Voilà bientôt 40 ans que Georges Dumézil a entrepris d'étudier “comparativement” mais selon des principes nouveaux la religion romaine (1). Pendant toute cette période, il n'a cessé de perfectionner sa méthode, de la soumettre à l'épreuve des faits et d'élargir le champ de ses applications. Mais nul n'est prophète en son pays et, pis encore, la République des savants s'accommode mal des novateurs. D'où l'accueil incertain, voire hostile, réservé, en France comme à l'étranger, aux idées de l'auteur, et un procès d'intentions perdurable qui se nourrit d'une prévention et d'un apriorisme dont on regrette qu'ils aient droit de cité dans le monde de l'érudition.
l'information nationaliste - Page 3250
-
Rome : mythe, histoire et héritage 1/2
-
Interview de Patrick Sébastien au Figaro : au diapason du pays réel, à lire d’urgence !
Oserez-vous encore me dire que Patrick Sébastien est un beauf après avoir lu son interview du 31 décembre dernier au Figaro ? Peut-être. Mais vous auriez tort.
Interrogé par Le Figaro TV Magazine à l’occasion du réveillon de la « Bonané » (fête d’obligation du calendrier des valeurs de la République, ornements dorés), l’animateur populaire ne mâche (toujours) pas ses mots.
Il partira en tournée en octobre 2021 avec le plus grand cabaret du monde, ses jongleurs et ses trapézistes, ses numéros incroyables dont le petit monde parisien se moque méchamment, bêtement et complètement. C’est, d’ailleurs, ce que dit l’ancien animateur : « Des gens ont grandi avec ce rendez-vous, mais ceux qui ont décidé de l’arrêter se foutent de ça ! Ils se font plaisir et si la plèbe n’est pas contente, tant pis pour elle ! »
-
La double débâcle
Avouons-le : encaisser coup sur coup la même semaine les cafouillages bureaucratiques autour du vaccin, et l'affaire Duhamel, d'un tout autre ordre bien sûr, infiniment écœurante, laisse sans voix depuis plusieurs jours un chroniqueur qui voudrait encore pouvoir croire en son pays.
Quand le 28 avril 2020, Éric Ciotti, à la tribune de l'Assemblée nationale employa effet l'image rhétorique d'un "juin 1940 sanitaire" certains voulurent n'y voir qu'une formule polémique et parlementaire.
-
Un projet de loi contre la censure des médias sociaux en Pologne (OJIM)
Ojim – Le 17 décembre 2019, le ministre de la Justice polonais convoquait une conférence de presse pour présenter un avant-projet de loi contre la censure par les médias sociaux. Sans surprise, les grands médias français n’en ont pas parlé puisque la France a choisi d’adopter l’approche inverse, c’est-à-dire celle qui consiste à menacer de lourdes sanctions les réseaux sociaux qui ne censureraient pas assez.
Une approche qui n’a pas été abandonnée après le rejet des principales dispositions de la loi Avia par le Conseil constitutionnel. À vrai dire, les médias français ayant fait cas du projet de loi polonais sont tous des médias de ce que la gauche française appelle avec un grand mépris la « fachosphère », tel le quotidien Présent, dont l’article consacré à ce sujet a ensuite été repris dans le Visegrád Post, ainsi que le site Boulevard Voltaire.
COMPARAISONS EUROPÉENNES
Lors de la conférence de presse organisée au ministère de la Justice polonais, le secrétaire d’État Sebastian Kaleta, qui accompagnait le ministre Zbigniew Ziobro, a d’ailleurs opposé l’approche polonaise aux approches française et allemande qui, pour reprendre les mots du communiqué publié par le ministère de la Justice polonais après la conférence de presse, « mettent l’accent sur l’élimination des contenus considérés comme étant en infraction du droit et non pas sur la protection de la liberté de parole. Ces régulations ont donc un caractère avant tout répressif. Par exemple en Allemagne, un média social qui viole la loi risque une amende très élevée, jusqu’à 50 millions d’euros. En outre, c’est le ministre de la Justice qui décide en définitive si les contenus publiés violent la loi. »
(…) lire la suite sur l’OJIM
-
Gestion de la crise sanitaire : des méthodes communistes
-
Un référendum sur l’Immigration ?, par Philippe Germain.
