Pierre et Catherine, Nicolas et Flora, ce sont deux couples d’aventuriers des temps modernes qui n’ont pas tout à fait compris ce qui leur arrive et ce qui est arrivé à leur pays.
Ils se sont lancés dans la vie avec l’image d’une France qu’ils ont connue dans leur enfance sans se rendre compte que le code a changé, vachement changé.
magouille et compagnie - Page 2
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Pierre, Catherine, Nicolas et Flora : abandonnés par la France, massacrés par la racaille
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Canicule et imposture climatique : exproprier les maisons ‘non écologiques’
Du Nord au Sud de l’Europe, les médias mainstream et les politiciens du système occupent l’espace avec un leitmotiv, la canicule, et ses dangers, due au dérèglement climatique anthropique, qui s’abattrait de manière exceptionnelle sur les pays. Derrière cette peur instrumentalisée, cette imposture climatique, un but : exproprier les maisons ‘non écologiques’.
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[ÉDITO] Dette : on est vraiment au pied du mur… ou au bord du gouffre
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C’est Nicolas qui paie. Chronique d’un aveuglement : Mediapart, la fiscalité et le refus du réel
l faut lire Mediapart avec la même attention que l’on accorde à un journal de tranchée en 1916 : non pour s’informer, mais pour comprendre l’état moral de ceux qui continuent, contre toute évidence, à croire qu’ils tiennent la ligne de front. Le dernier papier consacré à l’expression populaire « C’est Nicolas qui paie » est un chef-d’œuvre involontaire de panique idéologique : on y voit deux scribes en apnée face à l’irruption du réel dans leur aquarium conceptuel.
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Électricité et immigration : la guerre de la gauche contre le peuple français
Une célèbre citation, attribuée à Jacques Godfrain, disait que « les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent ». La gauche ose se dire du côté du peuple, parce qu’elle affirme défendre la retraite à 60 ans, les services publics, la redistribution et le modèle social français.
Mais elle défend surtout le surendettement de la France, puisque c’est sa politique sociale, suivie par Macron et une partie de la droite, qui a créé le déficit record sous les deux mandats du « Mozart de la Finance ».
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[SATIRE À VUE] Scène d’horreur pro-migrants dans une piscine allemande
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FRANCE 2, ou l’anti-France à la manœuvre, en douce….
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premier venu ».
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2.500 € par mois pour 4 jours de travail : le train de vie confortable du CESE
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La catégorie olympique du transfert d’argent
Les Jeux Olympiques de Paris ont coûté six milliards, soit trois fois plus que prévu, mais réalisent un bénéfice de 76 millions d’Euros, qui est bien sûr mis en avant. On peut toujours se dire que les promoteurs de l’événement, emmenés par le champion Tony Estanguet, sont très mauvais en calcul, mais ce n’est évidemment pas le cas. Ces JO font partie des événements de portée internationale, de nature à représenter la France et en ce sens, ils n’ont pas de prix en réalité et doivent être menés, comme dirait l’autre « quoi qu’il en coûte » et c’est justement sur ce type d’événements que la « pompe à fric » tourne à plein régime. Les annonces, les prévisions, servent juste à jauger de l’acceptabilité populaire, matraquée par les télévisions à la botte et le jeu consiste à présenter aux contribuables une facture à la fois acceptable et crédible, de manière à faire taire ceux qui expliquent que nous n’avons pas besoin de ces jeux, que le jeu n’en vaut pas la chandelle et ceux qui trouvent qu’il ne faut pas prendre le budget en considération, que l’important est le rayonnement de la France qui n’a pas de prix. La fenêtre de tir est donc étroite. Si le budget présenté est trop bas, le contribuable se doute qu’il est sous évalué à dessein. S’il est trop élevé, il n’y a pas d’engouement populaire pour un événement jugé « hors de prix ».
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Quand Ipsos et « Le Nouvel Obs » sondent la cervelle des électeurs de gauche
Que peut-il bien se passer dans la tête des électeurs de gauche ? Les esprits taquins répondront : rien. Le 12 juin dernier, "Le Nouvel Obs" tentait néanmoins de répondre à cette épineuse question avec l’aide de la Fondation Jean-Jaurès et des sondeurs d’Ipsos. Au final, il semble y avoir de la tempête sous les crânes progressistes.