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  • « Apologie du terrorisme, internement des fichés S : êtes-vous devenus fous ? »

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    Une tribune libre à lire par ceux qui sont séduits par plus de fichage et de répression des « fichés » :

    « La « droitosphère » semble se féliciter des condamnations récentes à de la prison avec sursis, pour apologie du terrorisme, d’un militant de La France insoumise qui s’était réjoui de la mort du colonel Beltrame.
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  • Un point de vue iconoclaste sur la Syrie...

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pourquoi ne font-ils rien contre le terrorisme islamique ?

    Au 19e siècle, l’Europe a connu une période de terrorisme, pendant laquelle des anarchistes attaquaient et parfois tuaient des dirigeants ou des personnes socialement haut-placées. Entre le terrorisme anarchiste et le terrorisme islamique il y a une différence essentielle. Depuis plusieurs années, ceux qui meurent sous les coups du terrorisme islamique sont le plus souvent de simples quidams, vous et moi, de braves citoyens sans histoire, qui travaillent et paient leurs impôts.

    Nous n’avons pas encore passé la barre des 1000 morts, mais nous avons largement passé celle des 100 morts. Une question se pose : pourquoi les dirigeants ne font-ils rien ou presque contre le terrorisme islamique ?

    Quelques citations. Bernard Cazeneuve, ex-ministre de l’Intérieur « Prêcher le jihad n’est pas un délit. » Manuel Valls, ex-Premier ministre « il faut que les Français s’habituent au terrorisme. » Emmanuel Macron, candidat aux présidentielles « je n’ai pas de plan contre le terrorisme. » Sans parler du fameux « Al-Nosra fait du bon boulot en Syrie. » Ce qui est bon pour les Syriens serait bon pour nous aussi ?

    Pour comprendre ce qui nous arrive, peuple français, deux questions me semblent pertinentes. Q1 « La classe dirigeante est-elle menacée par le terrorisme islamique à titre personnel, dans sa chair ? » Q2 « La classe dirigeante est-elle affaiblie ou renforcée par le terrorisme islamique ? » Essayons de répondre à ces deux questions.

    Sur les centaines de morts récents, personne n’appartenait à la classe dirigeante, à l’oligarchie qui nous gouverne. Le terrorisme islamique ne les concerne pas.

    A chaque nouvelle charrette de morts, la cote de popularité des dirigeants s’améliore. Et à chaque fois, l’oligarchie resserre son étreinte : censure d’internet, nouvelles lois muselières, etc.

    Ferme-t-on les mosquées les plus dangereuses ? Non, on interdit deux ou trois groupuscules inoffensifs soi-disant d’extrême-droite. Ferme-t-on les madrassas qui bourrent le crâne des gamins ? Non, on pourrit la vie des écoles libres catholiques. Vous voyez ce que je veux dire ?

    Regardons les choses en face. Le terrorisme islamique ne dérange pas l’oligarchie qui nous gouverne. Bien au contraire, il existe une espèce de collusion pratique entre les deux. Je ne parle pas de complot. Il est simplement évident que le terrorisme islamique est l’allié objectif de l’agenda totalitaire de l’oligarchie mondialiste qui a clairement comme ligne de conduite le management par le chaos et la peur. Voilà pourquoi ils n’ont rien fait et ne feront rien.

    Fortunin Revangé

    https://ripostelaique.com/pourquoi-ne-font-ils-rien-contre-le-terrorisme-islamique.html

  • EUGÉNIE BASTIÉ ET LA CABALE DES IMBÉCILES

    Il était légitime de nous insurger massivement contre le tweet abject de Stéphane Poussier, ex-candidat de La France insoumise – désavoué, depuis, par Jean-Luc Mélenchon –, qui déclarait : « À chaque fois qu’un gendarme se fait buter, et c’est pas tous les jours, je pense à mon ami Rémi Fraisse [jeune militant écologiste mort sur le site du barrage de Sivens en octobre 2014], là c’est un colonel, quel pied ! Accessoirement, un électeur de Macron en moins » (Franceinfo). Car monsieur Poussier, qui doit être jugé en comparution immédiate pour « apologie du terrorisme », pensait sincèrement ce qu’il écrivait.

