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tradition - Page 111

  • Grenoble : lundi 10 avril, conférence de Guillaume de Prémare au Centre Lesdiguières. A ne pas rater

    Nous sommes trop souvent aujourd’hui réduits à la dimension de producteurs et de consommateurs, pris en otages sous le prétexte de nos besoins matériels. Les contraintes et les enjeux de la vie économique imposent trop souvent des choix politiques contraires au bon sens comme aux intérêts à long terme du bien commun national. Pourquoi cette dictature de l'économie et de l'argent ? Comment parvenir à redonner à la politique sa place faite de dignité et d'autonomie au service de l'intérêt
    général ?  

    CONTACT

    centreslesdiguieres@laposte.net

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LE PARTI DE LA FRANCE AU DÉFILÉ DU 1ER MAI AVEC JEAN-MARIE LE PEN ET LE 14 MAI AVEC CIVITAS

    Carl Lang a annoncé sur Twitter que le Parti de la France participera au défilé du 1er mai organisé par Jean-Marie Le Pen et les Comités Jeanne lundi 1er mai à Paris, et également au défilé organisé par Civitas dimanche 14 mai en l'honneur de Sainte-Jeanne d'Arc.

  • Cortège traditionnel de Jeanne d’Arc 2017

    Paris : Le Cortège traditionnel de Jeanne d'Arc 2017 aura lieu le dimanche 14 mai.

    Rendez-vous à 10 heures, place de l’Opéra.

    Le cortège marchera jusqu'à la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/04/02/cortege-traditionnel-de-jeanne-d-arc-2017-5928515.html

  • 8 AVRIL 2017 – TOULOUSE – IIIème CASSOULET NATIONALISTE

    Le groupe militant du Parti Nationaliste Français en Haute-Garonne organise pour la troisième année consécutive son « Cassoulet nationaliste », occasion pour tous les adhérents, sympathisants et amis de la région de se retrouver dans l’amitié nationaliste enracinée.

    Contre les lobbies ethniques, maçonniques et pédérastiques, à 15 jours de la grande mascarade urnatoire destinée à faire croire aux Français qu’ils sont encore un peu maîtres de leur destin, et à faire durer encore un peu un régime à bout de souffle, venez entendre les nationalistes qui veulent redonner la France aux Français !

    En présence de :
    Jean-François Simon, président du Parti Nationaliste Français,
    André Gandillon, secrétaire général du Parti Nationaliste Français et rédacteur en chef de Militant,
    Yvan Benedetti, porte-parole du Parti Nationaliste Français et directeur de Jeune Nation

    Avec les stands des organisations amies.

    Entrée : 25 euros.

    Le nombre de places est limité et les réservations sont obligatoires

    au 07.89.39.82.74 ou pnf.toulouse@gmail.com

    http://www.jeune-nation.com/natio-france/8-avril-2017-toulouse-iiieme-cassoulet-nationaliste.html

  • Bérénice Levet : « Nous devrions énoncer un droit des peuples à la continuité historique ! »

    Mieux ou aussi bien que ce que nous aurions pu dire, ou différemment mais dans un même profond sillage : nous nous employons à faire écho à tout ce qui rejoint cette école de la Tradition à laquelle nous appartenons. Qui, en effet, œuvre à régénérer la pensée française et, tout simplement, à redresser la France, sa civilisation. Les idées que Bérénice Levet expose ici pour Boulevard Voltaire [3.04] sont évidemment de cet ordre.  LFAR    


    Bérénice Levet : « Nous devrions énoncer un... par bvoltaire (6'59'')

    Dans son dernier livre Le Crépuscule des idoles progressistes, Bérénice Levet dénonce la nouvelle anthropologie mise en place dans les années 70 et fondée sur un « alibi » : l’individu serait d’autant plus libre, original et créatif qu’il serait délié de tout héritage… Cette idéologie a débouché sur un désastre civilisationnel. Nous avons posé un éteignoir sur le processus d’humanisation, qui se fait par la transmission de l’héritage. Il y a un épuisement de ces idoles, mais l’hégémonie culturelle continue de leur appartenir. 

    Confrontés à un communautarisme islamique toujours plus véhément, nous aspirons, cependant, à nous souvenir de qui nous sommes. Et nous sommes les héritiers d’un génie français : la clé de la transmission est de donner à connaître, mais aussi à aimer, cet héritage.  

    Le Crépuscule des idoles progressistes

    Boulevard Voltaire

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/04/03/berenice-levet%C2%A0-%C2%A0nous-devrions-enoncer-un-droit-des-peuples-5928764.html

  • Robert Steuckers : Nationalisme Européen, le combat de demain !

