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tradition - Page 51

  • Catalogne : la réponse aux révolutionnaires indépendantistes qui voudraient créer un "Cuba sur Méditerranée"

    Depuis quelques décennies, les indépendantistes catalans ont infiltré, pour le dénaturer, un ancien mouvement sain et légitime de défense du particularisme local; un mouvement traditionaliste, pour qui les libertés locales et la langue régionale sont un plus. Ils essayent d'opérer une véritable  captation d'héritage, un détournement du sain fédéralisme en se servant du particularisme pour dynamiter l'unité espagnole, au lieu de l'enrichir...

    Ils ont osé ajouter au beau drapeau catalan, surgi du fond des âges, l'horrible emblème à l'étoile bleue du castrisme oppresseur : importer la tyrannie marxiste aussi oppressive que périmée, faire de Barcelone un Santiago sur Méditerranée, et, pourquoi pas, importer toutes les recettes qui ont conduit Cuba au fond du trou, voilà leur conception de l'avenir pour la Catalogne ?

    Leur choix de l'étoile bleue castro/marxisto/tyrannique est révélateur de leurs options politiques : le choix d'une écrevisse comme logo, et de la devise "j'avance en reculant", traduite en catalan, évidemment !... -  eût été plus conforme à ce qu'ils sont, et au désastre vers lequel ils voudraient conduire la Catalogne et les Catalans...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/28/la-reponse-aux-revolutionnaires-independantistes-qui-voudrai-6186141.html

  • JEAN-EUDE GANNAT : « LA JEUNESSE FRANÇAISE ET EUROPÉENNE A SOIF D’ENRACINEMENT ET D’ACTION. »

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    Discours de Jean-Eude Gannat, Président de l’association l’Alvarium, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le dimanche 13 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/23/jean-eude-gannat-la-jeunesse-francaise-et-europeenne-a-soif-6185160.html

  • Les Français ont besoin de racines : l’exemple de la Bretagne

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    Les Bretons ont envie de retrouver les frontières de la  historique. C’est ce que confirme un sondage rapporté par le quotidien 20 Minutes : 47 % des habitants de la région administrative y sont favorables, 53 % en Loire-Atlantique, dont 30 % de très favorables. Les opposants ne sont respectivement que 31 % et 25 %, 22 % restant sans opinion. Le sentiment d’être Breton est toujours aussi vivace, éprouvé par 59 % de la région Bretagne et 59 % en Loire-Atlantique.

    On s’aperçoit donc que le découpage en treize grandes régions, opéré par François Hollande à la va-vite, ne correspond pas toujours à la réalité historique ni au besoin d’ de leurs habitants. Ce sont des machines administratives qui, contrairement aux annonces, ne permettent pas de faire des économies de fonctionnement et éloignent les Français des centres de décision. En Nouvelle-Aquitaine, par exemple, on peut se demander ce qu’il y a de commun entre Bayonne, Poitiers et Limoges.

    L’enquête citée montre qu’une majorité souhaiterait que le département de Loire-Atlantique, avec la ville de Nantes, fût rattaché à la Bretagne, comme c’était le cas autrefois. Au-delà des intérêts politiques et d’une éventuelle rivalité entre Nantes et Rennes pour devenir capitale de la région, ce sondage rappelle l’existence d’une identité bretonne. Il révèle aussi que plus on passe de temps en Bretagne, plus on éprouve un désir de réunification.

    Voilà qui devrait faire réfléchir nos dirigeants sur la quête d’identité, sur le besoin de racines qui caractérisent les Français. On pourrait trouver d’autres exemples de ce découpage absurde, comme le Grand Est, qui résulte de la fusion des anciennes  Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine. L’Alsace pourrait, d’ailleurs, retrouver son identité en 2021. Bien sûr, il faut distinguer le sentiment d’appartenance à une région historique et la volonté d’instrumentaliser ce sentiment pour réclamer l’autonomie, voire l’indépendance du territoire, comme on le voit en Corse.

    Nos gouvernants, pour qui l’identité est une vague notion, toujours en devenir, ne s’en soucient guère. Cette indifférence, pour ne pas dire ce mépris, à l’égard de nos anciennes provinces traduit une conception prioritairement économique et technocratique de l’activité humaine. De même, s’ils réprouvent le rejet d’une immigration qui ne cherche pas à s’assimiler, c’est que, pour eux, les hommes sont interchangeables, quelles que soient leurs origines et leur culture. Macron aurait, sans doute, intérêt à relire Les Déracinés de Maurice Barrès.

    Oser citer Barrès et faire référence à cet ouvrage, que son auteur appelait « Le Roman de l’énergie nationale », voilà de quoi se faire cataloguer comme un réactionnaire ou un nationaliste borné ! Pourtant, le sentiment d’appartenance à un pays, à une province, loin de renfermer les Français sur eux-mêmes, permet de mieux forger l’unité nationale et de s’ouvrir aux autres sans se faire absorber. Maurice Barrès, dans son discours intitulé La Terre et les Morts (10 mars 1899), écrivait aussi : « La terre nous donne une discipline, et nous sommes le prolongement des ancêtres. Voilà sur quelle réalité nous devons nous fonder. »

    Alors, n’ayons pas peur de revendiquer notre identité et nos racines ! Soyons fiers d’être Bretons, Alsaciens ou Basques ! Soyons fiers de nos  ! Cela ne nous empêche pas d’aimer la France. Bien au contraire !

