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  • Nucléaire iranien : la France, dindon de la farce…

    Dimanche 10 novembre 2013 Genève. Après trois jours de négociations intensives entre l’Iran et le “Groupe 5+1”, USA, Russie, Chine, Angleterre, Allemagne, France et Union européenne, en vue de résoudre l’épineux dossier du nucléaire iranien, le résultat est mitigé.

    A priori, tout était arrangé pour aboutir à un accord honorable. L’Occident allégeait les sanctions économiques qui étranglent Téhéran, et le régime iranien renonçait à l’enrichissement de l’uranium à 20 %, taux au-delà duquel il est techniquement possible de passer du nucléaire civil au stade militaire. Et nous voilà devant un demi-échec – rien n’a été signé – ou un demi-succès : les discussions devraient reprendre dès le 20 novembre prochain.

    La faute à qui ? À la France, à l’évidence, et à Laurent Fabius en particulier. Ainsi, notre ministre des Affaires étrangères, celui que Le Nouvel observateur du 12 septembre désignait comme chef de file des « faucons de Hollande », avec Bernard Kouchner et Bernard-Henri Lévy en guise de cerveaux d’appoint, aura-t-il globalement mis tout en œuvre pour faire capoter la négociation.

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  • Quelle mémoire pour le 11 novembre ?

    Le 11 novembre 1918, l’Armistice mettait fin à un conflit débuté en août 1914. Militairement du moins. En effet, pour nos peuples et pour l’Europe, la Grande Guerre ne s’est pas arrêtée dans un wagon à Rethondes.

    Les effets de cette guerre furent absolument dévastateurs. Et le sont toujours. L’Europe perdra près de 18 millions de personnes, des familles sont brisées, voire décimées, des enfants grandiront sans leurs pères, le déficit démographique sera terrible, les mutilés hantent les rues, les frontières sont remaniées de façon souvent arbitraires, l’Allemagne est condamnée à de lourdes amendes, le drapeau rouge est hissé à Moscou, les États-Unis s’imposent déjà comme la nouvelle puissance occidentale, la brutalité de la technique déroute les contemporains, le pacifisme et l’unité européenne vont poindre leur nez…

    Cette guerre est le grand désastre du XXe siècle dont ne s'est toujours pas relevée l'Europe.

    Cette guerre est aussi synonyme de fraternité, de courage, d’héroïsme de la part des soldats. Des millions d’européens, arrachés à leur campagne, arrachés à leur famille, se sacrifièrent. Des européennes furent réduites à l’état d’esclaves dans des usines chargées de fabriquer les obus qui tueraient les fils et les pères, de ceux d’en face. Des hommes seuls résistèrent parfois à des bataillons entiers et reçurent pour cela des médailles.

    Soldats ! La France réelle, celle qui se lève aujourd’hui, est admirative de ses Poilus. Elle n’est pas admirative parce que vous avez été contraints de tuer des Allemands, elle est admirative de votre courage, de ses journées dans la boue, la puanteur, où la faim et la soif tiraillaient vos tripes. Vous n’avez rien lâché. Pour la patrie.

    Jadis vous avez été trahis. Trahis par des prétendues élites qui vous ont utilisé comme des pions et vous ont sacrifié pour leurs intérêts. Soldats, vous n’êtes pas « morts pour rien », vous avez prouvé que seul le peuple est capable de défendre sincèrement la patrie. Vous avez démontré que seul le peuple, uni dans le combat, pouvait faire l'histoire.

    Aujourd’hui nos dirigeants sont bien embarrassés de devoir célébrer à partir de 2014 un centenaire qui leur rappelle ce que fut jadis le peuple Français, un peuple courageux, honnête et droit, dont l’ardeur au combat n’a jamais été démentie. Nos dirigeants ont peur que ce peuple Français en dormition se réveille et qu'il pointe ses baïonnettes non plus vers l'Allemagne, mais vers des élites corrompues, qui nous sacrifient, nous spolient, nous manipulent, nous humilient et n’hésitent pas à nous réprimer quand nous nous opposons à leur dessein mortifère.
    En ce 11 novembre, réfléchissons comment nous pouvons être les dignes héritiers des soldats de la Grande Guerre. La patrie est en danger, plus que jamais.

