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Soyons lucides : la manifestation de dimanche dernier à Paris contre la PMA « pour toutes » et la GPA — la seconde conséquence de la première — n’a pas fait le plein. Non que le nombre des manifestants, parmi lesquels j’avais l’honneur de me trouver, fût ridicule. Ridicule, en revanche a été l’estimation donnée par le cabinet Occurrence, prétendument indépendant — 26 000 —, quand la préfecture annonce elle-même 41 000, contre 42 000 le 6 octobre. Même sous-estimés, nous sommes toutefois loin des chiffres de la Manif pour tous, fin 2012 et au printemps 2013. Nous sommes loin du million
Lundi 20 janvier, le projet de loi bioéthique est étudié au Sénat. Parmi les mesures les plus contestées, l’ouverture de la Procréation médicalement assistée (PMA) aux lesbiennes et femmes célibataires.
Les opposants au texte battaient de nouveau le pavé à Paris ce dimanche 19 janvier pour protester contre cette étude.
Beaucoup de jeunes étaient présents dans le cortège et expliquent leur vision de la famille et leurs convictions.
Malgré les grèves et le contexte social, la manifestation unitaire contre la PMA sans père, la GPA et le projet de loi bioéthique a rassemblé plusieurs centaines de milliers de personnes.
« Une démonstration de force » : le message est clair. Le mouvement associatif partenaire du label « Marchons Enfants » a réussi son pari : poursuivre la mobilisation pour le retrait du projet de loi bioéthique. Un projet de loi ni bio, ni éthique, et même clairement anti-éthique. Compte tenu des enjeux, les organisateurs ne souhaitent pas contribuer à une énième bataille des chiffres face aux estimations fantaisistes de la préfecture de police et d’un cabinet privé, qui a su trouver une niche pour faire parler de lui gratuitement à chaque manifestation.
Le sujet est trop grave. La loi va-t-elle priver volontairement des enfants de père, de l’amour d’un père, tout au long de leur vie ? Ce serait une profonde injustice.
Union Royaliste Provençale : L'Action française Toulon vous invite à son Cercle Pierre Debray dont le thème sera "La politique naturelle" animé par François Davin fondateur et blogmestre de lafautearousseau le Mercredi 22 Janvier à 20h00.
Populiste ? Katalin Novak est ministre de la famille dans le gouvernement de Viktor Orban et vice-présidente de son Parti le Fidesz. Elle défend la famille et la sociabilité hongroise. Avec pragmatisme, elle veut la stabilité de la Hongrie au sein de l’UE.
Propos recueillis par Jeanne Smits et Olivier Figueras
La Hongrie est en tête de l'investissement dans la politique familiale pour les pays de l'OCDE. Croyez-vous cet investissement favorable à l'économie ?
J'apprécie beaucoup que vous parliez d'« investissement », parce qu'habituellement, on utilise le mot « dépense ». Quant à moi, je n'utilise jamais l'expression « dépense » à propos du budget de la famille parce que je pense qu'il s'agit du meilleur investissement possible. C'est un investissement dans notre avenir, dans nos enfants.
Depuis des années, la mairie de Béziers, dirigée par Robert Ménard, installe, à l’occasion des fêtes de Noël, une crèche dans le hall d’entrée de l’hôtel de ville. A plusieurs reprises, les années précédentes, le tribunal administratif a demandé l’enlèvement de cette crèche. Cette année encore, le 2 décembre, Robert Ménard a inauguré la crèche installée dans la cour d’honneur de la mairie. Contrairement aux années précédentes, aucune plainte n’a été déposée pour atteinte à la laïcité. Miracle ou suprême habileté ?
Eglise en France : Des vérités devenues folles
Rémi Brague, membre de l’académie des sciences morales et politiques, analyse, avec une lucidité pénétrante, les maux dont souffre notre modernité. 9 conférences prononcées entre 2009 et 2016, regroupées sous le titre chestertonien Des vérités devenues folles, traitent des questions essentielles : le bien, la liberté, la famille, la vertu, la culture, etc. Une cure d’intelligence.
Eglise en marche : Orient, une voie dans le désert
Marguerite Quadrelli anime avec sa sœur, Thérèse, l’association The Heartists qui présentera la comédie musicale Orient, une voie dans le désert les 16, 17, 18 et 19 janvier au théâtre Saint Léon à Paris. Elle nous présente cette comédie alliant art et humanitaire au profit des chrétiens d’Orient.
Le 29 novembre, Jean-Paul Delevoye, alors haut-commissaire à la réforme des retraites, appelait de ses vœux l’arrivée de « 50 millions de populations entre guillemets ‘étrangères’ (sic) pour équilibrer la population active en 2050 en Europe ». Son propos se basait sur un rapport de l’ONU datant de l’an 2000, qui chiffre à 47,4 millions « le nombre d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population » de l’Union européenne, préconisant des « migrations de remplacement » pour faire face au vieillissement des populations.
Dans un entretien accordé à Catholic News Agency le 5 décembre, le ministre de la famille hongroise a justifié les nombreux efforts consentis par le gouvernement de Viktor Orban envers les familles, au nom de la survie de l’identité chrétienne du pays, et aussi de l’Europe. Katalin Novak, ministre hongrois de la famille, déclare :
Ce mardi 24 décembre, le nouveau Premier ministre britannique Boris Johnson, élu le 12 décembre dernier avec une majorité historique (365 sièges à la Chambre des communes, record absolu sur les 30 dernières années), a publié la vidéo de ses vœux de Noël.
Monoprix a fait savoir à sa clientèle, sous forme d’un « avis à la population » placardé dans ses magasins, qu’on n’était pas obligé de réveillonner aux dates prévues par le calendrier et en famille. L’affichette, qui n’est pas sans rappeler les appels à la mobilisation générale, s’intitule : « Réveillons la tradition…. ou pas. »
« Pourquoi les 24 et le 31 seraient-ils les seuls réveillons possibles ? » demande Monoprix. Le département marketing de l’enseigne s’interroge : « Et pourquoi ne pas réveillonner aussi le 3, le 4 ou le 6 si cela nous chante ? » Et pourquoi pas le 7 et au-delà ? Quelle est cette étroitesse d’esprit qui tend à exclure le client désireux de réveillonner le 14 juillet ?