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  • Négationnisme, vous avez dit négationnisme ? Comme c’est bizarre !

    Le mensonge éhonté est devenu un outil politique d’usage courant pour ne pas dire ordinaire.

     
     

    L’autre jour, M. Ayrault, Premier ministre, très courroucé, stigmatisait à l’Assemblée les contempteurs de la théorie du genre, à l’école et ailleurs. Allant jusqu’à les qualifier du vilain nom d’oiseau de « négationnistes ». Mais, me direz-vous, les négationnistes sont des gens qui en principe, dans l’acception actuelle, révisée et acceptée, nient l’évidence dans sa massive énormité. Mais à ce titre, en quoi les ceusses dénonçant pour X raisons un enseignement condamnable à leurs yeux seraient-ils, d’une façon ou d’une autre, d’infâmes « négationnistes » ?

    À y regarder de plus près, on voit bien que le chef du gouvernement ne désignait pas seulement à la vindicte publique une démarche épistémologiquement malveillante. Mais plutôt une déviation intellectuelle de la pire espèce, celle que dénonçait quelques mois plus tôt le milliardaire rose fuchsia Pierre Bergé. Celui-ci, en effet, n’avait-il pas épinglé – sans rire – l’opposition au « mariage pour tous » comme un acte « antisémite » ?

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  • L’extrême-gauche commet de graves violences à Nantes

    PHOfdf40e8e-9bea-11e3-bf1a-c4dc02a4f9b5-805x453.jpgLa photo ci-contre a-t-elle été prise à Kiev ?
    Non, à Nantes, où une manifestation a rassemblé quelques dizaines de milliers de personnes contre le projet de grand aéroport à Notre-Dame des Landes.

    « En milieu d’après-midi samedi, les forces de l’ordre ont essuyé des jets de projectiles (bouteilles, canettes, billes d’acier, fusées de détresse) et ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau. Au moins deux engins de chantier ont été incendiés. Des objets ont été lancés sur les caténaires SNCF afin de bloquer la circulation des trains. La vitre d’une agence Vinci, concessionnaire du projet d’aéroport, a été brisée. L’intérieur de l’agence était saccagé, et la devanture couverte de peinture. Des manifestants s’en sont également pris à la mairie, un poste de police et plusieurs magasins du centre-ville. Samedi soir, Nantes affichait un bien triste visage de dévastation. »

    Nonobstant le motif de la manifestation, vraisemblablement légitime, on relèvera que, là encore, il y eut très peu d’arrestations au regard de la gravité des faits : une dizaine d’interpellés.
    Il convient donc de souligner, comme d’habitude, la différence de traitement entre les manifestations de « droite » (300 interpellés lors du Jour de Colère, sans dégradations), et celles de l’extrême-gauche : cela révèle la collusion profonde – en dépit de quelques divergences – entre le Régime et l’extrême-gauche qui ose se présenter comme rebelle.

    http://www.contre-info.com/

  • Le conflit en Ukraine : moralisme et réalité

    Nous avons publié sur cet site jeudi 20 février un appel de Myroslav Marynovych, vice-recteur de l'université catholique d'Ukraine, à propos des événements se déroulant dans son pays. Xavier Moreau, géo-politicien, spécialiste de la Russie et collaborateur du site Realpolitik.tv, apporte ici en réponse une autre vision. On pourra trouver ses autres analyses sur le sujet sur Realpolitik.tv, le site de géopolitique créé par Aymeric Chauprade.

    Nous avons beaucoup écrit sur l’Ukraine, en essayant d’expliquer l’enjeu géopolitique qu’elle représente pour les États-Unis, la Pologne, l’Allemagne et la Russie. Le conflit qui secoue le pays n’est pas une lutte des gentils manifestants contre les méchants policiers. Nous pourrions, pour répondre du berger à la bergère à Myroslav Marynovych, donner les liens internet où l’on voit les policiers ukrainiens torturés, assassinés, brulés vifs…  mais se jeter les morts et les blessés à la figure ne ferait pas avancer ce débat. Nous nous contenterons donc, de rappeler à Myroslav Marynovych quelques règles de base de la démocratie française, qui pourraient inspirer ses partisans :

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  • Kiev : les prêtres en première ligne sur la place Maidan

    Des photos à découvrir ici.

