
À l’occasion des 20 ans de la disparition du navigateur Eric Tabarly, les Éditions du Chêne mettent en vente une nouvelle édition de l’ouvrage culte À Eric paru en juin 1999.
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Il y a exactement 25 ans, la Russie a ratifié un traité qui était censé prévenir toute possibilité de conflit avec l'Ukraine. Et bien que les dirigeants ukrainiens eux-mêmes reconnaissaient que l'accord était avant tout avantageux pour Kiev, c'est précisément Kiev qui a commencé à violer ses termes. Tout cela a conduit au Printemps russe, et finalement à l'opération spéciale.
Le 25 décembre 1998, la chambre basse russe a ratifié le Traité d'amitié, de coopération et de partenariat entre la Fédération de Russie et l'Ukraine, signé par Boris Eltsine et Leonid Koutchma.
Presque 20 ans plus tard, le 6 décembre 2018, le parlement ukrainien a dénoncé le traité, prétendument en raison de ses violations par la Russie.
Selon les premières constatations de la police, l’agression, qui s’est produite dans la nuit de samedi à dimanche rue Pizay, s’est produite au cours d’une rixe opposant deux groupes, à la sortie de la discothèque La Salsa.
On ne va pas se mentir : la République est en danger. Là, tels que vous êtes, vous sortez de deux semaines de trêve des confiseurs ; le 31 décembre, vous avez (ou pas) écouté le marchand de sable venu vous souhaiter la bonne année ; ce week-end, vous avez tiré les rois en famille et la semaine prochaine vous en ferez de même au bureau, dans votre club de tir ou de boules, que sais-je où encore. Maintenant, il serait donc grand temps de se réveiller : la République, disions-nous, mais aussi la démocratie, les droits de l’homme (pardon, les droits humains) et sans doute beaucoup d’autres choses sont en danger. Heureusement qu’il y a des hommes comme Olivier Faure (c’est qui lui, déjà ?) ou encore des institutions comme Mediapart pour veiller au grain. Janvier sera le mois du réveil ou ne sera pas.
Les faits se seraient déroulés sur le parking d’une grande enseigne à Furiani, dans la nuit du 5 au 6 janvier. Un jeune homme de 18 ans a déposé plainte au commissariat de Bastia après une violente agression à l’arme blanche dont il aurait été victime.
Chronique de Paysan Savoyard (n° 311 – Janvier 2024)
Alors qu’ils souhaitent pour la plupart l’arrêt de l’immigration, à en croire les sondages, les Français de souche continuent pourtant majoritairement à voter pour ceux qui, jour après jour depuis plus de cinquante ans maintenant, conduisent une politique déterminée d’immigration de masse.
Il y a plusieurs raisons à cette attitude contradictoire et schizophrénique. Nous n’en évoquerons qu’une aujourd’hui : parmi ces gens qui aimeraient que l’immigration s’arrêtent, beaucoup pensent que leurs dirigeants font ce qu’ils peuvent et essaient sincèrement d’endiguer une immigration très difficile à maîtriser.
Cette attitude de mansuétude à l’égard des gouvernements qui se succèdent relève évidemment de l’aveuglement. Tout montre que la classe dirigeante souhaite l’immigration. Depuis plus de cinq décennies, tous les gouvernements ne cessent de prendre des décisions destinées à l’alimenter : des lois favorables à l’immigration de masse, des subventions aux ONG immigrationnistes, des dispositifs de mixité ethnique obligatoire et de répartition forcée des immigrés sur tout le territoire… Nous en avons déjà parlé (voir cette chronique) et n’y insisterons pas aujourd’hui. Admettons que les Français moyens puissent ne pas informés du détail de ces différentes mesures et ne pas avoir conscience de leur portée.
Cet homme, Jolve94, qui rassemble des centaines de milliers de followers sur les réseaux sociaux, a été interpellé, ce samedi, devant le domicile de ses parents à Créteil (Val-de-Marne), après avoir passé la nuit chez lui à Vitry avec deux jeunes femmes qui l’accusent de viol. Jolgens Pierre, lui, évoque des rapports consentis.
Tout naturellement, cette fête d’hommage et de confiance au Soleil, célébrée lors de la nuit la plus longue de l’année, a pris une force particulière dans les pays où l’hiver était le plus rude, le plus froid, le plus noir. La tradition du solstice d’hiver s’est maintenue plus longtemps dans un univers où la mauvaise saison a toujours pris la forme d’une véritable tragédie.