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  • Avignon : Olivier Py fait des menaces en l'air

    Si le Front national l’emporte au deuxième tour des municipales à Avignon, le festival n’aura «aucune autre solution» que de «partir»a affirmé son directeur, Olivier Py : 

    « Je ne me vois pas travaillant avec une mairie Front national. Cela me semble tout à fait inimaginable. Donc je pense qu’il faudrait partir. Il n’y aurait aucune autre solution. »

    « Je ne vois pas comment, d’ailleurs, le festival pourrait vivre, défendre ses idées qui sont des idées d’ouverture, d’accueil de l’autre. Je ne vois pas comment le festival pourrait vivre à Avignon avec une mairie Front national, ça me semble inimaginable ».

    Réaction de notre correspondant local, Elie Sab, qui avait rendu compte du prochain Festival d'Avignon :

    "Mais, Olivier, depuis quand les fonctionnaires de l'Etat -et qui plus est fonctionnaires de la culture- démissionnent-ils parce que le chef change...? Mais bon, tout le monde sait que toutes tes phrases ce n'est que du vent ! Sans doute ces élections seront-elles le prétexte pour toi en mal d'idoles à abattre, de t'auto-programmer un 5e spectacle "Révolte des narcissiques en mal de liberté absolue" en digne héritier de la génération 68 qui a évincé Villar lui-même du festival le traitant de Salazar !

    Olivier, qui n'est en fait qu'un petit fonctionnaire sait très bien que le festival ne partira pas, et aussi que pour rien au monde il ne laissera sa place ! Quand on est fonctionnaire -et à cette place sans avoir vraiment fait ses preuves sinon par une certaines quantités de commandes de gros oligarques d'une certaine idée de la culture- on ne laisse pas sa place.

    Mais Olivier ne dit pas une chose, c'est que le Festival In -financé par l'Etat- risque d'être remis en cause cette année par les intermittents du spectacle ! Nos chers 'fonctionnaires officiels de la culture' sont plus virulents que les grévistes de chez Renault ou de Florange. Car eux bossent moins, et pour rien au monde ils ne se remettront à bosser. Parce que d'abord ils n'en sont plus capables... contrairement au off ne vit sans aucune aide de l'Etat. Décidément, ce n'est n'est pas celui qu'on nous avait annoncé, mais le changement c'est bien maintenant !"

    Finalement, interrogé par le Figaro, Olivier Py assure que la manifestation aura lieu de toute manière cet été. Et si le FN est élu, il annonce «sa démission ultérieure». Le voilà crédible...

    Michel Janva

  • Vote ouvrier FN : la preuve par Hayange et Engelmann

    Le monde ouvrier, trahi de toutes parts, se tourne de plus en plus vers les seuls qu’il n’a pas essayés, et qui parlent encore de lui.
    Il a à peine 35 ans. Il vient de l’extrême gauche, Lutte ouvrière, puis le Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Plombier, il était secrétaire du syndicat CGT des agents territoriaux de la mairie de Nilvange. Pour une fois, l’extrême gauche tenait un véritable ouvrier, pas un de ces fils de bourgeois qui ne sont que les enfants de leur lecture, et ne connaissent rien à la dure réalité du salariat. Il se présentait à chaque élection locale, et faisait de bons scores.
    Et puis tout s’est enrayé. Fabien a commencé à se poser des questions. La candidature d’une militante voilée, Ilham Moussaïd, soutenue par son parti aux élections régionales PACA, l’a plus que perturbé. Et il s’est mis à réfléchir, dans une région où les hauts-fourneaux ferment les uns après les autres, malgré les promesses de Sarkozy ou de Hollande, et les gesticulations de syndicalistes à la Édouard Martin, à la solde du PS.
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  • Face au « salon de l’érotisme » (sic), des jeunes patriotes interviennent

    Nous lisons sur son site que la section parisienne du Renouveau français est allée déployer une banderole et distribuer des tracts devant cette dégradante réunion (annoncée à grand renfort d’affiches dans Paris). Bravo les jeunes ! Ci-dessous le compte rendu.
    Signalons au passage que ce mouvement nationaliste organisait il y a quelques jours son université d’hiver annuelle, au programme alléchant.

