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  • Accord sur le nucléaire iranien : 10 conséquences de la (folle) décision de Trump

    Le monde a basculé le 8 mai 2018, avec la sortie des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien. Voici ce qui risque de se passer maintenant.

    Le monde a basculé ce 8 mai 2018.

    Rien n’y a fait. Ni les câlins d’Emmanuel Macron. Ni les menaces du président iranien. Ni les assurances des patrons de la CIA et de l’AIEA. Donald Trump a tranché : sous le prétexte non prouvé que l’Iran ne le respecte pas, il retire les Etats-Unis de l’accord nucléaire signé le 14 juillet 2015. Une folle décision aux conséquences considérables.

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  • Victoire capitale pour Riposte Laïque : la Cour d'Appel de Paris relaxe Pierre Cassen

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    La Cour d'Appel de Paris vient de confirmer, un an après, la décision de la 17e Chambre correctionnelle : elle a relaxé Pierre Cassen, estimant ne pas disposer de suffisamment de preuves pour établir qu'il demeurait le directeur de publication de Riposte Laïque, ce que voulaient démontrer le Parquet de Paris et les associations dites antiracistes.

    C'est une victoire très importante pour Riposte Laïque et son fondateur, peut-être même capitale. Mais elle ne mettra pas fin au harcèlement  judiciaire subi depuis plusieurs années par Pierre Cassen. En effet, ce dernier passera de nouveau devant les tribunaux, le 23 mai, le 13 juin et le 27 juin, ce qui confirme l'ampleur de l'offensive menée contre RL. Mais Pierre Cassen et son avocat, Maître Pichon, forts de cette relaxe, seront en bien meilleure position pour répondre aux accusations obsessionnelles des associations dites antiracistes et du Parquet.

    Ce verdict, ainsi que les résultats des appels aux dons lancés par notre site, mettent Riposte Laïque dans une situation bien plus favorable pour continuer à lutter, quotidiennement, contre l'islamisation de notre pays, permise par l'invasion migratoire organisée par le pouvoir.

    Cette victoire est celle de toute la réinfosphère, et des défenseurs de la liberté d'expression. Elle ne nous fait pas oublier que d'autres patriotes sont trop souvent lourdement condamnés, de manière inique, pour oser résister au discours dominant.

    Malgré la volonté de ce régime de multiplier les lois liberticides contre la réinfosphère, dont Riposte Laïque, nos contributeurs, quotidiennement, continueront à dire aux Français une vérité que médias et politiciens font tout pour leur cacher.

  • Trump piétine l’accord sur le nucléaire iranien - Journal du Mercredi 09 Mai 2018

  • La stratégie d'Emmanuel Macron consiste à n’accepter face à lui qu’une seule opposition : l’extrême gauche

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    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités :

    "Les médias se font unanimement l’écho des déclarations d’Emmanuel Macron sur les APL.

    « Le colonel Beltrame est mort parce que la France, ce sont des idées, des valeurs, quelque chose d’une guerre qui le dépasse, a déclaré, au détour d’un documentaire, le président, dans le sabir caractéristique de la caste politico-médiatique. Les gens qui pensent que la France, c’est une espèce de syndic de copropriété où il faudrait défendre un modèle social qui ne sale plus, une République dont on ne connaît plus l’odeur [sic] et où l’on invoque la tragédie dès qu’il faut réformer ceci ou cela, et qui pensent que le summum de la lutte, c’est les 50 euros d’APL, ces gens-là ne savent pas ce que c’est que l’histoire de notre pays. »

    Au-delà du jargon, cette déclaration est merveilleusement symbolique de la caste qui prétend nous gouverner.

    Tout d’abord, on constate une absence complète de cohérence dans les réformes. Voici un an, il fallait, toutes affaires cessantes, diminuer de 5 euros par mois les APL (aides personnalisées au logement). Aujourd’hui, le gouvernement qui a réalisé cette réformette juge que c’était une mauvaise idée. Comment voulez-vous que nous fassions confiance à des gens qui changent d’avis comme de chemise?