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/les-francais-ont-besoin-de-racines-lexemple-de-la-bretagne/

  • Julien Langella : « Le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ! »

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    Entretien téléphonique avec Julien Langella, porte-parole d’Academia Christiana ♦ Le premier colloque annuel d’Academia Christiana se tiendra le 26 octobre 2019, à Paris, sur le thème : « Regards croisés sur notre identité » et sera organisé en partenariat avec la revue Éléments.
    Les orateurs de qualité se succéderont, qu’ils soient catholiques, païens, athées ou agnostiques pour évoquer la question brûlante de l’identité.
    Nous avons interrogé Julien Langella, par téléphone, sur ce colloque, sa vision de l’identité et sur les troubles au sein de l’Eglise sur ce sujet clivant.
    Polemia

    Promouvoir le Beau, le Vrai et le Bien

    Polémia : A lire le programme, on a l’impression que païens et chrétiens tenteront de régler leurs différends ! N’y parlera-t-on pas trop de religion au détriment de l’identité ?

     Julien Langella : Alors, l’objectif n’est pas du tout de verser dans le débat contradictoire. Notre objectif n’est pas non plus d’être dans l’œcuménisme narcissique où on s’auto congratulerait d’être d’accord sur presque tout.

    Notre but c’est de faire se croiser des regards qui peuvent varier sur l’identité, car nous n’avons pas la même foi et parfois pas les même convictions philosophiques. Certains héritages nous touchent par exemple plus que d’autres selon nos convictions. Pour nous, l’héritage médiéval et peut-être pour les néo-païens un héritage germanique ou grec ou encore plus ancien.

    Ces regards identitaires, bien que différents, veulent promouvoir le Beau, le Vrai, le Bien, les vertus de liberté, de force, de grandeur, de recherche du noble geste… Cela nous parle évidemment à nous catholiques, puisque ce sont toutes ses valeurs qui ont été portées au pinacle par le catholicisme médiéval…

    Je pense que l’on peut s’entendre sur ces questions-là avec des néo-païens ou des athées…

    Le but finalement n’est pas de parler de nous mais de parler de notre identité avec ce que nous sommes.

    Polémia : Etant donné la qualité des intervenants, le colloque s’annonce comme un moment de grande intelligence. Quel est son objectif affiché ?

    Julien Langella : Le premier objectif affiché, c’est de faire se rencontrer et se parler des gens qui échangent déjà de manière informelle mais, cette fois-ci, de manière publique afin d’assumer des positions qui nous sont communes sur la défense intégrale et intransigeante de notre identité et de notre longue mémoire.

    Mais la question identitaire n’est pas seulement culturelle. Elle est aussi économique. Quel système économique est le mieux à même de promouvoir notre identité, de la valoriser et de la protéger ?

    Il en est de même pour la question écologique. Quelle écologie identitaire, sachant que le premier écosystème d’un homme, c’est son peuple ?

    Polémia : L’ambition est-elle d’établir un programme commun ?

    Julien Langella : Non, l’objectif n’est pas de faire une Convention de la Droite Identitaire. Ce que l’on souhaite faire, c’est une démonstration de force d’une droite authentique qui soit identitaire et antilibérale. Ce sont nos deux chevaux de bataille.

    Nous faisons ce colloque pour montrer qu’il existe des gens suffisamment intelligents pour pouvoir parler ensemble de ces sujets-là, pour combattre ensemble sur ces sujets-là, pour défendre ensemble leur identité et faire ensemble cette synthèse à laquelle une partie de la droite échappe, engoncée dans son tropisme libéral et bourgeois. Nous voulons dynamiter tout cela et unir les intelligences et les cœurs autour de cet espoir afin d’accoucher d’initiatives concrètes.

    Nous, à l’Academia Christiana, nous sommes un institut de formation et nous avons par exemple des gens de chez nous qui conseillent des personnes qui vont se présenter aux élections municipales dans quelques mois.

    Identité charnelle et culturelle

    Polémia : Aujourd’hui, de nombreux travaux de généticiens viennent confirmer définitivement que les populations humaines diffèrent génétiquement – et de manière significative – entre elles. Selon vous, l’identité d’un peuple est-elle avant tout culturelle ou génétique ?

    Julien Langella : Pour moi, l’aspect génétique, l’aspect biologique, l’aspect racial – comme on le disait à une époque où on avait encore le droite de le dire, mais tout cela signifie de toutes manières exactement la même chose – fait partie intégrante de notre identité et doit être défendu.

