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  • L’Unedic prévoit encore 300.000 chômeurs de plus en 2014 et 2015

    La dette totale de l’assurance-chômage devrait dépasser 28,5 milliards en 2016.

    Cliquer sur l’image pour l’agrandire

    La courbe du chômage n’est pas près de s’inverser… Selon les dernières prévisions de l’Unedic, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A à Pôle emploi devrait encore bondir de 163.200 sur l’ensemble des années 2014 et 2015. Sur les trois premiers mois de l’année, il a déjà progressé de 42.000… Pis, si on ajoute aux inscrits de la catégorie A les chômeurs en activité réduite (recensés en B et C), la progression sur deux ans devrait dépasser cette fois-ci les 300.000 !

    Le vrai retournement proviendrait de l’emploi salarié qui, après avoir reculé de 23.600 au premier trimestre, repasserait dans le vert à la fin de l’année. Une inversion de tendance trop tardive et surtout insuffisante pour finir 2014 sur un résultat positif, puisque le régime d’assurance chômage pronostique que la France comptera 27.400 emplois salariés de moins au 31 décembre prochain. Il faudra en réalité attendre 2015 pour voir le nombre de créations d’emplois sur une année afficher un solde positif, à + 66.400.

    Ces mauvais résultats sur le front de la lutte contre le chômage auront un impact sur l’équilibre financier de l’Unedic. Loin de se résorber, le trou du régime d’assurance chômage se stabiliserait à 3,7 milliards fin 2014 et 3,6 milliards fin 2015. Conséquence, la dette continuerait de grimper pour atteindre 25 milliards à la fin de l’année prochaine et les premières projections pour 2016 indiquent qu’il devrait dépasser… 28,5 milliards.

    Cela aurait pu être pire. Toujours d’après l’Unedic, les nouvelles règles d’indemnisation arrêtées fin mars entraîneraient une réduction du déficit de 300 millions au second semestre 2014 et de 830 millions en 2015. Résultat, si le trou de l’Unedic augmentera légèrement moins que prévu (par rapport aux prévisions établies en mars), ce n’est pas grâce à l’amélioration de la conjoncture ou à la politique du gouvernement. Mais uniquement en raison des moindres dépenses et des recettes supplémentaires engendrées par la nouvelle convention définies par les partenaires sociaux.

    Le Figaro

    http://fortune.fdesouche.com/340587-lunedic-prevoit-encore-300-000-chomeurs-de-plus-en-2014-et-2015#more-340587

  • Jacques Bompard pointe le laxisme des services de Taubira

    Question du député-maire d'Orange :

    "M. Jacques Bompard alerte Mme la garde des sceaux, ministre de la justice, sur le drame survenu le mardi 20 mai à Caluire où un détenu de 49 ans a tué son ex-femme de plusieurs coups de hache alors qu'il était en permission de sortie depuis la veille. L'individu était incarcéré à la prison de Corbas dans le Rhône pour des faits de violences ayant déjà concerné la victime. Une permission d'une semaine lui avait été accordée pour qu'il puisse se rendre à des entretiens d'embauche, sa sortie définitive de prison étant alors prévue pour le mois de juillet. L'octroi de cette permission peut surprendre puisque l'individu aurait proféré des menaces à l'encontre de son ex-femme. Une ordonnance de protection aurait dû être mise en place. Une fois encore, le laxisme judiciaire met en danger la vie des citoyens. M. Jacques Bompard demande donc à Mme la ministre ce qu'elle compte faire pour assurer la sécurité des citoyens face aux délinquants et aux criminels."

    Réponse dans combien de mois ?

    Michel Janva

  • Une école supprime les fêtes des mères et des pères

    « L’école La Chavanne à Allinges (Haute-Savoie) vient de rayer de son programme les fêtes des mères et des pères.

    C’était l’occasion pour les élèves de réaliser un travail autour de ce thème. Le Conseil des maîtres en a décidé ainsi et en a fait part par écrit aux parents.
    L’argument? La direction de l’école souhaite éviter « des situations délicates pour de nombreux élèves dans l’école à l’évocation des fêtes des mères ou des pères ». Donc, il n’y aura pas de « cadeaux » pour les parents (…) »

    Source
    Merci à Miserecor

    http://www.contre-info.com/

  • Mai 1945 : la France livre 102.481 prisonniers russes à Staline…

    Entretien avec Manuel Gomez

    En mai 1945, 102.481 Russes ont été livrés à Staline par de Gaulle et son gouvernement de gauche : ils ont tous été exécutés !

