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La commission d’enquête parlementaire sur l’organisation des élections en France s’acharne sur Pierre-Édouard Stérin, ce milliardaire catholique qui investit à travers Périclès dans des projets « d’initiatives citoyennes » pour défendre l’identité de la France et son rayonnement. L’homme de droite qui s’assume« libéral-conservateur », doit être auditionné la semaine prochaine à l’Assemblée nationale.
Nous vous évoquions le jeudi 24 avril 2025 qui restera dans les annales judiciaires rennaises comme le jour où la violence politique a semblé trouver un passe-droit. Ce jour-là, au tribunal correctionnel de Rennes, sept militants antifas comparaissaient pour l’agression en février dernier (le 27) de deux étudiants, dont l’un responsable départemental des Jeunes avec Bardella. Le procès, émaillé de tensions, d’intimidations et de débats procéduraux, s’est achevé sur un verdict glaçant : la relaxe générale.
Chronique sur les impostures d’Emmanuel Macron dans son discours devant la Grande Loge de France sur la laïcité et la fin de vie. Nicolas Bauer, docteur en droit et chercheur associé au Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ) :
Thomas Guénolé est connu du grand public pour avoir participé, en tant que chroniqueur, à l’émission Touche pas à mon poste !, présentée par Cyril Hanouna et diffusée sur feu C8. Ses interventions laissaient souvent à désirer. Ce mardi 6 mai, cet ancien membre de La France insoumise a encore donné dans le médiocre et le mesquin.
Les marques d’habillement à bas prix tirent profit de leurs invendus écoulés auprès d’associations comme Emmaüs ou La Croix Rouge, révèle Disclose, en partenariat avec Reporterre, à partir de documents confidentiels.
Le résultat de la loi anti-gaspillage qui les encourage, depuis 2022, à donner leurs surplus en échange de 60 % de réduction fiscale.
Au risque de financer la surproduction de l’industrie textile.
Quand un gouvernement est aux abois, coincé sur tous ses dossiers en cours, il parle de l’école, avec la certitude de voir le débat s’enflammer et les autres sujets laissés de côté, le temps d’une respiration médiatique. Et voilà Macron, spécialiste du contre feu, qui parle d’assises de l’école, dont il ne tiendra pas compte, comme d’habitude. Et c’est rassembleur, tout le monde est allé à l’école, tout le monde a des enfants, tout le monde est compétent donc et a son mot à dire… un régal pour faire oublier le reste. Et on va reparler des rythmes scolaires, comme si tripatouiller les emplois de temps, ce qui a déjà été fait à maintes reprises, avait déjà amélioré la qualité de l’enseignement. Le pire est que s’il n’y a pas de recettes miracles, on a tout de même des certitudes et des choses établies en matière d’enseignement, mais qu’on s’applique à ne pas voir.
Alors que le gouvernement prépare le décret PPE3, une étude d’experts dénonce les fausses vérités qui sabotent un débat rationnel sur l’avenir énergétique de la France.
Le projet de troisième Programmation Pluriannuelle de l’Énergie (PPE3), censé dessiner le futur du mix énergétique français, repose-t-il sur des postulats erronés ? C’est ce qu’affirme une étude percutante du Cercle d’Étude Réalités Écologiques et Mix Énergétique, qui démonte, point par point, plusieurs assertions répétées à l’Assemblée nationale et dans le débat public.
Trois organisations - la Ligue des droits de l’homme (LDH), Utopia 56 et le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP) - ont déposé une plainte pour diffamation contre le magazine Frontières. Cette action judiciaire, rendue publique le 30 avril 2025, vise un hors-série publié en janvier, intitulé Invasion migratoire : les coupables. Dans cette publication, le magazine identitaire nomme plusieurs associations, avocats, magistrats et journalistes, les accusant de tirer avantage de l’immigration et de détourner des fonds publics. Les plaignants considèrent ces affirmations comme diffamatoires et estiment que le contenu « manipule la réalité pour polariser les débats et diffuser une idéologie radicale alimentant la peur et la haine ».
Dans le métro parisien, une jeune femme écope d'une amende de 150 euros pour transport d'une plante verte que les contrôleurs estiment trop volumineuse.
Depuis décembre 2024, Denise* ” est au bout du bout”, comme elle dit. Maman solo d’un ado, Denise * raconte avoir été approchée par plusieurs dealers pour stocker à son domicile de la marchandise. Devant son refus net et catégorique, les trafiquants de drogue ont changé de ton “ils m’ont menacé personnellement et ont menacé de s’en prendre à mon fils“. Depuis, elle a été contrainte de quitter son logement du jour au lendemain, craignant les représailles.