénétrer, d'y stagner, d'y patauger.

    En ce moment que se passe-t-il en Grèce ?

    Le gouvernement de coalition, issu des élections si périlleuses du printemps 2012, dirigé par Antonis Samaras, commence à engranger les résultats de 15 mois d'efforts soutenus et de coopération, pas toujours facile, avec les représentants de ses bailleurs de fonds.

    Le budget de l'État dégage désormais des excédents primaires, c'est-à-dire qu'il commence à rembourser les dettes résultant des gestions antérieures.

    Soulignons que cela s'accomplit au prix d'une fiscalité très lourde : 13 % de TVA sur l'alimentation, contre 5,5 % en France, et un taux normal de 23 %. Aucun magasin ne vous laisse sortir sans votre reçu légal. Les taxes immobilières sont révisées, alourdies et rationalisées, etc.

    Aujourd'hui, préparant la loi de finances pour 2014, il se propose de partager les marges existantes entre l'amortissement de ses emprunts, la relance de l'économie et certains efforts ponctuels en faveur des détresses sociales.

    De la sorte, il est entré dans une nouvelle phase de négociations, extrêmement tendues avec la fameuse "troïka".

    Or, c'est bien là que, pour d'évidentes raisons les discussions achoppent avec les représentants du FMI et de l'Eurozone, eux-mêmes en désaccord.

    Le 18 octobre on disposait des déclarations du ministre des Finances Yannis Stournaras soulignant qu'en tout état de cause, il ne pouvait "accepter qu'on dévalue les efforts du pays".

    Le 20 octobre le Premier ministre Antonis Samaras montait au créneau sur un ton inhabituel dans deux entretiens aux éditions dominicales de "Ethnos" et de "Kathimerini". Observant la géométrie variable des nouvelles pressions que l'on cherche à exercer à son encontre, le gouvernement grec s'apprête à dire "un double non" aux exigences inacceptables de la fameuse "troïka". On notera que les trois technocrates projettent de revenir le 28 octobre, jour parfaitement symbolique, fête nationale et anniversaire de l'ultimatum de Mussolini du 28 octobre 1940... Bref, il fait remarquer que son pays a tenu ses engagements, qu'il a accompli un effort budgétaire égal à 19 % de son déficit en quatre ans, que son déficit 2014 sera réduit à 0,7 milliards [France= "environ 80 milliards, 120 fois plus"].  (2)⇓, et que ses partenaires de la zone euro doivent maintenant tenir les leurs.

    On ne peut prévoir bien sûr les conclusions de ces pourparlers. Les financiers ont toujours tendance à en demander plus à leurs interlocuteurs. Mais déjà le FMI de Mme Lagarde a commencé à reculer, à démentir, à se défausser de ses responsabilités, à désavouer les pressions qu'on lui attribue. On ne prête qu'aux riches.

    La formation du nouveau gouvernement de coalition en Allemagne pourrait lancer un nouveau signal. Le hasard fait qu'il sera composé selon la même clef de répartition : à Berlin comme à Athènes 2/3 de conservateurs plus ou moins libéraux ; 1/3 de sociaux-démocrates.

    Désormais allié d'Angela Merkel, le chef du SPD Sigmar Gabriel n'a-t-il pas annoncé : "n'oublions pas que l'Europe n'est pas un fardeau pour l'Allemagne, ni un poids pesant sur nos épaules, bien au contraire. Notre avenir économique dépend de l'avenir de l'Europe. Nous n'aidons pas simplement les autres pays parce que nous sommes des gens bien, parce que nous voulons soulager nos consciences et être gentils. Nous les aidons aussi parce que cela sert nos propres intérêts. Nous devons stabiliser l'Europe, sinon, le chômage et les difficultés de la croissance se propageront à notre pays."  (3)⇓

