L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel : tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance. Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.