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  • Demain la chrétienté

     

    Le père Michel Viot organise le 24 novembre prochain avec l'abbé de Tanoüarn un colloque en l'église St François-Xavier à Paris sur le thème :  « Fête du Christ-Roi, faut-il faire son deuil de la notion de chrétienté ». Il répond à l'Homme Nouveau :

     

    "[J]e me refuse à être syndic de faillite et que je crois non seulement au retour à la chrétienté mais aussi à cette nécessité. Je ne donnerai que deux exemples mais pourrais en fournir d’autres. La doctrine sociale de l’Église n’est envisageable qu’entre pays chrétiens et dans un monde à majorité chrétienne. Et deuxième exemple, seule la chrétienté peut s’opposer à l’islam radical dans l’intérêt des chrétiens, des juifs et des musulmans modérés qui sont encore en majorité dans notre pays, mais pour combien de temps ? [...]

    Un chrétien se doit de travailler au règne du Christ dès ce monde. S’il peut accepter aujourd’hui un État laïc, ce ne peut être que dans le sens de neutre sur le plan religieux, ne privilégiant pas de religion mais ne se mêlant pas de ce qui les regarde. Je reprendrai une partie de citation de Benoît XVI dans son allocution au Président de la République italienne en 2005. Après avoir reconnu la légitimité d’une saine laïcité de l’État (ce qui suppose qu’il peut en exister une malsaine comme actuellement en France) et accepté des réalités temporelles avec les normes qui leur sont propres, le pape précise « sans exclure toutefois les références éthiques qui trouvent leur fondement ultime dans la religion ».

    Un État incapable d’accepter cette mise au point de notre pape émérite prouverait son incapacité à être laïc et justifierait la revendication chrétienne d’avoir un État plus respectueux de sa religion sans pour autant en faire la religion officielle. Pour être encore plus précis à souhaiter le modèle de Constantin avec l’édit de Milan de 313 et non celui de Théodose avec l’édit de Thessalonique en 380. [...] Le Concile ne prône pas la liberté religieuse au sein de l’Église catholique. Chaque catholique est tenu d’obéir au magistère. Et en rappelant le combat de Pie XI pour la liberté des consciences et non pas la liberté de la conscience comme il aimait à le rappeler, Dignitatis humanæ peut et doit être lue dans la continuité de l’enseignement de ce grand pape. [...]

    Le deuxième chapitre concernant la liberté religieuse à la lumière de la révélation ne signifie pas non plus que l’Église admet le droit à l’erreur. Enseignant la vérité qui est en Jésus-Christ seul elle ne peut bien évidemment reconnaître aucun droit à l’erreur. Elle réprouve simplement la contrainte en demandant de prendre pour modèle Jésus et ses apôtres. La coercition qu’elle ne s’autorise pas, elle ne la demande pas non plus à l’État afin d’éviter tout abus. Le texte conciliaire exprime avec d’autres mots ce que voulait le cardinal Pie que l’on peut considérer comme un père spirituel de Quas Primas. Pour lui, dans les années 1870, le rétablissement du règne du Christ en rendant sa primauté à la religion catholique en France ne voulait pas dire qu’il fallait interdire les autres cultes. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Paris : un 11 novembre sous tension, François Hollande sifflé sur les Champs Élysées

    PARIS (NOVOpress) - Une première pour un Président de la République : le Chef de l’État a été sifflé sur l’ensemble du parcours le menant des Champs Élysées à la place de l’Étoile pour la cérémonie du 11 novembre. Les médias évoquent 70 personnes arrêtées.


    Les cérémonies du 11-Novembre perturbées à... par francetvinfo


    http://fr.novopress.info/

  • Collusion porno-lesbienne étudiante

    La mutuelle étudiante LMDE (ex-MNEF, ayant du changer de nom après des scandales financiers en lien avec le PS), a proposé par courriel à ses adhérents deux places gratuites pour aller voir le film lamentable d’Abdellatif Kechiche, La Vie d’Adèle, afin de le sauver du naufrage.

