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Deux amis avaient décidé de se rendre au centre commercial Espace Saint-Quentin. Peu avant midi, alors qu’ils s’apprêtaient à entrer dans un restaurant pour déjeuner, ils ont été pris à partie par un inconnu qui a d’abord tenu “des propos incompréhensibles”, selon une source proche de l’affaire. “Il a commencé à chanter, puis à hurler qu’il allait commettre un attentat, affirmant qu’il ‘s’en foutait’ de prendre 20 ans de prison”, poursuit cette source.
L’étude de l’INSEE publiée ce 25 février, « Politique de la ville et prestations de la CAF en 2023 », est claire : « Plus de sept résidents des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) sur dix bénéficient d’au moins une prestation versée par les caisses d’allocations familiales, contre environ quatre sur dix sur l’ensemble du territoire. »
En plein marasme financier l’Élysée engage des sociétés privées, pour quel montant, mystère, pour devinez quoi ? Surveiller les comptes qualifiés de libertariens. Entendez, des personnes qui prônent un rôle réduit de l’État et réclament le droit de jouir de la liberté individuelle et du respect de la propriété. Sacrilège, blasphème insoutenable, pour les chantres du contrôle absolu et de la censure, pardon de la régulation raisonnée et surtout de la défense de la démocratie, qu’ils sont les seuls à incarner, évidemment. C’est donc avec l’argent de nos impôts que Macron et sa clique veulent savoir ce qui peut bien pousser les gens à trouver dans le président argentin, Milei et dans Musk un motif de contentement, voire un modèle à exporter. En effet il est inconcevable pour ces sociaux-démocrates, biberonnés aux idées bolcheviques du bien-être de la ponction systématique de toute richesse, que la méthode Milei puisse séduire. Et pourtant, les résultats sont là et c’est bien ce qui dérange Macron et quasiment toute notre classe politique. Le réel est terrible, car sans appel.
L'UFC-Que Choisir alerte sur une hausse moyenne de 19 % du prix de l'électricité avec la nouvelle régulation du nucléaire prévue pour le 1er janvier 2026.
Le vote inédit des Nations unies ce 24 février, à l'orée d'une quatrième année de guerre en Ukraine me semble un événement plus significatif que l'exercice de reptation européenne et de glorification personnelle auquel s'est livré à Washington le clown de l'Elysée.
"Trump s'est aperçu que s'il voulait arrêter la guerre, il fallait qu'il se débarrasse de Zelensky et du régime actuel de Kiev qui est belliciste jusqu'au bout", affirme à Sputnik Afrique Dominique Delawarde, ex-haut gradé français.
Qui est l’ennemi ? Emmanuel Macron, après avoir déclaré la guerre au Covid, au réchauffement climatique et au populisme, désigne cette fois Vladimir Poutine. Mais le chef de l’Etat a beau abracadabrer, nombreux sont les Français qui le tiennent pour leur adversaire. Jeudi dernier, Macron a dénoncé « la menace existentielle russe ». Ce lundi soir, il devrait rencontrer Donald Trump à Washington. Il entend lui dire : « Tu ne peux pas être faible face au président Poutine ». Mais que vaut ce conseil venant d’un président qui laisse l’Algérie humilier la France ?
D’aucuns vont sans doute demander pourquoi « assassin » (pour tricheur et tripatouilleur je gage que je n’aurai aucune réclamation).
Pourquoi « assassin » ? Pare qu’il a fait assassiner nos vieux dans les Ehpad à coups de Rivotril. Parce qu’il a rendu le vaccin obligatoire pour travailler, se déplacer… et qu’il a tué nombre de nos compatriotes qui n’ont pas supporté la saloperie Pfizer. Sans parler des innombrables assassinats commis par les migrants qu’il appelle et installe chez nous… Et peut-être que s’il n’avait pas autant joué les va-t-en-guerre, l’Ukraine et la Russie seraient en paix actuellement, leurs jeunes seraient encore en vie.