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tradition - Page 294

  • La démocratie totalitaire.



    Non pas simplement démocrate, mais très profondément démocrate, au point d’être illuminé par la révélation, comme Moïse sur le Mont Sinaï lorsque Dieu lui dit : « Tu seras démocrate et tu enseigneras les nations ».

    Nous devons prendre conscience en effet que nous vivons des temps extraordinaires où culmine une lueur fondamentale : le voile nocturne dont l’humanité souffrait depuis des siècles s’est brusquement déchiré, tel le voile du Temple, pour que les rayons de la Vérité puissent caresser à nouveau nos esprits endormis.

    Pourtant, la sagesse populaire semble bien éclairée quand elle affirme : « qui trop embrasse, mal étreint », car le trop-plein de conviction démocratique fait douter, à terme, de la sincérité des chantres, dont le but n’est pas nécessairement la qualité du principe, mais très probablement l’efficacité idéologique, la manipulation des valeurs permettant d’occulter la réalité d’un régime et de tromper in fine l’électeur.

    De réalité vécue, le principe démocratique s’est progressivement transformé en un épouvantail dérisoire pour protéger le pré carré du Système contre les contradicteurs dont la pertinence des critiques et la justesse des vues ne cessent d’inquiéter.

    Il y aurait ainsi les bons et les mauvais ; le bien total et le mal absolu, ainsi que des échelons intermédiaires étant mesurés à l’aune d’un bonus malus politicien déterminant le degré de religiosité démocratique des différents protagonistes.

    Ainsi, dans un Etat phagocyté par des clans, se développe l’idée saugrenue selon laquelle des partis - en place depuis trop longtemps- représenteraient seuls et jalousement l’Idéal tant convoité, alors que d’autres le mettraient en péril, ces autres qui ne doivent surtout pas accéder au pouvoir, car l’observatoire qui veille au bon fonctionnement de cet état de choses, et qui n’est pas nécessairement composé d’élus du peuple, en a décidé ainsi. Mais la réalité démocratique est toute autre. La démocratie est un système où le peuple exerce une souveraineté qui s’établit entre autres par le passage aux urnes.

    Une démocratieforte et fondée par la conviction, la diversité et la volonté d’un peuple, et la santé de ce type de régime, se mesure à l’ouverture du débat et à la liberté de contradiction.

    L’absence de volonté populaire, l’indifférence et la cécité souhaitées de l’électeur, induisent a contrario l’inévitable dérive vers la partitocratie, les querelles de palais et son corollaire dramatique, la corruption.

    Pensée Unique, langage stéréotypé, conformisme dans l’attitude concourent à faire glisser dangereusement notre système dans la réalité d’un totalitarisme mou gardant une forme rassurante et acceptable : l’emballage démocratique.

    Le Peuple ne doit pas se faire d’illusions : son absence et son silence continueront à consolider cette dérive, et la volonté populaire exprimée aux élections sera manipulée à nouveau -comme elle l’a déjà été lors des scrutins passés- si les voix se dirigent encore et toujours vers les partis adoubés par le régime.

    Dans cet esprit, l’émergence de partis neufs, neutres, blancs ou « indignés » pouvait sembler encourageante car elle affaiblissait inévitablement cet édifice, mais le vide de l’imagination politique en l’alignement sur les grands principes éculés de la vitrine politique, les a conduit au néant.

    Si vide il y a, il sera vite comblé, soit par le pouvoir ce qui est mauvais, soit par de nouvelles forces ce qui est bon ; car on ne peut fonder une politique sur l’unique thème des dysfonctionnements, des disparitions ou viols d’enfants, des conséquences du mondialisme ou des crises financières et économiques, aussi dramatiques fussent-ils.

    Les voies sont tracées, le peuple doit en prendre conscience car il devra choisir demain démocratiquementceux qu’il chargera d’assumer son destin.

    Pour nous nationalistes, nos choix sont faits et nous serons à l’écoute de toutes celles et de tous ceux qui s’inquiètent et s’interrogent.

