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  • Ces mosquées liées au djihâd réouvertes après l'état d'urgence (novembre 2017)

  • Journalistes de droite, comptez-vous

    stories.virtuemart.product.2846_page_01nsp_106.jpgLu dans Minute :

    J

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Populisme : la deuxième vague européenne. Il y a une vie pour l’identité européenne après Marine Le Pen

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    Par Jean Ansar, journaliste, essayiste ♦

    Les commentateurs de l’idéologie dominante se sont réjouis trop vite. Pour eux, les hésitations dans les négociations du Brexit et l’échec de Marine Le Pen marquaient le reflux des populismes. Ils doivent sacrément déchanter.

    L’entrée d’identitaires européens en Allemagne puis le « à droite toute » de l’Autriche et de la Tchéquie prouvent que ceux qui veulent rester ce qu’ils sont montent toujours en puissance sur un continent menacé par l’immigration et l’islamisme.

    Certes le mouvement Catalan s’inscrit dans une vision plus à gauche d’une identité régionale rêvant d’indépendance, mais le plus d’autonomie de la Lombardie et de la Vénétie rejoint le mouvement général de ceux qui veulent assumer un destin historique européen.

    Madame Merkel par son immigrationnisme suicidaire aura eu un mérite, réveiller les Allemands et en finir avec la vitrification idéologique de la guerre mondiale. C’est partiel mais incomparable avec ces dernières années de totalitarisme anti raciste.

    L’Autriche qui avait déjà défié l’Europe est à nouveau dans une gouvernance de toutes les droites.

    L’ÖVP, parti conservateur chrétien, a remporté une victoire historique en raflant 31,7% des voix, suivi par le parti social-démocrate et le FPÖ (parti d’extrême droite) au coude à coude. Ainsi, le jeune Sebastien Kurz (31 ans) pourrait devenir très prochainement le plus jeune dirigeant d’Europe. Les récentes positions et déclarations de l’ÖVP laissent présager une très probable alliance avec les forces d’extrême droite. Pendant la campagne électorale, le Parti conservateur a affiché des orientations politiques très proches de celles du FPÖ, celui-ci allant même jusqu’à dénoncer un « plagiat » de son programme.

    Par ailleurs, Sébastien Kurz a promis le changement, laissant sous-entendre qu’il mettrait fin aux longues années de coalition entre les sociaux-démocrates et les conservateurs. Il faut dire que depuis les années 1990, le renouvellement de la communication du FPÖ porte ses fruits, puisque le parti d’extrême droite progresse à chaque élection nationale. Le FPÖ ne cache pas sa volonté de se rapprocher des gouvernements les plus conservateurs et xénophobes d’Europe, tels que la Hongrie et la Pologne et maintenant la Tchéquie.

    Le parti d’Andrej Babis vient, lui, de remporter les élections législatives en République tchèque. Son mouvement, l’ANO (Action des citoyens mécontents), fondé en 2013, a recueilli 1,5 million de voix, trois fois plus que le parti de droite libérale (ODS), arrivé deuxième. Et parmi les 200 députés élus, Andrej Babis a réalisé le meilleur score, en Bohême centrale où il se présentait. Juste derrière l’ODS, deux partis anti-systèmes, radicalement différents, réalisent une percée spectaculaire : les Pirates (10,8 %) et l’extrême droite du SPD (10,7 %). D’après Radio Praha, « Andrej Babis maintient le flou artistique sur le contenu concret de son programme, naviguant entre une volonté de rigueur budgétaire, une suspicion nouvelle à l’égard de la construction européenne et un rejet de plus en plus marqué de l’accueil des migrants ». Au soir de sa victoire, Babis a déclaré avoir « de toute évidence un allié en Autriche”, M. Kurz, “qui partage nos idées sur l’immigration », une référence au discours de fermeté sur l’immigration tenu par le futur chancelier à Vienne.

    L’immigration reste au cœur du mouvement protestataire et anti-élites européens. Ce thème marque la scène politique de part et d’autre du continent : Autriche, Allemagne, Pays-Bas, Danemark, Finlande, Grande-Bretagne etc… En France, le succès d’Emmanuel Macron n’efface ni le niveau de l’abstention ni le score du Front national. À Varsovie et à Budapest, des partis nationalistes sont au pouvoir.

