Selon un reportage diffusé par France 2, Valérie Trierweiller, bien qu’elle ne soit pas l’épouse du président de la République, occupe un bureau à l’Élysée, dispose d’une équipe pour ses actions et apparitions, et coûte aux Français la somme de 19 782 euros par mois. La question est : à quel titre ? Sources : France 2, Morandinizap
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Vallaud-Belkacem ou l'extrême légèreté de l'être, par Éric MUTH
La marocaine Vallaud-Belkacem se dit " choquée " à la limitation de l'avortement en Espagne. Je dirais que son attitude est plutôt choquante, bénéficiant de la double nationalité et, étant restée conseillère du roi du Maroc, naturellement elle n'ira jamais proposer l'avortement dans son pays de peur de se faire emprisonner.L'humain n'est pas sa tasse de thé et elle n'a qu'un droit : celui de se taire.Cette ministre fait de la politique juste pour la gloire sans aucune moralité ni conduite. Elle ferait mieux de s'occuper des vraies femmes à l'étranger, celles qui sont soumises au dictat des hommes dans son pays au nom d'une religion. Comment ne pas être choquée par l'IVG à 14 semaines et plus ?¢Étant adepte de la « théorie du genre », tout lui est permis. C'est une opportuniste comme tous ses amis au gouvernement y compris le Président de la république. Au lieu d'idéaliser la Femme, la porte-parole du gouvernement la condamne à n'être qu'un objet de plus. Tuer des enfants n'est sûrement pas son problème, de même que sa compagne Taubira avec son « mariage sauvage ».L'avortement n'est pas un droit, le mariage gay ne sera jamais une Loi. -
NDP : soutien à la manifestation du 26 janvier
COMMUNIQUÉLa Nouvelle Droite Populaire soutient la manifestation « Jour de colère » du dimanche 26 janvier.
François Hollande essaie de nous faire croire tout et n’importe quoi. Il ne sait plus quoi inventer pour cacher l’état lamentable dans lequel notre pays est tombé. En réalité, François Hollande n’est ni libéral, ni socialiste, il est encore moins social-démocrate ou patriote comme il le prétend ; François Hollande n’est qu’un petit mondialiste servile qui mène, tout comme ses prédécesseurs, une politique soumise aux ordres de la haute-finance planétaire.Cela, les Français sont de plus en plus nombreux à s’en rendre compte, ils sont aussi de plus en plus nombreux à ne plus pouvoir le supporter. Voilà pourquoi ils ne croient plus dans les carabistouilles de la classe politique. Voilà aussi pourquoi ils seront nombreux le dimanche 26 janvier prochain sur le pavé parisien pour manifester leur légitime colère. -
Le djihad de France
Le phénomène inquiète, paraît-il, les principaux responsables de l’anti-terrorisme. Ils sont de plus en plus nombreux, en France, à rejoindre, sur le terrain et en guerre, les rangs des djihadistes. On évoque désormais des centaines de cas d'hommes, voire de jeunes garçons, musulmans d'origine ou de conversion, qui ont franchi le pas.
Deux exemples - parmi combien d'autres ? - défrayent actuellement la chronique. Celui de cette Toulousaine qui pleure aujourd'hui deux fils, Nicolas et Jean-Daniel, convertis l'un après l'autre, l'un par l'autre, à l'islam et qui ont ensuite, sans qu'on se penche vraiment sur le phénomène, « basculé » dans l'islam radical. Avant d'aller se faire tuer quelque part en Syrie.
Le phénomène n'est pas rare. Manuel Valls exposait cependant, peu après son arrivée à l'Intérieur, la difficulté de le cerner quand il s'agit de « Français convertis, de Français musulmans ». Manque de signes distinctifs, peut-être ?
Mais à Strasbourg, où se situe l'autre exemple d'actualité, ce sont des jeunes d'origines maghrébine et turque qui sont en cause. Il n'y a donc pas là, M. le ministre, à connaître la même difficulté. Sauf, peut-être, celle que pourrait créer l'appareil politico-médiatico-judiciaire...