    Pieter KERSTENS. http://club-acacia.over-blog.com/

  • Troisième voie » et « Jeunesses nationalistes révolutionnaires, Les dissolutions sont désormais officielles

    Le Conseil des ministres a dissous aujourd’hui les groupes « Troisième voie » et « Jeunesses nationalistes révolutionnaires » ainsi que l’association « Envie de rêver », a annoncé la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

    Cette dissolution a été prononcée sur proposition du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a-t-elle indiqué. Ces trois structures « présentaient les caractéristiques de milices privées » incitant à « la discrimination et à la haine ».

    http://www.contre-info.com/

  • Etienne Chouard - Arretez de voter !!!

    http://www.youtube.com/watch?v=sM0Cafj1oy0

  • Les veilleurs debout ne lâchent rien

    Lu dans Le Figaro :

    "Mardi soir, alors que la trentaine de «veilleurs debout» place Vendôme apprenait la libération de Nicolas, la quasi-totalité d'entre eux, après un soupir de soulagement, reprenait immédiatement la pose. «La liberté pour Nicolas, c'est juste normal: nous, on reste pour toutes les autres injustices!, s'enflamme Timothée, étudiant. Il y a encore d'autres procès en cours, comme celui de l'Hommen qui a perturbé Roland-Garros. Et puis la PMA, la GPA… on ne lâche rien!» Devant le ministère de la Justice, encadrés par une poignée de policiers en civil et deux fourgons, ils répètent, citant Montesquieu, qu'«une injustice faite à un seul est une menace faite à tous». Étudiante infirmière, Sibylle raconte avoir été interpellée 16 fois, «car je restais avec ma trousse après chaque manif, pour soigner des manifestants si besoin». Timothée renchérit: «Moi, je filmais un policier en train de faire acte de violence envers un manifestant ; il m'a forcé à effacer mes photos de vacances! Ce n'est peut-être pas très grave, mais c'est le fait que chacun d'entre nous ait subi des brimades, que cela se banalise tellement, qui nous désole». [...]

    «C'est monstrueux cette haine des gens de gauche contre les gens de droite, les valeurs, la famille, l'identité!», lance Cyril, un médecin venu «directement après avoir entendu parler de ­Nicolas à la télé. Cela me fait peur: ce sont eux les fascistes! Je suis d'autant plus en colère que j'ai voté Hollande…». [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le Courant pour une écologie humaine vise un retournement culturel

    Tugdual Derville présente à Zenit son courant pour une écologie humaine. Extraits :

    E"L’écologie humaine, c’est d’abord une réalité que vit un jour ou l’autre toute personne : il s’agit de prendre soin de l’être humain. De le protéger dans son environnement mais aussi de protéger l’homme lui-même, à commencer par le plus fragile. Expérimenter l’écologie humaine, c’est donc comme faire de la prose : nous pouvons espérer qu’elle est pratiquée chaque jour dans les familles, les entreprises, les associations, les maisons de retraite, par tous ceux qui prennent soin les uns des autres. C’est d’ailleurs le propre de l’être humain. Il n’a pas seulement besoin d’un environnement porteur et sécurisant, comme les animaux ; il éprouve aussi un besoin spécifique : celui d’être reconnu comme une personne irremplaçable, à la fois unique, précieuse et fragile. Tout être humain a besoin de se sentir accueilli inconditionnellement avec ses forces et ses faiblesses. Et il est d’ailleurs signifiant que cet homo sapiens que nous situons au sommet de la création soit de nature si fragile comparé aux animaux, avec une telle dépendance à la nature, à la culture et à autrui ! Il nous faut de l’eau pure (si possible fraîche !) et de l’amour pour vivre. Pas si facile à trouver… Sérieusement, l’écologie humaine est simplement une réalité universelle, vitale et intemporelle. [...]

    Nous allons déployer des processus de participation sous forme de groupes, de réunions, de travail, d’écrits, qui constitueront les prémices des futures Assises de l’écologie humaine. Notre idée est de faire remonter des témoignages, de les partager, de faire en sorte que soient favorisées les actions déjà existantes au service des plus fragiles dans tous les domaines, et à terme, d’être une vitrine des réalités belles, bonnes et bienfaisantes qui protègent l’être humain. Le Courant pour une écologie humaine doit être un encouragement intellectuel, psychologique et personnel, à participer à un retournement culturel."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La jeunesse insolente, indignée et éprise de justice a changé de camp

    De Gabrielle Cluzel :

    "Nicolas est enfin sorti de prison. Pour tous les opposants à la loi Taubira, c’est un grand moment de soulagement. Car Nicolas était devenu le frère, le fils, le cousin pour tous. Même pour ceux qui ne le connaissaient pas personnellement. [...]

