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tradition - Page 41

  • Reporter Noël en juillet, en voilà une bonne idée !

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    Le coronavirus fait des ravages. Dans les poumons, certes, mais aussi dans les têtes. À se demander s’il ne fait pas des trous dans le cerveau comme les vers dans le fromage. Les éminences scientifiques qui défilent à longueur de temps devant les caméras et les micros nous en offrent, chaque jour, l’illustration : le virus leur chamboule la cervelle.

    Dans cette foire aux idées qu’est devenue la science médicale, une figure a émergé, hier, chez nos voisins belges. Elle s’appelle Frédérique Jacobs, est chef du service infectiologie à l’hôpital Érasme de Bruxelles.

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  • L’origine des Indo-Européens

    gs6UobwDIgNuYVszPN-QKM0Okjg.gifLes travaux de l’Anglais Colin Renfrew ont apporté une vision nouvelle, proprement révolutionnaire, des sociétés protohistoriques d’Europe, ruinant les mirages de l’ex Oriente Lux. Lothar Kilian se limite au fait indo-européen. Son ouvrage permet de délimiter la patrie originelle du peuple indo-européen primitif. Ce territoire s’étendait, selon toute vraisemblance, de la Frise à la Volga. Au Nord, vivaient les peuples de langues finno-ougriennes ; au Sud, les Méditerranéens. En Afrique du Nord, les peuples hamito-sémitiques.

    ♦ Recension : Lothar Kilian, Zum Ursprung der Indogermanen : Forschungen aus Linguistik, Prähistorie und Anthropologie, Dr. Rudolf Habelt GmbH, Bonn, 1983, 178 p., 66 ill. Traduction française par Felicitas Schuler : De l’origine des Indo-Européens, Labyrinthe, 2001, préf. J. Haudry [consultable ici] [commandable ici]. Présentation éditeur : L'origine paléolithique de l'ethnie indo-européenne, attestée par l'existence, entre - 40 000 et - 15 000, en Europe et dans les régions périphériques du sud, d'une grande unité linguistique — l'européen primitif (Ureuropäisch) — est la thèse que développe cet ouvrage devenu un classique des études indo-européennes.

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  • L'Astronomie des plus anciens Indo-Européens

    Au début de notre siècle, les archéologues imaginaient encore que les grandes pierres dressées de Stonehenge et des sites bretons (Carnac, etc.) étaient les vestiges d'un culte des morts. Le déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens et de l'écriture cunéiforme de la Mésopotamie ont attesté par ailleurs qu'il existe depuis la plus haute antiquité (au moins 3000 av. notre ère) une astronomie assez précise. En Europe, aucune trace archéologique ne permettait d'affirmer que les autochtones possédaient eux aussi un savoir pareil à celui des Égyptiens et des Mésopotamiens. L'archéologue et mathématicien F.K. Ginzel, pourtant, signalait dès le début de notre siècle, que toute culture supérieure procédait d'un savoir astronomique solide, permettant de comptabiliser le temps, de le segmenter et de l'ordonner, d'établir des chronologies. Les travaux récents des archéologues contemporains ont rendu de plus en plus plausible la thèse suivante :

    • les alignements mégalithiques ouest-européens sont des ruines d'anciens observatoires astronomiques pré-historiques ;
    • ces alignements sont plus anciens que les sources écrites égyptiennes et mésopotamiennes, attestant la présence d'une science astronomique ;
    • par conséquent, l'Europe disposait d'un savoir astronomique poussé avant l'Égypte ou la Mésopotamie.

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  • Jean-Pierre Maugendre : Les catholiques face aux enjeux de civilisations

  • Etre royaliste en 2020.

