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  • Réindustrialisation ou France à l'encan ? (suite)

    230530

    À nouveau, ce 30 mai au matin, les communicants officiels se gargarisaient de la ré industrialisation vantée par Macron. Prenant un exemple presque anodin, celui d'un investissement sud-coréen à Corbeil-Essonnes l'impayable Le Maire voulait voir dans cet exemple une "stratégie" d'attractivité de la France. Certains esprits chagrins ne manquent pas cependant d'envisager les choses différemment. Et notre précédente chronique rappelait certains dangers inhérents à une telle politique d'appel aux capitaux extérieurs.[1]

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  • Comment fonctionne la «ligne Sourovikine»

    Depuis le 4 juin, les FAU ont lancé 263 attaques sur les positions russes dans le cadre de la contre-offensive en cours. Toutes les attaques ont été repoussées, mais rares sont ceux qui comprennent pourquoi l’offensive de l’armée ukrainienne a échoué à son apogée.

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  • La France à l'encan

    230527

    Ce 26 mai, l'éditorial du Point voyait désormais "la France championne du décrochage". Ce titre désolant soulignait un terrible constat : "la productivité au travail ne cesse de dégringoler en France, à rebours de la tendance générale". Et le journal concluait amèrement : "Sandrine Rousseau jubile, le pays boit la tasse".

    Quelques jours plus tôt à Corbeil-Essonnes, ce n'était pourtant pas notre caricaturale écolo-fémino-extrémiste préférée, cible favorite des humoristes, mais le ministre de l'Économie et des Finances qui jubilait.

    Le 15 mai, en effet, le glorieux Bruno Le Maire saluait dans Yposkesi, spécialisée dans la thérapie génique, "l’exemple parfait de cette politique d’attractivité... nous avons inauguré leur nouvelle usine financée par leur actionnaire SK Pharmtec".

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  • Bernard Germain, Pierre Cassen : « La défense de l’identité nationale, la préférence nationale sont des questions totalement liées à la justice sociale » [Interview]

    Ils étaient trotskystes. L’un (Pierre CASSEN) à la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), l’autre (Bernard GERMAIN) à l’Organisation Communiste Internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du “mal”, le camp national et identitaire.. Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.

    C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre arguments du débat. Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensure, s’interdise de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affubler des qualificatifs de raciste ou extrême droite.

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  • Le monde est dirigé par ceux qui contrôlent la monnaie

     

    Il y a près de deux siècles, après les premières révolutions industrielles et politiques du 18ème siècle, la politique a cédé la place à la finance. 

    La plupart des gens n’ont pas vu ce bouleversement profond qui faisait changer de main le pouvoir réel tout en gardant la même apparence des choses.

    La première manifestation en France ne fut apparemment pas couronnée de succès, et l’aventure de l’Ecossais John Law, devenu le financier de Louis XV, se termina mal. Pourtant, elle préfigurait le monde financier tel que nous le vivons aujourd’hui.

    Le contrôle de la monnaie est la marque du pouvoir

    On parle beaucoup (et souvent à tort) de souveraineté, mais on la définit rarement par ses attributs, c’est à dire ce qu’elle procure par son exercice. Pourtant, il y en a un qui est fondamental, c’est celui de « battre monnaie ». Les colons américains, qui s’étaient vu déposséder de ce droit par l’interdiction de la Banque d’Angleterre d’émettre leurs « locals scripts » eurent à cœur de le graver dans le marbre de leur Constitution, en le mettant dans l’article premier de cette dernière.

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  • José Antonio Primo de Rivera, le politicien-poète du XXe siècle

    José Antonio Primo de Rivera, le politicien-poète du XXe siècle

    Ceux-là mêmes qui, au début de la guerre civile espagnole, ont assassiné José Antonio Primo de Rivera (1903-1936), le fondateur de la Phalange, ont eu la folle idée de le tuer symboliquement une deuxième fois quatre-vingt-sept ans plus tard. C’est ainsi qu’après avoir retiré la dépouille de Franco du mausolée du Valle de los Caídos, l’actuel gouvernement socialo-communiste, qui n’entend rien au respect dû aux morts, vient de refaire le coup avec José Antonio. Ayant exhumé sa dépouille du tombeau où elle reposait dans l’imposante Basilique du mausolée, ils l’ont déposée dans un cimetière quelconque de Madrid. À cette occasion, notre collaborateur Javier Portella évoque, depuis l’Espagne, la figure de José Antonio Primo de Rivera et retrace les grandes lignes de la pensée de ce « politicien-poète ».

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  • Charlotte d’Ornellas et Me Goldnadel quittent Valeurs actuelles

    Deux nouvelles figures médiatiques de Valeurs actuelles ont annoncé leur départ du journal, dans le sillage du licenciement de Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction.

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  • Le journal “Le Monde” condamné en justice pour avoir qualifié France-Soir de “blog complotiste” diffusant des “fausses informations”. Un “acte de concurrence déloyale par dénigrement”

    […]

    La page du Decodex contenait les éléments suivants : (aujourd’hui supprimés)

    Et William Audureau, journaliste du Monde, n’hésitait pas à qualifier France-Soir de « blog complotiste ».

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  • 21 juin 1973 : Ordre nouveau introduisait le problème de l'immigration dans le débat politique français

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    Au début des années 1970, la droite nationale française n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, au top de sa splendeur. Cependant, avec courage et panache, un jeune mouvement maintenait en vie l'idéal nationaliste. Ce mouvement, c'était Ordre nouveau... Durant son existence éphémère (1969-1973), Ordre nouveau suscita tout ce qui, dans les décennies qui suivirent, devait amener la droite nationale aux portes du pouvoir, à savoir le Front national et le combat contre l'immigration incontrôlée. 

    C'est justement la dénonciation de cette immigration, si juteuse à la fois pour le grand patronat et pour les organisations marxistes, qui attira sur Ordre nouveau les foudres du Système. En effet, le 21 juin 1973, au Palais de la Mutualité à Paris, ON organisait la première grande réunion publique sur le thème "Halte à l'immigration sauvage !". La soirée fut épique cliquez ici. et cliquez là... Une semaine plus tard, le 28 juin, le gouvernement prononçait sa dissolution. C'était il y a 50 ans... Et, depuis, la situation n'a pas cessé d'empirer.

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