l'information nationaliste - Page 117
-
Zelensky "sera le dindon de la farce" après avoir amené son pays au désastre
C'est ce qu'affirme le vice-président de la commission de défense du conseil de transition du Mali à la suite de l'approbation de la résolution sur l'Ukraine par le Conseil de sécurité de l'Onu. -
« Pour rien. Vacciné pour rien, tué à la guerre pour rien, endetté pour rien. Rien et ils continuent ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Pour rien mes amis.
Vous savez quoi ?
Globalement vous avez été dans le meilleur des vacciné pour rien. Dans le pire des cas vous avez quelques effets secondaires plus ou moins désagréables qu’il est de bon ton de passer sous silence.
-
Dugny (93) : la police abat un homme armé de couteaux
-
Aspects économiques de la Révolution Française
par Bernard NOTIN
«La Révolution fut provoquée par les abus d'une classe revenue de tout, même de ses privilèges, auxquels elle s'agrippait par automatisme, sans passion ni acharnement, car elle avait un faible ostensible pour les idées de ceux qui allaient l'anéantir. La complaisance pour l'adversaire est le signe distinctif de la débilité, c'est à dire de la tolérance, laquelle n'est en dernier ressort qu'une coquetterie d'agonisants».
Cioran, Ecartèlement, Gallimard, 1979, p. 30.
Tout découpage dans le déroulement continu du temps global peut paraître arbitraire, et plus arbitraire encore celui qui se désintéresse des dates "historiques". Le mouvement de la pensée nous offre l'ensemble du XVIIIième siècle pour comprendre la formation économique des révolutionnaires. La périodisation des faits ne peut s'appuyer sur le commencement de la Révolution, mais plutôt sur 1778, date à laquelle interviennent d'une part la guerre d'Amérique et les dépenses qu'elle occasionne, d'autre part la fermeture de certains marchés (surtout pour les vins), l'ouverture de la plupart des ports espagnols au commerce d'Amérique, ce qui vivifie l'activité économique de la péninsule ibérique. Tout cela contribue à expliquer la gêne économique française à la veille de 1789. De plus, les figures de proue disparaissent dans ce laps de temps: Rousseau (1712-1778), Voltaire (1694-1778), Diderot (1884). Après que la pièce eut été écrite, le spectacle pouvait commencer. On est aussi tenté de se référer à une trinité solide. Avant la Révolution, l'agriculture périclite: c'est une période de stagnation et de baisse des prix qui dure jusqu'en 1787. Le marasme unit les difficultés des rentiers et des entrepreneurs, des bourgeois et des petits propriétaires, aux misères de la masse (1). Ensuite, la Révolution qui perturbe les conditions générales de l'activité économique. Enfin, les lendemains qui chantent ou déchantent: ruine du grand commerce, stagnation du secteur agricole et... première phase de la révolution industrielle. La Révolution crée aussi un lien entre ceux qui ont traversé la même tourmente et rapproche la pensée d'hommes assez différents. La distance semble très grande entre les scolastiques, les mercantilistes, la "secte" physiocratique. Or, ce triple sceau marquera les consensus et dissensus économiques des révolutionnaires.
-
En Serbie, plusieurs ONG financées par l’Usaid visées par des descentes de police
Selon www.lemonde.fr, quatre ONG serbes de défense de la démocratie, financées en partie par l’agence américaine de développement Usaid, ont été visées par des descentes de police dans le cadre d’une enquête judiciaire. Le procureur général de Belgrade, Nenad Stefanovic, a justifié ces perquisitions par des soupçons de « détournement de fonds des contribuables américains », reprenant les critiques émises par l’administration Trump à l’égard de l’Usaid.
-
Résultats des élections allemandes : Une Allemagne ingouvernable ?
Les résultats du scrutin de ce week-end en Allemagne ont un petit goût de déjà vu en France : des partis traditionnels en perdition, une extrême droite en plein essor au discours mono thématique simple et imparable. Avec pour conséquence, l’accélération de la décomposition de l’échiquier politique allemand augurant pour les prochaines semaines d’une incapacité à gouverner un pays dont les difficultés économiques et sociales sont aussi au moins importantes qu’en France.
-
La clique européenne sous anxiolytiques
par José Goulão
Les dirigeants de l’Union européenne ont toutes les raisons de se gaver d’anxiolytiques, mais ne peuvent en vouloir à Trump.
Miroir de son propre désarroi, le régime néolibéral et ses relais médiatiques s’autodiagnostiquent, à l’unisson, une «tendance anxieuse» européenne face à l’accession de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
-
La décarbonation : une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie
Thomas Joly, président du Parti de la France
La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l'Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique. Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre : il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.
-
« Antisémite », « fasciste », « nazi » ou « extrême droite » : l’inversion accusatoire, par Gilles Colroy
Yonathan Arfi, ,Président du CRIF [Conseil représentatif des institutions juives de France] est un des spécialistes acharnés de l’inversion accusatoire réduisant au silence la moindre allusion à un membre de sa communauté. L’inversion accusatoire est devenue l’arme de dissuasion rhétorique de tous les doctrinaires politiques ou médiatiques.
Elle puise sa source dans l’idéologie communiste athée, renforcée par sa victoire sur le nazisme à l’issue de la 2e guerre mondiale, qui défendit sa cause en accusant tous ses adversaires de « fascistes » ou de « nazis » rendant dès lors impossible tout argument habilité à la confondre. Les fascistes et les nazis (les puissances de l’Axe) ayant déclenché la guerre avec son lot de désolation, et les fascistes et les nazis ayant perdu la guerre, les communistes s’érigèrent en sauveur du genre humain et diffusèrent leur doctrine délétère à la surface de la terre.
-
“On peut être optimiste, si les Européens prennent le relais, la guerre peut continuer”. Incroyable aveu sur LCI !
“On peut être optimiste, si les Européens prennent le relais, la guerre peut continuer”.
Je ne sais pas si vous vous rendez compte de la portée de tels propos.
Etre des artisans de paix devrait être l’objectif de toutes les personnes sensées.
La guerre est une abjection, l’alimenter est un crime contre l’humanité que de très nombreux journalistes et autres va-t-en-guerre semblent avoir oublié. Pour eux les crimes sont à géométrie variable.