    Nicolas sera resté près de trois semaines en prison. Trois semaines qui auront été le point d’orgue de plusieurs mois de répression arbitraire à l’encontre de la résistance au mariage dit pour tous. Trois semaines durant lesquelles la droite naturellement respectueuse de l’ordre et des institutions aura achevé sa révolution copernicienne : pour la première fois, elle aura posté une lettre à destination de Fleury-Mérogis. Sa confiance en la justice est rompue. La rupture avec les forces de l’ordre est consommée. Dans certains établissements scolaires cotés et sans histoire de quartiers bourgeois, on croisait ces derniers temps plus d’interpellés et de gardés à vue que dans bien des établissements « chauds » de banlieue.

    De la même façon que Nicolas sera probablement marqué à vie par son passage en prison, ce sera toute une génération à droite de l’échiquier politique qui aura changé d’état d’esprit : plus méfiante, plus résistante, prête à supporter l’opprobre, moins en recherche de respectabilité. Quelles en seront les conséquences concrètes à l’avenir ? Je l’ignore. Mais il y en aura coup sûr.

    Soit, ce verdict en appel n’est qu’une semi-victoire. Car il permet, en condamnant malgré tout Nicolas à 3.000€ d’amende dont 1.500 avec sursis pour faits d’« attroupement et manifestation », de sauver la mise : si Nicolas avait été acquitté, il aurait fallu l’indemniser pour ces trois semaines de prison. Qu’importe, Nicolas retourne chez lui. Et au-delà du traitement ubuesque réservé aux manifestants pour tous (Nicolas a été mis à l’isolement à côté de Redoine Faïd !) et du malaise patent régnant au sein de la police (un policier a retiré in extremis sa plainte, par fax, transmise à la cour…), ce procès a révélé que la jeunesse insolente, indignée et éprise de justice a changé de camp.

    Tandis que la gauche s’est muée en censeur implacable et tatillon, qui ne transige pas avec SA morale… Sans l’ombre d’un scrupule : interrogée sur la peine de prison ferme de Nicolas Buss quelques heures avant ce verdict en appel, Ségolène Royal a souri : « Ça lui fera une expérience. » Un stage étudiant comme un autre, en somme. La prison, c’est très enrichissant, on ne le dit pas assez à toutes les victimes d’erreurs judiciaires qui se plaignent stupidement…""

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Honneur à Nicolas, qui n'a rien lâché face à ses juges ! Il est libre !

    Ci-dessous l’article paru sur le site de La Croix, paru juste avant sa libération, qui vient d’avoir lieu à 21.15. HONNEUR À NICOLAS ! IL N’A RIEN LÂCHÉ !

    Nicolas Buss, militant de la "Manif pour tous", libéré

    L’opposant au mariage homosexuel a été condamné mardi 9 juillet en appel à une peine d’amende et remis en liberté. Le procès en appel s’est tenu dans un climat tendu, le prévenu ayant conservé durant l’audience une attitude très raide à l’égard des magistrats.

    Il se présente dans la chaleur étouffante de la salle de la cour d’appel de Paris, en chemise blanche, visage fermé, les cheveux plaqués. Souvent, il regarde le sol, concentré. Mais quand il relève les yeux pour répondre aux magistrats, son regard est assuré, presque dur. Dès les premières minutes, Nicolas Buss donne le ton, imposant au magistrat de répéter la question sur son identité. Même son avocat, Maître Forster, est forcé de le recadrer à deux reprises, alors que Nicolas Buss entre dans une nouvelle digression sans répondre à la question posée.

    C’est donc dans un climat tendu que s’est tenu mardi 9 juillet en appel le procès du jeune opposant au mariage homosexuel, le seul à avoir été condamné à de la prison ferme et qui est incarcéré depuis près de trois semaines à la prison de Fleury-Mérogis. L’audience qui a débuté à 13 heures s’étire tout au long de l’après-midi car l’étudiant est en fait rejugé pour deux affaires et trois procédures ont été regroupées.

    LE JEUNE HOMME RÉPÈTE LES FORCES DE L’ORDRE L’ONT « CAPTURÉ »

    Dans la première affaire, Nicolas Buss est notamment poursuivi pour entrave à la circulation et attroupement malgré la sommation. En première instance il a été condamné le 28 mai à 200 € d’amende avec sursis, mais le parquet a fait appel. Mardi, Nicolas Buss a reconnu une partie des faits mais pas l’entrave à la circulation. Le jeune homme répète en revanche à plusieurs reprises que les forces de l’ordre l’ont « capturé » et assure qu’il n’a entendu aucune sommation avant l’interpellation. [...]

