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  • NON à l’Union Européenne SAMEDI 5 AVRIL 2014 À CAEN

    L’UE : une imposture anti-démocratique. C’est une structure supranationale, non élue qui gouverne la France : « Il n’y a plus de politiques nationales » ! Les Français se trouvent dépossédés du pouvoir de décider des choix stratégiques de la France, de la politique étrangère, de défense nationale, des choix sociaux, économiques, monétaires, environnementaux

    L’UE c’est la guerre. La France se trouve sous la tutelle militaire de l’OTAN. Elle n’est plus que le vassal de l’impérialisme euro atlantique belliqueux, se laissant entraîner dans des conflits qui violent le droit international (Irak, Libye, Syrie, bientôt l’Ukraine ?).

    L’UE : cheval de Troie du mondialisme au service d’une l’oligarchie apatride, des banques et des multinationales. La Commission européenne empêche toute mesure de protection et de barrière douanière. L’UE veut nous imposer le Grand marché transatlantique (TAFTA), projet de libre-échange inique et sournois qui favorise le dumping social et fiscal contre l’intérêt des travailleurs.

    L’UE c’est l’austérité et la précarité : par la mise à mort de notre système social, le pillage de nos entreprises, et de nos commerces. La zone Euro est au bord de l’effondrement économique et souffre d’un chômage de masse endémique.

    L’UE c’est la destruction de notre agriculture. Bruxelles a programmé la disparition de notre agriculture traditionnelle, nos paysans sont ruinés.

    L’UE c’est l’immigration de masse et la destruction de notre identité. Les accords de Schengen ont aboli tout contrôle aux frontières et transformé notre pays en une passoire.

    L’UE c’est la destruction programmée de la famille et la corruption de nos enfants. Rapports Estrela et Lunacek. (Identité de genre, propagande auprès de la jeunesse dans l’éducation, imposition du mariage homosexuel à tous les États membres).

    - Parce que « Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », vaut aussi pour la France.
    - Parce que le redressement de notre pays nécessite la sortie de l’UE : nous voulons une France souveraine !

    Notre combat pour une France libre n’est ni de droite, ni de gauche car la Liberté n’est pas une option politique.

    NOUS APPELONS TOUS LES PATRIOTES À MANIFESTER CONTRE L’UNION EUROPEENNNE

    LE SAMEDI 5 AVRIL 2014 À CAEN

    14H00 place de la Résistance

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?NON-a-l-Union-Europeenne-SAMEDI-5

     

     

  • AFE [Aix] Cercle du mardi 25 mars

    L’AFE d’Aix annonce le prochain rdv du cercle Mistral, le mardi 25 mars 2014 à 18h00 sur le thème de "La Monarchie, une idée d’avenir ? " par Hussard.

    Renseignements :

    aix.etudiants@actionfrancaise.net

     
  • Quelle sera l'attitude des candidats UMP face au FN ?

    Le Front national arrive en tête dans 16 communes de plus de 10 000 habitants et 7 autres villes de moindre importance. Il sera présent dans 229 triangulaires. En 1995, lors du précédent record, il y avait eu 116 triangulaires. Le FN s'offre même une victoire dès le premier tour à Hénin-Beaumont.

    Marine Le Pen a annoncé « la fin de la bipolarisation ». « Les Français se sont libérés du faux choix droite-gauche ». Nicolas Bay, secrétaire général adjoint du FN, peut être satisfait, lui qui déclarait :

    « Nous devons constituer un maillage territorial important, pour s'y appuyer lors des échéances nationales. C'est un travail sur le long terme ».

    A Marseille, Stéphane Ravier se place en seconde position et devance même Patrick Mennucci, le candidat PS. A Perpignan (120 000 habitants), Louis Aliot, vice-président du FN devance le maire sortant, Jean-Marc Pujol (UMP) : 34,20 % contre 30,57 %. Même chose à Béziers où la liste soutenue par le FN obtient 44,9 %.

    Le FN aborde donc le second tour en position de force. Dans les villes où il se retrouve en triangulaire, il peut exercer une pression forte sur l'UMP, surtout si sa liste devance celle de droite. Si la règle édictée par Marine Le Pen est de se maintenir systématiquement, des échanges de bons procédés ne sont pas à exclure. Mme Le Pen n'a d'ailleurs pas rejeté cette possibilité :

    « La règle est que nous nous maintenions partout où nous en avons la possibilité. Le bureau exécutif se réunira lundi pour examiner les situations locales et décider d'exceptionnels accords de second tour ».

    Michel Janva

  • Elections municipales : quelques résultats (suite)

    A Meaux, Jean-François Copé a été réélu pour la quatrième fois avec environ 64% des voix.

    Les résultats sur le site du ministère de l'Intérieur.

