Victorin Lurel, sénateur de Guadeloupe, dénonce le fait que ses collègues qui soutiennent la réforme des retraites se gardent bien de toucher au régime spécial des retraites des députés et sénateurs.
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Victorin Lurel, sénateur de Guadeloupe, dénonce le fait que ses collègues qui soutiennent la réforme des retraites se gardent bien de toucher au régime spécial des retraites des députés et sénateurs.
Analyse : Claude Raffestin, Dario Lopreno, Yvan Pasteur, Géopolitique et histoire, Payot, 1995.
Au cours des années 70, le déclin intellectuel du marxisme et les affrontements internes du monde communiste se sont conjugués pour rendre nécessaire le recours à la géopolitique. À l'évidence, la seule prise en compte des facteurs socio-économiques et idéologiques ne suffisaient à comprendre et interpréter litiges nationalitaires et territoriaux. Les problématiques espace et puissance ne pouvaient plus être ignorées d'où le recours à une géographie comprise comme “science des princes et chefs militaires” (Strabon). Professeur de géographie humaine à l'université de Genève, Claude Raffestin ne l'entend pas ainsi. Avec l'aide de deux chercheurs en sciences sociales, il se fait fort de prouver que la géopolitique n'est pas une science ni même un savoir scientifique (1). « Production sociale marquée du sceau de l'historicité », la géopolitique ne serait qu'une superstructure idéologique légitimant le nationalisme et l'impérialisme de l'Allemagne du XXe siècle commençant. Pour en arriver à cette affirmation abrupte, C. Raffestin procède à une démonstration en trois temps.
A la une de cette édition : la réélection de Xi Jinping en Chine. Le pouvoir chinois fait bloc et montre les muscles face aux Etats-Unis.
Une page européenne ensuite avec Giorgia Meloni. A la peine dans le dossier migratoire, la présidente du Conseil italien se heurte à Bruxelles en dépit des gages donnés à l’institution.
Depuis des décennies, la fausse alternance gauche-droite est la base du spectacle politique français. Cette illusion ne cache-t-elle pas la réalité d’un clivage plus profond qu’est l’opposition verticale entre le peuple et les élites ? La dernière livraison de L’Incorrect réunissait pour un entretien les trois représentants « jeunes » des principaux partis politiques de droite avec Guilhem Carayon (LR), Stanislas Rigault (Reconquête !) et Pierre-Romain Thionnet (RN). À cette occasion, le magazine déclarait que cette jeunesse avait le désir de « couper le cordon ». Depuis cet échange, beaucoup de commentateurs ont évoqué une possible « union » pour ces jeunes n’ayant pas les scrupules de leurs prédécesseurs. Ce futur accord des partis de droite est-il souhaitable ?
Auteur de deux agressions à Soissons en quelques jours, un trentenaire au casier judiciaire épais a été envoyé en prison par le tribunal, ce jeudi 9 mars. Deux sursis probatoire ont aussi été révoqués, ce qui porte la peine à trois ans et neuf mois de prison ferme.
par Sputnik Afrique
Alors que l’étau se resserre dans la zone d’Artiomovsk/Bakhmout, les forces ukrainiennes laissent derrière elles des armements de l’OTAN, assure un militaire russe.
Les masques tombent au rythme du recul des forces ukrainiennes dans la région d’Artiomovsk. Soumis à la pression russe, les combattants de Kiev se retirent en laissant derrière eux du matériel de l’OTAN.
Pierre Cassen lors des BBR de Synthèse nationale en 2019
Hector Poupon Riposte laïque cliquez ici
La première affaire occupera le tribunal pendant plus de trois heures. La vidéo incriminée avait pour titre : “Et si Castex remplaçait l’application STOP COVID par une application STOP ISLAM ?“ cliquez ici.
Elle était publiée sous la rubrique “Humour et dérision”, détail d’importance qui n’a jamais été mentionné à l’audience cliquez là.
L’avocat de Pierre Cassen, maître Frédéric Pichon, plaide pour la nullité de la procédure, du fait du délai de prescription et de l’absence de faits justifiant l’interruption de cette dernière. Ce à quoi la procureur répond que la loi a changé et qu’il existe des dispositions dérogatoires pour les « infractions graves » dont la provocation à la haine en ligne fait partie. Pour elle, il n’y a donc aucune difficulté à poursuivre.
L’examen au fond de l’affaire peut alors commencer.
La présidente du tribunal fait la lecture des conclusions des enquêtes de police menées auprès de Pierre Cassen et de Guy Sebag. Il faut rappeler qu’à l’origine des poursuites, c’est SOS Racisme qui s’est permis de faire un signalement au parquet. Ce dernier a alors décidé de poursuivre et de diligenter les enquêtes.