    Conformément aux accords de Yalta, signés entre Staline, Roosevelt et Churchill, alors que de Gaulle et la France sont totalement ignorés, un véritable holocauste s’est produit à la Libération. À la différence de la Shoah, l’extermination de plus de 3 millions de Russes a fait l’objet d’une totale omerta de la part de tous les États. Ce fut un crime contre l’humanité qui dépasse tout ce que l’on a connu et condamné depuis.

    Les uniques responsables de cet holocauste sont l’URSS et Staline, mais avec la complicité des gouvernements de la Grande-Bretagne et des USA tout d’abord, puis de la France et des autres pays alliés, à l’exception du Liechtenstein.

    Lors de l’invasion de l’URSS et de la Pologne, les Allemands capturèrent près de trois millions de Russes, avec femmes et enfants, pour les déporter comme travailleurs dans les différents pays envahis par l’Allemagne. Il ne s’agissait pas uniquement de Russes mais également de Cosaques, Caucasiens, Baltes et Ukrainiens, notamment les dizaines de milliers qui avaient émigré afin de trouver des conditions de vie meilleures que dans leur pays. Nombreux avaient été enrôlés dans la Wehrmacht, surtout ceux qui étaient contre le régime communiste instauré par la révolution d’Octobre. Ils s’étaient regroupés dans l’armée Vlassov afin de poursuivre la lutte.

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  • BOKO HARAM ET LE NIGERIA

    Ce n'est pas une guerre de fillettes

     Michel Lhomme 

    Ex: http://metamag.fr

    L'opération médiatique de Boko Haram marche. On ne parle maintenant que de fillettes enlevées, la larme chrétienne à l'œil. Elles le furent quand même mi-mars, soit il y a  plus d'un mois ! En fait, depuis 3 ans, le Nigeria est la proie d’une insurrection qui se manifeste par des attentats réguliers et violents, des attaques sporadiques sur les bâtiments publics, des massacres de civils, des prises d'otages occidentaux, en général des prêtres ou des religieuses, monnaie d'échange pour le financement des bandes armées mais surtout bon service de propagande indirecte. La frontière avec le Cameroun échappe totalement à l'Etat central. Le pays est donc en état de décomposition avancée et un groupe obscur qui porte le nom de Boko Haram a revendiqué la plupart des attentats qui ont eu lieu dans le pays.

    Dans la foulée des attentats et des attaques sporadiques qui avaient eu lieu en octobre 2013 à Damaturu au Nord-est du Nigeria  c'est-à-dire à quelques kilomètres de Ndjamena (Tchad), l'ambassade des Etats-Unis avait émis un communiqué public étonnant qui, pour certains observateurs, révélait que l'ambassade des États-Unis en savait beaucoup plus sur l'attentat que ce qu'elle prétendait. Depuis les révélations de Wikileaks, on n'ignore plus le rôle que le gouvernement américain a joué ou peut jouer dans les actes de déstabilisation contre le Nigeria. Wikileaks avait en effet identifié l'ambassade américaine au Nigeria comme l'avant-poste opérationnel pour des actes de subversion contre ce pays, qui ne se limitaient pas seulement à la mise sur écoute classique des communications du gouvernement mais visaient tout à la fois l'espionnage économique des multinationales travaillant dans la zone pétrolière de Port-Harcourt, le soutien et le financement de groupes subversifs et d'insurgés, le parrainage d'une propagande de discorde entre groupes ethniques et religieux, à côté d'une politique classique de visas accordés aux politiques et hommes d'affaires nigérians en échange de la défense des intérêts américains.

    Les activités subversives de l'ambassade des États-Unis au Nigeria s'inscrivent dans une politique plus large, une politique de containment (pour reprendre l'expression anglo-saxonne) du Nigeria dans le but ultime d'éliminer tout simplement le pays, puissance économique en construction et véritable bombe démographique de l'Afrique de l'Ouest. Les Etats-Unis ne peuvent tolérer et admettre un Nigéria fort, futur rival stratégique des États-Unis sur le continent africain. 

    Boko Haram dans la stratégie américaine

    Pour comprendre ce qui se passe au Nigéria, il faut revenir en fait sur la guerre libérienne. En 1997, sous l'administration Clinton, avait été mis en place l'ACRI (African Crisis Response Initiative), forte à peu près de 15 000 hommes. Officiellement chargé d'humanitaire et d'entraînement au maintien de la paix, l'ACRI permit en réalité de moderniser et d'adapter les forces locales aux normes des forces américaines. L'ACRI fut pensé comme un contrepoids aidant le gouvernement nigérian dans sa conduite du groupe armé ECOMOG de la CEDEAO qui fut chargé dans la guerre civile libérienne de surveiller les cessez le feu et d'assurer le maintien du pays pour les pays de la Communauté Economique de l'Afrique de l'Ouest. L'ACRI produisit ainsi des recommandations, apporta son soutien dans la guerre civile libérienne et en fait orienta les forces de l'ECOMOG.