    A Neuilly, Jean-Christophe Fromantin est réélu avec plus de 66% des voix.

    Philippe Gosselin est réélu à Rémilly sur Ozon (50).

    A Digne-les-Bains (Alpes-de-Haute-Provence), le FN est en tête avec 27,69% des suffrages, talonnée par la liste DVG de Patricia Granet (26,08%) et la liste DVG de Franck Di Benedetto (20,35%). L'UMP Christian Barbero a recueilli 16,54% des voix, le DVD Gérard Segond 9,34%. 

    A Bordeaux, Alain Juppé est réélu. La ville compte tout de même 44,7% d'abstentionnistes.

    Le maire sortant DVD de Versailles, François de Mazières, arrive largement en tête, selon une estimation portant sur 36 des 41 bureaux de vote. Il totalise 54,69% des voix devant Isabelle This Saint-Jean (PS), 14,35%, François Siméoni (FN), 11,19%; Benoït de Saint-Sernin (DVD), 9,53%, Fabien Bouglé (Versailles Famille Avenir), 8,15% et Thibault Mathieu (Versailles nous rassemble), 2,09%.

    En Gironde, Yves d'Amecourt, maire UMP de Sauveterre et l'un des maires à avoir saisi le Conseil Constitutionnel contre la Loi Taubira, a été réélu au premier tour.

    Philippe Brillault est réélu au Chesnay.

    Jean-Marc Nesme est réélu avec 78,8% des voix à Paray-le-Monial.

    A Villers-Cotterets, le FN est en tête avec 32% des voix.

    Le PS est confronté à un second tour à Nantes, ce qui ne s'était pas produit depuis 1989.

    A Brignoles, dans le Var, le FN se retrouve en tête avec 37,07% des voix, devant la liste d’union de la droite, 35,54%. Le PS et le Front de Gauche obtiennent 27,39% des voix. 

    Malaise au PS :

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    Avec ses gros sabots, Libé nous joue le coup du bruit de bottes :

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    A Nice, Christian Estrosi est contraint au second tour avec 44%, alors qu'il avait fait d’une réélection dès le premier tour son principal objectif. Marie-Christine Arnautu (FN) est créditée de 15% des voix, Olivier Bettati, ancien adjoint de Christian Estrosi, entré en dissidence, obtient 11%. Patrick Allemand, le socialiste, réalise 15 % des voix.

    A Chauffailles, Marie-Christine Bignon est réélue avec 67,70% des voix.

    A Paris, les résultats sont mitigés. Sur la totalité de Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet recueillerait 35,8% contre 34,5% pour Anne Hidalgo. Seulement, la gauche serait en tête sur deux arrondissements clés, le XII° et le XIVe (où se présente NKM), nécessaires pour remporter la Mairie de Paris. Dans le 1er arrondissement : Legaret (UD-UMP) est élu avec 51,72% contre Raoul (UG-PS) 27,36%; Bourguinat (EELV) 10,84%; Rauch (FN) 5,03%.

    Xavier Lemoine réélu à Montfermeil, 61,34%.

    A Lyon, contrairement à 2008, où il l'avait emporté dès le premier tour, le maire de Lyon Gérard Collomb (PS) est en ballottage, même si sa liste arrive largement en tête d'un scrutin marqué par une poussée du Front national, qui peut se maintenir dans tous les arrondissements.