    Ainsi plusieurs leçons à usage général se dégagent de cette expérience, douloureuse et humiliante pour ce pays et ceux qui lui sont attachés. Tout d'abord chaque nation peut se relever à condition que ses gouvernements aient la force de caractère de voir les choses en face. D'autre part, certes, on doit tout faire pour dépendre le moins possible de la finance internationale. Ceci rendra nécessaire dans l'avenir de tendre vers le moins de démagogie possible, vers le moins de gaspillage possible, vers des budgets en équilibre, en renonçant de manière définitive aux fausses doctrines du keynésianisme et du contructivisme. Redécouvrir Bastiat… retrouver Hayek… s'inspirer de Thatcher…

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/2013/10/la-crise-grecque-et-ce-qui-nous-attend.html 

    Apostilles
    1 - "Pour l'Europe", 1963.
    2 - information qu'en général les médiats d'Europe occidentale dissimulent désormais à leurs lecteurs, auditeurs et téléspectateurs..
    3 - cf. La Tribune en ligne le 18 octobre 2013, 14 h 04

  • Hollande consacre son temps à une étrangère alors que…

     

    317 sans-abris morts dans la rue en 2013, 200 suicides d’agriculteurs, 15 millions de Français renoncent à se soigner faute de moyens, 141 500 sans-abris en France dont 30 000 enfants, 5 millions de chômeurs …

    Mais Hollande préfère s’occuper – en bafouant la loi – d’une étrangère en situation illégale !

    http://www.contre-info.com/

  • Travailler le Dimanche : l’étape avant la prostitution des enfants ?

    Les esprits chagrins crieront à l’exagération. Les esprits avertis rétorqueraient qu’en réalité l’étape est déjà franchie par les grâces d’une mondialisation cache-sexe. Pourquoi poser la question du travail du Dimanche en des termes violents ? 

    Il s’agit en réalité de peser les ressorts mais également les conséquences du retour de ce débat. Débat qui n’en est pas un comme à l’habitude puisque les partisans du tout travail agitent leurs étendards habituels, primat de la liberté individuelle et nécessité de crise. Toute personne osant rappeler que ce sont les mêmes qui conduisirent la France et le monde dans cette crise deviendra automatiquement un passéiste ou pire un communiste, preuve s’il le fallait que le néolibéralisme admet la liberté pour ses actions, mais ne s’oblige certes pas à nuancer le débat. Le travail du Dimanche qu’on présente à grands cris comme la conclusion logique de l’évolution du monde n’est rien d’autre qu’une nouvelle atteinte à notre civilisation et à ses valeurs. Reste à savoir si vous préférez l’ouverture d’un magasin de bricolage ou la sauvegarde des sources de cette civilisation.

    La violence de la fausse liberté.

    L’un des arguments les plus fallacieux utilisés par les tenants du retour est la mise en exergue de la liberté des grandes enseignes et notamment de leurs employés. L’étudiante faisant les Week end dans les magasins de bricolage ou le retraité tenant la caisse auraient finalement le droit à ce gagne pain salvateur. Un gagne-pain dont il serait entendu que la mise en perspective avec les vertus salvifiques du Dimanche sanctifié reviendrait à un ébranlement dramatique de la laïcité. On trouvera bien quelques cathos branchés pour servir de faire valoir à cette position. Ils développeront à l’envie leur vieille rengaine, la balance entre responsabilité et liberté, vieille usurpation du débat qui possède l’avantage d’exclure de la réflexion toute inquiétude quant au système, à la dictature de l’argent et finalement au sens véritable de la Liberté. [...]

    Charles de Meyer - La suite sur Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Travailler-le-Dimanche-l-etape

  • La Bretagne commence à gronder

    RENNES (NOVOpress) – L’incendie couve en Bretagne face à la crise que connaît le secteur agroalimentaire avec la suppression de 900 emplois chez Gad, 500 autres prochainement chez Harvest Marine auxquels s’ajoutent les 1000 emplois supprimés l’année dernière chez Doux. L’agroalimentaire emploie plus de 80 000 personnes en Bretagne qui subit de plein fouet la concurrence des autres pays européens Certains ne sont pas sans comparer la situation de l’agroalimentaire en Bretagne à la crise qu’a connu la sidérurgie en Lorraine, avec la casse que l’on connaît : des régions entières sinistrées économiquement, en proie au désespoir social.