    Dans le même temps, la LMDE a augmenté ses cotisations de 3,5 % en 2012-2013 et se dit « contrainte » pour 2013-2014 à une augmentation de 7 %.

    http://www.contre-info.com/

  • Communiqué : Les militants d’AF en garde à vue.

    11 novembre, dans la matinée le président normal, qui confond d’ordinaire les deux guerres mondiales, s’était rendu place de l’Etoile pour un hommage aux morts de la grande guerre. Si le soldat inconnu est resté muet, les Parisiens présents bien vivants quant à eux ont conspué ce chef d’État qui n’aime pas la France, ni les Français.

    70 interpellations dont une vingtaine de militants d’AF.

    Les forces de l’ordre n’ont pas fait le détail et ont chargé la foule. De jeunes Français parmi lesquels des militants d’Action française, se sont interposés entre les manifestants et la police républicaine. Bilan : soixante dix interpellations dont une vingtaine de notre mouvement.

    Nous appelons les patriotes français à réagir dès ce soir à 19 heures devant la plaque des étudiants du 11 novembre 1940 en haut des Champs-Élysées. Comme en 1940, pour le salut de la patrie, entrons en résistance, soyons solidaires de nos camarades.

    Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Les-militants-d-AF-en,6637

  • L’Etat va emprunter 4,5 milliards d’euros pour régler l’ardoise du Crédit Lyonnais

    Vingt ans après le naufrage du Crédit Lyonnais, l’Etat n’a pas fini de payer l’ardoise de la banque publique. Le ministère du Budget a annoncé dimanche 10 novembre que l’Etat allait emprunter en décembre 4,5 milliards d’euros pour rembourser cette opération.

    Cet emprunt, révélé par Le Parisien puis confirmé par le ministère, sera l’un des articles du projet de loi de finances rectificative qui doit être présenté mercredi au conseil des ministres puis débattu au Parlement.

    L’Etat doit honorer avant le 31 décembre 2014 une dernière traite. “On anticipe d’un an sur l’échéance car les conditions de financement sont favorables”, a expliqué le porte-parole du ministère, affirmant qu’il s’agissait d’”une solution conforme à l’intérêt des finances publiques”. Au total, le sauvetage de l’ancienne banque publique aura coûté 14,7 milliards d’euros aux contribuables.

    France Tv info

    http://fortune.fdesouche.com/332649-letat-va-emprunter-45-milliards-deuros-pour-regler-lardoise-du-credit-lyonnais
  • Huées : le président de la République porte sa large part de responsabilité

    D'Ivan Rioufol :

    "La France déchirée? Elle était aussi, ce lundi matin, sur les Champs Elysées. Le chef de l’Etat, venu commémorer le 11-novembre devant la tombe du Soldat inconnu, y a été hué comme aucun président dans un tel moment symbolique d’unité nationale. Le pacte républicain, qui préservait ces recueillements collectifs, n’a pas résisté à la pression d’une colère populaire dont il est difficile, pour l’instant, de faire la part entre la spontanéité et la démonstration concertée. Cette exaspération contre Hollande est-elle pour autant illégitime ? C’est ce que Manuels Valls a tenté immédiatement de soutenir, en accusant l’extrême droite, le Printemps français et le Renouveau français - cités comme acteurs de cette manifestation antigouvernementale - de "s’en prendre aux valeurs de la république". Le ministre de l’Intérieur a également assuré : "Il n’y avait pas de Bretons", en dépit de personnes arborant des bonnets rouges en signe de solidarité avec la contestation sociale née dans le Finistère. L’erreur de Valls serait de sous-estimer un "sentiment pré-insurrectionnel" (Hervé Morin, ce matin), en se contenant d’accuser le FN des turpitudes habituelles. Il y a, derrière ces incidents, une part de réalité dont la gauche ferait mieux de s’inquiéter. A noter que le député-maire UMP de Chateaurenard (Bouches-du-Rhône) et deux autres personnes ont été blessées à coups de couteau, au cours d’une même cérémonie locale, par un individu présenté comme déséquilibré.