    Michel Janva

  • Liberté, égalité, fraternité

    I - LIBERTÉ
    Il y a quelques mois, nous avons cité et commenté une page du Mythe de la Liberté où Sisley Huddleston montrait que cette mystique menait à l’oppression et à la terreur : « Le vrai symbole de la Liberté, écrivait-il, c’est la guillotine, et je voudrais qu’à l’entrée du port de New-York, à la place de la déesse à la torche, on mît l’échafaud où ont fini toutes les revendications humaines au nom de la Liberté. »
    Dans la préface de Romantisme et Révolution, Charles Maurras consacre quelques pages aux trois termes de la devise républicaine. Il le fait dans une autre perspective en allant à l’essence même des principes. Ces pages capitales seront reprises dans Sans la muraille des cyprès… (J. Gilbert, Arles, 1941).
    « Des trois idées révolutionnaires que nous avons inscrites sur nos murs, la première, le principe de la liberté politique, constitutif du système républicain, a tué le respect du citoyen, je ne dis pas seulement pour les lois de l’État qu’il considère comme de banales émanations d’une volonté provisoire (comme l’est toute volonté), mais aussi et surtout pour ces lois profondes et augustes, leges natae, nées de la nature et de la raison, où les volontés du citoyen et de l’homme ne sont pour rien : oublieux, négligent, dédaigneux de ces règles naturelles et spirituelles, l’État français perdit prudence, exposé ainsi à fléchir. »
    La liberté politique posée comme principe absolu rend les lois de l’État révocables par le suffrage des élus ou le suffrage de tous les citoyens. Elles ne sont plus que des règlements provisoires qu’on observe sans les respecter ; si on ne les approuve pas, on prend son mal en patience en militant pour un changement de majorité au prochain scrutin.
    Les républiques antérieures à la Révolution avaient leurs tares, mais elles avaient également leurs freins : la loi naturelle (leges natae), « les lois divines et humaines », comme dit Cicéron, devant lesquelles le Conseil ou le Sénat, les assemblées populaires de l’Agora ou du Forum ne pouvaient que s’incliner avec respect. Au-dessus de la Cité régnait la Loi qui la gardait et la protégeait.
    Frénésie destructrice
    Avisant un jour dans une galerie de son palais une personne qu’il ne connaissait pas, Henri IV, voulant savoir de quel grand seigneur dépendait ce simple gentilhomme, lui demanda à qui il appartenait. « À moi-même » répondit l’homme avec une certaine impertinence. « Vous avez là un bien sot maître », répliqua le Béarnais. Le citoyen de la République française dépend lui aussi d’un bien sot maître, sa volonté, capricieuse, fluctuante, influençable et malléable.
    Pendant longtemps, le poids du passé préserva la République de l’exercice complet de la Liberté, les lois naturelles furent respectées malgré de sérieuses entorses sociales et morales, parce qu’on ne pensait pas à les violer par principe. Mais depuis plusieurs dizaines d’années la démocratie est entrée au plus intime des moeurs ; elle atteint et dépasse le niveau de la démocratie politique. Une frénésie de bafouer, de détruire a saisi notre société. Les lois les plus élémentaires de la famille, les lois fondamentales de la Vie et de la Mort sont remises en cause. Après avoir désacralisé le mariage, par exemple, la liberté politique absolue veut le faire descendre au-dessous de l’accouplement des animaux. Ne sollicitons pas un texte de Maurras au-delà du raisonnable ; il n’a pas pensé au PACS ou au mariage entre personnes du même sexe, mais il a bien discerné que la Liberté, dans son essence, menait à la ruine et à la mort : « Il ne faut pas dissimuler que l’on court le risque de voir ainsi s’éteindre l’homme même, l’homme politique et l’homme raisonnable, l’homme artiste et l’homme chanteur. Qui prolonge la double courbe romantique et révolutionnaire ouvre à l’Esprit une ample liberté de mourir. »
    Gérard Baudin L’Action Française 2000 n° 2742 – du 21 février au 5 mars 2008

  • Hier soir, petit moral pour la soirée électorale…

    Petite forme hier soir pour les membres du gouvernement sur les plateaux télévisés. C’est le problème quand on a fait pendant deux ans sa Catherine II de Russie dans son village Potemkine, le retour à la réalité fait souvent assez mal.
    Il faut croire que tous les gueux, les manants, les gagne-petit qui ont protesté, tempêté, manifesté, pétitionné, mis des bonnets rouges, des gilets jaunes, des polos roses, qui ont brandi des pancartes, agité des calicots, fait des opérations escargots, déversé du fumier, brûlé des portiques, affronté les forces de l’ordre dans l’espoir frénétique perpétuellement déçu d’attirer leur attention, sans compter ceux, et ils étaient sans doute les plus nombreux, qui rongeaient leur frein en silence… les attendaient au tournant. Dans la vie, il suffit parfois d’être patient.
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  • 15 000 euros, le coût du vote d'un électeur

    Pas n'importe lequel : afin d’aller voter en Corrèze, François Hollande a emprunté un Falcon. Coût de ce caprice pour le contribuable : 15 000 euros. Un vote normal.

    Michel Janva

  • Le rapport qui fait peur aux collectivités locales

    Un document remis tout début mars à l'Elysée préconise une cure d'austérité aux communes, aux départements et aux régions. Au risque d'une mise sous tutelle. Explosif !
    Les pères de la décentralisation devraient se retourner dans leur tombe. Le rapport -- d'étape, au stade actuel -- a été remis en toute discrétion le 3 mars à l'Elysée. Sous l'appellation volontairement technocratique « Pour une maîtrise collective des dépenses publiques », il dissimule en fait une petite bombe politique qui risque, si ses conclusions sont retenues par le président de la République, d'entraîner un bouleversement radical du fonctionnement des communes, des départements et des régions ainsi que leur relation avec l'Etat.
    Le contexte est sans surprise : pour casser la spirale infernale de notre endettement, le gouvernement, pressé par Bruxelles, est à la recherche de 50 Mds€ d'économies d'ici à 2017. Un effort à partager entre l'Etat, la Sécurité sociale et les administrations locales.
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