Nous ne regrettons pas, il y a déjà plusieurs mois, d’avoir entamé l’actualisation de notre réflexion politique sur la menace culturelle et démographique, que l’Islam représente pour la France, cette aire territoriale et ces hommes dominés par vingt siècles de vie partagée.
Sachant les nations guérissables mais pas immortelles, nous avons, nous nationalistes, le souci permanent de préserver la France des forces de mort.
D’où notre induction qu’a l’extérieur, l’intérêt de la France réside dans la sécurité et la souveraineté, mais à l’intérieur, il se trouve dans l’ordre et l’unité. Cela nous amène à déduire, de l’actuelle immigration génératrice d’islamisation menaçant l’ordre et l’unité, l’incapacité de la religion laïque – ce fondamentalisme athée – à apporter les solutions nécessaires à la préservation de la France. De là nous concluons à la nécessité de changer le Système, au profit d’institutions politiques plus aptes que lui.
-
Vers la communautarisation de l’islam (texte de 2019)
Le « toilettage » de la loi de 1905 souhaite mieux contrôler l’islam en France. Certains pensent que la laïcité va passer aux oubliettes, d’autres s’inquiètent d’une institutionnalisation du communautarisme. Explications.
On est prié de ne pas y voir un symbole malheureux, voire un affront à la mémoire des victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo et l’Hyper Casher. C’est pourtant le 7 janvier, quatre ans jour pour jour après ce drame, qu’Emmanuel Macron, Edouard Philippe et Christophe Castaner, rien de moins, ont reçu le CFCM. Certes, pas d’amalgame, le Conseil français du culte musulman avait vigoureusement condamné les attentats, mais il s’était plusieurs fois dressé contre « l’islamophobie » du journal satirique… et c’est tout de même au nom de l’islam et au cri de « Allahou Akbar » que les djihadistes ont tué 17 personnes.
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
Le féminisme n'est pas un humanisme : La grande défaite des femmes 1/2
Le féminisme, ou plutôt ce qu'il en reste, fait semblant de croire que les femmes sont martyrisées par un pouvoir « hétéro-patriarcal ». Le mouvement a pourtant gagné la partie. Mais pas les femmes. De la théorie du genre à la GPA, Eugénie Bastié retrace dans un livre sans concessions, Adieu Mademoiselle les grandes étapes de cette défaite.
ÉLÉMENTS: N'est-il pas plus facile d'articuler une critique du féminisme lorsqu'on est une femme jeune et jolie que lorsqu'on est un homme vieux et vilain ?
EUGÉNIE BASTIÉ. Oui et non. Rien n'agace plus les militantes que d'entendre une femme prendre position à ce propos sans sacrifier à l'unanimisme féministe. J'ai remarqué que les critiques négatives de mon livre venaient quasi exclusivement de femmes. Le principe du féminisme est de postuler qu'il existe un peuple féminin unique dans lequel chacune aurait les mêmes intérêts, ce qui est paradoxal puisqu'on veut nous faire croire en même temps que la femme n'existe pas, qu'il n'y a pas de substance féminine.
-
Dans la nuit des Lumières
Le nouveau livre de Xavier Martin souligne avec force une réalité méconnue : la noirceur de la vision de l’homme développée par les philosophes des Lumières.
Sous-homme ? Le mot évoque des souvenirs sinistres, spécifiquement le racisme des nazis qui classaient l’humanité en deux catégories, celle des Germains, considérés comme des surhommes, concept abusivement emprunté à Nietzsche qui ne donnait pas de connotation nationale ou génétique à son image de l’Übermensch, et celle des sous-hommes (Untermenschen), catégorie dans laquelle les hitlériens classaient les peuples jugés intrinsèquement inférieurs, ainsi que les infirmes et les handicapés.
-
Immigration : l’Europe submergée ?
L’Europe est-elle submergée par une immigration massive ? Le fameux « Grand remplacement » est-il de l’ordre du fantasme ou de la réalité ? Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, publie L’invasion de l’Europe, un ouvrage qui se propose de donner les chiffres d’un possible basculement démographique en Europe.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire