l'information nationaliste - Page 4760
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Venez retrouver le journal "Présent" et ses journalistes sur leur stand dimanche prochain à la 12e Journée de Synthèse nationale à Rungis
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La petite histoire : Stalingrad, mère de toutes les batailles
La bataille de Stalingrad, surnommée la mère de toutes les batailles, se déroule de juillet 1942 à février 1943. Au prix de centaines de milliers de vies humaines, les Soviétiques résistent infatigablement à l’offensive allemande et inversent le cours de la guerre. Après cet échec ô combien symbolique, Hitler, menacé sur le front est, ne pourra plus que retarder l’échéance de la victoire finale des alliés. Retour sur un affrontement hors norme.
https://www.tvlibertes.com/2018/10/09/26156/stalingrad-mere-de-toutes-batailles
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Génération Identitaire met une nouvelle fois SOS Méditerranée face à ses contradictions – Jérôme Barbet (Les Identitaires)

Vendredi 5 octobre, Génération Identitaire a occupé les locaux de l’association « SOS Méditerranée » à Marseille. En dénonçant la complicité de cette association avec les mafias de passeurs, les jeunes identitaires ont une nouvelle fois mis en lumière les contradictions de cette ONG. Alors qu’elle se revendique « humanitaire », elle est en réalité motivée par l’idéologie.
Une idéologie qui l’aveugle au point qu’elle refuse de concéder que les seules politiques ayant permis de diminuer le nombre de décès en mer (en ramenant parfois son chiffre à zéro comme en Australie) ont été des politiques de fermeté. En Italie, les mesures prises par Matteo Salvini ont permis de diminuer le nombre de morts en mer de moitié en seulement quelques mois.
Cette baisse a une explication très simple : les départs ont également diminué de moitié. Comme les identitaires le dénonçaient pendant l’opération Defend Europe en Méditerranée, l’action des ONG avait bien un effet de « pompe aspirante ». En s’approchant toujours plus des côtes libyennes, elles encourageaient de plus de plus d’Africains à tenter la traversée en prenant sans cesse plus de risques. Le nombre de morts ne faisait donc qu’augmenter. Aujourd’hui qu’elle n’y sont presque plus actives, le mot est passé chez les migrants et ils sont moins nombreux à vouloir prendre la mer.
Par ailleurs, ces ONG n’aident pas l’Afrique car aider ce continent, ce n’est certainement pas encourager sa jeunesse à émigrer. Pour monter à bord de l’Aquarius, il faut auparavant avoir déboursé environ 3 000 euros auprès des passeurs (Renaud Girard, grand reporter au service étranger du Figaro, le 23/06/2018). Ceux qui quittent l’Afrique ne sont donc pas les pauvres, mais la classe moyenne ou aisée. Celle qui, au lieu d’investir ces sommes d’argent importantes dans l’économie locale, préfère essayer d’envoyer un des leurs en Europe vers un Eldorado qui n’existe pas.
Ces ONG refusent de voir la vérité en face. En réalité, elles se rendent complices des mafias de passeurs qui réalisent des chiffres d’affaires de plusieurs milliards d’euros et qui financent parfois le terrorisme. Par l’effet attractif de leur présence au large de la Libye, elles sont responsables des milliers de migrants qui sont morts en mer pour avoir tenté de les rejoindre.
L’action de ce vendredi avait pour but de rappeler encore une fois que les intentions mises en avant par SOS Méditerranée ne correspondent pas aux effets catastrophiques de leur action. Au vu de ces faits accablants, la France ne doit en aucun cas accorder un pavillon à l’Aquarius (navire de SOS Méditerranée), elle doit au contraire le saisir !
Jérôme Barbet
Texte repris du site de : Les Identitaires
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On a toujours raison à un moment ou a un autre... mais le mieux, c'est d'avoir raison au bon moment.
Giscard confie ses regrets au sujet du regroupement familial... Il est temps !
Lu dur f.desouche.com cliquez ici :
Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.
« Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…) L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit. »
Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing regrette cette initiative : « L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents. »
Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500.000 Algériens en cinq ans.
