Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut toute autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.
magouille et compagnie - Page 3
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Comment Synthèse nationale a été à l'avant-garde du combat anti éoliennes...
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La climatisation est d’extrême droite et les écolo-gauchistes sont d’une extrême connerie !
À propos de la climatisation, on peut certes se poser des questions sur sa nécessité dans certains cas, sachant que beaucoup d’entre nous s’en sont longtemps passé pendant des années. Mais on ne peut nier son caractère indispensable dans nombre de situations, à moins d’être stupide, voire une ordure eugéniste rêvant par exemple d’exterminer nos anciens qui « coûtent un pognon de dingue » à la société progressiste dégénérée et que l’absence de climatisation dans les Ehpad et ailleurs pourrait envoyer vérifier plus vite si Dieu existe !
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Nantes : les écolos sont préoccupés par le « vent réactionnaire »
Il faut d’abord planter le décor. Et commencer par les élections municipales de mars 2014. Au premier tour, la « liste écologiste et citoyenne » conduite par Pascale Chiron arrive en troisième position (13 996 voix, 14,55 %), alors que celle dirigée par la socialiste Johanna Rolland (« Nantes a de l’avenir ») occupe la première place (33 201 voix, 34,51 %). Une fusion s’impose pour le second tour et « Nantes a de l’avenir » (Johanna Rolland) l’emporte facilement (51 990 voix, 56,22 %). Bien sûr, le niveau de l’abstention est élevé (46,18 %) mais les écolos entrent dans le conseil municipal (Pascale Chiron figurait en troisième position) ; ce qui est le plus important pour eux.
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Clémentine Autain : la fermeture de CNews au nom du « bien commun » ?
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« Ils étaient très agressifs et faisaient n’importe quoi » : à Mornant (69), près d’une trentaine d’adolescents âgés de 13 à 16 ans, arrivés en bande, ont semé la zizanie ; la police municipale a dû appeler les gendarmes en renfort
Près d’une trentaine d’adolescents ont semé la pagaille au centre aquatique Les Bassins de l’Aqueduc ce lundi 1er juillet, premier jour d’ouverture des bassins. La police municipale a dû appeler en renfort les gendarmes de Mornant pour les faire sortir. L’accès leur est désormais fermé tout l’été
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Moratoire sur les éoliennes : les sénateurs disent non
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« Budget 2026, ne plus augmenter personne au lieu de diminuer tout le monde ! ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ce à quoi vous assistez est un grand classique de la politique gouvernementale partout dans le monde mais qui a été érigé au rang d’art par nos mamamouchis en France.
Le ballon d’essai.
Le ballon d’essai consiste à avancer une mesure dans la presse.
C’est soit une « confidence », soit un ministre qui parle et évoque une « piste », ou exprime ce qu’il faudrait sans doute faire.
Puis on attend et on compte les hurlements.
Vous connaissez l’applaudimètre ?
Et bien le ballon d’essai c’est l’inverse.
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Comme dans un sketch, Larcher se découvre de droite…
Nous ne sommes pas Macronistes a lancé Larcher au Conseil National des républicains, devant des militants candides et soudainement euphoriques qui n’attendaient que ça pour scander un pathétique : « on est de droite ! » Soulagés de savoir où ils étaient tant les postures de ce parti sont, vue de l’extérieure, pourtant évidentes. Mais pour les jeunes rien n’allait de soi et c’est dans une ambiance d’anniversaire d’adolescents immatures qu’ils se sont réveillés, pour agiter des drapeaux, démontrant leurs incapacités chroniques à penser par eux-mêmes et à analyser les faits. À quoi bon penser, puisque le fossile Larcher le fait pour eux. Donc ils sont de droite, ce n’est pas flagrant, mais surtout ils ne sont pas macronistes… mais ils le protègent en ne votant aucune motion de censure, en écartant la destitution, en fermant les yeux sur les écarts, les insultes, les trahisons successives du chef de l’État. Pire ils participent à ses gouvernements en prétextant que c’est pour infléchir la politique du président. Mais les faits sont têtus, ils sont obligés de suivre le programme de Macron, et par conséquent de le soutenir. Il ne suffira pas de clamer haut et fort qu’ils ne sont pas dans son camp pour le prouver, et la seule façon de le faire serait de s’opposer !
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L’Ukraine nomme un néonazi à la tête d’une institution gouvernementale
Le gouvernement ukrainien a nommé un idéologue fasciste de premier plan à la tête d’une institution chargée de l’histoire.
La Pologne dispose d’un Institut de la mémoire nationale créé pour éduquer, archiver et poursuivre les crimes contre la nation polonaise. Il remonte à la Commission générale pour la recherche sur les crimes fascistes, un organisme créé en 1945 et chargé d’enquêter sur les crimes commis par l’administration nazie en Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale. Il a ensuite été élargi pour enquêter sur les crimes présumés commis contre la Pologne sous le régime communiste.
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Affaire Nahel : qui a transmis à Libération le journal intime du policier Florian ?