    La Tchéquie va-t-elle se rapprocher des leaders hongrois et polonais du groupe de Visegrad ? Ce n’est pas encore le retour de l’Autriche Hongrie mais ça y ressemble.

    Jean Ansar 24/10/2017

    Source : metamag.fr

    https://www.polemia.com/populisme-la-deuxieme-vague-europeenne-il-y-a-une-vie-pour-lidentite-europeenne-apres-marine-le-pen/

  • Un hiver dans la rue pour des milliers de Français - Journal du jeudi 9 novembre 2017

  • HERVÉ DE LÉPINAU : « FLORIAN PHILIPPOT A EMMENÉ MARINE LE PEN DANS UNE IMPASSE AUX PRÉSIDENTIELLES »

    La charte des Patriotes de Florian Philippot vient d’être dévoilée. Elle fait réagir Hervé de Lépinau, qui y voit une traduction de la naissance d’un nouveau courant dans le paysage politique, et une volonté farouche de revendiquer le Frexit tout en adoptant une vision très libérale-libertaire, pour ne pas dire politiquement correcte, de l’évolution de la société.

    Frexit et mariage pour tous, deux thématiques lancées par la charte des Patriotes dévoilée par Florian Philippot aujourd’hui. Hervé de Lépineau, que vous inspire cette nouvelle ?

    Elle traduit la naissance d’un nouveau courant sur l’échiquier politique.
    Il y a une volonté farouche de revendiquer ce fameux Frexit, c’est-à-dire la sortie de la France des institutions européennes tout en adoptant, par ailleurs, une vision très libérale-libertaire, pour ne pas dire politiquement correcte, de l’évolution de la société.

    Cette volonté de Florian Philippot va clairement s’opposer à la ligne du Front national.
    N’est-ce pas, en fin de compte, la poursuite de la ligne de Marine Le Pen durant sa campagne présidentielle ?

    Nous avons la démonstration formelle que Florian Philippot, en tant que vice-président chargé du programme et de la communication, a de toute évidence amené la présidente du Front national dans une impasse dans le cadre de cette élection présidentielle.
    Avec certitude, cette charte aujourd’hui ressemble passablement à un programme politique.
    De toute évidence, monsieur Philippot va chercher à faire entrer son coin dans la bûche des nationaux-souverainistes.
    Existe-t-il suffisamment de place pour lui ? Je n’en suis pas certain.

    En tant qu’ancien suppléant de Marion Maréchal-Le Pen, pouvez-vous nous dire si cette ligne est celle que le Front national dit « du Sud » a toujours plus ou moins combattue ?

    Je ne suis pas sur un clivage géographique.
    Je note, par exemple, dans cette charte que la condition humaine passe après la condition animale.
    De plus – car je suis aussi très sensible au bien-être des animaux -, j’observe que, dans le chapitre consacré à cette question, on demande l’arrêt de la corrida et de la chasse à courre, mais on ne se prononce absolument pas sur la problématique de l’abattage rituel, qui est une mise à mort cruelle des animaux de boucherie.
    J’aurais aimé que cette charte ait un peu plus de verticalité, mais la vision politique de monsieur Philippot reste très horizontale et très politiquement correcte.

    Considérez-vous les Patriotes comme des adversaires politiques ou de potentiels alliés ?

    Je ne dirais pas qu’il s’agit d’adversaires politiques.
    Ils vont plutôt parasiter l’offre politique.
    N’oublions pas que monsieur Philippot a pu atteindre l’espace médiatique et les plateaux de télévision grâce à Marine Le Pen et son statut de vice-président du Front national. Il a un certain talent sur les plateaux, mais la politique, ce n’est pas uniquement la télévision. Il y a également tout un travail de terrain qui doit être fait.
    Je pense qu’assez rapidement, nous verrons les faiblesses de monsieur Philippot et de son équipe sur ce point.

    Selon-vous, le Frexit mis en avant par Florian Philippot est-il réalisable ?