    UKRAINE-UNREST-EU-RUSSIA-POLITICS

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    Michel Janva 

  • L’immigration illégale en forte hausse dans l’UE

    BRUXELLES (NOVOpress/Kiosque courtois)
    La crise et le chômage de masse ne découragent pas tout le monde : selon l’Agence européenne pour la gestion et le contrôle des frontières ((Frontex), le nombre d’immigrés entrés illégalement dans les pays de l’Union européenne a augmenté de 48 % en 2013, avec pas moins de 170.000 entrées irrégulières. Les demandes d’asile ont également fortement augmenté. Et c’est sans compter plus d’un million de migrants légaux par an ! L’information n’a guère été relayée par les grands médias, fidèles aux thèses immigrationnistes de l’oligarchie mondialiste.

    Avec son opération « Frontières souveraines » l’Australie nous a pourtant montré que l’on peut arrêter l’immigration illégale, il suffit d’une volonté : les migrants sont interceptés par des navires de guerre et n’ont d’autre choix que de retourner dans leur pays ou de rester dans un centre de rétention avant leur expulsion.

    http://fr.novopress.info/

  • L'essence spirituelle de la Révolution

    « Révolution, raison, fraternité, justice furent autant de mots magiques, autant de charmes contre la misère, de formules contre l’inégalité, que le peuple se prit à réciter avec une sombre ferveur ; il crut à une seconde bonne nouvelle comme il avait cru, dix-huit siècles auparavant, à la première… La Révolution était éternelle et invincible comme Dieu dont elle avait pris la place. »
    Émile MONTÉGUT
    Coup d’oeil sur la Révolution française, La Revue des Deux Mondes (août 1871)
    Émile Montégut (1825-1895) fut à partir de 1857 le critique littéraire de la Revue des Deux Mondes où il publia aussi quelques essais de réflexion politique. Dans la première partie de Coup d’oeil sur la Révolution française dont nous venons de citer un extrait, il analyse l’essence de la Révolution qui est une religion. On n’avait jamais parlé ainsi depuis Joseph de Maistre qui voyait dans la Révolution une inspiration “satanique”. Mais l’analyse de Montégut ne se situe pas sur le plan de la théologie, elle se place sur celui de la constatation.
    Les vertus chrétiennes devenues folles forment la mystique révolutionnaire, comme la Charité devenue Fraternité ; d’autre part, les principes qui soutiennent la société révolutionnaire sont les qualités des sociétés traditionnelles devenues folles :
    « Examinez les pires erreurs, écrivait Montégut : dans toutes vous trouverez l’esprit de l’antique monarchie et de l’antique Église, mais leur esprit dépouillé de tout ce qui l’ennoblissait… » Le peuple est dressé à mépriser l’autorité, mais il adore la force qui n’en est qu’un élément apparent, et aveugle quand il est livré à lui-même. Il rejette toutes les hiérarchies naturelles, mais il accepte la tyrannie, que ce soit celle de l’homme providentiel ou celle, anonyme, des administrations. « Il refuse sa croyance à l’Église, écrit encore Montégut, mais il n’a pas abdiqué pour cela son aptitude à la foi aveugle, et il ne refuse rien de sa raison au plus infime prédicateur de club. Il pense sur l’individualité humaine et la liberté comme pensait l’Église : l’Église s’en méfiait comme d’éléments d’orgueil et de révolte : il les redoute et les hait comme germes possibles d’autocratie et comme éléments d’usurpation. Tout lui porte ombrage : il regrette le pouvoir qu’il est obligé de déléguer et, à peine l’a-t-il délégué, qu’il croit l’avoir perdu et qu’il lui semble s’être donné des maîtres… »
    Exaltation mystique
