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Le Syndicat national des radios libres (SNRL) et la Confédération nationale des radios associatives (CNRA) ont été contraints de mettre fin au partenariat qui les liait à StreetPress. La raison ? Le média d’extrême gauche gauche a lancé, en septembre, « un grand projet d’enquête, dont le but est de riposter face à l’extrême droite ».
Le 29 août 2025 j’affirmais que la dette du pays n’est pas la dette des Français mais la dette exclusive de la Caste dont au premier chef la classe politique : « Il n’y a pas de dette de la France, il n’y a qu’une dette de nos politiciens. Ce sont eux qui ont créé cette dette depuis 1974, c’est à eux de la payer ». https://ripostelaique.com/la-dette-criminelle-de-nos-politiciens-durant-50-ans-pendaison-pour-tous.html
Il y a quelques jours, nous avons proposé à nos lecteurs ces deux éditos, qui vont paraître visionnaires ce jour, après la mascarade à laquelle nous avons assisté cet après-midi.
Les frais bancaires continuent de grimper. Selon le rapport 2025 de l’Observatoire des tarifs bancaires (OTB), les prix des services bancaires ont augmenté de 3,1 % entre juin 2024 et juin 2025, contre 1 % pour l’inflation générale.
Le président LFI de la commission des finances de l’Assemblée Nationale a fait une intervention très importante le jour de présentation du budget et du discours de politique générale du nouveau-nouveau premier ministre.
Faut-il s’attendre à une vague de départs au ministère de l’Intérieur d’ici à début 2027 ? L’échéance correspond au déménagement annoncé de 2 700 agents du ministère, principalement sur des postes administratifs dits de « support » des différentes directions (ressources humaines, finances, numérique), depuis le site Lumière, situé dans le 12e arrondissement de Paris, pour « Universeine » à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Ce nouvel écoquartier, sorti de terre en quelques années pour servir de village des athlètes pendant les Jeux olympiques et paralympiques et 2024, et aujourd’hui devenu une zone en développement mêlant logements, bureaux et commerces, dont la halle Maxwell, l’ancienne centrale électrique réhabilitée qui fait partie des futurs nouveaux locaux du ministère de l’Intérieur.
Anne Hidalgo, l’immaculée conception sauvée par la justice administrative. Le Conseil d’État en protecteur des élus corrompus, ou des décisions arbitraires, s’est dressé pour voler au secours de l’élue socialiste, en très mauvaise posture suite à se notes de frais injustifiées et visiblement injustifiables . Voilà ce qu’est devenue cette noble institution, Long, Weil et Braibant doivent se retourner dans leur tombe. Voilà comment une dictature se met en place et contribue à sa survie, en protégeant les faquins, en validant ce qui ne devrait pas l’être en portant le sceau de la légalité à la forfanterie. Il n’y a même pas de procès, de maquillage de l’escroquerie, le CE décide que ce ne serait pas bien de devoir donner des explications, que la transparence est l’ennemi du bien donc de la justice. On ne rêve pas, conscient de la faute de Hidalgo et du sort qui serait le sien si une instruction s’ouvrait, on annule tout simplement la requête. Indéfendable, donc on supprime le conflit ! Bien entendu cette exception ne fonctionne qu’avec les gens de gauche, les autres doivent être hissés sur les bûchers de l’inquisition pour expier une vérité écrite par le camp autoproclamé du bien.
Il n’est plus temps d’être poli : Emmanuel Macron doit se casser ! Il est une plaie pour la France ; il est l’obstacle au renouveau d’un pays dépressif et encalminé. Le chef de l’Etat est à la source de la crise de régime qui ébranle la Ve République. Ce séisme ne se résoudra qu’en laissant les Français s’exprimer à travers des élections. Or les réticences du chef de l’Etat à se tourner vers le peuple l’installe, dans la colère froide du narcisse incompris, en despote mal éclairé. Ce qu’il fait voir de son raidissement mental laisse apparaître ses failles présumées psychopathiques. Elles font craindre une fin de règne interminablement conflictuelle. Macron devrait relire, dans Choses Vues, cette réflexion de Victor Hugo : « Je ne comprends pas qu’on ait peur du peuple souverain ; le peuple, c’est nous tous, c’est avoir peur de soi-même ».
Au programme de cette édition, le grand saut de Lecornu. Plus d’un mois après sa 1ère nomination à Matignon, il aura enfin clamé son discours de politique générale. Une allocution dont la première des vocations était d’acheter les socialistes pour qu’ils ne votent pas la censure.