    Par ailleurs, la mise en regard de la baisse des APL et du sacrifice du colonel Beltrame me semble d’un goût douteux. Il est clair que la France traverse une crise grave aux multiples facettes, de la crise économique à la crise morale, en passant par la crise identitaire. Mais tout ne peut pas se mettre sur le même plan. Même si l’on pensait que la réduction des APL soit de nature à restaurer les finances publiques, on ne pourrait pas la mettre en regard de l’impératif de résister au totalitarisme islamique – auquel, d’ailleurs, en dépit de la fermeté occasionnelle du langage, nos dirigeants cèdent tout.

    Mais ce qui me frappe le plus, en lisant cette déclaration bizarre du chef de l’État, tient au sentiment que le principe de non-contradiction n’a aucune prise sur nos dirigeants: pour eux, une chose peut être à la fois blanche et noire, vraie et fausse – et sous le même rapport.

    Ainsi M. Macron exige-t-il de nous que nous prenions la France pour une « start-up nation », ce qui nous invite à cesser de voir la nation sous l’angle politique, pour la voir uniquement sous l’angle économique. Pourquoi pas ? C’est une pensée (politique!) qui a une certaine cohérence. C’est la doctrine de certains constituants de 1789 ou de la monarchie de juillet. De façon générale, c’est la doctrine des réformateurs qui ne sont pas assurés de leur légitimité. Mais on ne peut pas à la fois nous présenter la France comme une entreprise dynamique et nous interdire de la voir comme un « syndic de copropriété » –puisque, dans une entreprise, la question de la propriété est évidemment centrale.

    De même, quand Emmanuel Macron en appelle à « l’histoire de notre pays », il se moque du monde. N’est-ce pas lui qui prétendait naguère que la France avait commis un crime contre l’humanité en arrachant l’Algérie aux Barbaresques ? N’est-ce pas lui qui prétendait que la culture française n’existait pas ? 

    Plus grave, cette diatribe manifeste que la stratégie du chef de l’État consiste à n’accepter face à lui qu’une seule opposition, celle de l’extrême gauche, qu’il cajole par ailleurs en refusant de sanctionner ses violences. Or, Kerenski ou Barnave ont abondamment prouvé que les réformistes qui s’appuyaient sur des révolutionnaires terroristes finissaient toujours par être broyés par leurs alliés d’hier – entraînant, hélas, avec eux leur pays dans un bain de sang."

  • Marx et Macron, deux faces de la mondialisation

    Eric Zemmour fait un parallèle entre Marx et Macron :

    « La mondialisation a abattu les dernières structures traditionnelles qui faisaient encore obstacle à l’emprise du marché sur les individus : famille patriarcale, corporations, statuts, nations, frontières, états. »

    Tout doit se plier devant les exigences en mouvement perpétuel du capitalisme mondialisé et de l’idéologie dominante des classes sociales qui l’ont élu, qui exigent la société multiculturelle que la mondialisation impose :

    « Marx l’avait prophétisé, Macron le fera ».

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/marx-et-macron-deux-faces-de-la-mondialisation/91500/

  • Pourquoi la censure française est un scandale, par Ivan Rioufol

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    Le scandale : dès qu’il s’agit d’immigration ou d’islam, la censure officielle veille et tranche. Dimanche, le préfet Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT a tweeté, amusé, en réaction à la suspension des comptes Facebook et Instagram du mouvement Génération Identitaire : “Je confirme, et ce n’est pas un incident technique…”. Il faut donc comprendre que cette sanction a été demandée par les pouvoirs publics. Il est reproché à Génération Identitaire de mener des campagnes contre l’immigration et l’islamisation, et ce faisant “d’attiser la haine”. Cette organisation, qui défend une Europe des nations, avait symboliquement bloqué dernièrement le col de l’Echelle (Hautes-Alpes), point de passage des clandestins.

