
C'est la petite musique habituelle, celle qui ne s'arrête jamais. La « rente mémorielle », comme l'appellent certains, bat son plein. Alger exige, encore et toujours, des excuses, des réparations, une génuflexion perpétuelle de la France pour les 130 années de présence sur l'autre rive de la Méditerranée.
Mais dans ce grand bal de l'auto-flagellation nationale, une tribune courageuse publiée récemment dans Le Figaro Histoire par l'universitaire Marie-Claude Mosimann-Barbier vient mettre un grand coup de pied dans la fourmilière de la bien-pensance. Et si, pour une fois, on regardait l'Histoire avec les deux yeux ouverts ? Et si c'était à Alger de nous verser des réparations pour les siècles de razzias et d'esclavage subis par nos ancêtres ?