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Ce qu'était l'école avant Jules Ferry
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Migrants clandestins expulsés de leur squat : des associations portent plainte

Compliquée, la vie de migrants clandestins. Cela se passe à Dijon, en Côte-d’Or. Ils pensaient, une fois parvenus à destination, prendre définitivement possession de logements gratis généreusement mis à leur disposition et les voilà, en définitive, contraints de poursuivre leur itinérance, odieusement expulsés d’un bâtiment à l’autre. Bâtiments dans lesquels, grâce à l’héroïque altruisme d’associations, ils s’introduisent en toute illégalité. Ces clandestins ont été expulsés fin août de leur avant-dernière demeure, mais cela n’empêche nullement quarante associations (rien que ça !) de porter plainte aujourd’hui contre le procureur de la République qui a ordonné cette expulsion.
Récapitulons. Ils sont 80, pour l’essentiel des Tchadiens, des Soudanais et des Maliens, dont on ne sait quand et par quels biais ils ont rejoint la France. Expulsés le 11 juillet d’un hôtel désaffecté de la rue des Ateliers de la capitale bourguignonne, au bout d’un mois à camper ici et là, les associations se sont emparées de seize appartements d’un bâtiment affecté au ministère des Armées, avenue de Stalingrad, d’où, le 28 août, ils en seront à nouveau expulsés. Et illico recasés dans un centre culturel de la ville.
Au moins ont-ils un toit au-dessus de la tête, compatissez-vous. Détrompez-vous. En dépit, en plus, des « dons de matériel et de nourriture […], ils déplorent leurs conditions de vie » : « Plein de trucs leur manquent », « manger avec 80 personnes, c’est vraiment très dur », disent-ils, visages cachés, au micro de France 3 régions. Ne connaissent pas la cantine. Récriminations si ridicules dans la bouche de ceux qui ont vécu l’enfer (il paraît) qu’on se demande si elles ne leur sont pas soufflées par leurs protecteurs. Et ils souffrent, aussi, du froid ! Comme ces onze millions de Français, selon la fondation Abbé-Pierre, qui déclaraient, en 2018, se priver de chauffage pour éviter de se ruiner et, donc, se gèlent tout l’hiver ?
« Les migrants ne sont pas des sous-hommes, ils ont droit à ce que leurs droits soient respectés dans une procédure comme tout un chacun », dit un monsieur bien comme il faut sur un ton d’instituteur. Des sous-hommes : tout de suite les grands mots ! Des migrants, qui auront peut-être la chance de faire partie des 86 % de demandeurs d’asile pour qui l’État, dans son plan Immigration, Asile et Intégration », va ouvrir, d’ici 2020, 97.000 places supplémentaires pour la modique somme de 1,58 milliard d’euros, et ce, pour la seule année 2019. 200 millions de plus qu’en 2018 : on sait où passe (entre autres) le rabotage des retraites…
Bref, la kyrielle d’associations a donc décidé de contester l’expulsion de Stalingrad, pour cause de « procédure judiciaire non respectée » et… « violation de domicile » !
Dans une société qui marche sur la tête, idée aussi loufoque peut-elle encore surprendre ? Non, évidemment. La preuve par Montpellier : en août dernier, un squatteur occupant le domicile d’un propriétaire montpelliérain, lequel avait réussi à changer sa serrure afin d’éviter à l’indélicat de s’y réintroduire, a bel et bien vu sa plainte pour violation de domicile enregistrée par la police !
En tout cas, ce n’est pas la poursuite par les autorités concernant l’occupation du bâtiment du ministère des Armées pour « dégradations en réunion et introduction frauduleuse » qui va empêcher de dormir sur leurs deux oreilles et dans leur lit les activistes de ces dizaines d’associations, probablement subventionnées.
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Yves Mamou : “Il existe bel et bien une préférence des élites françaises pour l’islam”

Yves Mamou, ancien journaliste du Monde et ancien collaborateur au Canard Enchaîné, à Libération et à La Tribune, vient de publier un ouvrage sur l’islamisme en France. Il répond au Figarovox :Selon vous, l’immigration et l’islamisation auraient pour conséquence d’empêcher les Français de «faire nation»? Quel lien faites-vous entre la supposée émergence perturbatrice de l’islam et la supposée désagrégation de la nation française?
