« Comment redonner confiance à nos enfants ? Les jeunes Européens face à la société multiculturelle »
Conférence-débat avec Laurent Ozon, mardi 26 novembre à partir de 20h
Salle ASIEM, 6 rue Albert de Lapparent, Paris VII
Pourquoi les jeunes Européens adoptent-ils si souvent des positions de soumission en environnement multiethnique ? Un sujet tabou, un sujet méconnu.
Faut-il y voir les conséquences d’une mauvaise construction identitaire (sexe, famille, peuple) ? ou en rechercher les origines dans les abus d’une culture de la négociation et de la norme ? Faut-il aussi chercher du côté des causes sanitaires (les perturbateurs endocriniens) et biologiques (la néoténie européenne) ?
Voici quelques thèmes qui seront abordés avec Laurent Ozon, lors du Premier Forum Polémia, mardi 26 novembre à partir de 20h, salle ASIEM.
Une occasion pour les pères et les mères de famille de tirer des enseignements pratiques pour l’éducation de leurs garçons et de leurs filles. Car avant celle des enseignants et des éducateurs c’est la première responsabilité des familles.
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"Hollande Dégage" sur le périphérique
Le 1er portique écotaxe visé sur Paris par actuclip3 personnes ont été placées en garde à vue suite à cette action.
Le collectif Hollande Dégage a annoncé sa manifestation du 26 Janvier 2014. Une vingtaine de membres de ce collectif ont accroché sur le portique écotaxe une banderole qui surplombait le périphérique parisien au niveau de la porte Dauphine.Habitué des actions coup de poing, Hollande Dégage s'oppose au gouvernement qui, jour après jour, coule le pays un peu plus. Hollande Dégage s'oppose à l'augmentation incessante des taxes. Hollande Dégage s'oppose à Hollande qui ment depuis des mois. Hollande Dégage propose que tous unis, nous mettions dehors ce président fantoche et son simulacre de gouvernement. Hollande Dégage est un collectif qui rassemble les français de tous les horizons, afin de demander la démission de l'actuel président François Hollande. Hollande Dégage appelle tous les français qui partagent son combat, à s'unir, et se joindre à lui lors de la grande manifestation nationale du 26 Janvier 2014 qui réunira tous les français en colère au sein du collectif Jour de Colère. -
Les sentinelles sont partout
Dans la nuit de vendredi à samedi :
Place Vendôme :
Au pied de l'Arc de Triomphe, devant la tombe du soldat inconnu :
Place Beauvau, où elles ont su très vite qu'elles n'étaient pas les bienvenues :
Même scénario devant l'Assemblée nationale :
Aujourd'hui, devant la Préfecture des Yvelines, à Versailles :
Et devant le Palais de justice de Chambéry :
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Sémantiquement correct : les inquisiteurs sont de retour
Notre vie politique présente un étrange paradoxe. Si tel ou tel acte répréhensible donne souvent droit à une extrême compassion, a contrario, et comme par une sorte de compensation, un mot, une phrase peuvent susciter immédiatement un déferlement de réactions haineuses, indignations outrées, procès et autres condamnations définitives aux feux de l’enfer. Tournez votre langue sept fois dans votre bouche avant de parler, citoyens de notre République ! La Sainte Inquisition politique et médiatique veille : les moindres maladresse verbale, ambiguïté, double sens supposé peuvent vous précipiter dans les flammes ! Et comme jadis, vous n’aurez plus d’autre solution que d’avouer votre crime, et de faire entière repentance, sous les huées…
Lors de la fameuse affaire Strauss-Kahn, Jean-François Kahn, au détour d’une phrase, laisse échapper l’expression « troussage de jupons« . Il devient l’objet d’un torrent d’accusations de machisme, sexisme et un quasi-apologue du viol… Lui qui avait laissé sa place de député européen à une femme (mais c’est un acte, ce n’est pas un mot !) est traîné dans la boue et la honte de la pire des machitudes ! Plus récemment, un juge ose dire à des Roms, coupables d’avoir dérobé le cuivre de lignes téléphoniques ou SNCF, qu’ils ne pilleront pas la France. Les réactions indignées pleuvent, des syndicats aux associations : honte à ce mécréant ! Un sénateur utilise en métaphore, et au sens figuré, ce qui est tout à fait courant, le verbe « tirer sur » le gouvernement, et un autre reprend en plaisantant qu’il fournira les Kalachnikov.