    Les Etats-Unis se félicitèrent alors du rôle central du Nigéria dans la crise libérienne, qui permit aux les Etats-Unis d'éviter une intervention directe et ils autorisèrent alors la CEDEAO à aller jusqu'au bout, le principal bénéficiaire étant à ce moment là le Nigeria. C'est dans ce contexte que se forma chez les diplomates et militaires américains l'idée de base d'une Pax Nigeriana dans la sous-région de l'Afrique de l'Ouest, une Pax Nigeriana éclipsant totalement l'influence des anciennes puissances coloniales, à savoir la Grande-Bretagne mais surtout, la France. Puis si l'on consulte de près les rapports sur l'ACRI on note que le Libéria étant une création américaine, le Liberia ne devait absolument pas tomber dans les mains du Nigeria. Deux rapports internes de la NSA indiquent par exemple que le Nigeria devrait être autorisé à avoir un pied au Libéria. Sans cesse, on redit dans ces textes qu'il faut contenir le Nigeria qui pourrait être enclin à contester la primauté des États-Unis et de l'Occident dans ces régions à fort potentiel économique.

    Bref, le gouvernement des États-Unis cherche à contenir absolument l'influence croissante du Nigeria dans la région par la formation d'une organisation parallèle à l'ECOMOG, en utilisant la diplomatie secrète ou parallèle, autrement dit dans le jargon des services, la déstabilisation interne. C'est dans l'opacité de l'ACRI, de l'ECOMOG, dans la confusion de tous ces rapports internes de la diplomatie et de l'armée américaine que finalement l'US Africa Command ou AFRICOM a été formée. 

    Et avec l'AFRICOM, tout change

    L'AFRICOM, créée le 1er Octobre 2008, est clairement programmée pour servir les intérêts militaires et stratégiques américains et en particulier pour contrer la portée et l'influence croissante de la Chine en Afrique. L'objectif de l'Africom est de s'approprier les principaux sites stratégiques en Afrique et de les placer le sous le contrôle direct des États-Unis afin de bloquer l'accès de la Chine aux ressources énergétiques et minérales vitales pour son économie. Mais pour mener efficacement cet objectif, les pays africains d'importance stratégique doivent devenir vulnérables afin de demander la protection et l'intervention des États-Unis. C'est ce se passe à Abuja (Nigéria), dans la région des grands lacs où les forces spéciales américaines ont été déployées sous prétexte de protéger les pays, d’insurgés autrefois parrainés par les États-Unis eux-mêmes. Au Soudan, nous avons vu aussi comment une couverture globale de crises humanitaires internationales orchestrées par les États-Unis à partir de la crise du Darfour a servi de prélude au démembrement du Soudan, à sa partition pour punir le gouvernement d'El-Béchir d'oser conclure des accords pétroliers avec les Chinois au détriment des entreprises américaines. En République Centrafricaine, rappelons que le renversement de Bozizé fut aussi la conséquence des pourparlers économiques initiés avec les Chinois. La Libye et Kadhafi ont été liquidés pour avoir osé détourner les intérêts pétroliers américains. Mais le plus grand défi pour l'AFRICOM, son plus grand objectif est de déployer la PAX AMERICANA en Afrique et pour cela, il lui faut mettre totalement au pas le pays africain le plus stratégique à savoir, le Nigéria. C'est cette question qui fait rage autour de Boko Haram et qui intervient juste après une prédiction largement rapportée par l'Intelligence Council des États-Unis sur une désintégration probable du Nigeria en 2015. De fait, la nature du soulèvement Boko Haram a suscité beaucoup de questions chez les Nigérians. Quels sont leurs réels griefs ? Ce n'est pas clair. Pourquoi ont-ils toujours refusé les demandes de négociations des autorités nigérianes ? Pourquoi sont-ils en mesure de perpétrer leurs attaques avec une relative facilitée ? Le Nigéria plutôt bien éduquée à l'anglaise n'était pas habitué à une telle violence sectaire. Enfin, comment un groupe hétéroclite de personnes très jeunes largement analphabètes, opérant principalement sur Okada ont-ils pu se transformer du jour au lendemain en groupe puissant au point d'être en mesure de concevoir, fabriquer et déployer des bombes dans des bâtiments d'importance et dans des véhicules coûtant plus d'un million de nairas tout en menant des attaques dans plusieurs endroits du pays ?