    « On asservit plus facilement les peuples avec la pornographie qu’avec les miradors » A. Soljenitsyne

    Ce dimanche 23 mars, des militants de la section du Renouveau Français Paris se sont donnés rendez-vous pour tracter devant le salon de l’érotisme du Bourget.

    Dans un monde qui rejette la religion catholique sous prétexte de liberté de la femme, on assiste via le développement de l’industrie de la pornographie, à l’avilissement de cette image de la femme, présentée comme esclave d’une certaine sexualité masculine.

    La pornographie fausse et va jusqu’à détruire les relations sentimentales, annihile toute forme de dignité et anéantit le corps en le transformant en « viande » à consommer.

    C’est contre de telles dérives que les jeunes militants ont déployé une banderole sur les lieux avec inscrit : « Porno = Théorie, Viol = Pratique »

    http://www.contre-info.com/

  • "Non omnis moriar..." : Jean-François Mattéi vient de nous quitter...

     

    "Eadem velle, eadem nolle, ea est vera amicitia" : entre Jean-François Mattéi et nous, c’était bien sûr l’amitié d’esprit qui régnait. Mais pas seulement, et beaucoup plus : pour certains, l’amitié personnelle remontait même aux premières années, à l’époque de l’enfance et de la jeunese dans cette ville d’Oran, dans cette Algérie où il était né...

     

    En ce moment pénible, on ne peut, simplement, que lui dire "A Dieu" et, aussi "Merci". Oui, "Merci" car, s’il fut un ami fidèle, qui jamais ne déçut ni ne fit défaut, il fut aussi un Maître, et il nous enseigna...

    Avec ses leçons, c’est l’image de son sourire franc et chaleureux que nous voulons garder au moment où, nous associant à la douleur des siens, nous présentons à son épouse Anne, à ses trois enfants et à ses petits-enfants, nos condoléances les plus sincères.

    "Le meilleur d’entre nous subsiste, lorsque le matériel disparaît tout entier" (Charles Maurras).

    La Faute à Rousseau

    Il avait participé à plusieurs réunions d’Action française ainsi qu’au colloque Maurras, 60 ans après. Nous nous rappelons tous de son allocutation lors de notre Carrefour Royal du 18 janvier dernier.

    L’ACTION FRANÇAISE PRÉSENTE À SES PROCHES SES PLUS SINCÈRES CONDOLÉANCES

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Non-omnis-moriar-Jean-Francois

  • La Manif Pour Tous félicite tous les signataires de sa charte (ré)élus dès le 1er tour !

    Communiqué de LMPT :

    "Comme Philippe Brillault et Franck Meyer, porte-parole nationaux du mouvement, de nombreux signataires de la charte de La Manif Pour Tous pour les municipales 2014 ont été élus, ou réélus, dès le premier tour.

    C’est notamment le cas des quatre maires d’arrondissements de Paris élus dès le 1er tour : Claude Goasguen, Brigitte Kuster, Jean-Pierre Lecoq et Jean-François Legaret. Ils avaient tous signé la charte de La Manif Pour Tous. De nombreux parlementaires sont également concernés, notamment Etienne Blanc, Philippe Cochet, Charles de Courson, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Christophe Fromantin, Philippe Gosselin, Céleste Lett, Philippe Marini, Hervé Mariton, Olivier Marleix, Jacques Bompard, Christian Cambon, Patrick Balkany, Jean-Pierre Door, Joël Billard, François de Mazières, Jacques Kossowski, Alain Moyne-Bressand, Yannick Moreau, Jacques Myard, Laurent Wauquiez, Eric Woerth, Hugues Portelli… A leurs côtés, de nombreux nouveaux-venus en politique, jeunes pour la plupart, signataires aussi de la charte, siègeront dans ces conseils municipaux. Cette nouvelle génération de conseillers municipaux, issue de la mobilisation contre la loi Taubira et ses conséquences, renouvelle l'engagement politique.

    « La Manif Pour Tous le souligne régulièrement : les Français plébiscitent largement la famille, socle fondamental de la société, source de toutes ses richesses humaines et économiques et lieu irremplaçable d’éducation, de dignité et de solidarité. En toute logique, ce 1er tour des municipales atteste que les citoyens Français savent reconnaître ceux qui défendent la famille et assument leurs convictions » analyse Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. 