    Le Cercle Non Conforme

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2013/11/11/quelle-memoire-pour-le-11-novembre.html

  • Période tendue jusqu'à Noël : le pays est un baril de poudre

    Le blogueur Authueil s'inquiète :

    "Pour moi, le déclic est venu des destructions de radars routiers, ces derniers jours. Que les "bonnets rouges" s'en prennent aux portails éco-taxes, on peut le comprendre. Ils refusent cette taxe, et détruire les outils permettant de la collecter, c'est un moyen à la fois d'exprimer un refus, et de rendre cette taxe inopérante. Même si on n'approuve pas le geste, il est cohérent. Par contre, détruire les radars automatiques, je ne vois pas le lien. On a dépassé un stade dans la violence qui m'inquiète beaucoup, car une digue a lâché.

    On savait que la colère et l'inquiétude travaillent la population, et que les gens ont toutes les raisons d'être profondément mécontents. Tous les signaux qui remontent du terrain concordent pour dire que le pays est un baril de poudre. [...]

    La période qui va jusqu'aux fêtes de fin d'année est une période de grand risque, car aucun évènement ne viendra casser une mobilisation, comme les vacances scolaires peuvent briser net un mouvement lycéen. Tout est là pour que le feu, qui couve, parte brutalement. Il suffit d'un rien, d'une maladresse du gouvernement, pour qu'une catégorie précise descende dans la rue au niveau national. La manière dont la mobilisation s'est opérée en Bretagne, avec le mouvement dit "des bonnets rouges" montre que les gens sont prêts, et qu'ils n'ont pas besoin du mot d'ordre d'une quelconque organisation représentative. Tous les autres suivront alors et ce sera violent, car il y a trop de colère et de désespoir rentré, non exprimé. S'y ajoute un passage de génération qui se fait mal. Les soixante-huitards commencent à partir, mais continuent à s'accrocher comme ils peuvent, notamment par la détention du patrimoine. La génération suivante, celle qui est née avec la crise de 1973, arrive à la quarantaine, et est prête à prendre le gouvernail. La tentation peut être grande d'accélérer un peu la transition avec une petite secousse qui permettra de faire décramponner pour de bon la génération précédente. [...]

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/p%C3%A9riode-tendue-jusqu%C3%A0-no%C3%ABl-le-pays-est-un-baril-de-poudre.html

  • 25/11 : conférence sur le gender à Lyon

  • Ariège : un village médiéval rasé pour installer… des éoliennes

    butre_eolienne_def_05-s.jpgSur les hauteurs de la commune de Bouriège, des archéologues dénoncent la destruction partielle d’un ancien village médiéval pour y ériger six éoliennes (voir à ce sujet le livre L’imposture : pourquoi l’éolien est un danger pour la France, de Jean-Louis Butré).

    La ligne de crête est parfaitement dégagée, la vue magnifique sur le Madres, le puech de Bugarach, le Saint-Barthélemy et le village de Bouriège en contrebas. Entre quelques chênes verts et des bouquets de genêts, se dressent plusieurs murs, vestiges d’une ancienne église romane datant certainement des XIe et XIIe siècles. Et puis, à une dizaine de mètres de là, dans un vaste carré, un amas de pierres dispersées s’étale sur le sol.