    Dans l’agriculture aussi, directement dépendante des industries agoalimentaires, les temps sont rudes : En 10 ans sur une surface agricole comparable, le nombre d’exploitations et de leurs patrons (chefs ou coexploitants) a chuté d’un tiers, tandis que les salariés permanents non-familiaux progressait, symptôme d’une montée en puissance des grands groupes, au détriment des petits producteurs…

    Autre motif de colère : la mise en place au 1er janvier 2014 de l’écotaxe, perçue par les Bretons comme une nouvelle gabelle. Ce dispositif fiscal à vocation écologique va s’appliquer à tous les camions français et étrangers de plus de 3,5 tonnes qui circulent sur le réseau national non payant et qui seront contrôlés automatiquement par des portiques bardés d’électronique. La Bretagne paiera le prix fort pour cette nouvelle taxe puisqu’elle ne dispose d’aucune autoroute payante et qu’elle constitue une péninsule à l’extrême ouest. Les transporteurs bretons ont d’ores et déjà calculé que cette écotaxe coûtera 70 à 80 millions d’euros aux seules entreprises agricoles et agroalimentaires et dissuaderait d’éventuels investisseurs de s’installer en Bretagne.

     

    Depuis le début de la semaine, les actions coups de poing se multiplient : occupation du tarmac de l’aéroport de Brest, opération escargot sur la RN 12 à Morlaix. Mercredi, l’ensemble des sirènes d’alarme et d’incendie ont sonné dans les entreprises membres de la marque « Produit en Bretagne » tandis que certaines communes faisaient sonner le tocsin au clocher des églises.

    Plus radical encore, les entrepreneurs et routiers bretons sont bien décidés à refuser les portiques écotaxes. Déjà au début d’août, environ 450 manifestants avaient abattu en pleine journée à Guiclan (Finistère) un portique écotaxe enjambant la N12. Au début de la semaine, un portique similaire situé sur un axe routier majeur près de Quimper a été saboté et un autre, dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le Morbihan, sur la commune de Saint-Allouestre. Le 11 octobre dernier à Pont-de-Buis, environ 450 opposants, éleveurs, industriels, salariés de coopératives ont défilé sur la RN 165, mais ils ont été stoppés par un cordon de gendarmes mobiles au pied du portique. Mais ce n’est visiblement que partie remise : « Ce portique ne restera pas. J’encourage à le démonter, on n’en restera pas là », a déclaré Thierry Merret, président de la FDSEA du Finistère, lui-même producteur de légumes. « Nous avons demandé aux préfets de dégager les portiques, ils n’ont rien a faire en Bretagne », a affirmé de son côté François Palut, président de l’Association pour le maintien de l’élevage en Bretagne.

    Les mesures annoncés par Jean-Marc Ayrault sont considérés comme une provocation par les Bretons, les 15 millions d’euros promis représentent une goutte d’eau par rapport aux fermetures d’usine. Pire encore, malgré quelques assouplissements, les portiques écotaxes resteront en Bretagne.

    Par la faiblesse des mesures annoncées dans son « Pacte d’Avenir », le gouvernement ne semble pas avoir pris conscience de la menace. Le gouvernement semble avoir oublié les terribles colères bretonnes, lorsque des sous-préfectures étaient prises d’assaut par les agriculteurs, ou bien lors des dévastatrices émeutes des marins pêcheurs. Pour lui rafarichir la mémoire, une représentante du personnel de Doux tenait le 16 octobre des propos lourds de menace : « Si rien ne se passe, il y aura le feu. Aujourd’hui, il y a une alliance paysans-ouvriers. On a les moyens, s’il faut qu’on entre en lutte, on le fera. Octobre 2013, ce sera peut être mai 68, la révolution. Alors les moyens pour éteindre le feu devront être à la hauteur. »

    http://fr.novopress.info/142276/la-bretagne-commence-a-gronder/#more-142276

  • Madame Bertinotti est devenue le "ministre de la non-famille"