    Strasbourg Zone Dissidente

    Pour écouter:

    https://www.youtube.com/watch?v=dBqGJqvshQc...

    Conférence donnée à Strasbourg, le 4 mars 2017.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2017/03/30/robert-steuckers-nationalisme-europeen-le-combat-de-demain-5927025.html

  • Les loups sont de retour – Du chaos vont naître de nouvelles élites (Thomas Flichy de La Neuville)

    loups-sont-de-retour-691x1024.jpgThomas Flichy de La Neuville, agrégé d’histoire et docteur en droit, est professeur à l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr et intervient dans de nombreuses universités étrangères, notamment l’United States Naval Academy et l’Université d’Oxford.

    L’auteur de ce livre nous prédit l’imminence d’un terrible chaos résultant d’une immigration massive incessante et de l’effondrement économique d’un Etat en faillite. A l’évidence, la conjugaison de l’implosion économique à la submersion démographique par les populations du sud de la Méditerranée engendrera des troubles d’une telle ampleur que les actuels dirigeants et leurs technocrates seront balayés. Les prétendues élites actuelles, dévirilisées et décadentes, sont à l’agonie. Selon Thomas Flichy de La Neuville, il ne fait aucun doute qu’elles seront remplacées par de nouvelles élites naturelles qui s’imposeront sur une France dévastée.

    L’ouvrage fait appel à l’Histoire pour examiner les traits de caractère nécessaires à ces nouvelles élites. L’auteur fait également référence à l’éthologie, plus particulièrement à l’organisation de la société des loups, et conclut que les nouveaux meneurs seront ceux qui réorganiseront et dirigeront des communautés naturelles, à l’instar du loup dominant qui conduit sa meute. Le courage, le travail et l’audace créatrice seront alors des qualités essentielles.

    Les loups sont de retour, Thomas Flichy de La Neuville, éditions Terra Mare, 110 pages, 16 euros

    A commander en ligne sur le site de l’auteur

    http://www.medias-presse.info/les-loups-sont-de-retour-du-chaos-vont-naitre-de-nouvelles-elites-thomas-flichy-de-la-neuville/71609/

  • Mum, Dad & Kids : faites bouger l'Europe !

  • JULIUS EVOLA : « LE RACIALISME COMME ANTI-UNIVERSALISME »

    Du point de vue proprement politique, d’abord, ce serait une erreur de considérer le racialisme comme élément hétérogène, rattaché pour des raisons contingentes à l’idéologie fasciste. La doctrine en question, correctement comprise, peut au contraire représenter un renforcement et un autre instrument du Fascisme, en tant que créateur d’une nouvelle civilisation antiuniversaliste, antirationaliste, anti-individualiste. Elle peut ainsi représenter une nouvelle étape, liée par un rapport d’étroite cohérence aux précédentes, de la Révolution.

    En effet, sous son aspect politique le plus général et le plus communément connu, le racisme s’entend à déterminer le type humain prédominant dans une communauté nationale donnée, à le préserver de toute altération, de toute contamination, à l’intensifier, à y faire correspondre un sentiment déterminé, un orgueil déterminé, qui développera, tonifiera, rendra plus concret et « organique » le sentiment national – plus général. Il s’agit ainsi, en premier lieu, d’une continuation de tout ce que le fascisme a cherché à réaliser depuis son avènement en matière de politique et d’hygiène sociales, et d’autre part, d’école de virilité et de force pour le peuple italien, et surtout pour les nouvelles générations. La conquête de l’empire africain a eu pour conséquence naturelle l’instauration d’un nouvel ensemble de mesures protectrices et prophylactiques, procédant d’exigences analogues ; par ailleurs, il convenait évidemment que, au contact d’autres peuples, l’Italien saisisse pleinement les différences, sa dignité et sa force.

    Sous un second aspect, interne, celui-là, le racialisme se présente comme une autre « puissance » du nationalisme, car le sentiment « racial » – même lorsque cette expression équivaut plus à un mythe qu’à une idée bien précise – est évidemment quelque chose de plus que le sentiment national. Comme mythe politique, la « race » est la nation vivante, qui n’est pas plus enfermée dans d’abstraites limites juridiques et territoriales qu’elle ne se réduit à une simple identité de civilisation, de langue, d’histoire. Le sentiment « racial » est plus profond que tout cela ; de tout cela, il est à la racine ; il est inséparable d’un sentiment de continuité, il éveille des résonances profondes dans l’être humain. C’est cette vérité-là qui se reflète même dans la sagesse populaire, dans des expressions comme « la voix du sang », « la race ne ment pas », « il a de la race », « vengeance », « la faute du sang ».