    À cet endroit, il y a quelques semaines encore, on trouvait ce que l’archéologue Dominique Baudreu appelle « un véritable village médiéval fossilisé, avec des microreliefs qui marquaient les emplacements des rues et des maisons ». Mais ça, c’était avant que ne passe un bulldozer. Connu depuis le XIIe siècle, le village médiéval de Saint-Pierre-le-Clair, perché à 579 mètres d’altitude, a été en partie rasé à la suite de travaux de nivellement. A sa place, juste à côté des ruines de l’église, se dresseront en effet
    six éoliennes de six mètres de haut (le permis de construire a été accordé), juste en face de celles de Roquetaillade. « Sous prétexte de débroussaillage, on a rasé au trois-quarts le village. Le résultat est catastrophique, les maisons et les enclos ont été rasés, les puits comblés et le cimetière éventré », s’indigne Christian Raynaud, professeur d’histoire et archéologue amateur. « Ca fait mal au cœur, l’intérêt scientifique du site est réel, mais aujourd’hui, il est fortement amoindri du fait des destructions », ajoute Dominique Baudreu, du Centre d’archéologie médiéval du Languedoc.

    Source  http://www.contre-info.com/ariege-un-village-medieval-rase-pour-installer-des-eoliennes#more-30060

  • Comment la France s’est ruinée en Algérie : Hommage à Daniel Lefeuvre

    La mort de Daniel Lefeuvre est une perte immense pour la minuscule phalange des africanistes libres, eux qui, dans les Thermopyles de la pensée, ont décidé de combattre jusqu’au bout les masses du bas clergé universitaire porteuses du politiquement correct.

    Né le 11 août 1951 et mort le 4 novembre 2013, le brillant universitaire qu’était Daniel Lefeuvre avait suivi la voie ouverte par Jacques Marseille qui fut son directeur de thèse. Après que ce dernier eut magistralement prouvé que, loin de les avoir pillées, la France s’était appauvrie dans ses colonies[1], Daniel Lefeuvre, alors professeur à l’université de Paris VIII, démontra dans un livre fondateur[2] que l’Algérie fut un insupportable fardeau pour la France et que, loin de l’avoir pillée, la France s’y ruina.

    Une telle remise en cause de la doxa marxisto-tiers-mondiste venant d’un ancien communiste[3] provoqua un véritable déchaînement de haine chez les « bien-pensants ».

    La thèse de Daniel Lefeuvre renversait les dogmes et les idées-recues. Que l’on en juge : en 1959, toutes dépenses confondues, la « Chère Algérie » engloutissait à elle seule 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    En soulageant les misères des populations algériennes et en faisant reculer la mortalité infantile la France avait créé les conditions d’une catastrophe qu’elle s’était elle-même condamnée à gérer. Résultat du dévouement et de l’efficacité du corps médical français, à partir de 1945, chaque année 250 000 naissances nouvelles étaient comptabilisées en Algérie, soit un accroissement de 2,5 à 3% de la population d’où un doublement tous les 25 ans. Or, depuis les années 1930 les ressources locales stagnaient et depuis 1935 le territoire n’était plus en mesure de nourrir sa population. La France devait donc, et toujours aux frais du contribuable métropolitain, y importer grains, pommes de terre, viande, laitages etc., Même l’huile produite localement ne suffisait plus à la consommation.

    L’image d’Epinal de l’Algérie « grenier » de la France s’envolait ainsi sous le froid scalpel de l’historien économiste. [...]

    Bernard Lugan - La suite sur Afrique réelle

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Comment-la-France-s-est-ruinee-en