    Il en est tout autrement d’Eugénie Bastié, journaliste du Figaropour le moins non conformiste, doublée d’un esprit éclairé, comme l’attestent notamment ses chroniques dans la salutaire émission de la chaîne Histoire, « Historiquement Show ». Cette dernière, pour avoir oublié que nous nous enfoncions inexorablement dans une époque d’émotions volatiles et de pulsions primaires, s’est fait clouer au pilori à cause d’un tweet ironique qui relevait d’un second degré compréhensible, apparemment, des seuls « happy few » si chers à Stendhal.

    « Ne jugeons pas trop vite cet homme en héros, il a peut-être mis des mains aux fesses à Saint-Cyr », a-t-elle donc écrit, en écho à un article de Libération – « Lycée Saint-Cyr : une machine à broyer les femmes » – pointant le sexisme dans la célèbre école militaire, où Arnaud Beltrame avait poursuivi ses études en classe préparatoire. 

    Or, dans cet article, la Manif pour tous et les « tradis » en prenaient pour leur grade, comme si le sexisme – qu’il ne s’agit pas de minimiser, en rappelant toutefois que les rédactions de presse n’en sont pas exemptes ! – était le pré carré des réacs. Voilà où voulait en venir Eugénie Bastié.

    Hélas, en ces temps d’inculture souveraine, il ne fait pas bon avoir de l’esprit. Et la pauvre journaliste l’a appris à ses dépens. Elle a alors présenté ses excuses comme la coupable qu’elle n’est absolument pas : « Je regrette profondément mon tweet imbécile. Je n’ai évidemment jamais voulu remettre en cause le courage admirable et l’intégrité incontestable d’Arnaud Beltrame, un héros français. Je présente mes excuses à ceux que j’ai blessés et à mes amis et confrères du Figaro. »

    Las, au mépris de tout sens de l’analyse et de la vérité factuelle, on pouvait tout de même lire : « Une journaliste du Figaro s’est attirée les foudres du web pour avoir sous-entendu que le gendarme au comportement de héros lors de la prise d’otages de vendredi était peut-être un Weinstein en puissance » (L’Essentiel). Mieux : Marc-Olivier Fogiel a traité l’intéressée d’« imbécile ». C’est vrai qu’il s’y connaît dans cette matière !

    Que le tweet d’Eugénie Bastié ait pu choquer dans un temps de sidération et de recueillement, d’accord, mais, comme me l’a rappelé Michel Chamard – auteur de l’excellent ouvrage Les Guerres de Vendée pour les Nuls –, « l’humour est la politesse du désespoir ».

    http://www.bvoltaire.fr/eugenie-bastie-cabale-imbeciles/

  • Mayotte : les expulsions d’immigrés par les habitants eux-mêmes se multiplient

    Sur fond d’insécurité dans l’île qui a mené à d’importantes manifestations début mars, les habitants de Mayotte s’organisent pour effectuer des «décasages» : ils expulsent les étrangers de façon parfois violente, et détruisent leurs habitations.

    Depuis plusieurs semaines, en marge du mouvement de lutte contre l’insécurité et alors que le nouveau préfet a pris ses fonctions le 30 mars, certains habitants de Mayotte traquent eux-mêmes les immigrés.

    Ils les «incitent» à se rendre à la gendarmerie, effectuent des rondes «préventives» dans les villages, organisent des manifestations anti-étrangers, les interceptent sur les plages où ils débarquent ou encore détruisent leurs habitations. Les premiers faits identifiés remontent à mi-mars, un des membres du collectif des habitants du nord de l’île ayant affirmé à l’AFP effectuer des «rondes» afin «de démanteler les groupes d’étrangers, Comoriens et Africains» présumés en situation irrégulière sur le territoire. Ce collectif demanderait à ces immigrés de préparer leurs bagages puis les amènerait sans violence, selon lui, à la gendarmerie la plus proche «en fourgonnette».

    Le 24 mars, les exactions qui se sont produites au nord et au sud de l’île ont été qualifiées pour la première fois par le parquet de Mamoudzou de «décasages», des expulsions illégales d’étrangers, plus ou moins violentes, souvent suivies de la destruction de leurs habitations. La gendarmerie a confirmé que des manifestations anti-étrangers avaient eu lieu ce même week-end et le procureur de la République, Camille Miansoni, a déclaré que des habitations avaient été brûlées et détruites en marge de ces marches.

