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Aymeric Chauprade sur Radio Courtoisie
Le 6 novembre 2013, Benjamin Blanchard, assisté d’Yves Le Floch, recevait sur Radio Courtoisie Paul-Marie Coûteaux, ancien député français au Parlement européen, écrivain, Aymeric Chauprade, directeur de la Revue française de géopolitique, Charles Meyer, rédacteur en chef de Nouvel arbitre et Léopold Gauthier et Renaud Duval, chroniqueurs, pour une émission consacrée à la géopolitique mondiale. Source : www.realpolitik.tv
Aymeric Chauprade sur Radio Courtoisie - 06/11... par realpolitiktv -
18/11 : conférence sur le gender à Bruxelles
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La ficelle de l’antiracisme était trop grosse
Lu dans Minute :
"Je n’ai jamais été scout. Taubira non plus, à en juger par sa difficulté à allumer un feu, préparé, il est vrai, avec de pauvres brindilles et un pétard mouillé. En guise de « brindilles », elle a utilisé une candidate du Front national aux municipales à Rethel (Ardennes) qui l’avait comparée à un singe et une gamine qui, à Angers, l’a traitée de guenon en brandissant une peau de banane, peut-être avec le secret espoir qu’elle glisserait dessus, comme dans une BD de Boule et Bill… Horreur! Les cheveux de madame le ministre s’en sont dressés sur sa tête, sons sens politique aigu s’est réveillé comme jamais et des frémissements de bonheur courroucé lui ont couru le long de l’échine jusqu’au crou pion. « Ils » avaient osé! Ne restait qu’à ressortir le vieux pétard mouillé de l’antiracisme pour allumer une affaire d’Etat à partir de ces non-événements.
Qui sème le vent récolte la tempête: les attaques contre Taubira, si malencontreuses soient-elles dans leur formulation, s’expliquent principalement par la détestation qu’elle s’est attirée en travaillant à légaliser le « mariage » entre personnes de même sexe. Mais l’occasion est belle de ressortir des cartons la sempiternelle accusation de racisme pour intimider ses adversaires et remobiliser le gogo bobo. « Cela renvoie évidemment à ses parents, au cadre familial, à l’éducation », a déclaré dans « Libération » le garde des Sceaux à propos de la fillette qui l’a injuriée. Les journalistes embrayent: les responsables, ce sont toujours les parents! Voilà qui va sûrement faire plaisir à Marisol Touraine, dont le fils est en prison pour avoir braqué une femme à son domicile, et à Laurent Fabius, dont le fils Thomas connaît lui aussi quelques démêlés avec la justice…
Au fait, dans quelle mesure l’éducation dispensée par Christiane elle-même n’explique-t-elle pas qu’un jour de 1996, son fils Lamine ait lui-même été trouvé en possession de menus objets dérobés au cours d’émeutes à Cayenne? Voilà une réputation laminée! La ficelle de l’antiracisme était-elle trop grosse? La manipulation n’a d’abord pas fonctionné. Dame Tautau s’en est plainte lors d’un entretien accordé le 5 novembre à « Libération »: « Les réactions n’ont pas été à la mesure […] Ce qui m’étonne le plus, c’est qu’il n’y a pas eu de belle et haute voix qui se soit levée pour alerter sur la dérive de la société française. » La grande et belle voix n’a pas tardé à répondre: du haut de l’Elysée, Flanflan-la-Tulipe en personne a condamné l’hydre raciste, ce qui n’avait plus été fait depuis au moins le mois de juin dernier – une éternité! [...]"
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LA DROITE DU FRIC CONTRE LA FRANCE DU TRAVAIL (arch 2008)
Chaque semaine, voire chaque jour, apportant son lot de scandale , c'est à croire que les rois du CAC 40 ont fait le serment de nous dégoûter à jamais de ce capitalisme à vocation monopolistique, aujourd'hui devenu ennemi juré de la libre entreprise.
" Droite du fric " et non point droite des valeurs.« Droite du fric » qui a oublié qu'en son temps, la droite des valeurs fut à l'avant-garde des conquêtes sociales. Le fait est que cette droite-là ressemble désormais à la caricature que la CGT en faisait naguère : le scandale de l'UIMM (Union des industries et des métiers de la métallurgie) et ses vingt millions d'euros retirés en liquide par son ancien président Denis Gautier-Sauvagnac et dont on ignore encore dans quelles poches ils ont atterri. Scandale auquel s ajoute un autre scandale dans le scandale: ce million et demi d'euros, promis à "DGS" pour le prix de son silence, sans même compter l'assurance formelle que tous ses frais de justices ou d'éventuel redressement fiscal seront pris en charge par le "Syndicat" . Le "Syndicat" ... Comme on disait "la Famille", "l'Organisation" ; bref, la Mafia. On notera, tel que rappelé par notre confrère Marianne, que le gratin du grand patronat français figure dans l'organigramme de l'UIMM. Et pendant ce temps, ces mêmes patrons licencient et délocalisent à tout-va. Longtemps, ces gens ont cru tout pouvoir justifier par l'épouvantail communiste. Mais qui peut encore croire que derrière chaque ouvrier ou cadre, se dissimule un agent du FSB, acronyme de l'ancien KGB ?