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15/11 : conférence de Bernard Antony à Toulon
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Gabriel Matzneff : un dégénéré toujours honoré
L’écrivain Gabriel Matzneff a été encore récemment honoré il y a quelques jours, d’un prix Renaudot, pour son dernier essai.
L’homme est parfois apprécié et cité dans certains milieux « nationaux », pour la finesse de sa plume ou certaines remarques ou fréquentations « réacs ». Il collabore d’ailleurs à la pernicieuse revue-phare de la « Nouvelle-Droite », Éléments.
Or ce pervers ne cache pas son goût pour les jeunes de « moins de 16 ans », « enfants » et « jeunes gens ».
Il y revient dans plusieurs de ses ouvrages, avec des passages autobiographiques écœurants. C’est un véritable prosélyte.
Ci-dessous la lettre indignée de la présidente d’une association de défense des enfants.« Une insulte à tous les enfants victimes !
Sous le couvert d’argumentaires littéraires, il sera relayé par les médias, invité sur les plateaux de télévision, et soutenu dans le milieu littéraire.
Dans son essai, » Les Moins de seize ans », Gabriel Matzneff expose son goût pour les mineurs des deux sexes.
Il use du terme « enfant » pour désigner indifféremment les enfants et les jeunes adolescents, sans évoquer la notion de puberté. Il écrit : « Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce que l’on entend d’ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe. En revanche, je ne m’imagine pas ayant une relation sensuelle avec un garçon qui aurait franchi le cap de sa dix-septième année. (…) À mes yeux l’extrême jeunesse forme à soi seule un sexe particulier, unique. ».
Gabriel Matzneff revendique pour lui-même la qualification de « pédéraste », soit un « amant des enfants ».
Il dénonce par ailleurs le fait que le « charme érotique du jeune garçon » soit nié par la société occidentale moderne « qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres ». « Un enfant dit-il, appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l’usage exclusif. Pourtant, c’est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur ». Sommes nous donc de nauséabonds personnages, pour vouloir protéger nos enfants des gens que moi, je qualifie de prédateurs sexuel et d’abuseurs de nos jeunes enfants, naïfs de ce que représente une telle perversion?Saviez-vous que Matzneff estime qu’« il n’y a pas un homme normalement constitué qui lise le croustillant récit des amours de Tonton Lucien (histoire d’un quinquagénaire qui avait, au cours de « ballets roses », abusé de fillettes âgées de onze à quinze ans), sans bander et songer qu’il aurait bien aimé être à sa place ». Quand on lit ce genre d’affirmations, je me demande comment réagissent les hommes à la lecture de telles accusations et comment Matzneff, n’a pas encore eu de procès en bonne et dû forme de la part de la gente masculine. Ne peut-on pas le qualifier de consommateur du sexe quand il affirme « En outre, si violence il y a, la violence du billet de banque qu’on glisse dans la poche d’un jean ou d’une culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier. On a vu pire ».
Présidente de l’association La Mouette, association de défense et de protection de l’enfant, j’ai été scandalisée et je reste scandalisée par ses propos fallacieux qui ramènent l’enfant à un « prostitué potentiel », une honte diffamatoire sur la moralité et les désirs propres d’un enfant.
Le psychiatre Bernard Cordier estimait en 1995 qu’« un écrivain comme Gabriel Matzneff n’hésite pas à faire du prosélytisme. Il est pédophile et s’en vante dans des récits qui ressemblent à des modes d’emploi.Or cet écrivain bénéficie d’une immunité qui constitue un fait nouveau dans notre société. Souvenez-vous, lorsque la Canadienne Denise Bombardier l’a interpellé publiquement chez Pivot, rappelant le « Droit à la personne ». C’est elle qui, dès le lendemain, essuya l’indignation des intellectuels.
