
Problème, comme le révèle Libération pour s’en désoler : son étude n’a toujours pas été publiée alors que sa sortie était prévue en septembre 2022. Pour le journal bien-pensant, la faute en revient au président du think tank libéral, Henri de Castries, décrit comme « filloniste » et proche de Vincent Bolloré, ce qui suffit à le disqualifier et à lui supposer les desseins les plus sombres.