Le Grand Abandon est une tentative de reconstitution. J’ai essayé de savoir pourquoi et comment, à côté de la nation française, une nation islamique avait pu progressivement se constituer. Les déclarations fracassantes de Gérard Collomb, ex-ministre de l’Intérieur, au matin de sa passation de pouvoir à Edouard Philippe, Premier ministre, montrent que la juxtaposition de ces deux nations aujourd’hui en France engendre un risque d’affrontement. Nous sommes aujourd’hui «côte à côte» (sous-entendu musulmans et non-musulmans) a dit Gérard Collomb, mais rien ne garantit que demain nous ne serons pas «face à face». Cet avis de guerre civile en bonne et due forme a été proféré par l’homme qui, pendant un an et demi, Place Beauvau, a eu sous les yeux, au quotidien, tous les rapports de police et de gendarmerie.
Gérard Collomb est partie prenante de l’élite politique française. Il abandonne son poste en informant que la guerre civile est à nos portes. Une fuite qui à elle seule justifie mon titre «Le Grand Abandon». L’avertissement aurait eu plus de force s’il avait été proféré par un ministre en exercice (…)
En France, la nation islamique a été fabriquée de toutes pièces. Elle est le résultat d’une politique. Les élites françaises, c’est-à-dire les grands corps de l’État, les partis politiques, les experts, les magistrats, les médias, les élites culturelles… ont, pour de multiples raisons, plusieurs décennies durant – et encore aujourd’hui – encouragé et légitimé l’immigration musulmane.
Cette préférence des élites pour l’islam a produit un fossé abyssal entre la France d’en haut et la France d’en bas (…)
Peut-être, mais est-ce suffisant pour affirmer comme vous le faites que l’islamisme et l’immigrationnisme ont été voulus, théorisés, écrits et préparés à l’avance?
L’immigration a été voulue et organisée, mais l’islamisation de cette immigration n’était sans doute pas inscrite au menu (…)
La constance avec laquelle le Conseil d’État a aidé à la constitution d’une nation islamique en France est sidérante. Je liste dans mon livre tous les arrêts du Conseil d’État favorables à l’immigration musulmane, favorables au voile, favorables au burkini, favorables à la burqa, favorables aux familles polygames et j’en passe. Idem pour le Conseil constitutionnel qui trouve conforme à l’intérêt général de laisser les écoles salafistes proliférer ou de supprimer, au nom de la «solidarité», les peines qui frappaient autrefois les délinquants qui facilitaient l’immigration clandestine (…)
Tout ce que j’avance dans mon livre est sourcé. Le Grand Abandon est riche de plus de 700 notes et références. L’ordonnancement et la mise en relation de ces faits étayés et vérifiés entre eux mettent en lumière une évidence: il existe bel et bien une préférence des élites françaises pour l’islam (…)
«L’antiracisme politique qui sévit aujourd’hui n’a jamais eu pour but de combattre le racisme.» Que voulez-vous dire?
Je n’ai pas remarqué de mobilisation des organisations antiracistes contre le rappeur Nick Conrad qui a chanté le meurtre des Blancs et des enfants blancs dans les crèches. Ni contre les Indigènes de la République ou le syndicat SUD Éducation qui ont organisé des séminaires «racisés» fermés aux «Blancs», ni contre Médine qui rêve de crucifier les laïcards au Golgotha, ni contre Mmes Ernotte (France Télévisions) et Nyssen (ministère de la culture) qui souhaitaient voir moins de «Blancs» à la télévision.
En revanche, quand Éric Zemmour a affirmé que les immigrés étaient surreprésentés dans les prisons, ou quand Georges Bensoussan a tenté d’expliquer que l’antisémitisme sévissait dans une large frange de la population musulmane en France, les associations antiracistes se sont unies pour les traîner devant un tribunal. Au nom de la lutte antiraciste!