    Des familles «dans la nature»
    Des opérations qui se multiplient ces derniers jours : des décasages «proches du banditisme et de la délinquance», avec des vols crapuleux sous la menace d’armes commis par une dizaine de personnes au visage masqué, ont eu lieu à Kani-Kéli, dans le sud de l’île le 28 et 29 mars, a expliqué Camille Miansoni.

    Les familles ont été expulsées et leurs habitations en partie détruites. Neuf de ces «décasés» ont formulé une demande de reconduite à la frontière volontaire et les autres personnes sont «dans la nature, peut-être au sens littéral du terme […], ce qui est problématique quand on sait qu’il y a des enfants», a déploré le procureur.

    La gendarmerie a signalé une autre opération dans une commune du sud l’île le 28 mars, où une quarantaine de villageois ont retenu des clandestins alors qu’ils débarquaient sur une plage par bateau. «Ce genre de pratique, ça n’existe pas dans un département», avait pourtant réagi mi-mars la ministre des Outre-Mer Annick Girardin dans une déclaration à l’AFP. «J’ai pris des engagements en matière de sécurité […] J’invite les habitants à laisser les forces de l’ordre faire leur travail», avait-elle insisté.

    Des actions similaires s’étaient tenues en 2016 lorsque, de janvier à juin, des collectifs d’habitants de diverses communes de Mayotte avaient chassé des Comoriens, en situation irrégulière ou non, de leur domicile. Excédés par l’insécurité qui règne sur l’île, sujette à une forte pression migratoire en provenance des Comores voisines, les habitants de Mayotte ont lancé au mois de mars un vaste mouvement de mobilisation.

    source : rtfrance.com

    https://www.patriote.info/actualite/immigration/mayotte-les-expulsions-dimmigres-par-les-habitants-eux-memes-se-multiplient/

  • Lauriers et lys du roi Henri le grand

    Dirigée par Max Gallo, la collection "Ils ont fait la France" consacre l'un de ses vingt volumes à Henri IV. Premier roi Bourbon, celui-ci demeurerait le plus aimé des souverains français.

    Max Gallo et Jean-Paul Desprat présentent un Henri IV, l'homme de la tolérance. L'ouvrage comporte une marqueterie de textes précédés de repères chronologiques et méthodiques qui procurent au lecteur une image vivante du « bon et grand roi Henri ». Nous en donnons ci-dessous quelques-uns. On peut cependant regretter que dans sa brillante préface, Max Gallo donne une signification parfaitement erronée de l'absolutisme monarchique.

    Absolue perfection

    Cette erreur provient des propagandes anglo-saxonnes du début du XVIIIe siècle. En 1600, pour tous les contemporains, français ou étrangers, "monarchie absolue" signifiait "monarchie parfaite". C'était la monarchie de nos rois. Dans son Louis XIV, le professeur François Bluche démystifie cette légende : « Depuis Charles VII, les lettres patentes des rois s'achevaient par l'expression : "Car tel est notre plaisir". Nos ancêtres à qui le latin n'était pas étranger lisaient : "Placet nobis et volumus" – (c'est notre volonté réfléchie). Ils voyaient en cette formule la décision délibérée du Roi et non son caprice. De même traduisaient- ils sans hésiter "monarchia absoluta" par "monarchie parfaite". » Privé d'une définition authentique, Max Gallo réunit prévention et précipitation pour aboutir à un jugement téméraire : « Mais l'absolutisme – cujus regio, ejus religio – provoquera en 1685 la révocation de l'Edit de Nantes. Absolutisme et tolérance ne peuvent coexister. » Il convient ici de rappeler une date : en 1668, le traité d'Aix-la-Chapelle marque l'annexion de la Flandre française à la Couronne. Les Flamands catholiques soupçonnaient Louis XIV de tiédeur religieuse. Par la révocation de l'édit de Nantes, Louis XIV cède à l'opinion publique, vraie peste de la démocratie. La révocation a pour origine une éclipse momentanée de l'absolutisme royal.

