
l'information nationaliste - Page 2706
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Battre les progressistes en 2022: le programme
250 milliards € de fonds publics sont consacrés au clientélisme progressiste, avec ces sommes l'on pourrait augmenter les revenus des familles de 1250 €/mois et offrir aux entreprises un impôt unique sur les sociétés à 15%. Le tout permettant l'assainissement de nos finances publics, l'augmentation de notre compétitivité et la réduction considérable de l'empreinte progressiste. -
Le crédit social chinois accule les Français, par Clément Martin
La Chine s’est fait remarquer ces dernières années – entre autres ! – par l’usage du crédit social. Celui-ci consiste à restreindre ou à supprimer l’accès des « citoyens » chinois, en fonction de la « note » reçue, à certains services : les transports en commun, les hôtels, les restaurants, les écoles privées pour leurs enfants et cela peut aller jusqu’au retrait du droit de vote. Celui-ci a toutefois peu de valeur dans un pays dont la Constitution le définit toujours comme « un État socialiste de dictature démocratique populaire, dirigé par la classe ouvrière et basé sur l’alliance des ouvriers et des paysans »… Depuis, le filon scénaristique du contrôle de la population a été exploité notamment par la série Black Mirror sur Netflix.
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Chômage et désindustrialisation de la France : Laurent Izard est l'invité de Charles Gave
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La radicalité du Pacte vert européen
Olivier Bault
La hausse actuelle des prix de l’énergie inquiète à Bruxelles car elle pourrait dresser les citoyens européens contre le Pacte vert censé nous conduire à la neutralité carbone d’ici à 2050, avec l’ambition d’avoir déjà réduit nos émissions de CO2 de 55 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 1990. Il ne nous reste donc que huit ans pour opérer cette transformation radicale, et la Commission, sous l’influence de plusieurs pays, au premier rang desquels l’Allemagne, refuse encore d’étendre au nucléaire le soutien de l’UE devant accompagner cette transformation. Pourtant, sans le nucléaire, l’objectif sera impossible à atteindre, et un pays comme la Pologne, dont les trois quarts de l’électricité proviennent encore du charbon, l’a bien compris puisque Varsovie est en négociation pour la construction de ses premières centrales nucléaires.
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« Présenter un autre Bainville »
Docteur en histoire, journaliste à Canal Académie, Christophe Dickès publie un troisième ouvrage consacré à Jacques Bainville : un recueil où l'on retrouve les analyses de politique étrangère du chroniqueur de L'AF, mais où l'on découvre aussi ses contes et ses récits de voyage.
L'Action Française 2000 – Vous venez de publier un troisième ouvrage sur Jacques Bainville. Pourquoi cet intérêt ?
Christophe Dickès – Il y a deux raisons à cela. D'abord le rôle joué par mon père : quand j'étais adolescent, il m'a dit que Jacques Bainville avait prédit la Seconde Guerre mondiale ; c'est entré dans une oreille et ça n'est jamais ressorti. Ensuite, à l'occasion de ma deuxième année de faculté d'histoire, j'ai travaillé sur les relations internationales avec le Pr Soutou.
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Macron devient fatigant, avec ses courbettes à l’Afrique !
Du sommet Afrique-France de Montpellier, les observateurs loueront la constance de notre très cher président de la République dans ses œuvres de génuflexion. Emmanuel Macron a enchaîné les perles comme s’il y avait chez lui un besoin de satisfaire les attentes de son auditoire. C’est d’ailleurs devenu une spécialité : chaque fois qu’il doit défendre la France face à des Africains, il s’oublie. Ce n’est pas une absence de culture, encore moins un complexe, mais on a le sentiment qu’il y a, chez ce monsieur, un besoin maladif d’humilier la France en réécrivant l’Histoire.
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Christophe Guilluy : “Le contrôle de l’immigration n’est pas qu’une demande de l’extrême-droite”
On ne le présente plus : Christophe Guilluy, géographe, inventeur du concept de “France périphérique” revient pour L’Express sur les questions qui animent le débat et la conversation publique en ce début fou de campagne présidentielle. Sur l’immigration, dont il rappelle qu’elle ne saurait se résumer à une question ethnique – “la réduction des flux est une demande de Français de toutes origines” -, il préconise une approche pragmatique : “certains quartiers sont devenus des sas, où l’on ne reste pas. Il faut y laisser les habitants vieillir. Quand on aura des petits vieux qui tapent le carton en bas des tours, la donne changera”.
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Romain Guérin invité par Epona aux Entretiens du Parti de la France
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Pourquoi la remise en cause du droit européen par la Pologne fait trembler l'UE.
Le drapeau polonais et celui de l'Union européen, le 8 octobre 2021 à l'entrée de l'ambassade de Pologne à Bruxelles (Belgique). (KENZO TRIBOUILLARD / AFP)
La plus haute juridiction polonaise a estimé que certains articles du traité de l'Union européenne étaient "incompatibles" avec la Constitution. Une prise de position qui ouvre la voie à une politique qui ne respecterait pas les engagements de la Pologne à l'égard des Vingt-Sept.
C'est une décision qui secoue toute l'Union européenne. Jeudi 7 octobre, le Tribunal constitutionnel polonais, la plus haute juridiction du pays, s'est prononcé contre la primauté de certains articles des traités européens sur la Constitution du pays. "Des organes européens agissent au-delà de leurs compétences", a tranché Julia Przylebska, sa présidente. Selon cette même juridiction, critiquée pour sa grande proximité avec le PiS, le parti conservateur au pouvoir, plusieurs articles de l'UE sont "incompatibles" avec les textes polonais.
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Eugène de Savoie, guerrier et homme d’État au service des Habsbourg. Troisième partie
En 1714, la guerre de Succession d’Espagne s’achève. Deux ans plus tard, la guerre contre les Turcs reprend. La Sublime Porte veut remettre la main sur les territoires perdus lors de la signature du traité de Karlowitz. Le sultan Ahmet III attaque d’abord le Péloponnèse, appartenant alors à Venise, et le conquiert en deux mois. Le Saint Empire, Venise, le Portugal, Malte et les États pontificaux s’allient pour former une nouvelle Sainte-Ligue.
Nouvelle guerre contre les Turcs
Eugène, général en chef de l’armée impériale, rassemble une armée de soixante-cinq mille hommes. Il va remporter deux victoires décisives alors que ses troupes seront à chaque fois en grande infériorité numérique. Avant chacune des deux batailles, il répond par un ordre d’attaque à l’avis unanime de ses généraux qui conseillent la défensive.