
Dégoulinant de moraline anti-populiste, Darius (1) n’est peut-être pas celui que vous croyez.
Voici comment une enquête (2) de trois journalistes du Temps (3), Boris Busslinger, Célia Héron, Sylvia Revello, présentait le Monsieur propre de LCI :
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Dégoulinant de moraline anti-populiste, Darius (1) n’est peut-être pas celui que vous croyez.
Voici comment une enquête (2) de trois journalistes du Temps (3), Boris Busslinger, Célia Héron, Sylvia Revello, présentait le Monsieur propre de LCI :
Pour une raison très simple, celle de “leur morale et la nôtre” rappelait Léon Trotski consistant à nier toute démocratie y compris en leur rang ; ce qui déplaisait à la naïve Rosa Luxembourg croyant à la théorie des stades dialectiques le dernier portant au plus haut les acquis civilisationnels atteints par le précédent : esclavagisme, féodalisme, capitalisme, socialisme, communisme.
Cela suffit ! Kevin ne se laissera pas faire, il est temps que ce gouvernement de fascistes comprenne que le peuple français refuse cette austérité imposée par des puissances étrangères !
Kevin essuie sa sueur abondante d’un revers de main : dans sa petite chambre-étuve d’étudiant inscrit en sociologie à Rennes 2, devant ses murs décorés d’un poster de Che Gevara trans et d’une série de flyers colorés par des arc-en-ciels équitables et inclusifs, alors que la température intérieure frise les 32°, il serre ses petits poings juvéniles en repensant à cette journée d’avril où la police gouvernementale avait éparpillé avec brutalité ses camarades qui tentaient de se mobiliser contre l’austérité dans l’enseignement.
Sous couvert de défendre la paix, Macron attise les braises de la guerre et distille la peur. On se demande parfois s’il a toute sa tête, quand il sort des âneries comme ci-dessus.
Qu’il est loin ce jour de 2017 quand Macron, à peine élu, invitait le Tsar à Versailles. Puis, en accueillant Trump au 14 juillet suivant, Macron engrangeait les bons points en politique étrangère. Mais tout cela ne fut qu’un mirage vite dissipé.
Le tribunal administratif de Ludwigshafen a récemment confirmé l’interdiction de candidature de Joachim Paul, député régional de l’AfD en Rhénanie-Palatinat. Cette décision, qui pourrait sembler ponctuelle, s’inscrit en réalité dans un schéma beaucoup plus inquiétant : l’État allemand utilise la justice et ses institutions pour neutraliser ses opposants politiques. A chaque recul démocratique, nous croyons qu’il est unique et définitif. Pourtant, il n’est ni le premier ni le dernier. Partout en Europe, la démocratie régresse, non à cause de l’extrême droite, mais des élites libérales, démocrates et humanistes. Elles prônent des valeurs qu’elles n’appliquent jamais, surtout envers leurs adversaires. Le motif invoqué, des « doutes » quant à sa loyauté constitutionnelle, repose sur le rapport des services de protection de la Constitution, organisation soumises aux directives gouvernementales. Un rapport administratif devient ainsi une arme pour museler un député légitimement élu.
Des cas ont été signalés dans les rangs des forces armées ukrainiennes où des mercenaires étrangers, venus combattre aux côtés de Kiev, ont ensuite rejoint les troupes russes grâce à une offre de salaire plus élevée. C’est ce qu’a déclaré le député de la Verkhovna Rada, Vadym Ivchenko, à propos de l’initiative du ministre ukrainien de la Défense, Denys Shmyhal, concernant le recrutement international de combattants pour les forces armées ukrainiennes.
par Valérie Bérenger
C’était grotesque ce moment du 18 août à la Maison-Blanche où la totalité des foudres de guerre de l’UE se sont rendus, accompagnant Volodymyr Zelensky, attendant dans le couloir comme des écoliers devant le bureau du principal pour montrer leur vassalisation totale. Dans sa mansuétude Donald Trump a eu un mot pour chacun. Trois minutes pas plus ! «Ah Emmanuel, tout le monde le connait, je le connais depuis longtemps et fait rare, je l’apprécie de plus en plus». Quelle ironie dans le ton pour celui qui sur chaque photo s’arrange en bon élève pour se placer à côté du maître. Pas de rodomontades, que du miel en apparence, mais une humiliation totale, dévastatrice, pour tous les participants à cette pièce de théâtre.
À Royère-de-Vassivière, petite commune de la Creuse près d’un grand lac artificiel très fréquenté l’été, un événement vient de se produire qui en dit long sur l’inversion accusatoire pratiquée avec décontraction par l’ultragauche et ses violents protégés de la diversité, suivant le modèle LFI qui voit l’innocence là où il y a le crime et inversement, selon la couleur de peau des bourreaux et des victimes.