    Revendiquant le modèle de Virgile qui exalte les origines de Rome en la personne d'Énée, Voltaire va composer La Henriade, poème épique. La première édition intégrale en sera publiée à Londres, en 1728 grâce au pécule que Louis XV lui envoya pour le sauver de la faillite : « Je chante ce héros qui régna sur la France / Et par droit de conquête et par droit de naissance. / Qui par de longs malheurs apprit à gouverner, / Calma les factions, sut vaincre et pardonner / Confondit et Mayenne, et la Ligue, et l'Ibère, / Et fut de ses sujets le vainqueur et le père. » Voltaire évoque les troubles de la France divisée au temps d'Henri III, le dernier Valois : « Valois régnait encore ; et ses mains incertaines / De l'État ébranlé laissaient flotter les rênes. / Les lois étaient sans force, et les droits confondus / [...] Dans Paris révolté l'étranger accourut ; / Le vertueux Bourbon, plein d'une ardeur guerrière / À son prince aveuglé vint rendre la lumière : / Il ranima sa force, il conduisit ses pas / De la honte à la gloire et des jeux aux combats. » Voltaire prête au roi de France le discours vraisemblable qu'il tint au roi de Navarre, son cousin et beau-frère : « Vous voyez à quel point le destin m'humilie : / Mon injure est la vôtre ; et la Ligue ennemie / Levant contre son prince un front séditieux / Nous confond dans sa rage et nous poursuit tous deux. / Paris nous méconnaît ; Paris ne veut pour maître / Ni moi, qui suis son Roi, ni vous qui devez l'être. / Ce Dieu vous a choisi : sa main dans les combats / Au trône de Valois va conduire vos pas. »

    Publié en 1661 par Hardouin de Perefixe, La Vie d'Henri le Grand comporte de précieux documents auxquels s'ajoute une fine compréhension du caractère et de la personne du roi Henri IV. Excommunié par le pape Sixte V, subissant la méfiance d'un chef de la Ligue, le duc de Mayenne, Henri III fut contraint de se tourner du côté du roi de Navarre. L'intelligence, le courage et la foi de ce dernier firent que cette contrainte fut providentielle, malgré toutes les craintes qu'il pouvait avoir raisonnablement : « Après qu'il eut bien considéré qu'il s'agissait de la France, de servir son roi et de s'ouvrir un chemin pour défendre la couronne qui lui appartenait, il résolut de tout hasarder et de se résigner entièrement à la sainte garde du souverain protecteur des rois. [...] Il arriva au Plessis-les-Tours sur les trois heures de l'après-midi, en habit de guerre, tout crasseux et tout usé de la cuirasse, lui seul ayant un manteau et tous ses gens étant en pourpoint, tous prêts d'endosser les armes, afin de montrer qu'il n'était pas venu pour faire sa cour, mais pour bien servir. Il alla au devant du roi qui entendait vêpres aux Minimes. La foule du peuple était si grande, qu'ils furent longtemps dans l'allée du Mail sans se pouvoir joindre. Notre Henri étant à trois pas du roi, se jeta à ses pieds, et s'efforça de les baiser, mais le Roi ne voulut pas le permettre : et, le relevant, l'embrassa avec grande tendresse. Ils réitérèrent leurs embrassements trois ou quatre fois, le roi le nommait son très cher frère, et lui appelait le roi son seigneur. On entendit alors pousser avec grande joie les cris de "Vive le voi !" que l'on n'avait point ouï depuis longtemps, comme si la présence de notre Henri eût fait rendre l'affection des peuples, qui semblait éteinte pour Henri III. Après que les deux rois se furent entretenus quelque temps, celui de Navarre repassa la rivière et aller loger au faubourg Saint-Symphorien [...] car il avait été obligé de le promettre ainsi à ces vieux Huguenots, qui crurent qu'on leur tendait des pièges partout. Mais lui, qui était poussé d'un autre motif et qui avait ce généreux principe, qu'il ne faut point ménager sa vie quand il y quelque chose à gagner qui doit être plus précieux à un grand courage que la vie même, sortit le lendemain dès six heures du matin [...] et vint donner le bonjour au roi. Ils s'entretinrent longtemps en deux ou trois conférences où le roi de Navarre donna de grandes marques de sa capacité et de son jugement. » Henri III mourant le nomma plusieurs fois « son bon frère et son légitime successeur, lui recommanda le royaume, exhorta les seigneurs là présents de le connaître et de ne point désunir ».