    La Manif Pour Tous suivra attentivement le 2e tour des municipales. Elle appelle les Français à voter pour les candidats qui ont signé la charte de La Manif Pour Tous en faveur de la famille, exprimant ainsi leur refus d'une société fondée sur l'individualisme. C’est ainsi que se lèvera une nouvelle génération d’élus, hommes et femmes de convictions, à la recherche du bien commun."

    Michel Janva

  • Que perdrait la France à rompre ses relations économiques avec la Russie ?

    Jeudi 20 mars, Vladimir Poutine a ratifié le traité de rattachement de la Crimée, région ukrainienne à majorité russophone.
    L’annexion en cours de la Crimée expose la Russie à des sanctions diplomatiques économiques de la part de la communauté internationale. Dans ce cas, quelles seraient les conséquences pour la France ? Revue des secteurs concernés.
    Pour l’instant, les sanctions sont légères. Coupable aux yeux de la communauté internationale d’annexer autoritairement la Crimée, violant ainsi l’intégrité territoriale de l’Ukraine, la Russie a été condamnée à des sanctions légères, notamment de la part de l’Union européenne : une trentaine de responsables russes et ukrainiens sont désormais personæ non gratæ au sein de l’Union, leurs visas étant interdits. Leurs avoirs financiers sont gelés. Prévu en juin, le sommet Union européenne-Russie est annulé. « L’Union européenne doit préparer des sanctions économiques contre la Russie en cas d’escalade supplémentaire », a déclaré jeudi François Hollande à Bruxelles lors d’un point presse au sommet des dirigeants européens après la ratification par Vladimir Poutine du traité de rattachement de la Crimée à la Russie.
    Si escalade il y a - pour l’instant, Moscou a promis de ne pas envahir l’est de l’Ukraine… -, d’autres sanctions plus lourdes sont-elles envisageables ? La France pourrait-elle rompre temporairement ou définitivement les ponts économiques avec la Russie ?
    La France peut-elle se passer du gaz russe ?
    Si cette solution était retenue, la France n’en retirerait qu’un petit bénéfice comptable, via un léger rééquilibrage de sa balance commerciale. Selon les services des Douanes, la France a accusé avec la Russie un déficit commercial de 2,8 milliards d’euros en 2013, à comparer à un déficit total de 61 milliards d’euros.
    Ce déficit bilatéral trouve son origine dans le faible montant des exportations tricolores vers la Russie, qui s’est élevé à 7,6 milliards l’année dernière - soit 1,8% des exportations totales estimées à 427 milliards d’euros -, essentiellement composées d’Airbus, de préparations pharmaceutiques, de parfums et d’automobiles. Des exportations qui pourraient être stimulées par la vente prévue de deux bâtiments de projection et de commandement Mistral, à moins que celle-ci ne soit annulée.
    Il s’explique également par les importations massives d’hydrocarbures et de leurs produits dérivés qui représentaient l’année dernières 80% des exportations russes vers la France.
    «Toutefois, bien que le montant de nos importations d’hydrocarbures et de gaz en provenance de Russie soit élevé, la France n’est pas vraiment dépendante de ce pays dans le domaine énergétique, ce qui n’est pas tout à fait le cas de nos amis allemands. Nous avons su diversifier nos approvisionnements » explique à La Tribune Nicole Bricq,  ministre du Commerce extérieur, rappelant toutefois que l’éventualité d’une rupture des relations économiques avec la Russie est pour l’instant inenvisageable.
    Un approvisionnement diversifié
    « La part russe dans les importations françaises totales de pétrole et produits pétroliers s’est élevée à 14,06% en 2013. Cette part était de 26,81% pour l’Allemagne. La part des importations françaises de gaz qui provenait de Russie était de 13,55% en 2011. Elle grimpait à 30,22% pour l’Allemagne » détaille Eric Dor, le directeur des Etudes Economiques de l’IESEG School of Management et de l’Université catholique de Lille, citant les statistiques d’Eurostat, l’Office européen des statistiques.
    Pour le pétrole, les principales sources d’approvisionnement de la France sont, outre la Russie, la Norvège, l’Arabie Saoudite et le Kazakhstan. Ses importations de gaz proviennent également de Russie mais aussi de Norvège, des Pays-Bas, d’Algérie et d’Egypte.
    Des conséquences micro-dramatiques très importantes
    Mais la question de l’approvisionnement énergétique n’est pas la plus importante. Au niveau micro-économique, les conséquences d’une telle décision seraient très probablement plus néfastes pour la France que pour la Russie. Actuellement, 400 filiales d’entreprises françaises sont implantées en Russie, notamment dans le secteur automobile (Renault, PSA, Michelin…), la distribution (Auchan, Carrefour…), le BTP (Bouygues, Vinci …) l’agro-alimentaire (Lactalis, Danone, Pernod-Ricard…), l’électronique (Alcatel-Lucent…), les services (Accor, Amadeus, Club Med…) pour les plus renommées d’entre elles.
    Les Russes investissent peu en France
    Au total, le stock d’investissements directs de la France en Russie s’élève à 8,7 milliards d’euros : un montant à comparer aux estimations des experts du Cercle Kondratieff, de l’Agence française pour les investissements internationaux (AFII) et de l’INALCO  qui s’élevait à 1,1 milliard d’euros en mai 2013 contre 310 millions en 2011 et 150 millions en 2010. En 2012, la présence russe en France représentait quelque 35 entreprises avec environ 5.000 salariés.
    Les banques françaises sont très exposées
    Le secteur bancaire serait également touché, les banques françaises étant les plus exposées en Russie. « Les créances des banques françaises sur des débiteurs russes s’élèvent à 36,505 milliards d’euros, dont 3,92 milliards d’euros sur des banques russes. Par comparaison, l’exposition des banques allemandes à la Russie s’élève à 17,011 milliards d’euros », observe Eric Dor. Cette exposition est toutefois sans commune mesure avec celles des banques françaises en Italie par exemple. Selon le Trésor, le système bancaire français est le premier créancier de la Péninsule, avec une exposition totale de 351 milliards d’euros en septembre 2013.
     Fabien Piliu, 21/03/2014
    Source : La Tribune
    http://www.polemia.com/que-perdrait-la-france-a-rompre-ses-relations-economiques-avec-la-russie/

