
DÉCRYPTAGE – Magistrats et enquêteurs soulignent l’extrême radicalité des dernières femmes rapatriées en France, dont les 15 rentrées cette semaine au côté de 32 enfants.
Des profils lourds et alarmants, résistant aux récurrentes tentatives d’euphémisation. «Il faut en finir avec la légende des femmes qui rentrent désormais des camps du nord-est de la Syrie et qui seraient des victimes de Daech ou du choix tardif de la France à les faire rentrer», soulignent sous couvert d’anonymat enquêteurs et magistrats de l’antiterrorisme.