À Toulouse, Dominique Bons, la pauvre mère éplorée, a appris la mort de son second fils Nicolas - pardon ! il se nommait lui-même désormais Abou Abdel Rahman - par un SMS reçu le 2 janvier dernier.
L'étonnement
Un « grand choc » pour cette mère qui n'a rien vu venir, rien compris. « Au début, il y a eu une conversion à l'islam », explique-t-elle. Avant d'ajouter : « Ça c'est pas vraiment grave. (...) C'est la suite qui est grave et ça, on le voit pas arriver. » Mais c'est peut-être à partir de sa conversion qu'il faudrait essayer de comprendre, non ?
Ensuite, c'est la filière habituelle - trop peut-être ? Comme des dizaines, des centaines d'autres, dont un sur cinq est un converti, ils ont rejoint, en cachant la réalité à leurs parents (d'autant plus facilement que ceux-ci sont divorcés), l'une des filières (afghane, irakienne, tchétchène...) existantes. De là, un camp d'entraînement, quelque part en Irak, sans doute. Puis le théâtre du combat, et de la gloire d'Allah.
Les deux frères sont morts. Mais ils ne sont pas seuls. En 2007 déjà, on y avait démantelé une filière djihadiste pour l'Irak. Il y en a donc plusieurs rien qu'à Toulouse ? C'est aussi le théâtre d'opération de Mohamed Merah.
Car tous ne partent pas. Ou tous ne meurent pas, et peuvent revenir...
Des pistes connues ?
Manuel Valls se veut précis. D'ampleur « inégalée », le phénomène peut se chiffrer, du moins, semble-t-il, en ce qui concerne la Syrie. Plus de 200 sont « dans le pays », quelque 80 « en transit », 15 sont déjà morts, et « 100 voudraient s'y rendre ». C'est même le ministre de l'Intérieur qui évoque, le 17 décembre, devant la commission des Affaires européennes de l'Assemblée nationale, la « crainte de leur retour ».
Il peut les chiffrer, et puis c'est tout ? Il y a ceux qui sont partis. Mais ceux qui sont encore là, les « 100 [qui] voudraient s'y rendre » ? Mais il est vrai que, avec Dieudonné, Manuel Valls a déjà fort à faire !
Même scénario à Strasbourg - à la longue, ça doit donc pouvoir se repérer. Même départ de quatorze garçons, sous des prétextes mensongers. Même ignorance des parents qui, aujourd'hui angoissés, disent n'avoir rien vu venir. Leurs garçons sont, bien sûr, de gentils garçons, à peine un peu connus des services de police pour quelques-uns. Et même cela n'empêche pas ces garçons de se radicaliser et de partir au djihad, comme tant d'autres, sans que personne n'en prenne conscience.
À Strasbourg, comme à Toulouse, une cellule islamique a également été démantelée. Plus récemment, en 2012. Là encore, pas de puce à l'oreille ?
Mais peut-être que, au-delà du risque que le politiquement correct pourrait faire naître si on envisageait de trop s'y intéresser, la question pourrait-elle aussi troubler les promenades que notre bon François Hollande aime à faire en pays arabes. En terres d'islam...
Olivier Mirande monde & vie 14 janvier 2014 -
Des journalistes soumis et serviles qui font honte à leur profession !
Coup de gueule d'un blogueur lu ici :
"On voit bien, en regardant ce décor de théâtre d’ancien régime digne de Disneyland, que ces “conférences de presse” présidentiellles ne sont qu’une vaste mise en scène destinée non pas à “informer” mais à faire estampiller “média” une simple propagande officielle récitée au pupitre. Tout est organisé pour congeler la parole comme en Corée du Nord : il y a un Président, rigide derrière son pupitre conçu pour dominer l’espace. Il y a le carré monolithique de ministres déférents et au garde à vous. Il y a d’autres personnes — que je me refuse à appeler des “journalistes” car ils n’ont pas le courage de poser des questions — qui sont “accrédités” à l’Élysée, donc déjà suspects à mes yeux. Et il y a enfin un “préposé officiel au micro-baladeur” qui ne va solliciter que les bonnes questions sans autoriser le moindre droit de suite !