Lui passa pour une victime : un comble ! (…) On ne prétend pas que ce type d’écrits sème la pédophilie, mais il peut la cautionner et faciliter le passage du fantasme à l’acte chez des pédophiles latents. Ces écrits rassurent et encouragent ceux qui souffrent de leur préférence sexuelle, en leur suggérant qu’ils ne sont pas les seuls de leur espèce et leur donnent un statut de victimes. D’ailleurs, les pédophiles sont très attentifs aux réactions de la société française à l’égard du cas Matzneff. Les intellectuels complaisants leur fournissent un alibi et des arguments : si des gens éclairés défendent cet écrivain, n’est-ce pas la preuve que les adversaires des pédophiles sont des coincés, menant des combats d’arrière-garde ?
Pour l’universitaire américain Julian Bourg, la distinction opérée ainsi par Matzneff relève d’un désir de défendre « les pédophiles bien intentionnés comme lui », ainsi tout est dit.
C’est une insulte à tous les enfants victimes et cela me choque .
Annie GOURGUE
présidente de l’association la Mouette »http://www.contre-info.com/gabriel-matzneff-un-gros-degenere-toujours-honore#more-30067
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[Entretien] Serge Lebigot à L’AF : "Les élus qui prônent la légalisation du cannabis devraient être condamnés"
Serge Lebigot, auteur du Dossier Noir du Cannabis a bien voulu accorder un entretien à L’AF 2873
L’Action Française - Pourquoi avoir écrit ce « Dossier noir du cannabis » alors que plusieurs pays ont déjà légalisé sa consommation, comme s’il s’agissait d’une pratique somme toute anodine ?
Serge Lebigot - A ce jour aucun pays n’a légalisé le cannabis. Plusieurs pays en ont dépénalisé l’usage c’est-à-dire qu’ils autorisent les consommateurs à avoir une certaine quantité sur eux (entre 2g et 5g suivant les pays). Dans ces pays, la consommation dans la rue comme dans les lieux publics est totalement interdite.
La consommation de cannabis n’est en aucun cas anodine en particulier pour les plus fragiles c’est-à-dire les jeunes. Plus cette consommation est précoce et plus elle réduit les chances d’intégration et de réussite des jeunes.
La consommation de cannabis entraîne d’abord une chute progressive des résultats scolaires parce qu’il y a une incapacité progressive à mémoriser et travailler en continuité.
Le cannabis entraîne ensuite une addiction progressive et incontrôlée qui enferme les individus dans une dépendance et une incapacité à envisager une insertion durable.
Il favorise par ailleurs une désocialisation progressive qui enferme les consommateurs dans un monde parallèle et les pousse à trouver de l’argent par tous les moyens pour satisfaire leur consommation. Il est donc vecteur de délinquance et d’insécurité.
Enfin, le cannabis altère le jugement et la capacité à conduire et restant dans le sang beaucoup plus longtemps que l’alcool.
La jeunesse française est particulièrement touchée : quelles en sont les raisons ?
Effectivement la jeunesse française est la plus touchée d’Europe : la faute en revient à nos dirigeants qui depuis de nombreuses années se refusent à faire de la prévention du cannabis un enjeu. Je réclame depuis des années que la France fasse de la prévention dès le plus jeune âge (prévention primaire) comme cela se fait dans un très grand nombre de pays qui ont suivi l’exemple suédois.
Il faut également savoir que dans ce grand pays démocratique qu’est la France les associations de parents n’ont pas le droit d’aller dans les écoles publiques, alors que dans le monde entier les associations de parents travaillent avec les gouvernements à la mise en place des programmes de prévention dans les écoles.
En France les associations agrées sont celles qui prônent la légalisation du cannabis, la dépénalisation des drogues, les salles de shoot. On en voit le résultat.
Votre livre s’adresse avant tout aux parents : pourquoi ?