    En réponse à l’opération “Defend Europe”, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb avait dépêché des renforts de police et de gendarmerie, prenant acte de la faiblesse des contrôles aux frontières alpines et donc de la justesse de la cause. A contrario, ni Potier ni les responsables de Facebook n’ont jugé utile de suspendre le compte des black-blocs, ce mouvement anarchiste et anticapitaliste qui a fait de la violence et de la haine des flic sa signature. L’autre jour, Libération a fait sa une sur un de ces petits néo-fascistes, en lui accordant un entretien complaisant. Samedi, le maire de Béziers, Robert Ménard, a été agressé physiquement, à Saint-André-de-Cubzac (Gironde) par des militants de gauche, sans que personne ne s’émeuve. Le tort de Ménard est de soulever les problèmes liés à l’immigration de masse et à l’islam politique. Sur ces sujets, la gauche a lâché les chiens.

    Dans son best-seller qui vient d’être traduit en français (1), le journaliste britannique Douglas Murray rappelle cette anecdote : nous sommes en 2015, et la chancelière allemande, Angela Merkel, cherche à étouffer les débats qui naissent de sa folle idée d’accueillir plus d’un million de réfugiés musulmans qui fuient les conflits régionaux ou la misère endémique. Murray raconte : “Merkel a demandé au fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, s’il était possible d’empêcher les citoyens européens de critiquer sa politique migratoire sur Facebook. “Allez-vous y travailler ?”, lui avait-elle demandé. Il lui avait assuré que oui (…)”.

    Et Murray de conclure : “Il est fascinant de voir à quel point nous avons été censurés, alors que nous étions en train d’ouvrir grand nos frontières”. C’est cette même intolérable atteinte à la liberté d’expression qui se poursuit en France dans l’indifférence générale. Quand ce n’est pas le pouvoir qui cherche à mettre l’internet sous surveillance, c’est la justice qui sort son gourdin. C’est ainsi qu’Eric Zemmour a été condamné jeudi par la cour d’appel de Paris à 5000 euros d’amende pour provocation à la haine religieuse pour avoir notamment estimé qu’il fallait donner aux musulmans “le choix entre l’islam et la France”. Mais Napoléon a dit la même chose aux Juifs quand, en 1807, il a convoqué le Grand Sanhédrin en le sommant de choisir entre les valeurs de la nation et celles du judaïsme. Ceux qui cherchent à museler l’esprit critique sur l’immigration et l’islam radical se rendent complices de bouleversements identitaires et culturels potentiellement considérables. Ceux-ci peuvent très légitimement être jugés dangereux et inacceptables.

    (1) L’étrange suicide de l’Europe (L’Artilleur)

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 mai 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Mai 68 : Gauchisme et néolibéralisme [1]

    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre de la sortie de son ouvrage Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues a rédigé pour Lafautearousseau une série dʼarticles qui seront publiés tout au long du mois de mai.

    Le capitalisme stato-national est mort ! Vive le capitalisme globalisé ! Au mitan des années 1960, une restructuration du système économique occidental était devenue nécessaire. De Gaulle, attaché à la défense des intérêts de sa patrie et à conserver intacte la vieille morale bourgeoise imprégnée de catholicisme, constituait un obstacle majeur à cette restructuration. Par le truchement d’un subtil jeu dialectique, il revint à la gauche la plus radicale d’accomplir la tâche de « nettoyeuse » de l’ordre (capitaliste) établi. Mais pas dans le sens qu’elle se figurait : son travail ne consista pas à balayer le système capitaliste – mission dont elle se réclamait ; son travail fut d’éliminer sa version archaïque, sclérosée, dépassée au profit d’un capitalisme newlook, sans frontières, qu’elles soient physiques ou morales. 