    Une telle coordination logistique suppose un poste de commandement, pas une réunion de bandits en pleine poussière sur le capot d'un 4x4 fut-il flambant neuf et un tel centre de décision ne pourrait pas en Afrique rester inaperçu, d'autant que la couverture satellitaire américaine est essentiellement axée sur cette région. Ainsi, ce n'est pas une coïncidence ni une simple conjecture si comme nous le relevions plus haut le Conseil national du renseignement américain a estimé que le Nigeria va se désintégrer en l'an 2015, juste avant les prochaines élections générales.Pour nous, l'opération vient de commencer.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/05/19/boko-haram-et-le-5372800.html

  • Où va l’argent ? Sommes nous sérieux sur la question du financement de l’action ?

    Il est des budgets dont personne ne parle même quand on cherche 50 milliards d’euros d’économie. La réforme Peillon a créé 6000 nouveaux postes de permanents de l’Education nationale pour lutter contre les stéréotypes et promouvoir l’égalité homme femme (en fait pour promouvoir le genre qui n’existe pas…). Est-ce remis en cause ?  Depuis Malraux, le gauchisme culturel est financé par 36 000 budgets (un par commune) ; le planning familial est animé par 1500 permanents subventionnés par le budget de la santé ; le lobby LGBTdispose de 50% des ressources mobilisées au nom de la lutte contre le SIDA ; un parti politique peut mobiliser 10 millions d’euros en un mois pour combler le trou d’une campagne perdue… Voici quelques exemples parmi d’autres qui sont la preuve que le prétendu sens de l’histoire a les moyens en hommes et en argent pendant que la promotion de la civilisation de l’amour n’a pas de ressource… pour agir à « contre-courant ». Sommes-nous sérieux ? Jean Oussetdans la troisième partie de son livre l’Action au chapitre 1 : La doctrine et l'argent met en lumière l’incohérence habituelle hélas de ceux qui auraient les moyens de donner l’argent pour la formation et le combat culturel mais qui n’y voient pas un vrai « service public » indispensable :

    « L’argent, comme la doctrine, surpasse la plupart des autres moyens par l’ampleur de ses possibilités… Il permet non seulement de procurer l’outil indispensable à l’ouvrier, maisd’entretenir l’ouvrier lui-même. Il peut, certes, servir au meilleur et au pire… La pauvreté est notre lot. Vérité dont un sens élémentaire de l’action exige de tenir compte… Les œuvres aimées de Dieu sont pauvres car Sa puissance éclate mieux quand elle triomphe malgré l’indigence des moyens matériels… L’argent trop facile amollit, pousse au relâchement… Une certaine pauvreté … tient en éveil, rend ingénieux, trempe les âmes, durcit les énergies.

    Reste qu’ « il faut ce qu’il faut », et que les militants d’une cause pauvre n’ont pas moins le devoir d’étudier ce qui est susceptible de procurer les moyens indispensables.

    Il est inadmissible qu’un si grand nombre de chrétiens, attachés pourtant à la doctrine sociale de l’Eglise, trouve normal que le combat qu’elle implique continue à se livrer avec des moyens grossièrement insuffisants. Cela prouve que l’attachement de ces gens pour la vérité est platonique, nullement vivant, sans résolution pratique. Individus qui souhaitent de tout cœur le triomphe de la « bonne doctrine »... à condition que les exigences de ce triomphe soient assumées par d’autres.

    Et l’on voudrait que Dieu accorde la victoire à une cause dont les prétendus fidèles ne font qu’applaudir aux efforts d’une poignée de lutteurs qui restent seuls à supporter les peines et les sacrifices du combat !

    Est-il donc sage, est-il réaliste … de crier à la « folie des grandeurs » quand, pour le plus élémentaire des combats anti-subversifs, on sollicite l’argent indispensable à l’entretien de quelque dix ou quinze équipiers à temps plein ? …

    Nous ne devons compter sur aucun appui auxiliaire quasi gratuit … si le combat pour un ordre social chrétien jouit des encouragements d’un assez grand nombre de clercs, religieux ou religieuses, ces encouragements ne prennent jamais une forme pratique… Nous ne pouvons avoir recours qu’à des bénévoles laïcs surchargés déjà de soucis professionnels ou familiaux.D’où une insuffisance, une irrégularité de rendement, un caractère d’amateurisme lamentable. Indemnités symboliques, salaires dérisoires, articles non payés… pendant que les troupes régulières [de l’esprit du monde], et ses « cinquièmes colonnes » travaillent à plein, bénéficiant de toutes les ressources professionnelles et techniques, nous nous débattons dans les difficultés matérielles.