    La suite sur La Croix

    http://www.actionfrancaise.net

  • Irlande : plus de 35 000 marcheurs contre l’avortement

    Plus de 35 000 personnes ont manifesté samedi à Dublin contre la légalisation de l’avortement, rapporte Associated Press. La presse indienne, elle, parle de « plus de 60 000 » marcheurs (chiffre des organisateurs). Pas mal pour une île qui compte 6,5 millions d’habitants !

    De nombreuses pancartes disaient « Tuez le projet de loi ! Pas l’enfant » tandis qu’une majorité de participants ne cachaient pas leur foi chrétienne. La manifestation s’est achevée devant le Parlement où doit être votée cette semaine la « Protection of Life During Pregnancy Bill » qui permettra l’avortement en cas de danger pour la vie de la mère, en réaction au décès en couche d’une dentiste indienne l’année dernière. En pratique, l’exemple espagnol a montré qu’une telle autorisation amène à autoriser l’avortement dans tous les cas. Le projet de loi irlandais permet d’ailleurs l’avortement si la femme menace de se suicider et si un obstétricien et deux psychiatres jugent à l’unanimité qu’il ne s’agit pas d’une simulation. On imagine aisément les abus que ne manqueront pas d’entraîner cette mesure parfaitement hypocrite… Les manifestants « pro-vie » ont réclamé samedi la tenue d’un référendum, comme en 1986, scandant « Votons ! »

    NdF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Nicolas enfin libre !

    Nicolas Buss avait été interpellé après un rassemblement des opposants au mariage des homosexuels à Neuilly-sur-Seine, devant le siège de M6, où ils attendaient François Hollande.
    Après 21 jours à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), le jeune militant de la Manif pour tous a vu sa peine réduite à 3 000 euros d'amende, dont 1 500 euros avec sursis, par la cour d'appel de Paris, mardi 9 juillet. Il ressort libre.
    La cour devait se prononcer sur deux principaux points. D'une part, l'appel du parquet de la condamnation du jeune homme, le 28 mai, à 200 euros d'amende avec sursis. D'autre part, l'appel de Nicolas Buss et du parquet concernant sa condamnation à quatre mois de prison dont deux ferme, après son interpellation, le 18 juin, lors d'un rassemblement devant le siège de M6, à Neuilly-sur-Seine. Il avait également écopé de 1 000 euros d'amende pour "rébellion" et "refus de prélèvement de ses empreintes".
    UNE PREMIÈRE CONDAMNATION
    L’étudiant de 23 ans avait déjà comparu le 28 mai, à la suite d'une manifestation non autorisée sur les Champs-Élysées. Il avait été condamné à 200 euros d'amende pour non dispersion d'un rassemblement non autorisé, entrave à la circulation et fourniture d'identité imaginaire. Le parquet avait fait appel de cette condamnation, jugée trop faible. On a connu ce même Parquet bien moins sévère pour la racaille !
    De nombreux militants de la Manif pour tous avaient défilé pour demander sa libération, dénonçant un emprisonnement politique. Ils étaient à nouveau présents, mardi, devant le palais de justice de Paris.
    http://www.francepresseinfos.com/

  • Vingt magistrats se prononcent contre l’emprisonnement de Nicolas

    PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation) – Tandis que le procès en appel de Nicolas Bernard-Buss (photo lors de son arrestation) se tiendra demain mardi, un collectif de vingt magistrats s’est constitué pour dénoncer l’illégalité de l’arrestation du jeune homme. Incarcéré depuis le 19 juin dernier, cet étudiant de vingt-trois ans, sympathisant de La Manif pour tous, avait été condamné à deux mois de prison ferme pour rébellion envers les forces de l’ordre.

    Le fondement même de cette interpellation, ainsi que ses modalités, est largement contestable. « Le traitement policier et judiciaire qui a suivi a amorcé un mouvement de fond qui secoue non seulement l’opinion mais également la magistrature elle-même », a déclaré Jean‑Paul Garraud. Ce magistrat et ancien député UMP se présente comme le “porte‑voix” de l’indignation d’un collectif qui compte déjà quelque vingt magistrats.

    Plusieurs manifestations de soutien à Nicolas Bernard-Buss sont organisées à Paris et en province. Citons celle place de l’Odéon dans le VIe arrondissement de Paris demain soir, mardi 9 juillet, le rendez vous est fixé à 19h30. Cette manifestation a été dûment déclarée.

    http://fr.novopress.info