Ce d'autant plus que cette «droite du fric » file maintenant le parfait amour avec la « gauche du fric », idylle officiellement " actée " par le récent rapport de la Commission Attali. Le fric de cette droite méprise le peuple et ne connaît pas de frontières ; les idées de cette gauche, itou. Car pour eux, l'internationale des multinationales sera le genre humain, genre dans lequel l'humain n'est plus qu'un consommateur, interchangeable à l'infini. Et c'est ainsi que les profits de ces multinationales - qui, de fait n'ont plus de françaises que le nom - accumulent des profits en hausse exponentielle, tandis qu'irrémédiablement, la France et les Français continuent de s'appauvrir. Démonstration par la grande distribution, nouveau mal français qui, payant de moins en moins cher aux paysans leurs produits, les revend ensuite à des coûts de plus en plus prohibitifs aux consommateurs, et voit ses marges augmenter en proportion. Comme quoi, dans ce capitalisme mondialisé, ce sont les intermédiaires - des parasites donc- qui se taillent la part du lion. Dans la foulée, alors que le libéralisme économique est censé reposer sur la concurrence, le leur l'est sur le monopole de fait, soit l'écrasement progressif des petits commerces de centre-ville.
C'est vrai en France, mais également à l'étranger, au Maghreb comme en Europe de l'Est. Les mêmes yaourts, à Alger comme à Varsovie.
Certes, cette droite-là, alliée à cette gauche-ci, a toujours peu ou prou existé. Mais au moins était-elle contenue par la droite des valeurs et la gauche du travail, sorte d'alliance à la Jean Renoir, dans La Grande illusion, conclue entre l'aristocrate Pierre Fresnay et le très prolétaire Jean Gabin. Il n'est pas inenvisageable que ces antiques alliances puissent, un jour prochain, être à nouveau d'actualité.
Béatrice PEREIRE N. Hebdo 2008 -
Le pouvoir tente de faire taire David Van Hemelryck
David Van Hemelryck, le pilote de l'aéronef à la bannière "Hollande démission", a été déféré ce midi et sera présenté ultérieurement à un magistrat. Il est poursuivi pour organisation de manifestation non déclarée.
Les trois autres personnes interpellées hier sur les Champs-Elysées ont vu leur garde à vue prolongée de 24 heures. Elles sont poursuivies pour violence volontaire sur agent de la force publique.
La persécution politique, avec la complicité de la police, se poursuit.
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Cherbourg : le socialiste Hollande préfèrent des Roumains sous-payés à des travailleurs français
Désillusions aux chantiers navals de Cherbourg
Le 30 septembre dernier, accompagné de quatre ministres dont Arnaud Montebourg et Bernard Cazeneuve, François Hollande avait annoncé à Cherbourg la commande par le Mozambique de 30 navires (24 chalutiers ; 6 patrouilleurs et intercepteurs) auprès des Constructions mécaniques de Normandie de Cherbourg, pour une valeur globale de 200 millions d’euros.
Représentant un carnet de commandes de deux ans, ce contrat tombait à pic pour les CMN qui, quelques mois plus tôt, avaient pris des mesures de chômage partiel pour 80 de ses 350 salariés.
L’annonce triomphale cède à présent la place à l’amertume et à la désillusion. Sur les trente navires prévus, les CMN vont construire huit chalutiers à Cherbourg et y réaliser l’assemblage et l’intégration des six patrouilleurs et intercepteurs. Pour des raisons de rentabilité, les autres navires seront construits à bas coût en Roumanie. Pour ce même motif, le chantier vient de faire appel à la main d’œuvre étrangère « low cost » en provenance de Roumanie et de Lituanie : 13 travailleurs intérimaires sont arrivés sur le chantier fin octobre et 40 travailleurs « sous forfait » ont pris leurs fonctions cette semaine à Cherbourg...[...]
Karim OUCHIKH, Président exécutif du SIEL (Souveraineté, Indépendance Et Libertés), Administrateur du Rassemblement Bleu Marine - La suite ici
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Cherbourg-le-socialiste-Hollande
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Quand Ayrault fait dans l'ignoble
Addendum 12/11/2013
Cdans l’air – 11/11/2013 – Nicolas Offenstadt, historien – Les 11 novembre agités, une longue histoire, déjà …
Pardonnez-moi, c’est important, vous dites ce soir à ceux qui nous écoutent : » le 11 novembre est de fait, aussi historiquement, une date de contestation, de manifestation : on vient dire qu’on est pas content, au delà du respect des morts et du patriotisme » – Yves Calvi
« Deux cent personnes environ de mouvements d’extrême droite se sont permis de siffler le président de la République le jour de la commémoration des morts de la Grande Guerre. C’est un acte grave, pas seulement un acte contre le Président de la République, c’est un acte contre les morts de la Grande Guerre, contre la République et la Nation », a affirmé le premier ministre.
