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  • Russie : Poutine candidat à un quatrième mandat en 2018

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    RUSSIE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Au terme d’un suspense entretenu pendant plusieurs mois, Vladimir Poutine a annoncé Mercredi sa candidature pour un nouveau mandat de Président. Après 17 ans passés au pouvoir, ce serait son quatrième mandat et s’il était élu, il dirigerait le pays jusqu’en 2024.

    La Constitution russe interdit à un Président de se présenter 3 fois de suite, mais pas plus de trois fois. Cette interdiction avait d’ailleurs été contournée en 2008 quand il était devenu Premier ministre en installant Dimitri Medvedev à la Présidence. La seule chose qui pourrait arrêter Vladimir Poutine serait la lassitude de son peuple.

    Poutine a réellement de sérieuses chances de gagner. Pour la majorité de son peuple Il incarne la renaissance de la Russie et comme celui qui a su rétablir le prestige et la grandeur de la Russie sur l’échiquier international. Son bilan économique est irréprochable: le pays n’est pas endetté et le niveau de vie des habitants a considérablement augmenté.

    Certes, le jour de ses 65 ans des milliers de russes ont manifesté dans tout le pays au slogan « Poutine, honte de la Russie ». Ils mettaient en cause, notamment, les arrestations d’opposants politiques.

    Qu’il ait été Tsariste ou Soviétique, le régime russe a constamment présenté un caractère autoritaire, et le régime instauré par Vladimir Poutine n’est pas exempt de tout aspect autocratique,. Mais la majorité des russes semble approuver ce type de gouvernance. Le besoin d’un pouvoir personnel fort semble l’emporter d’autant que la liberté d’entreprendre et de circuler qui est assurée compense à ses yeux, les quelques entraves à la liberté d’expression. Bien qu’une une partie de la population manifeste, elle reste largement minoritaire. On devrait pouvoir le mesurer politiquement lors des prochaines élections.

    https://fr.novopress.info/

  • Pourquoi la condamnation des 5 de Poitiers est scandaleuse ?

    Damien Rieu répond en vidéo

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Logement: Macron ne sait plus où il habite

    L’Etat n’a jamais été très à l’aise pour élaborer et conduire une politique du logement. Voulant répondre à la demande sans trop pénaliser l’offre, il a utilisé alternativement, parfois en même temps, l’incitation et la contrainte. La politique portée par l’ex-ministre du Logement, Cécile Duflot, a échoué et a commencé à être effacée à la fin du mandat de François Hollande. Que veut faire le président Macron dans ce domaine ? C’est clair dans les intentions, moins dans les moyens, les modalités et le calendrier.

    Le chantier est à l’arrêt

    Les intentions ont été annoncées dans le programme présidentiel et rappelées en septembre dans le cadre de l’opération : « ouverture d’un chantier par jour, effet d’annonce ». Il s’agit de revenir là encore à une politique visant à développer l’offre, donc le nombre de logements construits, en faisant notamment pression pour accroître le volume et les terrains à construire, en accélérant les procédures et singulièrement celle devant conduire à la délivrance du permis de construire, en limitant les délais d’appel. On ne peut qu’approuver ces intentions. Sauf que, depuis, il ne se passe rien. Le chantier est à l’arrêt.

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  • Où Éric Zemmour évoque « La mort de Hallyday et d'Ormesson, comme Cocteau et Piaf »

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    BILLET - La mort de Jean d'Ormesson a précédé de quelques heures celle de Johnny Hallyday. Deux monstres sacrés de notre époque dont le décès concomitant en rappelle d'autres. Ce sont, en octobre 1963,  ceux de Piaf et de Cocteau (dans l'ordre) que Lafautearousseau avait aussi rapprochés, quelques heures plus tôt, de l'événement que tous les médias célèbrent en ce moment. A l'envi. Comme toujours, quelques mots brefs et lucides, suffisent à Eric Zemmour [RTL 7.12] pour caractériser les illustres disparus, leur époque et les évolutions intervenues au fil des cinquante et quelques dernières années ...  LFAR 

     