Ces quelques exemples permettent de situer la zone d’action de l’antiracisme: faire taire tout critique de la «diversité». La «diversité» n’est pas un slogan antiraciste un peu creux. Je démontre dans mon livre que la «diversité» est en réalité une politique. Et cette politique passe par les organisations antiracistes subventionnées par l’État, par l’école où l’apprentissage de l’arabe est proposé aujourd’hui dès le primaire, par une politique du ministère de la Culture qui subventionne la «diversité» au cinéma et au théâtre, par l’Afnor qui labellise les entreprises pour plus de «diversité», par le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui, avec son Baromètre de la «diversité» rêve d’imposer des quasi quotas ethniques sur le petit écran, et par divers lobbys comme le Club XXI d’Hakim el Karoui ou l’association Coexister… (…)
Les services du Premier ministre diffusent actuellement des clips contre les violences sexistes. L’un de ces clips montre un «Blanc» qui agresse sexuellement une jeune fille d’origine maghrébine laquelle est défendue par une «Blanche» en couple avec un homme noir. Ce clip d’État d’une grande pureté idéologique assigne la violence sexuelle aux hommes Blancs et refuse d’évoquer celle qui peut aussi exister chez les «victimes» de couleur. J’affirme que cette victimisation forcenée des Français de couleur participe à la fabrication de la violence d’aujourd’hui (…)
Vous reprochez aux politiques, notamment de gauche («islamo-gauchistes») leur clientélisme, mais vous le reconnaissez vous-même en introduction, les musulmans deviennent une composante à part entière de la population: il faut bien que des politiques leur parlent à eux aussi?
La gauche clientéliste flatte le communautarisme islamique: baux emphytéotiques pour la construction de mosquées, heures de piscine réservées aux femmes, etc., cela dans le but de recueillir les voix des musulmans (…)
Vous critiquez beaucoup aussi l’Église. Mais n’est-elle pas dans son rôle lorsqu’elle exprime une compassion à l’égard des migrants? Faut-il toujours tout ramener à une vision politique?
(…) Quant à la compassion de l’Église pour les migrants musulmans, il est bon de rappeler que cette compassion est sélective. L’Église ne défend pas les Coptes quand ils sont massacrés en Égypte, elle proteste à peine contre l’authentique épuration ethnique qui frappe les chrétiens d’Orient, et elle n’a guère eu de mot charitable pour les Yazidis massacrés par l’État islamique. C’est cette sélectivité compassionnelle qui interroge. J’essaye de montrer dans mon livre que la charité affichée de l’Église envers les musulmans est aussi une politique (…)”
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Montée des « populismes » : mythe ou réalité ? – Journal du mardi 9 octobre 2018
Politique / Montée des « populismes » : mythe ou réalité ?
Salvini, Le Pen, Bolsonaro, Bannon… Les journalistes voient des “populistes” partout… mais qu’en est-il réellement ? Peut-on comparer ces personnalités et leurs velléités ? Cercle vertueux ou spirale dangereuse ? Alain de Benoist, auteur du Moment populiste répondra à nos questions.Social / Les syndicats se remettent en marche
Pour la 12e fois depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les syndicats descendent dans la rue. Un nouveau rassemblement des mécontents qui, comme les précédents, ne semble pas en mesure de faire chavirer le pouvoir.Société / Les eaux corses en péril
International / B. Kavanaugh : l’homme qui conforte Trump
A moins d’un mois des élections de mi-mandat aux Etats-Unis, la nomination à la Cour suprême du juge conservateur Breth Kavanaugh pourrait bien confirmer la position dominante de Donald Trump…Serveur TVL
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Politique-Eco n°186 avec Valérie Bugault : Offensive contre la prédation sociale et politique
Pierre Bergerault reçoit Valérie Bugault pour la présentation de son ouvrage “La nouvelle entreprise”. Une théorie juridique pour rééquilibrer les forces au sein du monde du travail et permettre à l’Etat de redevenir le garant du bien commun.
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Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement
Repas, sorties scolaires, mixité garçon-fille… Dans certains établissements scolaires en France, des élèves reproduisent un comportement jugé communautaire, adopté par leurs parents. Et cela inquiète l’Education nationale.
EXCLUSIF
L’école est-elle de plus en plus victime de dérives communautaires ? Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L’exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d’élèves qui refusent d’avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé “haram”, c’est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d’un établissement du Nord de la France.
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