    Ainsi, la nouvelle doctrine ranime un sentiment dont les racines plongent dans des formes de communauté au fond pré-nationale, dans la communauté propre à la lignée, à la gens, à la fratrie, à la famille patriarcale ou même patricienne, où il correspondait effectivement et positivement à une unité vraiment commune de sang. Dans sa conception moderne, la nation se présente déjà comme une unité de type différent, définie par d’autres éléments, en plus de la simple consanguinité, tant directe qu’indirecte. Ces considérations suffisent à faire apparaître clairement que, pour pouvoir légitimement passer du sentiment national à la conscience raciale, si l’on ne veut pas se limiter au « mythe », c’est-à-dire à une idée dont la validité réside moins dans sa vérité et dans son fondement objectif que dans son pouvoir suggestif, il faut en venir à une conception de la race assez différente de celle, élémentaire, qui est définie par le sang et, en général, par l’élément purement biologique, car il faut tenir compte, en elle, d’une série d’autres facteurs.

    Ce point sera amplement traité par la suite. Pour l’instant, sur la base de ce que l’on a indiqué, nous dirons que l’idée raciale, en tant qu’idée politique, présente les mêmes dangers qu’un nationalisme de type démagogique, exclusif et particulariste.
    Les avantages se rapportent à la complète opposition à tout mythe égalitaire et évolutionniste, à la réfutation de l’idéologie démo-maçonnique et de la philosophie des lumières, relatives à l’identité et à l’égale dignité de tout ce qui a forme humaine. Selon la doctrine raciale, l’humanité, le genre humain est une fiction abstraite – ou la phase finale, conservable seulement comme limite, mais jamais entièrement réalisable, d’un processus d’involution, de désagrégation, d’écroulement. En règle générale, la nature humaine est au contraire différenciée, différenciation qui se reflète justement, entre autres, dans la diversité des sangs et des races. Cette différence représente l’élément principal. Elle est non seulement la condition naturelle des êtres, mais encore une valeur éthique, c’est-à-dire quelque chose de bien en soi et qu’il faut défendre et protéger. Sous certains aspects, tous les hommes montrent certainement quelque chose de commun. Mais ceci ne doit pas prêter à équivoque.

    Le racialisme, à cet égard, se présente comme une volonté – que l’on pourrait bien appeler classique – de « forme », de « limite » et d’individuation. Il exhorte à ne pas considérer comme essentiel tout ce qui, représentant le général, l’informe, l’hybride, équivaut en réalité à un « moins », à un résidu de matière non encore formée. Comme on l’a indiqué, tout ce qui est commun ne vient au premier plan, n’apparaît comme « valeur » et en quantité d’ « immortels principes », que dans les périodes de régression et de décomposition ethnico-culturelle, où, justement, la « forme » retourne à l’informe. L’« universalisme » – compris, selon l’emploi abusif, mais malheureusement devenu courant, du terme, comme internationalisme et cosmopolitisme – il ne faut pas le considérer, à cet égard, comme une idée parmi d’autres, mais comme l’écho et presque l’indice barométrique d’un climat de chaos ethnique et de dénaturation des types. Il n’y a que dans un tel climat qu’il est « vrai » : en tant qu’image de la réalité.

    Que le racialisme, à cet égard, renforce le nationalisme dans ses aspects positifs, c’est bien évident. L’un et l’autre représentent une réaction salutaire, aussi bien contre le mythe démocratique que contre le mythe collectiviste, celui de la masse prolétarienne sans patrie et sans visage ; ils représentent une victoire de la quantité, du « cosmos » sur le chaos, et, comme on vient de le dire, de la forme sur l’informe. Sous tous ses autres aspects positifs, que nous déterminerons, le racisme reflète toujours ces significations-là, et, selon ces significations, c’est une doctrine et un « mythe » qu’il faut juger, du point de vue traditionnel, « en ordre ». Du point de vue politique, d’autre part, le réveil du sentiment national et racial est une des conditions préliminaires indispensables à la réorganisation cohérente de toutes ces forces qui, à travers la crise du monde moderne, étaient sur le point de se disperser et de sombrer dans le bourbier d’une indifférenciation mécanico-collectiviste et internationaliste. Cette tâche est une question de vie ou de mort pour l’avenir de la civilisation européenne tout entière.

    Julius Evola

    Synthèse de doctrine de la race (1941)

    Première partie : La race comme idée révolutionnaire

    1. Le racialisme comme anti-universalisme

    Édition de L’homme Libre, p. 19-22.

    Source : Front de la Contre-Subversion

    https://la-dissidence.org/2017/03/15/julius-evola-le-racialisme-comme-anti-universalisme/