  • « Le sens de l’Histoire » de Jean-François Gautier

    Les monothéismes ont développé une vision linéaire de l’histoire.
    Leur interprétation laïcisée a débouché sur des idéologies affirmant l’existence d’un sens de l’histoire. Le marxisme et le capitalisme de marché ont même cru pouvoir annoncer la fin de l’histoire. Le communisme a disparu. Le mondialisme anglo-saxon est en crise financière et militaire. L’histoire pourrait revenir au grand galop et ouvrir la voie à de nouveaux cycles. Dans un ouvrage brillant Jean-Francois Gautier apporte un éclairage philosophique sur la théorie des cycles. Bruno Guillard présente ici pour Polémia « Le sens de l’histoire ».
    Jean-François Gautier, docteur en philosophie et auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la musique et aux sciences, a publié aux éditions Ellipses un ouvrage intitulé Le sens de l’Histoire dans lequel il nous décrit les différentes formes qu’a prises l’idée selon laquelle l’Histoire serait « fléchée ». Cette étude concerne essentiellement les religions et les idéologies du Moyen-Orient et d’Europe.
    Sens de l’Histoire et religions
    L’idée que l’histoire pourrait avoir un sens est apparue incontestablement et principalement au sein de la pensée hébraïque : « C’est elle qui a inventé, avec d’autres à la même époque, mais qui eurent moins de force dans l’expression, le sens de l’histoire, c’est-à-dire l’annonce de ce qui se passera au cours de lendemains tout à la fois inquiétants et a priori indéchiffrables par l’ordinaire des hommes, mais néanmoins focalisés par l’éternité d’un salut dans l’au-delà ». Tous les judéo-christianismes, d’Alexandrie, d’Antioche ou de Rome, ont hérité et transmis cette vision orientée de l’histoire qui est présente également du côté de l’Orient compliqué dans le gnosticisme, le marcianisme, le manichéisme et le docétisme. Cette idée d’une Histoire fléchée était totalement nouvelle dans le monde gréco-romain et « C’est bien à propos du sens de l’histoire, et sur le fait même qu’elle eût un sens, que les oppositions se cristallisaient. Une religiosité traditionnelle, tout à la fois sensible, particulière et politique s’opposait à une autre, nouvelle, abstraite et universelle ».
    Les différents courants du christianisme ne sont pas les seules religions à être dotées d’une conception orientée de l’Histoire : « D’une manière générale, tant le sunnisme que les différents chiismes sont des religions professant une théologie eschatologique, c’est-à-dire une croyance en une histoire orientée par une flèche du temps, elle-même dirigée vers le salut terminal, ou vers la damnation pour les infidèles ».
    Sens de l’Histoire et idéologies modernes
    Certains analystes modernes tels Jacob Taubes ou Karl Löwith ont fait un rapprochement entre les théologies judéo-chrétiennes et les idéologies modernes ; ils en ont conclu que ces dernières avaient emprunté aux premières l’idée de rédemption finale et de libération des maux terrestres. « Ainsi les marxismes sont-ils considérés par eux comme des versions sécularisées, ou laïcisées, des espérances messianiques propres aux religions qui les ont précédées. La comparaison peut paraître explicative. Elle ne l’est pas. Ou plutôt : elle ne suffit pas ». En effet, s’il y a effectivement une réelle analogie entre les religions judéo-chrétiennes et les idéologies modernes parce que les unes et les autres attribuent à l’histoire un fil conducteur tendu entre une origine et une fin , il n’en reste pas moins que le marxisme, notamment, n’emprunte rien d’autre à la matière judéo-chrétienne ; il n’est pas une religion, même s’il contient bien, comme les autres idéologies modernes, une transposition de l’ « eschaton » judéo-chrétien, « de la croyance en une avancée collective vers un moment terminal libérateur ». « De ce point de vue, la pensée de Marx et celle de Engels reprennent à n’en pas douter un schème général dessiné en filigrane par Saint Paul et Saint Augustin, et systématisé par Joachim de Flore : la lecture du passé (…) permet de dire que le temps présent prépare un futur très proche qui verra la pacification de relations inter-humaines jusqu’alors conflictuelles ».
