Chaque année, le salon de l’agriculture s’impose comme une manifestation populaire où se pressent des familles de tout milieu mais aussi un événement politique majeur, notamment à la veille d’élections. Le déplacement ultra médiatisé du chef de l’Etat à la porte de Versailles a pris, à chaque mois de février, une dimension rituelle. L’image d’Epinal de Jacques Chirac, le « président sympathique », flattant le « cul des vaches » et partageant avec des paysans une assiette de charcuterie et un verre de vin rouge, reste gravée dans la mémoire des Français. Le temps de présence consacré au salon de l’agriculture est perçu par les responsables politiques comme un levier des sondages de popularité.
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Une union des droites pourrait faire basculer le Parlement européen
Selon une étude de projection publiée fin janvier par le groupe de réflexion European Council on Foreign Relations (ECFR), une percée des partis de droite issus des différents États membres de l’Union pourrait redessiner la configuration du Parlement européen.
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Crise agricole : quand les écolos noyautent l’administration et la présidence
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« Wallah t’es mort ! » : des policiers du Mans (72) menacés par un homme ivre, déjà connu de la justice, qui lors de la GAV… a étalé ses excréments dans sa cellule ; relaxé pour les violences, il a écopé de 4 mois de sursis
Il est 1 h 20, dans la nuit du 19 au 20 février 2024, quand la police intervient avenue du Général Leclerc au Mans : une scène de violences réciproques a été signalée entre un homme et une femme manifestement alcoolisés.
Les forces de l’ordre trouvent bien un couple en état d’ivresse et la femme s’en prend verbalement à eux. L’homme a, semble-t-il, reçu des coups de sa compagne.
Les policiers essaient de calmer la femme mais celle-ci refuse. Son compagnon s’en prend aux policiers, à son tour. L’homme saisit alors la ceinture d’un manteau et fait comme s’il allait la passer autour du cou d’un policier (…)
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L’état du PAYS en mode BRASSENS (chanson parodique)
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Brève réponse à Rodolphe Cart et aux souverainistes, du point de vue d’un identitaire européen
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Manif de Dol… Il serait peut-être temps d’arrêter les bêtises…
Bernard Germain
Samedi 24 février 2024, Reconquête appelait à une manifestation contre l’installation d’un centre d’accueil pour mineurs non accompagnés (MNA) à Dol de Bretagne (35).
Grosse émotion des immigrationnistes sur place. Le discours des pro-migrants est des plus simples : « On ne va pas les laisser refaire un nouveau Callac ».
Refaire un nouveau Callac ?
Malheureusement, il n’y a aucun risque que cela arrive car depuis notre succès à Callac contre la mise en œuvre du projet Horizon, le duo Nicolas Bay (secrétaire général) – Damien Rieu (animateur des réseaux sociaux) n’a eu qu’une préoccupation : dénoncer la manière dont nous avons mené le combat et gagné à Callac.
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Dans la tête de « Jupiter »
Le 6 février dernier, sous le titre Des élites dirigeantes sans vision qui pensent comme ChatGPT, Polémia a publié une recension du livre stimulant de Thomas Viain, La Sélection des intelligences, qui critique le mode de pensée des élites issues des grandes écoles. L’auteur observe qu’Emmanuel Macron emploie une forme de langage, typique des « bêtes à concours », qui rappelle étonnamment celui d’une intelligence artificielle. Ce président « jupitérien » ne serait-il donc que le fils de son époque ? Se prévaloir d’un tel patronage n’est pourtant pas anodin, mais Marx nous a appris que l’Histoire se répétait une première fois comme tragédie et une seconde fois comme farce.
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La France comprend-elle bien ce qui va lui arriver ?
par Boris Guenadevitch Karpov
L’ancien président Dmitri Medvedev ne s’y est pas trompé quand, tout début janvier dernier il avait déclaré que la France était un ennemi hier, et est un ennemi aujourd’hui. Ses déclarations avaient déclenché un tollé chez les Français qui déclarent soutenir la Russie, mais force est de constater aujourd’hui que l’analyse de Medvedev est confortée par les récentes actions de Macron qui, rappelons-le, a été élu puis réélu alors qu’il avait déjà décidé de soutenir la Russie. Macron est donc le président légal et légitime de la France et les Français qui ne partagent pas ses opinions seront bien obligés, par le jeu de la «démocratie», de les assumer.
Il y a quelques jours Macron a décidé d’envoyer plusieurs centaines de missiles à longue portée, parfaits pour frapper la Russie en profondeur. La France avait déjà justifié le bombardement de civils par l’Ukraine à Belgorod (25 morts), elle pourra donc justifier les victimes civiles de nos villes en Russie.
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De crise en crise, de provocation en provocation, le chaos permanent est-il voulu et recherché et si oui, pourquoi?
« Il a fallu faire un choix et l’Elysée n’a pas tardé à faire celui de la FNSEA. Face à l’invitation des Soulèvements de la Terre au grand débat organisé au Salon de l’agriculture en présence d’Emmanuel Macron, le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, avait refusé d’y participer. Difficile d’organiser ces discussions sans le syndicat agricole majoritaire en peine crise des agriculteurs et sur leur propre terrain. La présidence est alors revenue sur sa décision et a finalement décidé de ne plus convier les Soulèvements de la Terre à l’événement. Retour sur un rétropédalage diplomatique. » Organiser un nouveau « grand débat » au salon de l’agriculture en y invitant Soulèvement de la terre était, de toute évidence, le moyen le plus sûr de remettre le feu aux poudres.