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge

    L'Histoire bégaie. Il y a plus de cinquante ans, le 11 octobre 1963, Jean Cocteau et Edith Piaf mouraient à quelques heures d'intervalle. Le poète et la chanteuse, l'homme des salons et la femme des rues, le créateur mondain et l'artiste populaire. C'était la France des années 40 et 50 (...) qui disparaissait avec eux. Tout recommence avec les décès de Jean d'Ormesson et de Johnny Hallyday. L'écrivain et le chanteur, le fils de la haute et celui des faubourgs, l'homme qui murmurait à l'oreille des présidents et celui qui beuglait dans des stades.
    C'est la France des années 60-70 qui faisait des heures sup'. Ceux qui n'avaient pas fait la guerre et ceux qui étaient nés pendant la guerre. D'Ormesson, c'était Françoise Sagan au masculin ; Johnny, c'était Elvis Presley en tricolore.

    Les deux hommes étaient des inventions de la télévision. S’ils étaient de magnifiques têtes de gondole médiatiques, c'est qu'ils appartenaient à une époque où les êtres n'avaient pas encore été entièrement façonnés par l'écran-roi : le livre pour d'Ormesson, la salle de concert pour Johnny. Mais Johnny n'avait plus envie d'avoir envie. Tandis qu'on croit entendre la voix fluette de « Jean d'O s'égosiller » : « Mourir en même temps que Johnny, mais c'est épatant ! »  

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • 84 % des migrants « mineurs » en Suède dont l’âge a été vérifié sont en réalité des adultes

    84 migrants mineurs Suède réalité adultes
    Ce sont les chiffres officiels du gouvernement suédois, publié après une campagne de vérification réalisée à sa demande par un institut national de médecine légale entre mars et octobre de cette année. Au total, 7.858 tests ont été effectués sur des migrants qui se prétendaient mineurs. Des informations à mi-parcours faisaient état de proportions semblables.
    Les tests ont révélé que 6.628 d’entre eux avaient probablement 18 ans ou plus. 112 cas supplémentaires sont douteux faute de pouvoir faire des vérifications plus fines mais ils sont « possiblement » à ranger dans cette catégorie de migrants qui ont menti sur leur âge.
    Il s’agit d’un carottage : entre 2015 et 2016, ce sont quelque 80.000 migrants qui sont entrés en Suède en avançant leur minorité, circonstance qui améliore les chances de voir son dossier accepté.

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  • Éducation nationale : Le grand coup de pied de Blanquer dans la « fourmilière », par Franck Delétraz

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    9005-20171209.jpgLes vieux gauchistes de l’Éduc’nat’ ne décolèrent pas : confronté au véritable naufrage d’une école qui engloutit depuis des années toujours plus d’argent pour un résultat toujours plus lamentable, le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer a décidé de mettre un grand coup de pied dans la fourmilière en annonçant tout un train de mesures, et notamment le retour à la dictée quotidienne. Un grand ménage qui n’est bien sûr pas du goût de certains enseignants qui, par idéologie et/ou par fainéantise, se satisfont de cette situation dramatique.

    L’interminable descente aux enfers

    La publication mardi des résultats de l’enquête PIRLS, portant sur les compétences en lecture des élèves de CM1 ou d’un niveau équivalent de 50 pays, situant la France à la dernière place des 34 pays dépassant les 500 points et soulignant qu’à l’âge de 10 ans, un écolier français lit non seulement plus difficilement que la moyenne des élèves européens du même âge, mais aussi moins bien que ce que faisait, au même âge, son aîné il y a 15 ans, aura servi de détonateur.

    Mais, bien avant PIRLS, nombreux sont ceux qui avaient déjà tiré le signal d’alarme. En septembre dernier, en effet, le célèbre classement PISA, évaluant les performances des élèves de 3e en mathématiques, culture scientifique, compréhension de l’écrit dans 70 pays, avait déjà situé la France à la 20e place, indiquant que seuls 6 % des élèves français décrochent la note maximale en travail collectif, ou encore qu’un bon tiers de ceux-ci se situent au niveau le plus bas, ne parvenant pas à comprendre un problème en groupe ni à trouver des solutions pour le résoudre !

    Un an auparavant, c’est TIMSS, testant les CM1 (dans 50 pays) et lycéens de terminale scientifique (dans 9 pays), qui constatait pour sa part que les élèves français de CM1 obtiennent des résultats bien en dessous de la moyenne internationale et européenne. Pire encore : seul 1 % de nos lycéens se classaient dans le niveau « avancé », contre 15 % en 1995…

    Bref, autant d’études qui viennent confirmer ce que tous les parents d’enfants scolarisés ont pu constater ces dernières années : un recul impressionnant du travail à l’école et donc des connaissances. Sans parler de la déliquescence totale de l’autorité en milieu scolaire.