    Ainsi, en vertu de cette méfiance envers toute délégation du pouvoir, en toute organisation qui lui paraît un affadissement de son idéal, la Révolution ne cesse d’attaquer la société démocratique qui pourtant sort d’elle, qui s’est mise en place grâce à elle. Pourquoi ? À cause d’une sorte d’exaltation mystique qui la pousse vers une perfection impossible à réaliser puisque la Révolution est irréaliste. Une vie intérieure sérieuse pousse le chrétien vers la sainteté qu’il ne connaîtra, s’il la mérite, quelques âmes d’élite mises à part, que dans sa patrie céleste. Mais la Révolution ne possède pas de patrie céleste. Alors, que faire ? Il faut continuer à se battre contre les contingences pour faire progresser la Révolution : la Révolution ou la Mort. Au bout de la logique révolutionnaire se trouve en fait le Néant, ce que découvrit un peu tard le Girondin Vergniaud. « La Révolution est comme Saturne, dit-il devant le tribunal révolutionnaire, elle dévore ses enfants ».
    Que la Révolution soit une mystique, Jaurès le reconnaît : « Il ne peut y avoir révolution que là où il y a conscience. » Et Alain, qui était tout sauf sot, et aurait pu, sans le poison idéologique, devenir autre chose que le philosophe du radicalisme, met en lumière la religion individualiste qui empêche l’esprit révolutionnaire de jamais organiser une société : « Les nations étant inévitablement plus bêtes que les individus, toute pensée a le devoir de se sentir en révolte. »
    Le conservateur
    Le conservateur ignore tout cela. Il est persuadé que la Révolution était nécessaire en son temps, qu’elle a fait son travail, qu’elle est terminée et qu’il va en gérer les acquits. C’est le bourgeois louis-philippard, c’est le bonapartiste, c’est le modéré sous la IIIe République, c’est le démocrate-chrétien, c’est le gaulliste de l’UNR.
    Ces conservateurs sont des croyants qui ne pratiquent plus et qui ont oublié certains dogmes de leur religion révolutionnaire au point que des esprits superficiels les prendraient pour des hommes de droite, ce qu’ils ne sont point. Mais l’homme de gauche, dévot scrupuleux, pratiquant impavide, saura toujours bousculer ces « révolutionnaires du porche » toujours un peu honteux d’être de peu de foi.
    Gérard Baudin L’Action Française 2000 du 1 er au 14 novembre 2007

  • Le MRAP demande au Préfet de Marseille d’interdire la conférence de Farida Belghoul !

    Le MRAP, cette officine « antiraciste » largement subventionnée, vient d’écrire au Préfet de Marseille pour demander d’interdire une conférence de Farida Belghoul dans la cité phocéenne.

    Comment comprendre cette démarche du MRAP ? On peut difficilement soupçonner Farida Belghoul de venir propager un message raciste à Marseille. Alors, en quoi le MRAP est-il concerné ? L’opposition de Farida Belghoul à l’idéologie du genre viendrait, selon le MRAP, troubler « l’ordre public et républicain », rien que ça !

    En vérité, ce communiqué du MRAP montre à quel point cette officine est aux ordres du parti socialiste, aujourd’hui au gouvernement, et particulièrement craintif de perdre son électorat d’origine maghrébine sans lequel il n’aurait pas pu envoyer François Hollande à l’Elysée.

    Bref cet appel du MRAP témoigne de la peur panique qui gagne en ce moment la gauche française. Une gauche de plus en plus engluée dans une démarche totalitaire…

    Ci-dessous, le communiqué du MRAP.

    Monsieur le Préfet.

    C’est avec stupéfaction que nous découvrons aujourd’hui qu’à l’invitation de la « COBEMA », de son Président, Salim LAÏBI, Farida BELGHOUL doit tenir ce dimanche à Marseille dans un lieu pour l’instant non communiqué au public, un meeting visant à s’opposer au « débat sur le genre à l’école » et prônant des opérations de retrait de certains enfants de l’école publique.

