D’abord, le nombre est considérable, beaucoup plus que ne l’étaient les gilets jaunes, ce que les organes de la presse de cour se gardent bien de dire. Que ça ne se sache pas est le signe d’un contrôle d’opinion de plus en plus serré.
D’autant que ces manifestations ne ressemblent à aucune autre.
J’ai déjà manifesté : au Trocadéro en faveur de Fillon, on trouvait un collègue ou une vielle connaissance tous les dix mètres. Même à la Manif pour tous, même dans des manifestions plus à gauche.