    Charles-Henri Jamin, Président du PCD, réagit à l'entretien que le ministre chargé de la famille, Dominique Bertinotti, a accordé au Figaro :

    “Dominique Bertinotti l’a déclaré dans son interview du 16 novembre au Figaro : elle n’est pas là pour défendre LA famille, mais pour promouvoir LES familles. Par sa voix, le gouvernement écolo-socialiste persiste et signe : il n’y a plus de famille. Il y a des additions d’individus qui s’agrègent selon leurs envies ou qui voient toute relation affective suffisant à définir une famille ! L’altérité sexuelle et la filiation sont exclues de toute définition de la famille…

    D‘ailleurs, il n’y a plus de définition du tout. Madame Bertinotti est clairement devenue la "ministre de la non-famille", avec les boîtes de Pandore qui sont ouvertes et d'où s'échapperont toutes les dérives imaginables ! Madame Bertinotti nous dit que ce qui prime pour juger un modèle, c’est l’intérêt supérieur de l’enfant. Mais quand on considère que le fait pour un enfant d’être privé de l’un de ses parents ou d’être traité comme un objet de marchandisation ne nuit pas à son intérêt supérieur, qu’entend-on par « intérêt supérieur ?

    Ce gouvernement, sur ce sujet comme sur bien d'autres, se laisse aller à des dérives idéologiques et libertaires. À l'instar de la formule bien connue, nous vous alertons Madame Bertinotti : les ambitions que l'on vous fait porter sont celles de feuilles mortes, ballotées par le vent des modes et des postures. Avec vos déclarations, il n’y a plus de garde-fou. Et si des couples de femmes parviennent à avoir recours à la PMA , faut-il pour autant constater béatement ce que vous considérez comme une évolution de la société et aussitôt l’encadrer juridiquement ? Parce que des personnes détournent la loi, faut-il donc changer la loi ? Quel terrible et inquiétant message vous envoyez aux Français ! Madame le Ministre, prenez votre courage à deux mains et redevenez, si c'est encore possible, chargée dans ce gouvernement de la Famille ! J'en appelle à la hauteur de vue qui doit être la vôtre et à la fidélité à votre portefeuille ministériel qui devrait faire de vous une protectrice de la famille, socle de la France. »

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les Hommens à La Roche sur Yon

     

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    Cette action n’est a priori qu’un préambule, car le ministre Bertinotti sera de passage à la Roche-sur-Yon vendredi à 16h30. Sur la banderole déployée, nous pouvons lire : "Bertinotti, on t'attend".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La taxe du jour concerne votre épargne

    Extrait de l'exposé des motifs de l'article 8 du projet de loi de finance de la Sécurité sociale :

    "Aussi, dans un objectif d’équité fiscale, il est proposé de mettre fin à l’application des « taux historiques » et d’harmoniser les règles de prélèvement applicables aux produits de placement. Ainsi, pour les produits de placement actuellement régis par cette règle, les différents prélèvements s’appliqueront au taux en vigueur au moment du fait générateur, et à une assiette unique, définie par celle de la contribution sociale généralisée, à savoir les gains acquis depuis 1997."

    Commentaire de Ma vie mon argent :

    "Pendant des années, y compris il y a quelques mois, les gouvernements vous ont tenu un discours  sur l’épargne longue, vous assurant qu’il était nécessaire que vous investissiez à long terme sur l’économie et pour cela vous promettaient un avantage fiscal. C’était pour mieux vous manger, mes enfants!!!!

    Pea, Pel, assurance vie… toute votre épargne verra ses plus values imposée au taux de 15,5% quel que le soit le taux en vigueur l’année où vous les avez réalisées. 

    C’est ni plus ni moins du vol, de la spoliation. Dire que cela est étonnant, que le non respect des dispositions du code civil qui stipule que les lois ne peuvent être rétroactives que dans le cadre d’un bénéfice pour le citoyen et jamais à son détriment serait mentir. Nous sommes dans la longue tradition politique de la famille socialiste de déni du droit et du mépris des citoyens."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/