    Le retour de la dictée quotidienne

    Une véritable descente aux enfers, à laquelle les syndicats ne trouvent qu’un seul remède : encore plus de moyens et d’enseignants. Alors même que l’Éducation absorbe toujours plus d’argent et compte des milliers de profs « détachés »…

    Or, telle ne semble pas être la position du ministre qui, déclarant mardi que « ces résultats ne sont pas dignes de notre pays », a annoncé toute une série de mesures, dont la plus critiquée (et pourtant la plus élémentaire) n’est autre que le retour à la dictée quotidienne.

    Pour faire remonter le niveau de nos élèves, Blanquer, qui a rappelé les mesures déjà engagées pour améliorer « la maîtrise des savoirs fondamentaux », propose en outre de nouvelles évaluations au milieu du CP et en début de CE1 à la rentrée 2018, ainsi qu’une « grande conférence » en mars sur l’école maternelle.

    Franck Delétraz

    Article paru dans Présent daté du 8 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/208770/education-nationale-le-grand-coup-de-pied-de-blanquer-dans-la-fourmiliere-par-franck-deletraz/

  • L'émission "Synthèse" de jeudi dernier avec Alban d'Arguin

    445224066.2.jpgÉCOUTEZ L'ÉMISSION

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  • Les chrétiens d’Orient ne doivent pas être les victimes de nos querelles franco-françaises

    Communiqué de Christophe Geffroy, Directeur de La Nef :

    Veuillez trouver en pièce jointe le nouveau programme de notre soirée sur les chrétiens d’Orient, le 12 décembre prochain. Nous avons dû le modifier et cela mérite quelques explications.

    Le diocèse de Paris nous a fait savoir que, n’ayant pas été informé de cette soirée, il s’interrogeait sur le caractère quelque peu provocant de faire intervenir un évêque français, Mgr Dominique Rey, dans un lieu dépendant indirectement du diocèse, le lycée Saint-Jean de Passy, en même temps qu’un représentant de l’association SOS Chrétiens d’Orient contre laquelle Mgr Pascal Gollnisch, vicaire général de l’Ordinariat des catholiques des Eglises orientales en France et directeur général de l’Œuvre d’Orient, avait mis les évêques français en garde lors de leur dernière Assemblée plénière à Lourdes en novembre dernier.

    Il est évident que cette soirée ayant été prévue bien avant l’Assemblée plénière de Lourdes, il ne pouvait y avoir de volonté provocatrice de notre part, notre seul objectif étant d’aider les chrétiens d’Orient en contribuant à mieux informer le public parisien sur leur situation.

    Dans un souci d’apaisement, et après avoir eu l’accord de toutes les parties concernées, nous avons décidé de maintenir cette soirée en retirant la participation de SOS Chrétiens d’Orient : nous tenons à rendre ici hommage aux responsables de cette association qui ont immédiatement proposé de se retirer pour ne pas risquer d’empêcher cette soirée, les chrétiens d’Orient ne devant pas être les victimes de nos querelles franco-françaises.

    Catholiques soucieux de servir l’Eglise, nous sommes heureux que cette solution ait reçu l’accord de tous et notamment des responsables concernés de l’Eglise à Paris, mais nous estimons que cette affaire doit être l’occasion de chercher à résoudre le problème de fond qui est ainsi soulevé, il y va de la justice la plus élémentaire. Est-il normal qu’une association comme SOS Chrétiens d’Orient soit sévèrement attaquée devant tous les évêques français sans qu’aucun de ses responsables n’ait eu l’occasion de présenter sa défense et de se justifier de ces accusations ? Quel visage offrons-nous quand nous mettons sur la place publique de telles divisions, alors que nos frères d’Orient attendent tant de nous et que personne n’est de trop pour leur venir en aide ? Que de cette affaire puisse surgir au moins davantage d’unité et de paix pour le service et le rayonnement de l’Eglise. Conformément à l’Evangile (cf. Mt 18, 15-17), puissions-nous retrouver le chemin du dialogue et de la conciliation."

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html