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  • Aux armes pour l’Europe ? Compte-rendu de la conférence-débat du 8 février 2014 à Paris par LA LIGUE FRANCILIENNE

    Dans une brasserie au cœur de Lutèce s’est déroulé un dîner-débat de fort belle facture organisé par la Ligue Francilienne et le Réseau-Identités autour d’un thème qui est cher à nombre d’entre nous, l’Europe. Pour évoquer notre continent-civilisation, deux acteurs de la mouvance européiste identitaire ont accepté de prêcher l’Europe à un public attentif, soucieux de son avenir, mais déçu par une construction « européenne », l’Union européenne actuelle, qui n’a pas été à la hauteur des enjeux.
    Pour les deux intervenants, la première gageure n’était pas de réveiller des consciences, qui l’étaient déjà, mais de réveiller en eux l’espoir d’une Europe unie et puissante, d’une Europe qui préservera les identités nationales sans que ces dernières ne la divisent, mais au contraire la forgent.
    Jacques Cordonnier, président d’Alsace d’Abord, et Thomas Ferrier, secrétaire général du P.S.U.N.E. (Parti socialiste pour l’union de la nation européenne), le « Parti des Européens », ont ainsi éclairé de leur expérience ce que devait être l’Europe, ce qu’elle était pour eux et la forme qu’elle devait prendre.
    Jacques Cordonnier a remarquablement expliqué l’échec de l’Union européenne mais a montré aussi l’impasse que constituaient le « repli national » et l’usurpation représentée par les partis souverainistes. Il a déploré que parmi les amis du mouvement identitaire certains avaient préféré écouter les sirènes de l’euroscepticisme plutôt que de continuer le combat pour une Europe européenne. Sincère fédéraliste, il a regretté le manque d’approfondissement de la construction européenne en raison d’une ouverture hâtive à des pays qui n’étaient pas prêts.
    Thomas Ferrier s’est davantage employé à susciter l’espoir d’une Europe renaissante et conquérante, mais par le biais d’une révolution européenne, dont il a tracé la prospective, révolution qui permettrait de rendre l’impossible possible sans passer par une phase de rétractation mais au contraire par une expansion maximale du continent européen jusqu’à ses frontières définitives.
    Face à un vent contraire qui prône la fin de l’euro et la ruine de l’Union européenne, ils ont expliqué l’Europe authentique, celle des Européens, non l’Europe des gouvernements, des États, des oligarchies nationales et internationales.
    Le public a été très réactif et a participé de manière soutenue à la série de questions, évoquant des interrogations pertinentes et sincères. A ainsi été clarifiée la position qu’on pouvait avoir sur le Front national, troquant la lutte contre l’immigration pour une croisade contre l’Union européenne, façon tactique de renoncer à ce qui est pourtant le principal motif de vote de son électorat. Jadis, en effet, le F.N. expliquait la crise économique et le chômage par l’afflux migratoire. Aujourd’hui, tout serait de la faute de l’euro, ce qui n’a pas empêché pourtant la ruine de l’Islande, la remontée de l’Irlande et la politique d’extrême rigueur budgétaire du Royaume-Uni.
    La question de l’appartenance ou de la non-appartenance des D.O.M.-T.O.M. à la « communauté nationale » a également été évoquée. Jacques Cordonnier a dénoncé le rattachement de Mayotte à la France. Thomas Ferrier a prolongé cette réflexion en souhaitant l’indépendance de tous les D.O.M.-T.O.M.
    En une belle complémentarité, les deux intervenants ont évoqué pour l’un l’importance de l’identité régionale et pour l’autre celle de l’identité européenne. Le public se sera chargé d’ajouter l’identité nationale dans l’équation à trois niveaux.
    À certains partisans d’une Europe unie mais sous la forme d’une doctrine plus ancienne, Jacques Cordonnier et Thomas Ferrier ont insisté sur la terminologie moderne qu’il serait bon d’employer pour défendre le combat pour cette Europe véritable sans prendre le risque d’accusations faciles que des adversaires pourraient opposer.
    L’euro a été défendu en expliquant l’extrême dangerosité de son abandon, en raison des interdépendances engendrées par l’adhésion passée. L’euro a évidemment amené à des réactions plus tendues de certaines personnes du public, qui sous-estimaient la difficulté et associaient le discours tenu à celui des « euro-mondialistes ». Des précisions ont été apportées et ont fait réfléchir, notamment la nécessité de s’approprier les symboles européens pour mieux les retourner contre les promoteurs d’une « Europe » libérale et mondialiste qui n’est qu’une Anti-Europe.
    Une personnalité bien connue de la « mouvance nationale » a réagi aux propos tenus en manifestant son scepticisme quant au projet européiste évoqué, préférant une Europe restreinte à quelques pays et dans laquelle on procéderait à des convergences, et a aussi déploré l’absence d’une définition géographique claire de l’Europe. Sur ce point, Thomas Ferrier a surpris la salle en évoquant l’européanité des Albanais ou des Tchétchènes, malgré l’islamité qu’on leur associe généralement, ne réduisant pas l’Europe à une définition par trop religieuse, et insistant sur la profonde parenté entre Européens.
    Thomas Ferrier a rappelé ainsi la définition de la nation, « ceux nés du même sang », et ce pourquoi il existait une nation bretonne, une nation française et une nation européenne. Il a aussi insisté sur la distinction entre la nation et l’État. Jacques Cordonnier a insisté sur le fait de désigner l’ennemi de tous, et a ciblé notamment Martin Schulz, « socialiste » allemand et futur probable président de la commission, dont la profonde nocivité a été révélée aux invités.
    Il faut remercier fortement le public de sa participation, de son respect du temps de parole de chacun, et de l’esprit constructif qui a animé chaque personne présente. Elles ont fait preuve d’ouverture pour un discours nouveau qu’elles n’ont pas l’habitude d’entendre. Et ce discours a convaincu chacun de l’importance d’adopter une vision européenne du combat politique, dans le respect des particularismes et des identités, de toutes les identités.
    La Ligue Francilienne
    • D’abord mis en ligne sur Réseau-Identités, le 10 février 2014, puis repris par Synthèse nationale le jour même.
    http://www.europemaxima.com/?p=3643