    L’essor du marché du désir 

    Disparition des barrières nationales ! La « libéralisation programmée des frontières commerciales, avec l’achèvement du délai de constitution du Marché commun à l’horizon de 1968, oblige les décideurs, publics et privés, à des adaptations d’envergure dont le Ve Plan, mis en œuvre dès 1965, représente à la fois le signe, le produit et l’instrument majeur. »[1] 

    Disparition des barrières sexuelles ! En 1967 la loi Neuwirth, qui autorise l’usage de la pilule contraceptive est adoptée : « La chimie et la loi normalisent ainsi la fécondité. Celle-ci n’est plus ʽʽnaturelleʼʼ, spontanée, désordonnée. Mais doublement soumise à l’ordre social. La fécondité est policée. Au sens étymologique de politique, civilisé. […] L’universalité de la loi vise à la mondialisation de son application. La science doit intervenir en un domaine jusquʼalors totalement abandonné à la nature : la natalité. La nature doit être soumise au politique, en son principe même. Le biologique doit être dirigé par le scientifique. Et les deux doivent se soumettre au politique. Il s’agit d’une révolution – nataliste et biologique – d’une portée immense. »[2]

    Tel était le nouveau credo du capital... le libéralisme bourgeois, puritain, conservateur, se métamorphosait en libéralisme marginal, libertaire, licencieux. Aux yeux des capitaines des firmes multinationales, les diverses inhibitions prescrites par la société bourgeoise, qui jusque-là n’avait pas eu l’audace de s’affranchir de ses fondements chrétiens, étaient autant de points de croissance de perdus. Un nouveau monde perçait le jour, qui promettait d’abondants profits.

    Le Marché se découvrait un nouveau continent : les secteurs du marginal, du libidinal et du ludique. Derrière ces termes quelque peu obscurs se cachent des loisirs consommables tels les jeux à gratter, le divertissement télévisuel, les drogues en tout genre, les virées en boîtes qui coûtent un bras tant la nuit a été longue, les voyages à l’autre bout de la planète, les clubs de strip-tease, le tourisme sexuel, la pornographie, etc. Par suite de la diffusion du néolibéralisme, cet ensemble de « produits » à forte valeur ajoutée, qui à l’heure du capitalismeà la papa étaient cantonnés à un marché de niche, est devenu un vaste marché de masse, le « marché du désir ». La valeur du travail et de l’épargne, disent les libéraux classiques, réside dans leur capacité à satisfaire les besoins de chacun. Leurs épigones « libéraux-libertaires », cherchant à rentabiliser au maximum l’augmentation considérable du temps de loisirs, exaltaient les caprices frivoles du désir des consommateurs. 

    L’institutionnalisation de « l’extrême-gauche du Capital » 

    Le néolibéralisme représente ainsi l’idéologie d’accompagnement du capitalisme nouvelle mouture, qui, paradoxalement, tire sa singularité et sa nouveauté par rapport au libéralisme primitif des Locke, Voltaire, Bentham, Constant et Mill, du fond libertaire d’une gauche gauchement anticapitaliste, plus sadienne que proudhonienne, plus freudienne que marxiste, plus sartrienne que léniniste. Et qui, par Trotsky et sa « révolution permanente mondiale », renouait avec le doux rêve cosmopolitique d’un Kant.

    Les jeunes révolutionnaires de Mai, en se ruant pavées à la main contre le capitalisme au nom de la démocratie et des droits de l’homme, ignoraient être les dupes de ce capitalisme qui avait lui-même enfanté la démocratie (représentative) et les droits de l’homme (nanti) afin de triompher de l’alliance du trône et de l’autel sur laquelle reposait le pouvoir dʼAncien régime, catholique et royal. À la domination formelle du Capital, s’exerçant au moyen de la démocratie bourgeoise, succédait en Mai 68 la domination réelle du Capital, s’exerçant au moyen de la social-démocratie libérale-libertaire. Le discours des notables de province, qui jusqu’ici déterminait la nature du vote du citoyen, fut alors remplacé par l’ardente manipulation de l’hypnotique « folle » du logis, la télévision. À l’extérieur du foyer, dans la rue, le capitalisme eut hardis promoteurs, des êtres idéalistes et naïfs – cela va souvent de pair –, à la merci des roueries les plus rodées : les gauchistes. Des êtres hostiles à pratiquement tout : à de Gaulle, aux Américains, aux Soviétiques, aux ouvriers encartés au P.C.F. ou à la C.G.T., aux « fascistes » dʼOrdre nouveau et de l’Actéon française, aux anciens de lʼO.A.S., aux « sociaux-traîtres » Guy Mollet, François Mitterrand et Pierre Mendès-France, à la droite mi-molle de Giscard et consorts, un peu centriste et vichyste à la fois, aux radicaux, ces « collabos » du Capital depuis au moins Clémenceau, le boucher des mineurs du Nord et des pacifistes mutins.

