tradition - Page 38
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Maria Morevna la femme guerrière, contre Koshchey le sorcier immortel - Mythologie slave
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Richesse et diversité des peuples et visages d'Europe
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Achille, modèle de l'homme héroïque
Je dois vous parler ce soir de la mort héroïque en Grèce. Ce n'est pas facile. Je ne sais pas vraiment par quel bout commencer tant ils sont nombreux. Le plus simple est de débuter par le personnage qui incarne à nos yeux, et aux yeux des Grecs déjà, l'idéal de l'homme héroïque et de la mort héroïque : Achille. Dans les récits qui le concernent, non seulement dans l'Iliade mais dans des récits légendaires qui nous ont été transmis par d'autres sources, le dilemme est clairement posé à son propos d'un choix presque métaphysique entre deux formes de vie qui s'opposent. Achille est le fils d'un simple mortel, Pélée, et d'une déesse, Thétis — elle a essayé d'échapper à cette union avec un mortel que les dieux lui imposaient, en prenant toutes sortes de formes. Finalement, le vieux Pélée s'est uni à elle et ils ont eu beaucoup d'enfants au statut équivoque et que Thétis aurait voulu immortaliser. Dans le cas d'Achille, le tenant par le talon, elle le plonge, nouveau-né, dans les eaux du Styx. S'il arrive à se sortir de cette épreuve terrifiante — car le Styx c'est, d'une certaine façon, la mort —, toute la partie du corps qui aura été en contact avec l'eau deviendra immortelle. C'est ce qui arrive à Achille. Il est donc un être humain qui par sa personne, son passé, sa généalogie se situe au croisement du divin et de l'humain. Seul un petit bout de son corps est resté mortel : le talon — car il fallait bien que Thétis le tienne par un bout — et c'est de là qu'il périra.
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Action française Rennes : Sainte Anne d'Auray !
Action symbolique aujourd'hui sur le sanctuaire de Sainte Anne d'Auray. 600 croix dédiées aux paysans et renversées par la tempête ont été relevées par une militante d'Action Française aidée par une autre adolescente et une jeune fille de 8 ans.
L'occasion de réaffirmer notre soutien aux agriculteurs et aux paysans français. Ils sont l'âme de nos régions, gardent en eux des savoir-faire ancestraux, et assurent la pérennité millénaire de notre sol.
Uni, le pays réel est invincible. Sauvons nos paysans !
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Le Bien Commun n°23 de Novembre 2020 disponible.
Le numéro sera bientôt disponible en ligne ici : https://lebiencommun.net/kiosque/
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L'essence métaphysique du paganisme (analyse de la véritable spécificité de la pensée païenne) 1/2
On le sait, mais on l'oublie trop souvent, ce sont les principes situés à la racine même des choses, qui fondent véritablement les idées génériques placées à l'origine des différentes conceptions du monde. Or ce qui distingue radicalement le paganisme du christianisme (termes qui, rappelons-le, concrètement, aujourd'hui, ne qualifient plus en Europe aucune réalité religieuse distincte puisque, que cela plaise ou non, l'histoire a conjugué non sans quelques difficultés il est vrai, ces deux dénominations en un seul destin), est une divergence majeure qui ne porte pas entre polythéisme et monothéisme (1), mais de façon irréconciliable porte sur la notion de création.
Ce qui spécifie, et sépare de manière catégorique le paganisme de la pensée biblique c'est leur analyse divergente au sujet de l'origine du monde, de l'origine de l'être. Si, pour les païens, le monde est de toute éternité incréé et suffisant ontologiquement, par contre, la pensée hébraïque considère le monde comme résultant d'une création "à partir de rien", doctrine que la Bible place en tête de son introduction puisque le premier de ses versets nous dit, « Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre » (2). Les points de vue, les concepts païens et hébreux sont irréductibles, radicalement hétérogènes, il y a une incompatibilité foncière entre les 2 approches de la question de l'existence du monde ; c'est sur ce point que se trouve la véritable ligne de partage des eaux, la césure entre pensée hébraïque et pensée païenne. C'est sur ce point, et non pas sur l'allégeance exprimée à telle ou telle figure divine, à telle ou telle divinité tutélaire, dans l'attachement à Zeus l'olympien ou au Yawhé du Sinaï, que se situe la divergence foncière.