    Malgré les aléas, les traverses, les pires angoisses, grâce à l'entente du roi de France et du roi de Navarre, ce qu'on a pu nommer le miracle capétien s'est produit. Les éloges le comparant à Salomon, à David, à Constantin, à saint Louis sont justifiés - par son goût et sa pratique de la justice, il a mis fin aux guerres de religion. Aux lauriers du soldat victorieux s'ajoutent les lys de la monarchie légitime. Chez lui une force triomphale se complète par une clémence généreuse. Et, ne l'oublions jamais, tel que le montre sa correspondance amoureuse, ce fut un Prince charmant.

    Joseph Santa-Croce L’ACTION FRANÇAISE 2000 Du 5 au 18 janvier 2012

    Ils ont fait la France, volume 4, Henri IV, l'homme de la tolérance, collection éditée par Le Figaro et L'Express, 12,90 euros.

  • Alain Escada : « Nous préférons Aristote à Rothschild ! »

    Chers amis,

    Tout d’abord, je tiens à vous remercier d’être venus si nombreux pour cette journée. C’est la démonstration qu’il est possible de créer une dynamique sans rien renier de nos convictions catholiques, patriotes, nationalistes.

    Je tiens à remercier les prêtres et les religieux qui nous font l’honneur de leur présence, les délégations étrangères présentes aujourd’hui, nos amis suisses de Résistance Helvétique, les Belges du mouvement Nation, les représentants d’une longue liste de mouvements et associations de la composante nationale qui ont choisi de participer à cette deuxième Fête du Pays Réel. Je veux aussi remercier les dizaines de bénévoles qui ont généreusement offert leur temps et leur énergie à l’organisation de cette journée. C’est grâce à vous tous qu’elle est un succès. 

    Et ce succès devrait en faire réfléchir plus d’un, à l’heure des recompositions politiques et de la crise religieuse.

    Chez nous, Dieu est premier servi. Nous ne dissimulons pas notre Foi pour tenter d’élargir nos rangs. Nous ne cachons rien de notre objectif de restaurer une France catholique, nettoyée des bactéries maçonniques et laïcistes. Nous ne cherchons aucun compromis inter-religieux. Nous affirmons sans détour que, si Dieu nous en donne les moyens, nous organiserons la dissolution du CRIF, de l’UOIF, des loges maçonniques et autres officines de l’anti-France.

    Chez nous, la France est aux Français. Nous ne taisons rien de notre volonté d’agir sans relâche pour reconquérir la France, organiser la rémigration et consacrer l’argent public, l’argent des contribuables, à améliorer le sort des Français avant celui des autres populations. Chez nous, nous nous rappelons que la première des charités, c’est la Vérité, et que nous avons à nous préoccuper d’abord et avant tout du sort des Français vivant dans la misère, à assurer la prospérité de notre peuple, ainsi qu’à sauvegarder notre modèle civilisationnel, notre Foi, nos us et nos coutumes. 

    Chez nous, nous savons que la Famille est la cellule de base de la société. Et qu’importe les lois iniques, le mariage ne peut être que l’union d’un homme et d’une femme. 

    Chez nous, nous parlons vrai, sans langue de bois, sans compromission, sans chercher à plaire aux médias, sans solliciter un brevet de respectabilité chez ceux qui enchaînent la France et les Français. 

    Chez nous, nous faisons appel au Pays Réel. 

    Le pays réel s’oppose bien sûr au pays légal, selon la formule de Charles Maurras. 

    Le pays réel s’oppose aussi aujourd’hui au pays mutant, transformé, transhumaniste, transgenre, transracial, transatlantique, transmigratoire et transreligieux, mais jamais transcendant. 

