Cette fois la guerre est déclarée entre le Parti socialiste et les Insoumis. Et elle sera sanglante. Mélenchon a l’impression de s’être fait piéger de première quand les socialistes, forts des 1,75 % d’Anne Hidalgo, se sont rangés sous sa bannière, acceptant même en 2024 un programme d’extrême gauche pour sauver des dizaines de députés, dont François Hollande.
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L’instinct de mort
L’éditorial de François Marcilhac
Où va la France ? Nous ne pensons pas seulement à la médiocrité d’un personnel politique qui n’est manifestement pas à la hauteur des défis nombreux auxquels notre pays doit faire face. Nous ne pensons même pas à la dette que Macron a creusée de manière abyssale, sujet de préoccupation que nous sommes loin de négliger, puisque cette dette pourrait, à terme, surtout avec des dirigeants pour lesquels la France doit se fondre dans la mondialisation, obérer notre indépendance nationale. Si la comparaison avec la Grèce n’est pas pertinente — le poids économique, financier, géopolitique, diplomatique et militaire de la France n’étant en rien comparable avec celui de la Grèce —, toutefois, notre situation devient préoccupante, cela sans même penser aux générations futures, ce qu’il est impossible de faire sérieusement en république, dont la temporalité est celle des échéances électorales. Notre pays n’a pas encore assimilé, au sens gastrique du terme, les conséquences de la dissolution de juin 2024 que chacun ne pense déjà qu’à 2027.
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Guerre en Ukraine : nouvelle humiliation pour l’UE, exclue des négociations de paix
Trump a officiellement parlé à Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine L’Union Européenne est toujours sous le choc de l’annonce de négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Un choc amplifié par la découverte qu’elle en sera exclue. Le pathétique Macron réuni les dirigeants européens à Paris aujourd’hui.
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[MÉDIAS] Un documentaire orienté sur les banlieues efface les ouvriers français
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Ensauvagement en Bretagne. À Brest, nouvelle fusillade dans un quartier « prioritaire »
Il n’y a pas qu’à Rennes que les fusillades entre bandes rivales se banalisent. Dans le quartier « sensible » de Kerangoff, à Brest, une fusillade a éclaté vers 16 h 30 dimanche 16 février. S’il n’y a pas eu de blessé, la scène a choqué plusieurs habitants et rappelle à quel point certains quartiers brestois sont gangrenés par la criminalité.
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Une note du ministère de l’Intérieur déplore « un arsenal législatif limité » contre les influenceurs franco-algériens ou algériens prêchant la haine de la France
C’est une note de quelques pages dont Le Parisien a pris connaissance. Un document rédigé le mois dernier par la Direction nationale du renseignement territorial (DNRT) en réponse à l’ offensive de plusieurs influenceurs franco-algériens ou algériens sur la plate-forme TikTok. D’emblée, les rédacteurs de cette note, titrée « Influenceurs franco-algériens : Des moyens d’entrave limités », expliquent que cette agitation numérique n’est pas nouvelle et qu’elle a été détectée depuis environ deux ans « après la création d’un hashtag baptisé JeSuisAvecMonPays ».
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La démocratie sans le peuple, ce mal français et européen
La démocratie sans le peuple : l’hérésie des Européistes est enfin dénoncée ! Le 14 février, Jacques Attali, symbole de la caste prolophobe, écrivait encore sur son blog préférer « la démocratie des juges » à « la dictature des élus ». Or le même jour, à Berlin, le vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance, a stupéfié les participants à la Conférence sur la sécurité en accusant les dirigeants européens : « Il ne faut pas avoir peur de son propre peuple ! ». La leçon de démocratie, venant des Etats-Unis et d’un proche de Donald Trump, a été vue comme une ingérence, notamment par le RN.
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Les universitaires britannniques et leur rôle dans le fiasco ukrainien
Alors que Macron est en train d’essayer de négocier la poursuite de la vassalisation de l’Europe, en tentant de faire un peu monter les prix auprès du maître étasunien qui méprise totalement cette bande de bricoleurs avides de dollars, les révélations tombent sur pire si faire se peut que Macron, il y a les Britanniques qui n’ont cessé d’œuvrer pour attiser la guerre en Ukraine sous une forme ouvertement terroriste. Notez le rôle de l’université, quand l’on voit la manière dont sur les plateaux de télévision sont recrutés en couple avec des retraités haut gradés de l’OTAN, on mesure la manière dont dans toute l’Europe a été depuis la guerre froide développé des «spécialistes» dont les crédits et les publications sont entièrement dépendants des fonds de la CIA et d’autres services. Fort heureusement il existe au contraire une tradition d’universitaires qui en matière historique et anthropologique, en particulier à Cambridge, d’un tout autre niveau, mais c’est sur les premiers que ça «ruisselle», le plus extraordinaire c’est quand l’Université d’été du PCF recrute un de ces agents pour soutenir également la guerre contre «Poutine»… ou quand ils sont embauchés à l’Humanité comme pigistes ou responsable du secteur international. Le pire de ces gens-là n’est pas leur conseil mais leur implication directe y compris par le récit fictif qu’ils nous ont et continuent à nous balancer pour entretenir la guerre dans une opinion publique qui n’en veut pas pour le plus grand malheur du peuple ukrainien qui ne voulait pas non plus et avait élu Zelenski pour qu’il fasse la paix.
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L’embryon ce bouc émissaire de la société postmoderne
Tribune d’Antoine Chataignon dans Valeurs Actuelles à l’occasion des 50 ans de la loi Veil :
Sans être lecteur de René Girard, on connaît les grandes lignes de sa thèse : minées par le désir mimétique, toutes les sociétés ont réalisé leur unité en sacrifiant un innocent, le bouc émissaire, qui, chargé de toutes leurs fautes, restaurait ainsi l’unité. En endossant les péchés du monde, le Christ a mis fin à ce mécanisme.
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Riposte Laïque devait le dire : l’islam, c’est pire que le nazisme et le communisme
Dans quelques heures, ce mardi 18 février, Jean-Yves Le Gallou et Robert Ménard, comme de vulgaires délinquants, vont passer devant les tribunaux. Le premier pour avoir contesté la décision d’une juge qui a suspendu l’expulsion de l’imam Iquioussen de France, parce qu’il avait des enfants, le second pour avoir refusé de marier un Algérien clandestin qui devait être expulsé.