    Il est bien sûr regrettable, triste même, que la mémoire de la Grande Guerre ne suffise plus à rassembler le pays. Mais le président de la République porte sa large part de responsabilité dans l’aggravation de l’éclatement de la nation qu’il prétendait apaiser. L’autisme du hollandisme, qui se comporte comme s’il n’entendait rien des souffrances des gens et des difficultés du pays, conduit à des exaspérations inédites et de plus en plus spectaculaires. Elles ne peuvent sérieusement se résumer à des instrumentalisations menées par l’extrême droite. Ce qui s’est laissé voir sur les Champs Elysées est une des expressions de l’insurrection civique qui vient. Et Hollande aurait tort, à son tour, de chercher à récupérer "la grande dynamique mémorielle" autour de la guerre de 14-18, dont il commence à célébrer le centenaire avec un an d’avance. Le chef de l’Etat à tout à perdre à vouloir forcer le parallèle sensé l’identifier en Chef de guerre, mobilisé pour la défense de la patrie et soutenu par une union sacrée. Hollande, l’anti-héros, n’est rien de tout cela. Ce que les Français lui demandent, y compris dans son propre camp, c’est de changer de politique et de reconnaître ses erreurs. Or il se comporte comme ces généraux entêtés qui firent de la "Der des der" une boucherie. S’il veut le bonheur de la France, qu’il le prouve…"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La fin des frères musulmans ? Les islamistes financés par le Qatar dans le mur des réalités

    Au congrès international des Frères musulmans, les dirigeants islamistes se sont récemment inquiétés de l’avenir de la confrérie, parrainée en grande partie par le Qatar. La situation des islamistes sunnites s’est dégradée dans de nombreux pays. Leurs échecs ruinent les espérances de la politique internationale qatari de prendre en main, par l’islamisme des frères, le monde arabo-sunnite.

     

    Ecartés du pouvoir et violemment réprimés en Égypte, ils sont dans une spirale négative. Les Frères musulmans égyptiens ont connu, en deux ans seulement, une ascension aussi fulgurante que leur chute. Encore interdits au moment de la révolution, en janvier 2011, ils sont apparus comme les grands vainqueurs de l’ère ouverte par la chute d’Hosni Moubarak, raflant coup sur coup l’Assemblée nationale, l’équivalent égyptien du Sénat (Majlis Al-Choura) et la présidence de la République. Jusqu’au 3 juillet, lorsque l’armée, encouragée par la mobilisation de millions d’Egyptiens, a déposé le président Mohamed Morsi, élu un an auparavant.

    Marginalisés au sein de l’opposition syrienne ou sur la défensive, ils le sont également en Tunisie et malmenés à Gaza. Les frères redoutent maintenant d’être lâchés financièrement par leur parrain du Qatar comme une équipe de football qui perdrait tous ses matchs. Au point qu’ils mettent toute leur énergie à conserver leur bastion tunisien conquis à l’issue du « printemps arabe ». Depuis l’élection de la Constituante tunisienne en octobre 2011, nanti de 37% des voix, le parti Ennahda de Rached Ghannouchi a repris les rênes du pouvoir laissé vacant par Ben Ali. Avec la bénédiction de l’émir du Qatar, les hommes du parti à la colombe – leur emblème- ont constitué un gouvernement d’union nationale au sein duquel ils contrôlent les postes-clés.

    Pendant que l’Assemblée constituante dissertait sur l’égalité hommes/femmes, la place de la religion dans la société et l’organisation des prochaines élections, Ennahda plaçait ses hommes au sommet du pouvoir, de la Banque centrale au ministère des Affaires étrangères. Plus que son islamisme, le népotisme d’Ennahda et son impéritie lui ont aliéné une bonne partie de la population tunisienne. Ennahda, le parti islamiste au pouvoir et l’opposition sont à couteaux tirés. Deux prétendants au titre de leader sont au cœur de cette situation. D’un côté Ahmed Mestiri, 88 ans candidat du parti islamiste Ennahda et son allié Ettakatol. De l’autre, Mohamed Ennaceur, 79 ans, qui jouit d’un soutien fort des principaux partis de l’opposition. L’une des solutions probables pour désamorcer la tension est que ces deux hommes candidats se retirent de la course au poste principal. Le bloc de l’opposition a adhéré mais à condition que le parti islamiste s’engage à faire de même. Chose que refuse de faire Ennahda et Ettakatol d’après Mourad Amdouni, un membre de l’opposition.