    Je crois que le bon Dieu a fait des humanités différentes et on ne doit pas s’excuser d’aimer une belle peau rose constellée de grains de beauté. On ne doit pas s’excuser de vouloir que les Européens restent des blancs. En effet, je crois qu’il existe des différences biologiques. Dans le monde anglo-saxon, la recherche à ce sujet est bien plus libre que chez nous. Il y a chez eux un aspect pragmatique qui nous fait défaut.

    Il suffit de regarder la répartition des prix Nobel en sciences dures… Il n’y a quasiment que dans les faux prix Nobel comme celui de la Paix que vous avez des extra-européens qui sont représentés.

    Regardez les sprints, regardez les sports à explosion comme le basket… Il est évident que les Africains sont sur-représentés.

    Pour moi, cette réalité fait partie de l’identité. Cependant, c’est une condition nécessaire mais pas suffisante pour définir notre identité. Pour moi, un Européen est évidemment un blanc. D’ailleurs, le cardinal Joseph Ratzinger, futur pape Benoit XVI, disait : « L’Europe est en voie d’extinction ethnique. » Il ne dit pas démographique. Il emploie le terme « ethnique ». Cela signifie que, pour lui, l’Europe est de moins en moins blanche.

    Donc pour nous, c’est un véritable problème. On doit affronter ça sereinement et l’analyser sans aucun tabou. Jean-Paul II disait : « Toute vérité est nôtre. »

    Je suis ravi de voir que des analyses scientifiques viennent confirmer ce que je pense d’instinct sur la question raciale.

    Quant à l’aspect culturel, je pense qu’il n’y a qu’un seul moyen de devenir Français ou Européen, c’est d’en hériter. Et, éventuellement, on peut le devenir par infusion dans un milieu gaulois, patriote et spirituellement enraciné.

    L’Eglise en pleine tourmente identitaire

    Polémia : Vous évoquerez le combat identitaire et l’Eglise. Quel regard portez-vous sur le raport actuel de l’Eglise à l’identité ? Du pape François au curé de campagne, la préoccupation identitaire ne semble pas la priorité de l’Eglise !

    Julien Langella : En Europe occidentale, oui. Dans le reste du monde, pas du tout.

    C’est-à-dire que le discours du pape François, au niveau de l’Eglise universelle, est en réalité très minoritaire. Quand on entend Mgr Turkson ou le cardinal Sarah, on entend un discours anti libéral et anti-immigration ! Pour eux, un monde sans frontières, c’est d’abord un monde sans limites, notamment économiques. En ce moment, au sein de l’Eglise, c’est en effet le chant du cygne des vieux cathos gauchistes qui sont en train de mourir, krach démographique oblige, et qui poussent leur dernière complainte.

    On sait que l’Eglise a traversé d’autres pontificats catastrophiques et elle s’en est toujours relevée. Quand tous les empires se sont écroulés, nous sommes là depuis 2 000 ans.

    Je pense qu’on a le devoir de dire au pape François : « Attention ! » Quand il parle politique, identité ou immigration, c’est Bergoglio qui parle et nous ne lui devons aucune allégeance !

    Le problème, c’est que, il y a un siècle et demi, personne ne connaissait le visage du pape ! Il y a une hypertrophie médiatique qui fait qu’on en a fait une star ! Et dans certains diocèses français, à la même époque, on ne connaissait même pas la tête de l’évêque… L’Eglise, c’était le curé du coin ! L’Eglise subit donc une dérive libertaire et gauchiste mais aussi une crise de taille. Le gigantisme et l’hypertrophie médiatique m’inquiètent énormément.
    Cependant, au milieu de la crise, ça me rassure beaucoup de voir le nombre de vocations dans les milieux traditonnalistes. L’Eglise de demain ne sera pas celle que nous subissons aujourd’hui. Et nous avons le devoir, avec charité et respect filial, de dire : « Là, vous vous trompez ! » J’invite tous les catholiques à dire à leur curé : « Je crois que vous vous trompez. »

    Le pape Benoit XVI disait : « La charité dépourvue de vérité n’est qu’une coquille vide. » Je crois que nous sommes en plein là-dedans.

    Entretien téléphonique avec Julien Langella

    https://www.polemia.com/julien-langella-premier-ecosysteme-homme-peuple/

  • 19 octobre – Avignon: journée d’Action Française “Pour une Restauration Nationale”

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    Journée d’Action Française samedi 19 octobre près d’Avignon:

    10h messe traditionnelle

    12h banquet

    14h conférences de Pierre Hillard, Marion Sigaut, Anne Brassié, Gérard Bedel, Elie Hatem, …

    Dédicaces, stands d’associations amies.

    Présence de Yvan Benedetti et François-Xavier Rochette.

    Renseignements et réservation obligatoires sur www.lactionfrancaise.fr ou en téléphonant au 06 46 33 56 95.

  • Royalistes : Formation et militantisme : Bordeaux, Clermont Ferrand, Compiègne, Ile de France, Lyon, Toulon...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/18/formation-et-militantisme-bordeaux-clermont-ferrand-compiegn-6183824.html#more

  • Premier aperçu du Rendez-vous BBR de Synthèse nationale

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