Il faut informer les parents pour qu’ils puissent parler du cannabis avec leurs enfants. Il n’y a pas de meilleure prévention que celle faite par les parents. Il est prouvé dans de nombreuses études que les enfants attendent de leurs parents qu’ils les préviennent des dangers des drogues. Il ne faut pas tout attendre de l’Etat.
Déjà ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon se déclarait favorable à la dépénalisation du cannabis à l’automne 2012. Au nom de sa conception de la morale laïque ?
À lire les nombreux témoignages que comporte votre livre sur les désastres opérés par le cannabis, on ne peut être qu’effrayé que Vincent Peillon ait, il y a un an, utilisé son autorité morale de ministre de l’éducation nationale auprès de la jeunesse pour réclamer la dépénalisation du cannabis...
Voilà en particulier un des problèmes de cette consommation chez les jeunes. Lorsque vous avez des ministres comme Peillon ou Vaillant ou un parti comme Europe-Ecologie- Les Verts qui prônent la légalisation du cannabis, ils envoient un message dangereux aux jeunes. En tant qu’élus, à ce titre, ils devraient être condamnés.
Propos recueillis par François Marcilhac - L’AF 2873
Serge Lebigot - Le Dossier noir du cannabis, témoignages accablants - Editions Salvator, 2013, 188 pages, 16 euros.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-Serge-Lebigot-a-L-AF-Les
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Agroalimentaire : reportage effrayant sur les poissons d’élevage
C’est l’un des symboles du bien-manger : recommandé par les médecins et les nutritionnistes, le poisson a gardé l’image d’un produit sain et naturel. En France, sa consommation a plus que doublé en cinquante ans et elle concerne particulièrement le poisson d’élevage.
Sa chair renferme pourtant bien des secrets, parmi les plus toxiques de l’industrie agroalimentaire : utilisation de farines animales, usage massif d’antibiotiques et de pesticides, pollution au mercure et aux PCB, défauts de traçabilité, substitutions d’espèces… Un monde secret et opaque où l’intérêt de l’industrie passe parfois avant celui des consommateurs.
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La Marche pour la vie sur KTO
Cécile Edel, présidente de Choisir la vie, a participé à l'émission Un cœur qui écoute sur KTO :
"Mariée et mère de quatre enfants, Cécile Edel est le fer de lance du combat en faveur de la vie humaine à travers l'association qu'elle préside : Choisir la vie. Fille de Michel Raoult, conseiller municipal tué au cours de la tuerie de Nanterre en 2002, cette femme de conviction témoigne de son engagement en faveur de la vie naissante et des valeurs héritées de son père. Diplômée en psychologie et en bioéthique, Cécile Edel raconte dans cette émission ce qui l'a conduit à aider les femmes en détresse (confrontées à une grossesse non-désirée) et à coordonner diverses actions pour défendre l'embryon comme la Marche pour la Vie.
L'émission sera diffusée du 11 au 18 novembre sur KTO :
- 11.11 : 21h45
- 12.11 : 12h00 et 19h40
- 13.11 : 18h10
- 14.11 : 17h10
- 15.11 : 23h20
- 18.11 : 09h45
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Pentagone, Anti-Defamation League et dénaturation du mariage…
Neuf états américains font de la résistance à la dénaturation du mariage. Il s’agit du Texas, de l’Indiana, de la Géorgie, de la Floride, du Mississippi, de la Louisiane, de l’Oklahoma, de la Caroline du Sud et de la Virginie-Occidentale.
C’est le Pentagone qui les a désignés. Le Pentagone ? Oui, car ces états refusent de délivrer aux « conjoints » des militaires homosexuels les papiers d’identité du département de la Défense qui donnent droit à divers avantages.
Cela concerne notamment les implantations de la Garde nationale. La fronde des neuf États a débuté par le Texas qui refuse de mettre en œuvre ces prestations sur les implantations de la Garde nationale texane, en raison d’un conflit entre la loi texane et la loi fédérale sur le mariage homosexuel.