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l'information nationaliste - Page 1657

  • Nicolas Sarkozy, Premier ministre ? « Il en rêve. Ça transpire de partout. »

    Des proches de Nicolas Sarkozy ont révélé que l'ancien Président se verrait bien prendre la place d'Élisabeth Borne à Matignon, rapporte L’Obs, le mercredi 19 avril.

    L'ancien président de la République serait prêt à prendre la suite d'Élisabeth Borne en tant que Premier ministre. « Il en rêve. Ça transpire de partout », a déclaré un membre de son entourage.

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  • CE QUE MACRON A VRAIMENT ÉTÉ FAIRE EN CHINE (OU : LE KÉKÉ FAIT CHOU BLANC)

  • Quand Sorj Chalandon expliquait le soutien de Libération à la pédophilie

    Quand Sorj Chalandon expliquait le soutien de Libération à la pédophilie

    Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

    En 2001, Sorj Chalandon, journaliste à Libération, revenait sur la manière dont son journal avait traité la question de la pédophilie, ne réfutant rien du passé, et tentant de l’expliquer. Voici des passages édifiants de sa justification, vous épargnant des descriptions pornographiques :

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  • Alpes-Maritimes : un gymnase réquisitionné pour faire face à l’afflux de migrants mineurs à Menton, première ville française avant l’Italie

    Quelque 110 mineurs non accompagnés sont arrivés dans le département des Alpes-Maritimes rien que sur la semaine dernière, selon la préfecture

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  • La politique de Macron : une révolution oligarchique contre le peuple, par Pierre Le Vigan

    « Liquidation », écrivait Frédéric Rouvillois dans son livre sur Macron comme définition de son projet (Liquidation – Emmanuel Macron et le saint-simonisme, Cerf, 2020). Le projet de Macron, c’est cela : liquider tout ce qui restait solide dans la société française, certains habitus et mœurs, certaines structures, certains projets (devenir propriétaire d’une maison, la léguer, avoir un métier dont on est fier et pas seulement un « job »), rendre tout liquide, tout réversible, tout jetable (notamment les traces de notre histoire), tout interchangeable (les peuples, les gens, les sexes, les métiers, les territoires, etc.). Éparpillé façon puzzle : cela veut dire que notre pays et notre peuple ont été mis en morceaux. Dispersés et hachés menu. Éparpillé : c’est le résultat de la politique de Macron. Un peuple dispersé, affaibli, atomisé. Loin de n’avoir « rien fait », comme on l’entend parfois, Macron a presque tout réalisé de son programme. Vendre l’industrie française : c’est le capitalisme de connivence. Conforter l’oligarchie : c’est le pacte de corruption lié au covid, c’est-à-dire à l’interdiction de traiter les malades du covid hors utilisation de vaccins (ceux permettant des superprofits aux membres de la caste – ceux qui ont propulsé Macron et qui attendaient leur retour sur investissement).

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  • Reportage. Stop à la propagande et l’anxiété climatique. « Quand le climat écrit l’histoire ».

    par  | 20 Avr 2023 | 

    C’est un documentaire diffusé sur France 5 et daté de 2014. En moins de 10 ans il semble que ce monde ne pense plus du tout.

    « Inondations, sécheresses, températures extrêmes sont aujourd’hui omniprésentes dans notre actualité, mises en relief par le réchauffement climatique. 

    Pourtant les fluctuations climatiques et leur impact sur le quotidien de l’homme ont existé de tout temps. Le climat a toujours façonné notre environnement, notre mode de vie et même nos civilisations. Ce même climat aurait causé la disparition de Néandertal. Stable et clément, il aurait permis à l’Empire romain de prospérer. Dans la Chine impériale, les bonnes conditions climatiques permettaient des récoltes riches et du bétail en quantité. En France, à la fin du XVIIIe siècle, une petite période glaciaire aurait causé la famine et conduit à la Révolution. »

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  • L’art lent de la « guerre » pangouvernementale

    La simple survie pourrait devenir plus urgente que les réflexions spéculatives de Macron sur la transformation de l’UE en une troisième force.

    Le Washington Post nous apprend que l’escapade du président Macron en Chine a suscité un « tollé » européen. C’est ce qu’il semble. Bien qu’à première vue, sa recommandation géostratégique selon laquelle l’Europe devrait se tenir à égale distance du mastodonte américain et du colosse chinois ne soit guère très radicale, il n’en demeure pas moins que les motivations sous-jacentes de Macron ne sont pas les mêmes. Pourtant, quelles que soient les motivations sous-jacentes de Macron, ses commentaires semblent avoir touché des nerfs à vif. Il est accusé de ce qui s’apparente à une « trahison ». La trahison des États-Unis curieusement – plutôt qu’une trahison des Européens ordinaires.

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  • Charles Martel (Georges Minois)

    Georges Minois est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés au Moyen-Âge. Il signe chez Perrin une biographie de Charles Martel.

    732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers. Charles Martel fait partie de ces personnages dont la vie semble concentrée en un seul événement. Certes, pareil événement eût suffi à le rendre célèbre : arrêter l’invasion arabe en plein essor et jusque-là irrésistible, un siècle exactement après la mort de Mahomet, est un exploit suffisant pour faire entrer son auteur dans les livres d’histoire. Mais ce livre veut resituer le rôle exact de Charles Martel dans l’histoire de France.

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  • Laetitia Strauch-Bonart pose la question qui fâche sur l’extrême gauche

    Cette défense de la rédactrice en chef « Idées » de L'Express, dans les colonnes d'un magazine en ligne qui incarne la fachosphère nauséabonde (le bruit des bottes, etc.), ne risque pas d'arranger son cas ! Ainsi va le débat d'idées en 2023. Il n'empêche : quelque chose doit être dit pour rendre hommage au courage de Laetitia Strauch-Bonart, qui a commis un crime odieux, cette semaine. Rendez-vous compte : elle a renvoyé dos à dos l'extrême gauche et l'extrême droite. Dans l'émission « C ce soir », interrogée pour savoir s'il était bien raisonnable de débattre chez Valeurs actuelles (magazine du Reich, si vous l'ignoriez !) quand on s'appelait Hugo Clément, elle a eu l'intelligence (et, redisons-le, le courage) de retourner la question vers l'extrême gauche. Tempête sur le plateau. La journaliste s'est donc demandé innocemment, puisqu'aller débattre avec les gens de droite, c'est cautionner le fascisme, pourquoi aller débattre à la Fête de l'Huma, ce ne serait pas cautionner les millions de morts du communisme. Stupeur. Haine, un peu masquée mais pas trop, de Laure Adler, qui n'aurait pas imaginé ça sous Mitterrand. Moche, de vieillir.

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