  • Naissance et mort font le roi...

    Lors de mes pérégrinations militantes ou d’interventions sur la toile, de nombreuses questions me sont posées sur ce que pourrait être la monarchie que je souhaite mais aussi sur les risques qu’elle pourrait rencontrer (et qu’elle a parfois rencontrés dans son histoire) et, par la même occasion, faire courir à l’institution et à la France même. Je vais essayer de répondre à quelques objections et interrogations sur certaines de ces questions à travers les lignes suivantes.
    « La monarchie a pour principe de base qu'une personne non sélectionnée pour ses qualités propres, mais bien pour son sang, gouverne ? Si le nouveau roi est atteint d’un désordre mental ou à des opinions très laxistes... dans le 1er cas, la nation pourrait avoir du mal à s'identifier et donc s'unir derrière cette personne. Dans le 2ème cas, le pouvoir pourrait changer, comme sous Louis XVI ici ou Nicolas II à l'Est », m’écrit une internaute.
    Effectivement, le roi n’est pas issu d’une sélection électorale et ses qualités propres ou ses compétences, quelles qu’elles soient par ailleurs, ne sont pas prises en compte pour son accession à la magistrature suprême de l’Etat : c’est la naissance et la mort qui lui ouvrent les portes du Pouvoir. Naissance, car il est le fils du roi régnant, l’aîné dans la tradition française ; mort, car c’est la mort du père roi qui « fait » roi le fils. La mort qu’aucun fils ne souhaite à son père : de la tragédie humaine et familiale sort le nouveau monarque, entre deuil et devoir. Aucun choix là dedans : le hasard ou la providence, seulement… Mais, au lieu d’être un handicap, il me semble que c’est plutôt un avantage car le roi ne doit son trône qu’à cette double histoire particulière, à la fois joyeuse et tragique. La naissance ne s’achète pas, l’heure de la mort (a priori) ne se décrète pas, sauf exception dramatique.
    C’est la naissance qui donne au nouveau roi son indépendance : il ne doit rien à personne, n’étant pas l’élu d’un clan contre un autre, n’ayant pas eu à promettre pour monter sur le trône ni de campagne électorale à faire dont on sait combien elle peut diviser l’opinion au point de la fracturer en camps irréconciliables.
    Ce ne sont pas ses compétences qui importent, en fait, mais bien plutôt cette indépendance consubstantielle à son mode de désignation, ce qui n’empêche pas, bien sûr, qu’il ne soit pas indifférent aux débats en cours et aux arguments des uns ou des autres : pour être roi « au dessus des partis », comme le soulignent de nombreux constitutionnalistes, il n’en est pas moins un être sensible et pensant, parfois sujet de sentiments et de contradictions… D’autre part, c’est cette indépendance statutaire qui lui permet de choisir - parfois en s’aidant des indications que lui donne le suffrage universel ou, dans d’autres cas, dans l’urgence d’une situation qui nécessite des hommes d’exception (sans être forcément providentiels..) ou reconnus par le monde économique ou la classe politique comme tels – ceux qui peuvent dénouer les crises ou, simplement, gouverner au mieux des intérêts de la nation. L’histoire de la monarchie française en a donné quelques exemples fameux, en d’autres temps, même si le choix de Louis XIII en faveur d’un cardinal de Richelieu impopulaire en son temps reste le plus célèbre et, peut-être, le plus judicieux, au regard de ses conséquences heureuses pour la pérennité de notre puissance politique et historique…