  • 10 morts = manifestation dans le calme selon Le Monde

    VLe Venezuela n'est pas l'Ukraine. Alors que une immense manifestation de contestation a lieu au Venezuela, Le Monde titre "Venezuela : les deux camps mobilisent en masse mais dans le calme". Et en lisant l'article, on apprend que ce calme s'est manifesté par :

    "Selon des chiffres officiels, le bilan de ces manifestations qui ont parfois dégénéré en affrontements entre groupes radicaux et forces de l'ordre, s'établit à 10 morts, presque 140 blessés (civils et forces de l'ordre) et une centaine d'arrestations."

    Le président Nicolas Maduro affronte la plus importante vague de contestation depuis son élection de justesse en avril, dans la foulée du décès de son mentor, Hugo Chavez. Mais cela n'émeut pas Le Monde comme ce qui se passe en Ukraine. Même si les médias y sont contrôlés :

    "les autorités ont d'ailleurs retiré leurs accréditations aux journalistes de la télévision américaine d'information en continu CNN, accusée de chercher à montrer que le Venezuela se trouve en état de « guerre civile », selon la correspondante de la chaîne, Osmary Hernandez. La semaine dernière, le gouvernement avait déjà interdit la chaîne colombienne NTN24 pour avoir alimenté « l'angoisse » de la population en couvrant les violences ayant suivi une manifestation."

    Pour ne pas se faire retirer son accréditation, le journaliste du Monde a donc tout intérêt à montrer que le Venezuela est calme, très calme.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html