    C’est difficilement réalisable.
    Nous n’avons pas le même mode de scrutin qu’en Angleterre.
    Le mode de scrutin anglais pour l’élection des membres de la Chambre des communes est un scrutin majoritaire à un tour.
    Nous avons ce couperet du second tour de l’élection qui fait que les alliances politiciennes se font pour battre celui qui est arrivé au premier tour, surtout s’il est issu du Front national.
    Par conséquent, nous ne pourrons pas plaquer les velléités de souverainisme françaises sur le modèle anglais.
    En quelque sorte, en France, il faut d’abord prendre les manettes du pouvoir au niveau de l’État pour pouvoir ensuite peser très lourdement sur les institutions européennes pour les faire évoluer.
    On peut ensuite s’en démarquer s’il y a une opposition frontale.
    Je forme beaucoup d’espoir dans le groupe de Visegrád, qui pourra certainement nous accompagner si nous étions demain en mesure de gouverner ce pays.

    Conseiller départemental Front National de Vaucluse, conseiller municipal de Carpentras
  • Ce 11 novembre à Paris : Hommage aux royalistes engagés, soldats en 14 et premiers résistants en 40 !

    Venez avec l'Action Française rendre hommage aux royalistes engagés dans les deux guerres mondiales et commémorer les manifestations du 11 novembre 1940 contre l'occupation allemande à Paris. Vous participerez nombreux à cet hommage ce samedi 11 novembre à 19 h 30 en haut des Champs-Elysées côté pair.
    Le 11 novembre est traditionnellement la date d'une double commémoration pour l'Action française.

    D'une part, elle marque le souvenir de l'armistice du 11 novembre 1918 et des camelots du roi tombés au champ d'honneur lors de la Grande Guerre.

    D'autre part, elle est l'occasion d'un hommage aux lycéens et aux étudiants du 11 novembre 1940 qui défièrent l'envahisseur allemand en défilant malgré l'interdit de célébrer la victoire de 1918. Entraînés par la Corpo de Droit (alors sous influence royaliste), plusieurs milliers de manifestants (parmi lesquels se trouvaient Alain Griotteray ou Roger Nimier) marchèrent sur la place de l’Étoile, convergeant vers la tombe du Soldat Inconnu. 155 d’entre eux furent incarcérés. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Nicolas Hulot : Vert le départ ? – par Etienne Defay

    Hulot_officielle_810_540-600x400.jpg

    8983-20171109.jpgIl s’était donné un an pour tester son utilité, pourtant six mois plus tard, les éditorialistes se prennent pour des bookmakers anglais et parient sur son futur départ. Certains le croient inéluctable, pourtant Nicolas Hulot est toujours en poste.

    Las, le numéro trois du gouvernement Philippe (une place plus que flatteuse pour un ministre de l’Ecologie) n’en finit plus d’avaler des couleuvres. Première défaite en date : le glyphosate. Il défendait une interdiction sous trois ans, son confrère de l’Agriculture voulait cinq à sept ans et Matignon quatre ans. Puis, telle Alexandre le Grand, Bruxelles trancha le nœud gordien en imposant cinq ans. L’Agriculture, Matignon et Bruxelles, c’était beaucoup pour un ministre fût-il combatif.

    Deuxième couleuvre, celle-ci hautement symbolique puisqu’elle portait sur le nucléaire, le cheval de bataille des Verts de tout pays. En effet, le ministre avait tablé sur une baisse de l’activité nucléaire de 50 % en 2025, hier il a admis que ce serait plutôt 2035.

    Le lecteur pourra à juste titre s’étonner qu’une telle concession puisse provoquer de si grands remous mais reculer sur le nucléaire pour un ministre de l’Ecologie, c’est un peu comme si l’Eglise catholique reniait un dogme. Ça ne se fait pas. Les évêques de l’église verte ont d’ailleurs hurlé à l’excommunication, Greenpeace parle « d’une erreur extrêmement grave », Ségolène Royal l’avait déjà taclé sur le glyphosate en évoquant, si Hulot devait lâcher aussi là-dessus « un changement de pied incompréhensible ».

    Le plus amer reste certainement le député européen Yannick Jadot qui s’exclame qu’« annoncer qu’on n’arrivera pas à respecter cet objectif simplement parce qu’on a écouté le lobby nucléaire, je trouve ça regrettable ».