    Éparpillés façon puzzle entre divers groupuscules insignifiants, incapables qu’ils étaient de se mettre d’accord sur quelle était la couleur de la chemise de Lénine le jour de la « Grande Révolution prolétarienne d’octobre », ce qui leur manquait c’était un chef débonnaire, un anarʼ à beau sourire, qui ne soit ni Français ni catholique, eux qui n’avaient d’admiration que pour des figures étrangères, de Mao Zedong à Fidel Castro en passant par Ernesto Guevara et Léon Trotsky. Leur homme, ce fut Daniel Cohn-Bendit. Quoi de mieux que ce visage poupon, à peine adulte, pour incarner la forme dernièrement née du capitalisme ? (Dossier à suivre)  

    [1]  Michel Margairaz, Danielle Tartakowski, 1968 entre libération et libéralisation. La grande bifurcation, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2010, p. 17.

    [2]  Michel Clouscard, Le capitalisme de la séduction, Paris, Éditions Delga, 2005, p. 146.

    Retrouvez les articles de cette série en cliquant sur le lien suivant ... 

    Dossier spécial Mai 68

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Casseurs du 1er mai : le temps du débat

    6a00d8341c715453ef0224e03861fd200d-320wi.jpgSur le site de l'Institut d'Histoire sociale
    Innombrables auront été les réactions les unes légitimement indignées, mais aussi, pour d'autres, faussement naïves face aux casseurs du 1er mai identifiés aux "blackblocs". Cyril Bennasar écrit ainsi dans Causeur du 3 mai 2018 sous le titre "Écoute-moi bien, petit con de casseur privilégié - La France, la vraie, te rit au nez" :

    Écoute petit con, toi qui contestes qui revendiques et qui protestes, qui brailles et qui manifestes, qui défiles dans nos villes et qui nous les casses, de plus en plus souvent et de plus en plus fort, je te connais comme si je t’avais fait. Je te connais comme si j’étais ton père parce que j’en ai l’âge mais surtout parce que moi aussi à vingt ans, j’étais anarchiste. (...) → Lire la suite de cette chronique

    6a00d8341c715453ef0223c849bec4200c-320wi.jpgCorée du Nord : elle reste communiste et totalitaire

    La poignée de main symbolique du 27 avril, entre leurs dirigeants respectifs, à Panmunjom, frontière séparant les deux pays coréens, n'a pas trompé tout le monde. Pierre Rigoulot, directeur de l'Institut d'Histoire sociale et auteur de trois livres sur l'État voyou de Corée du nord, refuse de croire aux miracles. Dans un entretien réalisé par Paul Sugy et publié le 30 avril par Le Figaro , il souligne que, pour symbolique qu'il soit, le rapprochement affiché

    (...) → Lire la suite de cette chronique la suite de cette chronique

    6a00d8341c715453ef0224e038622d200d-320wi.jpgVenezuela : la crise des migrants que l’on cache

    Alors que, souligne dans L'Opinion Éric Le Boucher, les yeux du monde sont tournés vers les réfugiés en Syrie, les embarcations de fortune partant de Libye ou la fuite des Rohingya de Birmanie, … le drame humanitaire d’ampleur équivalente des Vénézuéliens passe sous silence :

    Les opinions publiques, poursuit-il, particulièrement en France, détournent le regard en toussotant, gênées, refusant d’admettre que le modèle de la "révolution bolivarienne"d’Hugo Chavez tant admiré par Jean-Luc Mélenchon, a tourné à la ruine, à l’oppression criminelle, à la famine(...) → Lire la suite de cette chronique

    http://www.insolent.fr/