    Néanmoins, la question de la faiblesse ou de la maladie mentale du roi se pose, comme, d’ailleurs, elle peut se poser pour tout homme et, si l’on scrute l’histoire de la République, pour le président lui-même comme ce fut le cas de Paul Deschanel en 1920. Ainsi, le roi Charles VI, au moment de la guerre de Cent ans, souffrit d’épisodes de démence qui faillirent emporter la France et lui donner un maître anglais : mais le peuple continua à lui être fidèle, voyant à travers sa folie le symbole des malheurs qui touchaient le royaume, comme si la souffrance du roi était l’incarnation la plus « parfaite » de l’état de la nation… « Terre et Roi ne font qu’un », entend-on dans le film Excalibur dans la bouche de Merlin l’enchanteur, et cette formule résume le mieux l’état d’esprit du moment.
    Aujourd’hui, la situation est évidemment différente et, s’il arrivait par malheur que le roi, ou son dauphin, soit atteint par une maladie qui l’empêcherait d’exercer sa fonction dans de bonnes conditions, il serait tout à fait logique qu’il abdique dans le respect des règles successorales, laissant donc sa place au « suivant » dans la lignée dynastique. D’ailleurs, les récentes abdications de la reine des Pays-Bas et du roi des Belges dans l’année 2013, abdications qui n’avaient pas le motif de la maladie mais plutôt d’une vieillesse qu’ils considéraient comme désormais incapacitante, ouvrent la voie à une certaine extension de cette possibilité sans changer la logique de la succession dynastique qui est la principale force de la Monarchie et de sa légitimité.
    (à suivre)
    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1135:naissance-et-mort-font-le-roi&catid=48:2014&Itemid=59

  • [Nantes] Cercle d’études du 29 mars : L’Empirisme organisateur

    Le prochain cercle d’étude de l’AFE de Nantes et de l’URBVM aura lieu le samedi 29 mars et aura comme thème : L’Empirisme organisateur.

     

    Pour tout renseignement : urbvm@hotmail.fr

    nantes.etudiants@actionfrancaise.net

  • Les Français ont fait le choix de la jacquerie électorale

    Communiqué du député-maire d'Orange Jacques Bompard :

    "Jacques Bompard se félicite des excellents résultants de la droite française lors de ce premier tour des élections municipales. Accablés d’impôts, exaspérés par une immigration destructrice et humiliés par un président indigne, les Français ont fait le choix de la jacquerie électorale.

    Les sondages, pourtant, les poussaient au panurgisme en diffusant des informations biaisées sur les intentions de vote comme nous avons pu le voir à Hénin-Beaumont, à Béziers ou encore à Marseille.

    Il est temps désormais de réaliser l’union des droites contre la politique inique et anti-française de la gauche unitaire. Ceux qui l’accompliront se hisseront au niveau de cet instant marquant de notre histoire électorale quand les autres garderont des réflexes étriquées conduisant à la défaite et au désamour pour une caste politique éloignée des préoccupations concrètes des Français.

    J’en appelle à l’union des droites pour le triomphe du bon sens contre la gabegie et le désordre. Je suis reconnaissant aux Orangeois d’avoir massivement validé cette politique dès le premier tour. Le bon sens peut l’emporter contre les excès du pire président de la cinquième république : aux candidats de faire leur choix !"

    Michel Janva