    À l’instar de Jean-Jacques Rousseau, les marxistes considèrent qu’aux commencements de notre histoire nous connûmes un âge d’or qui fut rompu par la surdétermination économique et matérielle intervenue ensuite dans les rapports humains, laquelle fut la source de tous les maux sociaux et politiques.  « Ils assurent en outre comme les révolutionnaires français et les tenants des Lumières, que l’on peut dans l’histoire de l’humanité repérer un essor de la Raison et des sciences, et que cette progression-là est le signe que se préparent des conditions propices à l’apparition de révolutions ouvrant, dans un premier temps, vers la dictature du prolétariat, puis vers une phase terminale des aventures de l’humanité : sa sortie de l’Histoire ».
    Sens de l’Histoire et marché
    L’idéologie occidentale contemporaine, que l’on peut appeler l’idéologie du marché, a en commun avec le marxisme, entre autres choses, l’idée d’une sortie de l’histoire ; la fin de l’histoire a d’ailleurs été annoncée de manière péremptoire par l’idéologue libéral Francis Fukuyama au début des années 1990.  Mais au-delà de cela, la logique du Marché présente une certaine parenté avec la théorie augustinienne selon laquelle « mieux valait admettre le destin tressé par le Dieu unique plutôt que de mobiliser inutilement des volontés contre ce qui ne peut être modifié ». On trouve également ce fatalisme augustinien dans l’Islam médiéval et dans le jansénisme : « ce qui advient au jour le jour ne procède pas de nous, sauf les conséquences de nos propres erreurs , de nos inconséquences…. La logique du Marché est construite de manière identique. Chaque fois que la réalité historique s’éloigne des espérances placées en elle, des experts affirment qu’un excès de règlementation, ou des erreurs techniques, voire des intentions coupables ont détérioré l’expression des fonctions bénéfiques de la main invisible et conciliatrice, ce complément indispensable du marché autorégulé. Pour qui n’y prend garde, l’idée -  qui semble pourtant salutaire aux esprits modernes – d’une autorégulation salvatrice est la stricte prolongation, idéologique, politique ou économique, d’une métaphysique du sens de l’Histoire affirmant que le Bien s’impose de soi, sans qu’on touche à quoi que ce soit, puisqu’un destin positif est déjà inscrit quelque part ».
    Sens de l’Histoire et civilisation gréco-romaine
    Les civilisations grecque et romaine sont restées étrangères à toute idée d’une histoire fléchée aussi longtemps qu’elles sont restées elles-mêmes, c’est-à-dire préchrétiennes. Ainsi « la religion romaine est une religion citoyenne, ce que l’afflux de dieux privés, venus d’ailleurs, ne contredit pas. En toute hypothèse, une flèche du temps orientée vers l’éternité est pratiquement étrangère aux religions du monde gréco-latin. Le stoïcisme, qui sacralise l’imperturbabilité de l’ordre cosmique, est pour ce motif même l’une des philosophies religieuses les mieux adaptées à la mentalité romaine ». A la différence des religions du Moyen-Orient qui sont préoccupées avant toute autre chose par le salut individuel, l’au-delà de la mort et la fin des temps, « l’ordre du religieux indo-européen dont Rome a hérité est celui de la cité. Le collectif y prévaut sur l’individuel. Et le temps présent prime sur tout le reste : lui seul est le lieu des urgences ». Il y a là une différence essentielle entre d’une part, la vue-du-monde des Grecs et des Romains de l’Antiquité (qui était aussi celle des Celtes, des Germains…. qui sont moins bien connues ), et d’autre part, celles des religions révélées du Moyen-Orient mais aussi celles des idéologies progressistes issues de la philosophie des Lumières et du marxisme.
    Bruno Guillard, 31/10/2013
    Jean-François Gautier, Le sens de l’Histoire, éditions Ellipses, mars 2013, 240 pages.
    http://www.polemia.com/le-sens-de-lhistoire-de-jean-francois-gautier/

  • Lorànt Deutsch : L’ « aveu » des « Historiens de garde »

    Lorànt Deutsch Hexagone

    Rédac’ FDS Histoire : Les auteurs des Historiens de garde (William Blanc, Aurore Chéry et Christophe Naudin) ont récemment publié une longue tribune sur leur site sur la prétendue offensive médiatique de Lorànt Deutsch et de ses « amis ».

    Ce passage curieux peut être relevé :

    Le comédien, lui, a pu faire la promotion de son livre, et asséner ses mensonges (notamment sur le prétendu engagement politique de ceux qui le critiquent) sur une batterie impressionnante de médias [...] Le site du magazine Historia s’est même fendu d’un curieux article (signé Vincent Mottez), qui prétendait chercher les erreurs reprochées à Deutsch dans Hexagone, alors que cela n’est en rien le fond des critiques

    http://histoire.fdesouche.com/