    Aujourd’hui, le pays légal nous impose l’idéologie du genre sous toutes ses formes. Vous savez, l’idéologie du genre consiste à prétendre que vous pouvez décider vous-même de ce que vous êtes, homme ou femme, voire hybride. De là découle l’idée que vous pouvez aussi choisir si vous êtes blanc, noir, jaune ou vert à petits pois. Demain, cette idéologie du genre devrait aussi permettre de prétendre être un poisson rouge. Mais on ne se moque pas impunément du réel et celui qui se prendra pour un oiseau s’écrasera immanquablement au sol.

    En France, cette idéologie du genre a connu un nouveau développement. Pour incarner Sainte Jeanne d’Arc aux fêtes johanniques d’Orléans, la bien-pensance a choisi une jeune fille métisse, à moitié béninoise. Cette jeune fille a sans doute beaucoup de qualités mais cela suffit-il pour prétendre incarner Jeanne d’Arc, modèle de jeune fille typiquement française d’une époque médiévale où la France était entièrement blanche. Dire cela, ce n’est pas du racisme, c’est être dans le réel. Que diraient les professionnels de la bien-pensance si une jeune fille togolaise était choisie pour incarner Anne Franck au cinéma ? Ou si Gérard Depardieu endossait le rôle de Nelson Mandela dans une série télévisée ? Il ne fait aucun doute que le tollé serait immédiat et général. Et tous trouveraient cet irréalisme ridicule. 

    Mais dans le cas présent, même parmi ceux qui prétendent, défendre la France, de Philippe de Villiers à Marine Le Pen, on s’est précipité pour trouver formidable que cette jeune fille métisse devienne la Jeanne d’Arc 2018. Terrorisés à l’idée d’être qualifiés de racistes, ils ne s’aperçoivent pas qu’ils sont profondément ridicules d’approuver de la sorte la négation du réel. Ils encouragent ainsi ces producteurs cosmopolites qui placent au cinéma et à la télévision des acteurs de couleur dans des rôles phares comme les héros de l’homérique Guerre de Troyes ou de la cour d’Angleterre au Moyen-Âge, dans l’intention de lobotomiser les jeunes générations et de leur faire admettre un nouvel ordre mondial nomade et métissé. 

    Le retour au réel est pourtant l’une des conditions indispensables au redressement de la France. 

    Ce retour au réel doit précisément s’appuyer sur le Pays réel, sur la France des terroirs et des clochers, sur l’enracinement, sur le local. 

    Chez nous, la France rurale est primordiale. Parce qu’elle est nourricière. Parce que la logique voudrait que nous consommions ce que produisent nos paysans français plutôt que les crasses produites par des multinationales apatrides. Parce que le bon sens d’un paysan a bien souvent plus d’utilité que les calculs d’un énarque. Parce que le terre ne ment pas, comme le disait un Maréchal de France. 

    Chez nous, le travail des artisans français est considéré à sa juste valeur, comme un savoir-faire que nous ne voulons pas voir remplacé par du bas de gamme asiatique ou des robots à tout faire. 

    Chez nous, nous préférons le petit commerçant au supermarché, nous préférons l’humain à la machine, nous préférons le village à la mégapole, nous préférons le travailleur au spéculateur, nous préférons Aristote à Rothschild. 

    Chez nous, l’art et la culture sont au service du Bien et du Beau. Ils ne suintent pas l’odeur putride du blasphème et de la pornographie. 

    Il n’y aura pas de reconquête possible sans le pays réel, sans les corps intermédiaires, sans le tissu local, professionnel, associatif, culturel.

    C’est pour cette raison qu’il faut, par exemple, recréer des corporations professionnelles, autrement plus utiles que les syndicats politiques. 

    Il est aussi indispensable de partir à la reconquête de nos villages, de nos communes. Il nous faut organiser des villages gaulois catholiques à partir desquels envisager l’avenir, mettre à l’abri les nôtres, conserver notre mode de vie et préparer la reconquête. 

    Ne nous leurrons pas. Le camp national ne prendra pas le pouvoir pas l’entremise d’une élection présidentielle. Seules des circonstances exceptionnelles précédées de pénibles épreuves pourraient permettre que le pouvoir soit à nouveau confié un jour à un chef d’Etat authentiquement soucieux du Bien commun et de l’intérêt des Français. 

    En attendant ce jour, c’est à l’échelon local que doit s’organiser la préservation de notre modèle civilisationnel.