    Le député européen qui ne cache pas son agacement devant le rapport peu flatteur du soldat Hulot dénonçant en lui « la caution du gouvernement ». Quant à Corinne Lepage, elle estime que Nicolas Hulot « a mangé son chapeau ». Une charge que le fondateur d’Ushuaïa encaisse pour le moment sans broncher tout comme il porte le joug sans renâcler. A ceux qui l’accusent de trahison, il rétorque qu’il n’a pas changé d’avis parce qu’il est ministre mais qu’il a simplement « découvert la complexité du sujet ».

    Nicolas Hulot va même plus loin, il affirme que « tout le monde savait que l’objectif 2025 n’était pas atteignable, sauf dans une brutalité excessive ». Est-ce là le réveil d’un idéaliste frotté à la réalité de l’exercice du pouvoir ou l’aveu d’impuissance d’un ministre face à la conjugaison des forces de Bruxelles et des lobbies ?

    Sans doute les deux, comme l’un ne va plus sans l’autre. La question demeure, à force de voir son verre se vider, le Vert va-t-il être contraint de vider ses bureaux du boulevard Saint-Germain ? La question est posée, les paris sont ouverts.

    Etienne Defay

    Article paru dans le quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/208257/nicolas-hulot-vert-le-depart-par-etienne-defay/

  • Le scénario apocalyptique du G7 Santé : un milliard de réfugiés climatiques d’ici 2050

    migrants-file-300x170.jpgUn milliard de « réfugiés climatiques » d’ici 2050 : cn’est pas un scénario apocalyptique digne des meilleurs films catastrophes hollywoodiens, c’est le pronostique établi par le G7 des ministres de la Santé qui se tient actuellement à Milan en se basant sur le rapport Lancet Countdown et d’autres documents comme celui de l’ONG Oxfam International. La thèse que ces organismes soutiennent serait que cette migration climatique est déjà en acte et ne peut cesser, réchauffement climatique oblige : entre janvier et septembre de cette année, environ 15 millions de personnes, dont 14 millions de pauvres, ont du fuir leurs maisons pour se mettre à l’abri d’un événement météorologique extrême, estiment-ils.

    Le réchauffement climatique ne serait-il pas alors la bonne excuse pour imposer aux peuples occidentaux des migrations de masses si ces changements de climat ne sontpas freinés ? C’est l’analyse d’un journaliste italien, Paolo Mauri, paru sur le quotidien Il Giornale qui a décortiqué les implications des politiques internationales qui depuis des années essayent de « mettre un terme, mais le peuvent-elles, à ces changements climatiques ».

    L’auteur fait en premier la distinction entre météo et climat :

    « La météo n’est pas le climat. Des événements météorologiques extrêmes ont toujours existé dans les anales de l’histoire humaine même avant que l’on ne commence à mesurer les températures et les précipitations systématiquement. »

    Pour appuyer ses dires il cite le prestigieux Centre Météo de Lombardie qui, il y a quelques mois, face à l’émotion créée de toutes pièces par les médias en relation avec les orages dévastateurs qui frappèrent le nord de l’Italie, précisa que

    « il existe des tests historiques qui documentent – avec les dates et la localisation – les événements météorologiques les plus sévères des siècles passés, certains remontant à l’époque romaine. Jusqu’il y a quelques décennies, la mort et la destruction sur une grande échelle étaient des conditions nécessaires pour que le souvenir en soit transmis à la postéritéCe qui veut dire qu’un quartier inondé ou un alpage effondré, peut-être avec la perte de bêtes et quelques bergers, étaient des épisodes qui n’arrivaient même pas à la chronique locale ».

    En donnant une large visibilité à ces phénomènes météorologiques, les médias favorisent une perception catastrophique d’événements pourtant pas si nouveaux que ça souligne le journaliste italien.

    Il rappelle ensuite que

    « le NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), fameux institut américain qui travaille sur le climat et les océans, a conclu dernièrement que le nombre de tornades violentes qui ont frappé les États-Unis depuis l’après-guerre à aujourd’hui est en déclin. Quant à la World Meteorological Organization (WMO) dans un récent document de l’Intergovernmental Panel on Climate Change(IPCC), “Managing the risks of extreme events and disasters to advance climate change adaptation. Summary for policymakers, a admis qu’il y a une relative faiblesse et peu d’évidences sur l’échelle mondiale en ce qui concerne les statistiques à long terme qui montrent des augmentations d’intensité ou de fréquence des événements extrêmes. »