« Cela nécessite un sursaut fort et puissant pour dire : ‘ça suffit les attaques racistes, ça suffit les attaques contre la loi, la République, le droit, les destructions de biens publics’. [...]
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La dictature socialiste en marche
David Van Hemelryck, militant formé lors de la Manif pour tous, opposant notoire à François Hollande et fondateur du mouvement Hollande-démission (proche du Printemps Français) a été déféré ce midi et sera présenté ultérieurement à un magistrat.
Il est poursuivi pour organisation de manifestation non déclarée.
Les trois autres personnes interpellées hier sur les Champs-Elysées ont vu leur garde à vue prolongée de 24 heures, selon les informations délivrées au Figaro. Elles sont poursuivies pour violence volontaire sur agent de la force publique. Les trois ont été identifiées comme appartenant à l’extrême droite et deux d’entre elles sont membres d’Action Française.
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De la possibilité du Putsch
Putsch impossible ?
Aucune révolution dans l'Histoire n'a fonctionné sans un soutien militaire, mais c'est bien l'addition du peuple, ou plutôt des réseaux révolutionnaires, et des corps constitués, ou plutôt d'une partie de ces corps, qui qualifie, et qui permet, en bien ou en mal, la révolution. Cette "désobéissance" est une forme de putsch.
Dans l'idée d'une contre-révolution - d'une révolution de l'Ordre qui s'oppose au concept de révolution colorée -, l'élément "Bellatores" nous apparait comme un élément de réflexion inévitable à ne pas prendre par-dessus l'épaule.
Nous entendons des camarades rejeter, assez violemment d'ailleurs - et nous voulons dire par là sans plus d'étude que ce que le mot "Putsch" évoque de pouvoir étatique -, ce débat et cette perspective.
Si le putsch est impossible, la possibilité d'une guerre civile à moyen/long terme - ou de grosses perturbations du flux tendu qui entraineront des pillages et des destructions -, l'est beaucoup moins.Dans cette configuration, à qui l'état fera-t-il appel si ce n'est à l'armée ? La loi martiale, même temporaire, contient en elle l'idée de prise de pouvoir du militaire sur le politique, et donc d'une forme de putsch. Nous pensons que certains réseaux à l'intérieur de l'armée "attendent" cette configuration de guerre civile, car au-delà de l'idée du putsch, il y a les conditions du putsch, or, nous savons, et les militaires le savent aussi, qu'un putsch n'est soutenu par le peuple que dans les deux cas où, 1 : il le demande, 2 : la situation telle qu'il le perçoit comme un acte libérateur, du moins nécessaire.
La quenelle, aussi bien cuisinée soit-elle, c'est bon une fois de temps en temps, mais tous les jours, ça devient indigeste... En attendant, les quenelles que les corps constitués nous servent, c'est un putsch symbolique, c'est en tout cas les prémices d'une défiance annoncée.
Nous pensons que la question n'est pas "De la possibilité du Putsch" ou de son impossibilité, que d'une manière ou d'une autre, tôt ou tard, l'armée interviendra et/ou aura de toutes façons un rôle a jouer. Voilà où se place la véritable question que soulève "Putsch" de Vincent Vauclin : de quel côté sera l'armée ? Est-il possible de la rallier à notre cause nationaliste et anticapitaliste ? Et si oui, comment ?
Ne pas penser le putsch dans une démarche authentiquement révolutionnaire aujourd'hui, c'est mettre la poussière historique sous un tapis idéologique.Faire semblant de ne pas comprendre la question hautement logistique et pragmatique que pose "Putsch", nous semble être particulièrement incapacitant, sans doute une façon de reculer le problème, de reculer sans cesse le moment où nous devrons prendre nos responsabilités, ce qui est humain, ça n'est pas pour rien si cette idée de putsch, de désobéissance, est actuellement, sans doute inconsciemment, tournée en dérision, ou en tout cas, ne sert qu'à l'humour et à la détente de la "dissidence".
L’Évitement n'est pas la fuite.
Soit nous prenons ce thème au sérieux, soit nous continuons d'en rire, soit nous le rejetons, mais dans ce cas précis nous expliquerons à nos camarades comment nous combattrons l'armée physiquement puisque nous décidons de ne pas nous battre intellectuellement pour lui faire comprendre son intérêt et l'honneur, historique, que la grande muette aurait de pencher de notre côté quand ça sera le moment, et d'ouvrir les portes des couloirs Élyséens ? Qui ne dit mot, consent.
Le défi de rallier le potentiel dissident des corps constitués à notre combat est-il hors sujet ou est-ce exactement tout le sujet ?Source: L'Heure Asie
Sur le même sujet:
- Chronique de Putsch, de Vincent Vauclin
- Il n'y aura pas de Putsch, un texte de Guillaume Lenormand