    Justice sociale monarchie bis

    Voici ainsi une bonne raison d’être royaliste et de le faire savoir, avec ferveur mais sans démesure, en cherchant, d’abord, à servir le pays qui est le nôtre, ce « cher et vieux pays » dont les dévastations urbanistiques et les dégradations environnementales nous désolent. Il ne s’agit pas de prendre une douteuse revanche sur une histoire de France guère heureuse pour les derniers rois comme pour leurs partisans ultérieurs, mais de rendre à la nation française sa juste conscience d’elle-même et sa place au regard même de ce qu’elle a été, que cela soit chez elle ou de par le vaste monde. Une France qui ne s’arrête pas aux limites de l’hexagone mais navigue aussi sur tous les océans à travers ses territoires ultramarins, de la Nouvelle-Calédonie (qui vient de confirmer ce dimanche par référendum son appartenance à l’ensemble national) à l’île de Mayotte, notre plus récent département (depuis 2011) et pour lequel toute une génération de royalistes, autour du maurrassien Pierre Pujo et de son hebdomadaire Aspects de la France, a milité, « contre le sens obligatoire de l’histoire »…

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  • Du symbolisme de la roue

    -uRwCCOiehgduW_TCkqHw5UC_0U.jpgDu symbolisme de la roue

    Le terme “roue” (rota) est d’une lointaine origine indo-européenne. Il nous vient du latin rota, dont l’étymologie est particulièrement intéressante. La racine d’où provient rota est reth. Le substantif rota, nous explique le philologue italien Giacomo Devoto, en émergeant dans la langue, s’est comporté de la même manière que le mot toga (toge) par rapport au verbe tegere (signifiant “couvrir” ; ndt : d’où tegula, qui veut dire “tuile”) ; Devoto veut dire par là qu’il s’agit d’un substantif d’action dérivé d’un verbe de l’indo-européen commun des origines, disparu à l’ère historique, et qui a dû être retere, que Devoto traduit par “courir en rond”, ce qu’il faut probablement comprendre comme “se mouvoir autour d’un axe”. Cette interprétation nous semblera plus plausible, si on garde en mémoire que la racine reth a donné, dans les aires germanique et celtique, à côté du latin, rethim et roth en irlandais, rhod en gallois, rado (d’où Rad) en vieil haut allemand, tous mots qui signifient “roue” ; à la même époque lointaine, ce même terme nominal donne également les termes, qui, dans l’aire indo-iranienne signifient le “char” (en sanskrit : rathas ; en avestique : ratha-) et, qui, dans l’aire balte, désignent au singulier le “char” et, au pluriel, les “roues” (en lithuanien : ratas).

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  • Le culte solaire chez les peuples germaniques

    Contrairement aux Grecs et aux Romains, qui adoraient des divinités solaires, les Germains considéraient que la puissance du soleil, qui donnait vie à tous les êtres, était, pour eux, une des puissances les plus sacrées. Les innombrables symboles solaires que l’on découvre sur les parois rupestres du Nord de l’Europe depuis l’Âge du Bronze, souvent sous la forme de roues solaires, en témoignent de manière fort éloquente. Certains d’entre ces symboles ont plus de 3.500 ans. Jusqu’ici, il a été quasiment impossible d’interpréter avec précision ces signes gravés dans les rochers. Par ailleurs, le déchiffrement des signes trouvés, au nombre d’environ 7.500, sur un rocher canadien, à Petersborough dans la province d’Ontario, nous donne l’espoir d’un jour pouvoir déchiffrer les milliers de grafittis de l’Ultima Thulé scandinave. C’est un professeur britannique, Barry Fell, qui nous a donné la clef d’un tel déchiffrement. Les 2 alphabets de runes primitives, qu’il est parvenu à déchiffrer, il les a appelés “Tifinag” et “Ogham”. Son œuvre peut se comparer au dévoilement du mystère des hiéroglyphes égyptiens par le Français Champollion et à la découverte du sens des anciens alphabets grecs du “Linéaire A” et du “Linéaire B” par Michael Ventris. Grâce à Champollion et à Ventris des pans entiers de la culture antique et protohistorique nous sont désormais accessibles.

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  • La technologie au service de la préservation des savoir-faire ancestraux européens

    29/09/2020 – FRANCE (NOVOpress)
    Un projet de recherche européen appelé Mingei recense les savoir-faire ancestraux en Europe pour mieux les préserver, mais les présente aussi de manière interactive et ludique pour intéresser le public d’aujourd’hui.

    https://fr.novopress.info/https://fr.novopress.info/