    « Que signifie tout ceci ? »  se demande le journaliste : 

    « Qu’est-ce qui a changé ? Étant bien entendu que le déplacement de populations est une réalité, et considérant que l’écrasante majorité vient de pays sous-développés ou tout au moins avec des économies arriérées, ce modèle de migrations climatiques prend un peu « l’eau » – pardonnez le jeu de mots – de toutes parts. Si l’on peut donner pour certain qu’une sécheresse soudaine forcera la population à se déplacer des campagnes aux villes – donc une migration interne – comme cela est advenu en Syrie, la raison pour laquelle un orage ou une tempête devrait forcer des millions, voire des centaines de millions, de personnes à migrer d’un État à un autre en ayant comme but l’Europe est bien moins évidente. L’Italie est un pays avec un fort risque hydrologique et l’a toujours été, cependant l’émigration de milliers d’Italiens vers les Amériques ou vers l’Europe du Nord n’a jamais été motivée par les événements météorologiques extrêmes – que nous avons démontré être une constante dans l’histoire – mais bien par des facteurs économiques ; en outre les différents rapports démontrent comment ces motivations prétendument « climatiques » concernent presque exclusivement le continent africain, avec quelques exceptions fournies par l’Asie (Bangladesh, Népal) et par l’Océanie (Fiji). » 

    Paolo Mauri ironise alors :

    « Peut-être que l’Europe et les Amériques sont épargnées par les changements climatiques ? Ce n’est peut-être pas vrai que cyclones et tempêtes tropicales dévastent avec la même intensité le Golfe du Mexique et les Caraïbes ? »

    « Quel est donc le vrai facteur qui sous-tend ces vagues migratoires ? » interroge le journaliste.

    « Encore une fois, cela s’avère être la recherche d’un style de vie meilleur. Certes, un éboulement ou un orage peuvent donner l’impulsion à ce qu’une personne puisse prendre définitivement la décision d’abandonner sa propre terre […]. Mais encore une fois, le changement climatique peut être une cause concomitante, non la cause principale. »

    Pour mieux expliquer son propos, Paolo Mauri livre un rappel opportun sur le climat terrestre :

    « Notre planète est sortie lentement de ce qu’on a appelé « le Petit Âge glaciaire » qui a duré entre 1300 et 1800 : les dernières implantations de Vikings au Groenland avant l’arrivée des glaces sont datées de 1406 et en 1469 la production de vin en Angleterre cesse, symptôme du refroidissement terrestre. Petite ère glaciaire qui suivit une période très chaude pour la terre commencée en 900. En somme, cycliquement le climat terrestre se modifie, alternant périodes chaudes à froides avec des pics de chaleur ou de gel qui peuvent être très longues à l’échelle de temps humaine. »

    « La recherche scientifique nous dit que l’augmentation des gaz à effet de serre […] augmente la température moyenne de la planète et que cette augmentation de CO2 a une empreinte humaine bien précise parce que le carbone qui le compose est de nature fossile. Cela est-il suffisant pour dire que l’homme est en train de changer le climat de la terre ? Peut-être, mais cela ne nous intéresse pas »

    précise le journaliste.

    « Ce qui nous intéresse c’est que la politique internationale du G7 milanais parle de migrations apocalyptiques et cherche à mettre un frein à ce phénomène en proposant une drastique réduction des émissions et un projet de « développement durable » pour les pays les plus arrièrés et pour ceux qui sont en train de devenir des puissances économiques mondiales. Il y a seulement un problème. « Développement durable » est un oxymore ; s’il y a un vrai développement il ne peut y avoir durabilité et vice-et-versa. Le PIB de la Chine avec toutes ses problématiques de nature environnementale (ou de l’Inde) est là à nous le démontrer. »

    En conclusion, tant que le réchauffement climatique anthropique persistera dans « l’imaginaire collectif  de l’homme du troisième millénaire », les  solutions proposées par le G7 Santé, et autres rendez-vous internationaux, pour y mettre un terme étant des leurres, les phénoménales migrations d’aujourd’hui ont encore de beaux jours devant elles… Le Grand Remplacement est en marche avec la bénédiction des grands de ce monde

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-scenario-apocalyptique-du-g7-sante-un-milliard-de-refugies-climatiques-dici-2050/82848/