    Il faut donc, d’une part, mettre en place un véritable plan de rachat de villages à l’abandon. Alors que les banques conspirent pour faire disparaître l’argent liquide, ce qui signifierait la possibilité de tout savoir de nous et de condamner les dissidents à la mise à mort sociale et économique en quelques clics, seule la mise en place de villages gaulois et catholiques peut nous permettre de sortir de ce système, d’instaurer une monnaie locale et d’élever nos enfants dans un cadre préservé.

    Et d’autre part, il faut s’engager dans les élections municipales, surtout dans les petites communes, et y insuffler un nouveau souffle.

    Nos villages, nos petites communes doivent être nos bases de repli à partir desquelles s’élancera la reconquête.

    Le Pays réel peut devenir un temps minoritaire, mais c’est à partir de lui que pourra s’élaborer la reconquête, de la même façon que le royaume de France était devenu bien minoritaire sur le territoire national avant qu’une jeune Jeanne d’Arc soit guidée par le Ciel pour libérer le pays et chasser l’envahisseur.

    Le Pays réel, dont nous faisons tous ici partie, porte donc une lourde responsabilité, en ce sens qu’il lui revient, qu’il nous revient, de ne plus perdre de temps pour donner vie à notre modèle de société contre-révolutionnaire.

    Voilà pourquoi, pour encourager ce Pays réel à agir sur de bons principes, nous voulons le doter d’une devise. Cette devise, c’est DIEU PATRIE FAMILLE.

    DIEU, parce que rien de durable, de solide, d’efficace, de juste, ne pourra se faire sans Lui. La France est née du baptême de Clovis. La Chrétienté a donné à la France ses plus beaux héros : sainte Geneviève, Charles Martel, saint Louis, sainte Jeanne d’Arc,… La France a même reçu une mission, celle de fille aînée de l’Eglise. Sans Dieu, la France n’est plus rien. Je ne sais pas si quelqu’un parmi nous verra la victoire de son vivant, mais ce que je sais avec certitude, c’est que nous ne gagnerons pas sans Dieu et sans des militants dont la Foi déplace les montagnes.

    PATRIE, ensuite, parce que nous sommes des êtres enracinés, héritiers de la terre de nos pères, de nos ancêtres, qu’il nous faut à notre tour transmettre à nos enfants.

    La FAMILLE, enfin, parce que ce sont ces cellules de base de la société qui constituent sa sève.

    Avec cette devise DIEU PATRIE FAMILLE, le Pays Réel se distingue une fois de plus du Pays légal et de sa devise Liberté Egalité Fraternité qui signifie Liberté de nous envahir, Egalité entre le mensonge et la vérité et Fraternité maçonnique.

    Cette journée se termine. Elle n’est qu’une première étape. Je vous invite d’ores et déjà à noter trois rendez-vous.

    Le 28 avril 2018 : journée du Rosaire aux Frontières, dont vous pouvez trouver toutes les informations sur leur stand présent ici ou sur internet. Souvenons-nous de l’importance du saint rosaire et de l’armée priante conduite par le Pape en personne lors de la bataille de Lépante, tandis que l’armée combattante repoussait les envahisseurs islamistes. Aujourd’hui, nous n’avons plus d’armée combattante pour repousser les envahisseurs puisque nos dirigeants sont les valets du nouvel ordre mondial, mais il nous appartient de relancer l’armée priante, en attendant le retour d’une armée combattante.

    Le 13 mai 2018 : Défilé national d’hommage à sainte Jeanne d’Arc.

    Du 16 au 18 août 2018 : première université d’été du Pays réel.

    Cette journée se termine et vous allez bientôt rentrer chez vous. Mais prenez de bonnes résolutions et rejoignez-nous dès maintenant pour un combat sans concession. Nous savons que vous êtes déjà tous très sollicités. Mais prenez votre carte de membre Civitas, abonnez-vous à la revue Civitas. En le faisant, c’est un encouragement à poursuivre le bon combat que vous nous adressez. Et si vous le pouvez, militez. Nous avons besoin de vous pour implanter Civitas partout en France.

    Vive le Pays réel !

    Vive la France !

  • Sondage : le parti des Démocrates de Suède (droite anti-immigration) est premier chez les 18-34 ans

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