    Cela profite finalement à des islamistes encore plus extrémistes. Les salafistes-djihadistes recrutent dans les milieux populaires. Leur idéologie est perçue comme antisystème. Dans les milieux très défavorisés, Ennahda ne fait plus rêver, et la gauche ou l’extrême gauche sont perçues comme des marginaux.

    Mais cela remet en selle également des nostalgiques de Moubarak et Ben Ali. L’armée en Tunisie n’a certes pas le poids de celle en Egypte mais une reprise en main sécuritaire est possible. La crise actuelle favorise un imaginaire qui dépeint Bourguiba l’autocrate en despote éclairé, artisan de la sortie de la Tunisie du sous-développement, de la libération de la femme. Une partie de l’intelligentsia qui, au moment du soulèvement de 2011, imaginait vivre dans un pays moderne et éduqué, découvre avec dépit que le peuple tunisien ne ” suit pas “. L’alliance de circonstance qui unit depuis quelques mois une partie de la gauche, les libéraux et nostalgiques de l’ancien régime, n’est pas sans évoquer les débuts du règne de Ben Ali.

    L’échec des frères musulmans provoque ainsi de véritables chocs en retour, fortifiés par l’anarchie en Libye et l’instabilité du Sahel.

    Jean Bonnevey

    Source : Metamag.

    http://fr.novopress.info/144584/la-fin-des-freres-musulmans-les-islamistes-finances-par-le-qatar-dans-le-mur-des-realites/

  • Le mouvement des veilleurs s'étend en Espagne

    L’organisation pro-famille espagnole Hazte Oir demande de suivre cette initiative pour lutter contre la loi sur l’avortement en Espagne :

    "Peut –être connais-tu le mouvement des « veilleurs » en France. Ils sont en train de défendre les valeurs à force de se concentrer en silence devant les édifices qui abritent les principales institutions de l’Etat. Ils obtiennent ainsi une répercussion  politique et médiatique extraordinaire. Vous pouvez le voir sur la photo. Ils se concentrent d’une manière totalement pacifique, en disposition espacée, occupant l’espace public devant des édifices officiels pour marquer leur opposition aux lois gouvernementales. Nous allons faire la même chose à Madrid pour demander l’avortement zéro et pour préparer la prochaine Marche pour la vie.

    Rendez-vous : Le mercredi 13 novembre, à 18 :30 heures face au Palais des Congrès des Députés."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-mouvement-des-veilleurs-s%C3%A9tend-en-espagne.html

  • [Vidéo] AF en soutien aux bonnets rouges

    L’AF lance les bonnets rouges à Paris... et marche sur la colonne de la Bastille !!!!


    L'AF en soutien aux bonnets rouges par actuclip

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?AF-en-soutien-aux-bonnets-rouges

  • Demain ce sera bonnets rouges pour tous…

    Notre site a parlé des événements survenus hier en Bretagne. Les manifestants arboraient un bonnet rouge en souvenir de la révolution antifiscale de 1675 face à la hausse des taxes dont celle du papier timbré. En l’espace de quelques heures, il est déjà devenu un symbole pour les internautes français face aux agissements du gouvernement socialiste qui réprime encore une fois par l’intermédiaire de CRS et de gendarmes mobiles. Dès le soir, certaines Sentinelles avaient déjà leur bonnet rouge. Nul doute que le rapprochement est définitivement fait avec le fameux sweat de la Manif Pour Tous.  On remarque que les positions se rapprochent entre les opposants à la Loi Taubira et les mécontents de la politique fiscale du gouvernement.  Il n’y a pour l’instant aucune alliance mais le gouvernement devrait prendre garde…

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