    Raison de plus pour penser le problème argent avec la plus grande rigueur.

    Puisqu’on ne peut s’en passer, nécessité de s’appliquer à trouver ce qu’il faut, honnêtement, pour mieux agir. Nécessité de penser à son meilleur emploi, sans gaspillage, cherchant à faire rendre cent pour un le peu qu’on arrive à se procurer.

    Nécessité de régler le dispositif en fonction de l’argent qu’il est sage d’espérer trouver… Pas de sens de l’action politique et sociale sans un sens suffisant des possibilités financières des formules envisagées… Chacune ayant son régime, sa psychologie financière propre… Il est, des œuvres condamnées, au moins pour un temps, à la pauvreté parce qu’elles ne ressemblent à aucune autre et proposent des méthodes de travail dont le plus grand nombre n’a jamais entendu parler.

    A trop attendre des générosités salvatrices on risque de cruelles désillusions. Dans l’état d’esprit de ceux qu’il faut appeler « riches », peu d’espoirs sont permis… Contre toute sagesse, l’action la plus salvatrice au temporel a cessé d’apparaître aux yeux de ceux-là mêmes qui la regardent avec faveur, comme un « service public ». A suivre… »

    Lire et télécharger dans son intégralité le chapitre 1 : La doctrine et l'argentdans l’Action de Jean Ousset. Ce livre est un maître livre pour bien penser l’action en fonction du but poursuivi. Tout homme ou femme d’action le lira avec profit pour inspirer son engagement. Jean Ousset, fondateur d’Ichtus pour Former, Relier et Agir, est le premier en effet à avoir méthodiquement formalisé une doctrine de l'action culturelle, politique et sociale à la lumière de l'enseignement de l'Eglise pour, concrètement répondre au mal par le bien. A l'encontre des pratiques révolutionnaires et de la dialectique partisane, si l'amitié est le but de la politique, Jean Ousset nous montre comment pour agir en responsable, l'amitié en est aussi le chemin.

    Le Salon Beige

  • Report de la loi APIE : bonne nouvelle pour La Manif Pour Tous

    Communiqué de LMPT :

    "La proposition de loi APIE, beaucoup moins anodine que ne voulait le dire Mme Chapdelaine et M. Binet, a donné lieu à des débats longs et complexes à l'Assemblée nationale.

    Ni les auteurs du texte, qui prétendaient que l’ensemble des associations familiales y étaient plutôt favorables, ni Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat à la famille, ne s’attendaient à de tels débats, que ce soit dans l'hémicycle ou au sein de la société française. Pourtant, à l’évidence, un sujet aussi important pour tous les citoyens français ne peut être traité à la va-vite !

    "Ce texte, fondé sur une vision idéologique de la société, était en l’état totalement inadapté à la réalité vécue par les familles et à leurs besoins" déclare Ludovine de La Rochère, présidente de La Manif Pour Tous.

    La Manif Pour Tous se réjouit du report de la proposition de loi APIE et remercie les députés qui ont mis tant d’énergie à défendre avec compétence l’intérêt supérieur de l’enfant et la famille.

    La Manif Pour Tous prévient le Gouvernement et la majorité qu'elle considérerait comme une provocation un éventuel retour du texte actuel au cours du mois de juillet."

    Michel Janva

  • Le député Marc Le Fur s’interroge sur le silence qui a entouré l’agression de Laurence Rossignol par des militants LGBT

    Médias Presse Info vous avait signalé l’agression du secrétaire d’Etat Laurence Rossignol par des militants LGBT la semaine dernière.

    Hier, lors de  la discussion de la proposition de loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant, le député Marc Le Fur (UMP) s’est adressé à Laurence Rossignol à ce sujet.  «Je voudrais, à la suite de l’agression dont vous avez été victime voilà quelque temps de la part du réseau LGBT, vous exprimer ma solidarité et mon soutien».

    «Cette agression était d’autant plus surprenante qu’elle était déplacée et vulgaire. Ce soutien s’adresse donc tant à votre personne qu’à la fonction que vous exercez. Ce qui m’étonne, madame la secrétaire d’État, c’est de ne pas avoir entendu d’expression de solidarité de la part de beaucoup de membres du gouvernement, non plus que du Premier ministre, qui fut pourtant un ministre de l’Intérieur particulièrement répressif

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