C’est finalement Alain Barluet qui, dans un tardif sursaut d’honneur, lâche la vérité : près d’une heure après avoir posé sa question sur Valérie Trierweiler, il dit sur Twitter ce qui aurait du faire la “Une” de tous les médias le lendemain :
Les “journalistes” Français n’ont pas le droit de poser de questions embarrassantes. Ils sont aux ordres, complaisants, déférents, obéissants, obséquieux, prosternés, soumis ! Ils sont de la classe des journalistes courbés et reconnaissants parce que subventionnés. Ils ne sont pas seulement le déshonneur de la profession : il ne font pas honneur à la France et la Presse internationale les couvre d’ailleurs à juste titre de ses quolibets (...)" -
Jeudi 6 février : Commémoration du 6 février 1934
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Lorraine Nationaliste ; Sortie de notre vidéo de présentation !
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Le 19 janvier 2014 à Paris : défendons la vie
Le MNR, fidèle à son programme de respect de la vie, de la conception à la mort naturelle, apporte son soutien à la marche du dimanche 19 janvier pour les droits de l'enfant. -
Dimanche 19 janvier 2014 :[Paris] Hommage à Louis XVI
Cortège traditionnel en Hommage à Louis XVI
A l’heure où la république finissante et ses serviteurs abandonnent par pans entiers les intérêts de la France à la fortune anonyme et vagabonde, l’Action Française invite tous les Français à venir témoigner de leur fidélité au roi, victime d’avoir trop aimé son peuple : Rendez-vous devant l’Eglise de la Madeleine à 18H45 précises.
Le cortège se dirigera jusqu’au Square Louis XVI, devant la Chapelle Expiatoire. Des fanions, des flambeaux et les chants seront distribués avant le départ. Une gerbe de fleurs sera déposée au nom du peuple Français.
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La Manif pour tous appelle à des rassemblements le 2 février
Le collectif tenait ce matin (15 janvier) une conférence de presse, donnant lieu à une dépêche AFP reprise dans de nombreux quotidiens :
"[...] la Manif pour tous appelle à manifester le 2 février à Paris et Lyon contre la PMA, la GPA et le projet de loi famille, a annoncé sa présidente mercredi. «C’est une manifestation d’avertissement», a dit Ludovine de la Rochère au cours d’une conférence de presse, contre la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA) que demande, selon elle, «le lobby LGBT» (lesbiennes, gays, bi- et transsexuels). «Comme il y a peu d’enfants à adopter, il y a une demande de plus en plus forte de PMA et de GPA. Nous sommes opposés à ce projet, car nous défendons l’intérêt supérieur de l’enfant», a dit la présidente du collectif.
A Paris, La Manif pour tous donne rendez-vous le 2 février à 13 heures place du 18-Juin-1940 pour manifester. A Lyon, le rendez-vous est fixé place Bellecour à 14 heures.
Des appels à manifester ont aussi été lancés ce jour-là à Rome, Madrid, Varsovie, Bruxelles et Bucarest par des organisations proches de la Manif pour tous.
Le projet de loi sur la famille que prépare le gouvernement ne traitera ni de l’élargissement de la PMA aux couples de lesbiennes ni de la gestation pour autrui, interdite en France. «Mais nous préférons prévenir. Des ministres, et François Hollande, ont exprimé leur souhait d’ouvrir la PMA aux couples de femmes», assure Ludovine de la Rochère. Le collectif s’est dit «inquiet» du projet de loi sur la famille, précisant qu’il était contre la création d’un statut de beau-parent et celle d’une «prémajorité» à 16 ans, deux mesures discutées. [...]"