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QU'EST-CE QUE LE PAGANISME ?
« La religion de l’Europe est d’essence cosmique. Elle voit l’univers comme éternel, soumis à des cycles. Cet univers n’est pas regardé comme vide de forces ni comme « absurde » comme le prétendent les nihilistes. Tout fait sens, tout est forces et puissances impersonnelles régies par un ordre inviolable, que les Indiens appellent Dharma (concept récupéré plus tard par les Bouddhistes), terme qui peut sembler exotique, mais que les Grecs traduisent par Kosmos : Ordre. Depuis des millénaires, notre religion, reflet de la tradition primordiale, pousse l’homme à s’insérer dans cet ordre, à en connaître les lois implacables, à comprendre le monde dans sa double dimension visible et invisible. Le païen d’aujourd’hui, comme il y a trois mille ans, fait siennes les devises du Temple d’Apollon à Delphes : connais-toi toi-même et rien de trop. » (Christopher Gérard, La Source pérenne, L'Âge d'Homme, 2007).
Le paganisme se caractérise fondamentalement par la compréhension intuitive de l’ordre intrinsèque du réel, ordre fondé sur un réseau de correspondances qui relient le corps, l'âme et l'esprit de chaque homme, sujet des phénomènes (microcosme) à un ordre cosmique, ou ordre des phénomènes extérieurs au sujet (macrocosme). Cet ordre inhérent, appelé Rita chez les Indiens, Asha chez les Iraniens, Cosmos chez les Grecs, a un prolongement dans la société humaine, appelé Dharma en Inde pour l'aspect éthique et Varna pour l'aspect social, ou encore symbolisé chez les Grecs par une déesse de la mesure et de l'équité, Némésis.
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Royaliste n°1197 (26 Octobre 2020)
Un nouveau numéro de “Royaliste” (numéro 1197, daté du 26 soctobre) vient de paraître.
Au sommaire : -
Réinventer l'identité nationale, l’éditorial de François Marcilhac.
L’horreur de l’actualité ne doit pas nous interdire de « savoir raison garder » selon la belle devise des rois de France. Car, devant cette convergence des luttes que la France doit assumer, en matière de politique intérieure et de politique extérieure, il convient de définir une politique de renaissance nationale.
Cette convergence des luttes où la sécurité de la nation doit se décliner à la fois au plan intérieur et au plan diplomatique, voire militaire, est en effet le fruit de près de cinq décennies d’une politique aberrante en matière d’immigration. Et bientôt, c’est d’un nouvel Alexandre que la France aura besoin pour trancher le nœud gordien que, conjuguant leurs efforts, nos élites économiques, politiques, judiciaires, administratives, médiatiques, culturelles, auront formé, aussi méthodiquement que follement et cela, sans que jamais le peuple français ait été consulté. Car la situation actuelle est bien le fruit d’une politique déterminée, préméditée, au plan mondial – nul besoin d’y voir un complot : la convergence des idéologies et des intérêts suffit – et, par répercussion aux plans européen et national.
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Reporter Noël en juillet, en voilà une bonne idée !
Le coronavirus fait des ravages. Dans les poumons, certes, mais aussi dans les têtes. À se demander s’il ne fait pas des trous dans le cerveau comme les vers dans le fromage. Les éminences scientifiques qui défilent à longueur de temps devant les caméras et les micros nous en offrent, chaque jour, l’illustration : le virus leur chamboule la cervelle.
Dans cette foire aux idées qu’est devenue la science médicale, une figure a émergé, hier, chez nos voisins belges. Elle s’appelle Frédérique Jacobs, est chef du service infectiologie à l’hôpital Érasme de Bruxelles.